[En cours][Guerrier/Moine/Mda][H]Mishima Shonto

Citation :

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Nom du perso : Mishima Shonto; dit "Mejishi" (la lionne)
Race : Humain (expatriée shou)
Age : 26 ans
Alignement : Loyal Neutre
Religion : Les 8millons de kamis, elle respecte, mais connait mal et ne prie pas les divinités de la guerre et de la nature du panthéon humain

Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Guerrier 12/ moine6 /maitre d’arme7
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Katana («Kiba » le croc)(mda) et Kama (crafté en griffe de combat)(tsume, les griffes)

Langues : commun, shou, +1 autre non definie a ce jour


Description physique : La jeune femme sur qui votre regard se pose est très distinctivement de type oriental, les yeux bridés, une bouche fine, un visage à la peau tendue légèrement brunie par le soleil. Ses cheveux noirs sont tressés tous ensemble en une grosse natte qui se balance dans son dos, emportée par un fermoir en acier doré a l’extrémité.

Son corps est svelte quoique musculeux, elle a pris l’habitude de comprimé sa poitrine avec des bandages pour ne pas être gênée au combat lorsqu’elle revêt son armure.

Elle porte à la ceinture une longue lame courbe au manche long, et une autre plus petite dont le fourreau est décoré de fleurs roses. Dans son dos est accroché un arc dans uns sacoche en cuir à demi fermée. Ses avants bras sont équipés de griffes de combat, trois longues lames qui passent au dessus des phalanges du poing, qui demeurent rétractés dans l’armure, et qui se dégainent grâce a un mécanisme composé de chaines et d’un ressort en partit caché par le reste de l’armure. Elle porte aussi sur son flanc droit un étrange casque dont le masque représente un démon grimaçant.

Sa démarche est martiale, son port fier, elle arbore le même blason en plusieurs endroit de son armure et de ses vêtements: une tête de lion rugissant.

Elle s’exprime d’une voie douce et posée, teintée d’un léger accent kozakuran, elle parle cependant couramment le commun. Ses gestes sont calculés, calme et délicats.


Caractéristiques :
FOR : 14
DEX : 15
CON : 14
INT : 12
SAG : 12
CHA : 10

Le Shonto, les guerriers atypiques.


Ce clan est installé dans le sud d’une des iles satellitaire de Kozakura, l’ile de Kabudono. Le Shonto est un clan étrange, aillant peu de lien avec les autres et bien qu’issus d’une tradition commune au reste de Kozakura, reste parmi les clans marginaux et incompris. Le clan a formé son art de vivre autour d’un animal totémique, le « lion des sables ». Cet animal est en voie de disparition, seule quelques représentants de son espèce survivent encore. Il n’est pas rare que les seules lions que l’on puisse voir soit de vieux males errants, bien souvent au corps mutilé, stigmate d’une défaite pour la sauvegarde d’un territoire contre un plus jeune.

Les Shonto ont développé une tradition de guerriers acrobates et voltigeurs qui manient le katana et la griffe de combat, ainsi que dans une moindre mesure le wakizashi, l’arc, et la lance. La formation au combat est assuré par l’ordre monastique du Shonto, les moines apprennent la théologie relative aux kamis en général et plus particulièrement a nouée le lien entre le lion des sables leur totem et eux. Les initiés aux techniques martiales du lion deviennent tous des troubadours, vivant dans l’art du duel. Les plus doués sont encouragé a quitté la région et expatrié leur art pour l’affiné et a l’aube de leur vie revenir au clan pour partager l’enseignement acquis, on les nomme alors les "kenkaku". Les anciens sont ainsi tenus en haute estime au sein du clan.

La philosophie des moines du Shonto à suivi un long processus au cours des siècles, codifiant l’apprentissage des inities. La vie au sein de l’ordre est rythmée par l’entrainement martial et la méditation. Les moines inculquent que l’esprit du lion réside en chaque initié, et que le maniement du katana, et de la griffe de combat entretient ce lien. Le katana est assimilé au croc du lion, les griffes de combat a ses pattes, les guerrier apprennent a se mouvoir avec souplesse, mimant les attitudes de la bête.

La méditation est au centre du lien qui uni l’animale totem au combattant. Ce dernier durant les périodes de méditation cherche à se concentrer sur son instinct animale, a faire le vide de ses émotions humaines. La perception du monde qui l’entoure est alors simplifié a son strict minimum.




Mishima, fille de seigneur.


Il y a de cela vingt six ans, naquit l’ainée de Tsubaï Shonto, chef du clan. L’enfant Mishima, fille de seigneur ne pouvait succéder a son père, la place de chef revenant toujours au fils ainé, c’était son frère Takezõ de deux ans sont cadet qui en hériterait. Mishima cependant reçu l’éducation la plus complète, et la plus poussée, très tôt la jeune fille fut instruite par les plus anciens et les plus sages du clan. Elle montrait une prédisposition au combat, et fut tout naturellement orienté dans cette voie au combien noble parmi les Shonto.

