Targos, une citée d'avenir

Des soldats venant de targos sont éparpillés un peu partout dans les différentes cités et Lorgol afin de porter les affiches ou de dicter celles-ci aux soldats illettrés, afin que le message soit disséminé dans le maximum d'oreilles combattantes ou simplement curieuses et désireuses de trouver un travail.

Citation :: Targos recrute

Soldats spécialisés ou hommes et femmes désireux d'être formés

La Cité de Targos recrute des cavaliers désireux de prouver leur prouesse martiale et de se former dans le domaine des combats à dos de cheval. La Cité acceuille également hommes ou femmes voulant se former dans cette orientation guerrière particulière. Targos concentre ainsi ses formations afin de créer une cavalerie martiale unique dans le val de bise, efficace pour la Couronne. Cette spécialisation sera acidue et deviendra méritante qu'à travers les efforts que les soldats fourniront. Cette qualification sera complémentée par des entraînements de soldats au sol. Les formations seront rigoureuses et disciplinées, des sélections permettront de trier les différents talents et de les exploiter au mieux; de l'éclaireur au combattant, sachant que la Cité valorisera les cavaliers les plus prometteurs. Une aile leur sera réservée dans la Cité. Des chevaux d'exceptions -entraînés et formés par Belle Prairie- leur seront attribués après que leur formation et preuves aient été faites.

On précise aux portes de Targos à ceux qui veulent des renseignements que les soldats ou personnes arrivant dans l'espoir d'être formés dans cette qualification équestre se verront doté d'un salaire de 5% de plus que la formation d'un soldat basique s'ils s'enrôlent dans l'armée de Targos et prête allégeance à la cité. Il est précisé que plus la qualification avancera, plus il y aura sélection mais plus le salaire et les primes augmenteront. Les plus doués se verront offert une place unique à Targos et dans le Nord grâce à la spécialisation et à la rareté de ce corps militaire. On vise la formation d'une élite. Elle sera à but de combats, d'escorte, de surveillance, d'éclairage, etc.
Pour ceux qui souhaitent avoir cette formation sans s'enrôler dans l'armée de Targos, l'apprentissage devra être payé par l'élève.

(pour l'instant évidemment ça vise plus les pnjs, dans le but de relancer l'économie et la vie "virtuelle" de Targos... Mais si certains joueurs veulent se lancer dans un rp de cavalier, plutôt rare, ça pourra faire du jeu, former un vrai petit groupe avec possibilité de bg évolutif, etc. Tout est possible. Pour l'instant on manque un peu d'effectifs pour créer un encadrement de pjs, je précise.
Je n'ai pas mis de prix car vu la différence entre pjs et pnjs niveau salaire... Ca sera à définir en fonction, et si ça tente des joueurs.)

[Edit]

Citation :: https://valdebise.1fr1.net/les-10-cites-f78/targos-une-citee-d-avenir-t16026-15.htm#213819

la classe de cavalier n'est plus accessible pour l'instant, aucun nouveau personne ne peut y acceder .

cela pour des raisons techniques liées au patch 1.69

have a nice day .

(problème réglé, avis qu'aux pnjs)

Des combats de coqs sont organisés dans la taverne de Targos, avec une petite arène organisée de bancs. La populace s'y rend pour se divertir. Un champion semble sortir du lot, durant toute une soirée il n'a perdu aucun match. Ce dernier s'appelerait Brutus, et il est déjà la mascotte de ce genre de soirées. Son entraîneur est fier.
Bien qu'amateurs, certains dresseurs improvisés semblent s'en tirer pas mal. Les bêtes sont pesées avant chaque combat afin d'équilibrer les duels. Les plumes sont coupées en partie et les griffes sont pourvues de petits embous métalliques. Cela se finit souvent de manière sanglante, le peuple profite. Une petite prime est attribuée au possesseur du gagnant en fin de tournois. Au sortir de l'hiver, c'est la grande tendance des soirées. Les voyageurs passant à Targos ont pu assister à quelques combats. Quelques champions seraient même dirait-on, en vente.

