[Disparu][Guerrier/Roub/DK][H] Naryl d'Estarios

Citation :

Compte : halekun

Nom : Naryl d'Estarios / Nelad de Noirvaux

Classe : Guerrier 10/Roub 10/DK 5

Arme de prédilection : Malmort

Race : demi-elfe

Description physique : Ancien Zenthilard, s'étant fait passé un temps pour un marchand d'Eauprofonde, dans le seul et unique but de servir l'Unique.
Il affiche désormais sa foi, insipirant le désepoir à ceux qui croisent son regard.

Caractéristique :
Force : 20
Dextérité : 11
Constitution : 12
Intelligence : 13
Sagesse : 8
Charisme : 16

Langues parlées : commun/abyssal/elfe

Souviens toi, Chevalier de Noirval.
(aucune chronologie dans ce qui suit)

J’ai offert mon âme au Soleil Noir. C’est lorsque j’ai embrassé la vraie foi que je suis vraiment venue au monde, c’est quand j’ai reconnu le symbole saint de Cyric que je vis pour la première fois la lumière.
Le reste, mon passé, ma fausse naissance, c’est une hérésie, un mensonge. Mes parents étaient des hérétiques, et de honte, j’ai oublié leur nom, et celui qui était le mien.
Désormais, je suis Sir de Noirval, le chevalier de Noirval.

*
* *

Dans l’ombre, un homme était à genoux, s’appuyant sur une lame, devant une statue immense, représentant un crâne, dont les yeux incandescents semblaient lire en lui.
«Seigneur, ma lame t’appartient, mon cœur t’appartient, mon âme est tienne. Je suis à ton service, je crois en ton nom, Unique, puissant Seigneur de la Discorde. Prince des Mensonges, chaque jour je rêve du sang de tes ennemis, je vois ce liquide rouge couler sur ce sol, qui, par tes bénédictions, se recouvrent d’une lumière éternelle. Les Aveugles retouvent la vue, les ignorants célèbrent la vérité, ils renient leur mensonge, et les hérétiques meurent par centaines, et par centaines, ils hurlent la clémence du Soleil Noir.
Quand ce temps viendra-t-il, Ô mon maître ? Je veux voir les têtes de nos ennemis tomber, je veux voir leurs viscères se répandrent sur le sol, je veux voir la terreur dans leur visage, je veux voir la crainte que ton nom leur inspire.
Seigneur du Meurtre, je ferais couler leur sang, et si j’échoue, je ferais couler le mien !»
L’homme pris une dague ornée, et s’entailla les poignets, faisant couler son sang sur l’autel du Soleil Noir.

*
* *

J’étais là. J’étais présent sur cette colline, quand mon Seigneur, Son Excellence Harounn ordonna l’assaut de la cette bibliothèque païenne.
J’ai rêvé longtemps de voir ses tours s’écrouler dans la mer, de voir les bibliothèques impies de l’Ignare brûler.
Les Clercs du Soleil Noir béniraient longtemps nos noms lorsque nous brandirons les saints écrits, ceux qui apportent la vérité aux yeux des infidèles. Le livre écrit par le Meurtrier de Quatre Dieux, le seul l’Unique. Le livre qui seul, raconte l’Histoire, la véritable, pas ce tissu de mensonge dont parlent les infidèles.
Nous connaissons tous les écrits du Seigneur du Meurtre.
[i]« Il est écrit que Tymora et Beshaba se battent pour régner sur chaque nouvelle âme venant au monde. La Dame de la Chance jette une pièce en l’air, et la Vierge de l’Infortune doit prédire si elle retombera sur pile ou sur face.
[…]
Dans l’Histoire de Faerun, un seul homme échappa à ce jeu cruel : Cyric de Château-Zenthil. Avant même d’arpenter le monde sous sa forme mortelle, celui-ci avait assez de volonté pour résister à la vague du destin.»
Nous entendions tous l’appel du Cyrinishad, nous sentions son doux parfum, qui emplissait nos poumons. En cette journée de Gloire, l’armée du Soleil Noir marcherait sur Château-Suif. Une journée qui devait être couronné par la gloire, par la puissance du Soleil Noir, le jour où ses fidèles deviendrait des demi-dieux, et où Cyric domineraient la totalité des fausses puissances, et prendrait les rennes du destin de tout Faerun ! Et pourtant, c’est ce jour que je suis mort, ou plutôt, que je revins à l’hérésie.
Pourquoi Seigneur ? Est-ce folie de croire en toi ? Je ne veux pas devoir craindre d’être considéré comme un infidèle à ma mort, mais Unique, tu t’es détourné de tes fidèles.
« Hérétique… »
Je… peut-être Soleil Noir. Je ne puis vénérer un dieu qui ignore ses fidèles, et les laisse s’entretuer.
Chaque jour, je ferais couler le sang pour me faire pardonner ses pensées impies. Chaque jour, je répandrai ta gloire.