Deux architectes de Bryn Shander sont arrivés à Targos et préparent les plans à l'aide de ceux de la Cité. Les esclaves, eux, commencent déjà à préparer le terrain. Ils ôtent la neige, ramollissent la terre grâce à l'eau du lac qu'ils ébouillantent et versent sur le sol glacé. Ils creusent ensuite.
Les pierres de Belle Prairie ont été livrées. Le bois de Targos ne suffisant pas, la Cité aurait fait appel à la Ligue pour les diverses charpentes.

*Une caravane de la Ligue Commerciale du Nord arrive des Havres du Levant, déchargeant les céréales, qu'ils mettent aussitôt en vente : on ne perd pas de temps, surtout avec les denrées alimentaires. Pendant ce temps, un marchand fouine, cherchant le fournisseur présentant le meilleur rapport qualité/prix quant au minerai de fer. L'intention est claire : l'achat de minerai.*

Sainte Patience Nombre de messages : 428

Dans la valse des dirigeants à Targos, il semblerait que l’inquisiteur de la Main noire ait pris le pouvoir dans cette bourgade reculée du Nord s’autoproclamant par la même occasion impercepteur.

Selon les rumeurs, l’ancienne dirigeante aurait été quant à elle «invitée» à regagner le quartier général de l’église à château Zhentil, mais ce ne sont que rumeurs...

Il est en revanche avéré que certains de ses plus fervents partisans ont mystérieusement disparus lors de cette transition.

On retrouvera quelques jours plus tard les têtes des malheureux alignées sur les murs du village, macabre message d’avantage destinée aux propres serviteurs de Baine qu’au reste de la région.

Sainte Patience Nombre de messages : 428

Il y a de cela quelques jours, une puissante explosion aurait eu lieu en mer à des lieux du village fortifié de Targos.

Parmi les habitants, on murmure que ce serait là, la raison du soudain regain d'activité des soldats au service de l'église de la Main noire.
En effet, ces derniers participent désormais à leur entrainement avec une ardeur renouvelée et s'attellent à quelques mystérieux préparatifs.

Mais la populace est maitresse des conclusions hâtives et ces événements ne sont peut être pas liés...

Sainte Patience Nombre de messages : 428

C'est désormais officiel à Targos, l'ancien chef de la tribu de semi-orques qui sévissait il y a un temps aux alentours de la cité des voiles est maintenu dans ses fonctions, devenant ainsi le nouveau capitaine de la brigade du sang noir.

Sainte Patience Nombre de messages : 428

Même si elle n'a pas répondu aux attentes du dirigeant de l'église, la campagne visant à recruter des semi-orques dans les bas quartiers de la cité des milles tours a enfin porté ses fruits.

La caserne de Targos est en pleine effervescence suite à l'arrivée dans le village d'une vingtaine de sang-mêlés, attirés en ces lieux par l'appât du gain sans doute certains déchanteront ils bien vite lorsqu'ils se retrouveront face aux instructeurs au service du clergé.

Depuis qu'ils sont arrivés à Targos, les nouvelles recrues ont passés leur première semaine à apprendre les rudiments du langage militaire auprès de certains sous officier Targosien.

A la fin de la semaine, après qu'il leur fut fournie arme et armure, le seigneur de guerre suivi du chaman, les rejoignirent.
Le seigneur de guerre pris la moitié des semi orc pour les entrainer au maniement des armes, il était alors secondé d'un ancien de la brigade du sang noir, permettant ainsi d'inculquer une certaine notion de stratégie "défonssive" à leur troupes.
De son coté le chaman s'occupait du coté négligé de ces demis orc : la religion.

Tous les trois jours le Seigneur de Guerre échangeait de groupe avec le Chaman.

Au bout d'un mois l'on pu enfin organiser de véritables manœuvres militaires : les anciens contre les nouveaux. Évidemment, ces derniers ne firent pas long feu, mais avec le temps ... avec le temps.