*
* *

« Toi, que tous nomment l’héritier, tu crois mériter ce titre ? Le fils du Seigneur de la Discorde, hérésie. Un faible hérétique, un chacal putride. »
Le jeune homme se jeta sur le chevalier, lame en avant, mais l’attaque fut esquivée très simplement par le chevalier de Noirval.
« Fou que tu es, barbare. Ton père était un faible, il l’a payé de sa vie. Tu le vénères comme l’Unique ? Quelle idiotie, car où est-il maintenant, mort, comme le faible qu’il était. »
Le regard haineux de Jean de Naskul se posa sur Nelad.
« Quoi ? Tu veux me tuer chien ? Mais tu ne sais même pas te battre, si ce n’est comme un barbare. Tu crois vraiment que ce genre de chose plaira à l’Unique ? Tu es faible. »
Presque enragé, Jean se jeta sur le chevalier, qui le repoussa au sol du pied.
« Faible héritier, inutile à l’Unique. Ne lève pas ta lame inutilement, ton arme ce n’est pas ton épée, ton arme, c’est la foi. L’Unique guidera ta lame, l’Unique te donnera la puissance nécessaire d’abattre tes ennemis. Prouve lui ta foi, hurle les louanges du Soleil Noir, le Seigneur de toute chose. »
Perplexe, plein de haine, l’héritier observa le chevalier lever son arme vers le ciel, et parlant à demi-mot.
« Je t’offre le sang de mes victimes, je t’offre leur mort, je te donne leur âme, puisses-tu m’apporter la puissance de vaincre tes ennemis, puisses-tu me faire mourir dans la souffrance si j’échoue. Seigneur du Meurtre, bénie tes serviteurs, bénie ma lame, qu’elle devienne le prolongement de mon corps, qui sera l’objet de ta volonté ! »
La salle d’entraînement s’emplie d’une magie terrifiante, qui se focalisa sur la lame du Chevalier. Dans un rire psychotique, Sir de Noirval se jeta lame en avant sur l’héritier encore à terre.
« Vois la vraie puissance du Soleil Noir ! »

*
* *

Jadis on me craignait, car j’arborais le symbole du Soleil Noir, aujourd’hui, on me méprise, car j’arbore ce même symbole. Château-Zenthil avait été l’origine de la foi et de la puissance, désormais, elle est l’origine de l’hérésie et du blasphème.
Par le passé, toute personne qui disait du mal du Seigneur Cyric se voyait occis par les Inquisiteurs du Soleil Noir, que ce dernier, dans son infini bonté, avait eu grâce de nous envoyer.
« Chien putride ! Chacal de Fzoul Chembryl ! Maudit soit-il, maudit soit ses descendants et tous ses suivants ! »
L’ombre d’elle-même, et j’étais comme la ville, l’ombre de mon glorieux passé, pour la gloire du Soleil Noir, désormais réduit à voler pour survivre.
Méprisables hérétiques, viendra un jour où la folie qui s’est emparé de la populace de cette ville impie reviendra au Soleil Noir, et ce jour là, le Tout Puissant Prince des Mensonges leur accordera le pardon, en plantant sa lame dans leur cœur encore battant, et alors que le sang des infidèles coulera sur le sol souillé de leurs immondes présences, ceux qui sont resté fidèle à la Vraie Foi pourront hurler leur gloire !
« Mais l’avenir du clergé n’est pas ici, et je promets par mon sang que je restaurerai ta Puissance, Seigneur, Visage sous le Masque. Dussé-je mourir pour y parvenir, ou pour laver mon échec ! Gloire, Cyric, Prince des Mensonges.»