Targos et Belle-Prairie sont baignées dans la brume. L'entraînement risque d'être rendu plus difficile ! Une pause bienvenue?

Sainte Patience Nombre de messages : 428

Pas de répit pour les nouvelles recrues de la brigade du sang noir.

Le soir même où la brume est tombée sur Targos, celles ci ont été affectées aux alentours du cimetière où règne désormais une étrange agitation, une poignée de prêtres allant et venant au milieu des tombes afin de veiller au repos éternel de leurs occupants.

Une des recrues de cette fameuse Brigade du Sang Noir aurait déserté...Du moins, elle a disparu, un soir, alors qu'elle partait uriner hors des baraquements.

Loin au nord, entre les remparts de la petite cité fortifiée de Targos, c’est l’effervescence.
Les soldats de la Main Noire subissent un entraînement plus intensif encore qu’à l’accoutumée. Les archers ont délaissé pour un moment leurs arcs pour préférer marteaux, gourdins et autres armes contondantes. Du haut d’un rempart, un homme à l’allure sinistre observe la scène :

Soldats de la Main Noire ! Bientôt l’heure de faire preuve de votre courage et de votre force sonnera de nouveau ! Bientôt vous aurez la chance et l’insigne honneur de combattre sous la glorieuse bannière du Seigneur Noir ! L’ennemi est à nos portes *marque un temps d’arrêt* mais RIEN ne saurait ébranler les séides du Ténébreux ! Notre foi et notre dévotion seront nos armes et nos boucliers ! *Baisse d’un ton* Et quand l’ennemi sera assez proche pour lire dans nos yeux la haine qui nous anime, alors, VICTOIRE NOUS SERA ACQUISE !

A ces mots, les soldats, galvanisés, retournèrent à l’entraînement avec une ferveur nouvelle. L’homme, quant à lui, disparut dans les sombres dédales d’une tour de guet, un sourire satisfait flottant sur ses lèvres.

En ce jour, un mineur particulièrement alcoolique et violent a été pendu pour avoir fait disparaître une des recrues de la brigade du Sang Noir. Il est également soupçonné d'avoir fait disparaître un autre mineur.

Un cargaison importante de nourriture est arrivée à Targos. D'après les dires des charretiers, elle viendrait de Bremen suite à une demande de l'Impercepteur.

Sainte Patience Nombre de messages : 428

Suite aux destructions perpétrées lors des récents affrontements opposant les druides d'Havre d'Est aux mages des Dix-cités, l'influence du clergé sur la région n'a jamais été si restreinte, ne s'étendant, à présent, plus au delà des murs de Targos.

Les esclaves ayant échappé à la fureur du Cairn de Kelvin, quant à eux, n'ont guère eu le loisir de savourer la caresse des vent glacés du Val de Bise glissant sur leurs corps meurtris, celle ci se substituant à la morsure des fouets brandis par leurs maitres tyranniques lorsque ces derniers les trainèrent sans ménagement dans les profondeurs des mines jouxtant le village.

Désormais, c'est avec une vigilance renouvelée que les guerriers au service de l'église tournent leur regard en direction des cités sous la domination de l'archimage, d'autant plus alors que nombre de leurs frères d'armes se trouvent aux alentours de Luskan.

Dans ce climat d'incertitude et de méfiance, personne ne semble prêter attention aux bruits étranges qui chaque soir à la nuit tombée s'élèvent du cimeterre délaissé, personne pour l'instant...

Suite aux bouleversements telluriques qui ont secoué le Nord, ainsi que le réveil du Cairn de Kelvin, le sol targosien connut divers glissements, opérant des ruptures dans les murailles en affaissant les grandes tours dans le sol. Le dénivelé naturel du terrain se scinda en deux nouvelles terrasses. Divers travaux sont en cours de finition afin de consolider les bâtiments et stabiliser les sols apaisés.

Une silhouette se détacha sur l'horizon d'un blanc immaculé. Une tenue noire comme la nuit seulement parsemée ci et là d’éclats de vert. Une chevelure attachée en un chignon très stricte sous une capuche qui les dérobe à la vue de tous. Un masque d'ébène aux reflets mouvants, ondoyants, telle la surface de l’eau, avec seulement gravé sous l’œil gauche, une note de musique : une croche suivie d’une double croche liée. Telle était cette femme qui dirigea directement ses pas vers le temple du Seigneur Noir où elle se recueillit pendant plus d’une heure.

Quand enfin elle ressortit, elle avançait d'un pas toujours aussi pressé, comme s’il y avait une chose qu’elle ne pouvait plus attendre. Finalement, son chemin se trouva barré par la chute vertigineuse qui tombait naturellement sous ses pieds. Elle s’arrêta en cet endroit d'où elle pouvait surplomber le fleuve et les alentours. C'est alors qu'elle se pencha sur son sac et, en des gestes à la fois cérémonieux et empreints d'une certaine excitation, d'un certain empressement, elle en sortit un étui... puis un instrument de ce dernier. Les regards les plus exercés auront pu discerner un changement dans son attitude. Elle frôla son instrument du bout des doigts, puis le remonta lentement pour le placer sur sa clavicule gauche. Elle leva alors son archet mais suspendit son geste. Elle ferma les yeux. Et enfin, après quelques secondes, elle frotta les cordes de son violon.

Les premières notes furent légères, presque timides, le rythme lent, voire hésitant, comme si la violoniste faisait un pas vers son instrument, comme si elle tentait de négocier avec lui, de l’amadouer, le raisonner. Un ballet de va et vient, où l’un fait un pas tandis que l’autre recule. Puis les notes se firent plus précises, certaines saccades parvenant par moment, instant de la rencontre entre les deux êtres. La musique se fit alors plus dure. La tonalité devint d’abord froide avant de monter dans les aiguës, comme si des cris et des claquements de portes pouvaient illustrer cette dispute illusoire. La puissance et le rythme montèrent de concert en un crescendo qui déchirait le silence habituel qui règne en cette terre lointaine. Mais pour la musicienne, plus rien n’importait. Quand enfin la musique atteignit son apogée, une dernière note retentit, telle une explosion de larmes et de rage. Puis le silence se fit. Quelques secondes s’écoulèrent, laissant le public passant en suspend. Quand enfin elle reprit sa mélodie, elle n’était plus dure, la tempête était passée. Le couple s’était retrouvé. S’était déchiré. Mais avait fait la paix. Car l’un sans l’autre, ils n’étaient rien, rien que l’ombre d’eux-mêmes. Juste un violon de bois dans un étui et une violoniste qui se meurt pour son « son ». Car son violon, comme son Seigneur, lui était tout. L’accalmie se fit et les dernières notes évoquèrent ce qui était en train de se passer dans l’âme de cette femme : des retrouvailles… avec elle-même.

Pendant les jours qui suivirent, on put entendre la violoniste répéter ainsi chaque matin de manière assidue. Ceux qui la regarderaient avec attention y décèleraient une sorte de recherche de la perfection. Car ses morceaux inspirés par son humeur, mais aussi par son Seigneur, n’en demeuraient pas moins d’une beauté indéniable. Sombre, mais fascinante. Surtout qu’il y avait longtemps que Targos n’avait connu tel talent…

Son nom ? Il se résume en un surnom, car ce n’est qu’ainsi qu’on la désigne au sein du culte de la Main Noire : Sombre Murmure.

une sombre et et gigantesque masse vien se présentée devant les porte de targos il s'agie d'un orc tout en cape portant des symbole qui par le passé on pue etre remarqué sur 2 autre orc comme etans un fidèle de Yutrus ( la mort incarnée pour les orc )

celui ci demande a etre présenté au chef de la cité afin de lui offrir personnellement c'est respect

il se présente comme etand Dar'aaramid prêtre et émissaire de l'église de yutrus et porteur de peste envers les ennemie de la sombre alliance targos orc

il offre aussi gratuitement c'est servise clérical s'il y as des urgence dans la ville

et demende a recevoir des direction afin qu il puisse retrouvée les membre du clan de la main de gruumsh au plus vite

lOrc est très, trop polie et très,trop calme comme si il n'etais dejas plus entièrement des vivant et contrains a la peur

Moi aussi j'ai marché jusque Targos, Maîtresse,
Dans la nuit douce, portée par ta voix traîtresse,
Et il n'y aura nul retour que les ombres ne diront
Car là où va la trace noire de mon esprit nous irons...