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Les Tours Jumelles de l’Eternelle Eclipse, symbole de la toute puissance du Soleil Noir, semblable à deux joyaux parmi la souillure des hérétiques. Deux lances, tendues vers le ciel, comme autant de provocation à ces fausses divinités que prient les hérétiques.
L’Amn était désormais la nouvelle origine de la puissance du Meurtrier de Trois Dieux, et à jamais sa gloire se répandrait sur ses terres impies.
« Chevaliers du Heaume Noir ! Pour la Gloire du Seigneur du Meurtre ! Ces temples impies n’ont que trop nargué la puissance du Soleil Noir ! Répandez sa puissance ! exprimez votre foi ! Massacrez tous les hérétiques ! »

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Le Valbise ?
Mais pourquoi devrais-je suivre ce prêtre et sa suite dans le nord. Je n’ai que faire de cette région impie vouée au Barbare.
Apportez la lumière aux aveugles est impossible, car ils n’acceptent la vérité que lorsque leur cœur s’arrête de battre, et lorsque dans le Plan des Fugues, seul Cyric les accueillent pour leur offrir le sort qu’un existence d’hérésie mérite.
Mais l’Ordre n’était pas contestable, la Vigilance Noirdessein Akhlemere l’avait ordonné, et depuis la débâcle de Château-Suif, j’étais désormais sous les ordres de ce prêtre.
Nul n’a autant la foi que moi, Seigneur Cyric, et je pourfendrais tout ceux qui affirme le contraire. Ma lame, comme mon corps, est tienne. J’offrirai mon corps et mon existence dans le seul et unique but de te servir Seigneur.
Si l’Unique souhaite que je parte dans le Nord, il en sera ainsi.

Hérésie ! Tout n’est qu’hérésie en ces lieux. Partout des fidèles de l’Idiot et de l’Injuste, et même ceux de l’Imposteur et de l’Usurpateur, et pire que tout, des incroyants. Ma lame prendra bientôt goût à son sang.
Sa Volonté Noire ordonnerait bientôt que les séides de l’Unique étendent sa gloire, et prouve aux infidèles à quel point leur erreur est grande. Le sang coulera comme autant d’offrande au Soleil Noir. Puisse l’Unique nous apporter la force nécessaire à notre sainte mission.

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Deux chiens imposteurs proches de Luskan, quelle folie, les voilà désormais sur le terre de l’Unique. Je me cache parmi les ombres, je prends ma Malmort.
« Unique, guide ta malédiction au plus profond de leurs âmes »
Pour l’Unique, et pour Sa Volonté !
Je m’extirpe des ombres, je pourfends le gradé, je le met à terre, et lui coupe le bras pour le désarmer. L’autre apprend ce qu’est vraiment la peur. Elle n’est plus le fait de son dieu hérétique, et ce regard implorant quand je lève haut ma lame pour que l’Unique la voit, et mon sourire lorsqu’elle traverse son crâne, son sang recouvrant mon armure.
Gloire au Soleil Noir, Gloire au Prince des Mensonges.

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(étant donné qu'Aggartha a beaucoup fait chier Naryl a une époque, si Volvic pouvait avoir en charge mon BG, ça me ferait plaisir

Précisez moi ce qui manque selon vous.)

Validé, puisque ancien perso

Il manque cependant les caractéristiques.

Concernant la langue elfique, tu ne possedes pas assez de point d'intelligence ni de justification pour la parler.
Commun et abyssal , c'est bon.