*Un jeune homme, arrivé depuis peu, demanderait à voir un membre du clergé de Loviathar, disant posséder quelque chose qui pourra l'intéresser*

Sainte Patience Nombre de messages : 428

Il y a peu une immense créature a franchi les portes de Targos, non pas l'un des monstres diaboliques issus des Neufs enfers dont les prêtres du Ténébreux requièrent parfois les services mais un étrange automate, incarnation d'une justice implacable, sans nuance de bien ou de mal.

Selon les rumeurs l'être mécanique aurait pris la direction du Sud, traversant infatigablement les étendues glacées du Val de Bise en débitant d'une voix discordante de curieuses paroles...

"Affaire, Impercepteur contre Conseillère, procédure en cours."

Les Targosiens dorment nerveusement ce soir, les rares enfants à posséder une chambre ne veulent y dormir seuls, et les volets sont doublement fermés. Après le spectacle de la soirée... Targos craint toujours davantage le Seigneur Noir, et les prières se feront bien plus ferventes le lendemain.

En effet, tout le monde connaissait les Michal, d'ailleurs tout le monde se connait désormais à Targos. Tout le monde savait qu'ils étaient de paisibles agriculteurs, avec leur petit lopin accordé par l'Eglise. L'oncle de la famille logeait dans les combes, on voyait parfois sa lanterne allumée tard dans la nuit, mais il ne pouvait pas faire grand chose, ses bras étant handicapés... alors les Michal l'aidaient.
Oui, mais ce soir-là, l'Impercepteur se rendit en personne dans la rue qui bordait cette maison, accompagné d'un de ses sous-fifres aux yeux cyclopéens. Fouillant la maison de fond en comble, maltraitant le pauvre bougre d'oncle au sol en lui demandant d'avouer des méfaits dont personne ne se doutait qu'il avait commis, ils emportèrent la famille finalement... non sans avoir trouvé un autel de Tymora sous le toit.

Coups de fouet et marque du bannissement furent ordonnés pour le prêtre, ainsi que la destruction de tous ses symboles religieux. Non par obscurantisme dit le Grand Prêtre, mais pour avoir caché sa foi au sein de Targos, pour avoir mis en doute la suprématie de Baine !
La famille elle, écopa de coups de fouet, et la petite fille, désillusionnée par les propos de la moine Sylmen... eut la chance de servir dans les rangs des novices du Seigneur Noir.

Pas d'bol pour le prêtre !

*tiu note dans son journal*
Revenu, encore...
escorté cette fois, non mais. Plus question de me risquer seul la ou on pourrait me surprendre...
Ah... "elle n'est pas la pour le moment", me dit-on.
Tant pis, j'attendrai...
En espérant m'en sortir encore une fois.

"La Main Noire parvient toujours à frapper ceux qui cherchent à s'opposer à elle.
Défiez Baine et vous trouverez la mort."

Certains avaient osé fomenter contre le Seigneur Noir.
Ils allaient rapidement comprendre que c'était sans espoir.

Leurs complots attirèrent SON regard sombre et sans pitié,
Et désormais c'est avec SON encre noire que serait rédigée leur destinée.

C'est ainsi que SON appel silencieux résonna dans toute la région,
Déclenchant une marée d'ombres noires prêtes à apaiser SA colère à SA façon.

En SON temple les instructions furent données,
Et le sort des fous définitivement scellé.

Alors tous se recueillirent, agenouillés et certains de SA toute puissance,
Avant de déverser à nouveau, par delà SES terres, SA noire sentence.

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