Ça vie bien qu’adoucit par son statut noble et son ascendance dominante n’en fut pas moins rude, plus qu’aucun autre combattant elle dut faire preuve d’humilité tout au long de son parcoure, elle fut traitée encore plus durement et plus sévèrement que les autres qui apprenaient la voie du lion. Comme disait un de ses instructeurs : « il n’existe de noblesse de sang pour ceux qui voyagent loin de leurs terres, seule la noblesse du courage, et la recherche de la perfection. »

A l’âge de vingt deux ans elle arrivait enfin à maturité. Elle jouissait d’une bonne maitrise de la griffe de combat, le jour de son départ fut annoncé. Elle reçut des anciens « kiba » une lame ancestrale, et de son père une armure de première qualité. Son frère cadet quand a lui offrit a sa sœur un des casques de guerre qui étaient réservé aux champions du clan. Bien qu’elle n’en soit pas un personne n’eut rien à redire, le jeune Takezõ était prince en son fief, et les anciens voyaient d’un bon œil que Mishima parte sur les routes affublé d’un casque dans lequel disait-on un démon de la guerre aurait été retenu prisonnier.

Mishima partait donc pour un voyage long et périlleux, les premières épreuves qu’elle dut surmonter furent une série de duels en combat singulier contre les champions des villages avoisinants. Elle se tira d’affaire de chacun d’entre eux, bien que coriaces et souvent plus puissant qu’elle ses premiers adversaires n’étaient que des paysans pour la plus part. Elle devait avancer toujours plus en avant et c’est ce qu’elle fit. Elle erra pendant deux ans sur l’ile de Shinkoku, avant de prendre un navire pour Shou-Lung. Depuis le continent elle se proposa d’accompagné une caravane qui devait prendre la voie dorée en direction de terres inconnues. Le chef d’expédition accéda a sa requête immédiatement tellement il était difficile de trouver des soldats pour s’occuper de la protection des convois sur une si longue distance.

Le voyage ne fut pas monotone, entrecoupé de léger incident avec les tuigans nomades, d’escarmouches avec des brigands Aglarondiens. Elle fut même défiée lors d’une escale a Arabel une citée du Cormyr par un jeune bretteur en devenir. Mais finalement le long voyage arrivait à sa destination finale après plusieurs mois dans une communauté de moines Shou dans les mont Nethere. A partir de la Mishima quitta la caravane et rejoignit la ville d’Eauprofonde dont on disait qu’elle était une des plus belles place de tout le nord de féerune. Elle y débarqua avec en tète l’objectif de compléter son apprentissage et son savoir, tant martiale que culturel. Mais aussi pour se mesurer aux combattants les plus aguerris du nord.

Ses premiers pas dans ce qui était la splendeur du nord ne la laissèrent pas indifférente. Elle la fière guerrière Kara-Turienne, ressenti plus que jamais la fraicheur et l’esprit conquérant des habitants de féerune. Elle n’avait pas eu le temps véritablement de se rendre compte a qu’elle point les terres qu’elle avait franchit étaient cosmopolites, a quel point l’esprit des féerunniens était jeune et aventureux. La plus part du temps, la caravane s’arrêtait dans des lieux retirés, à l’abri des regards indiscrets, et ceux qui la composaient ne se mêlaient que rarement aux populations locales. Mais Eauprofonde lui était ouverte, elle déambulait dans ses rues, et s’étonnait a chaque instant de s’apercevoir qu’ici aucune tradition ne venait fausser les espoirs, que l’avenir de chacun résidait au creux de leur mains. Kozakura était terriblement traditionnaliste de ce point de vue. Souvent l’avenir, la formation, l’éducation étaient fonction du rang sociale, d’un rattachement a une région. Ici, humains d’ethnies variés, nains, elfes vivaient ensembles, leur avenir n’était pas tout tracé, au contraire ils avaient tout a construire. Mishima sentait qu’elle vivait quelque chose d’unique, le sentiment qu’elle était maitre de son destin l’envahit plus qu’elle ne l’aurait jamais imaginée. Une vie sans limite de possible l’attendait, elle s’en persuadait déjà, et dans son esprit, le Shonto tirerait enseignement de cette découverte. Son voyage initiatique commençait réellement ici.

Un tout petit peu de mythologie

Le terme Kami peu s’attacher à des objets sacrés, des êtres spirituels, des sources, des chutes d’eaux, des montagnes sacrées, des phénomènes naturels, ou des symboles vénérés. Les kamis sont réputés favoriser les rapports entre les parents et les enfants et les ancêtres et leurs descendants. Ce sont des esprits célestes ayant des pouvoirs, mais n’étant pas tous puissants, et aussi des esprits terrestres dispensant des bénédictions ou des sanctions aux gens sur terre.

Les kozakurans considèrent comme divins aussi bien des forces de la nature que des animaux ou des hommes célèbres. La plus importante divinité est le soleil qui, entre autres vertus, protège contre les invasions. Les kamis inspirent le plus souvent une crainte respectueuse. On trouve parmi eux des montagnes, des animaux comme le tigre, le serpent ou le loup ; et l'empereur lui-même. Tous les kamis ne sont pas nobles. Parmi les millions de kami, certains sont humbles ; cuisine, lieux d'aisance, sont représentés. Kami du peigne, du crachat, des excréments sont répertoriés.

Izanagi et Izanami

Tout commença grâce au couple divin fondateur, Izanagi et Izanami. Issus d'une longue lignée de divinités, ils descendirent de la Voie lactée pour créer les îles de kozakura. Ils eurent de nombreux enfants, tous des kamis : de l'eau, du vent, des arbres, des rivières, des montagnes, etc. Izanami mourut en enfantant le dieu du Feu. Izanagi assassina ce dieu et rejoignit son épouse aux enfers. Izanami, furieuse, le fit chasser : Izanagi ne réussit à survivre qu'en jetant derrière lui différents objets (peignes, pêches, grosse pierre), destinés à entraver la course de ses poursuivants. Le couple, désormais séparé, divisa les rôles : à elle le pouvoir de tuer chaque jour 1 000 êtres humains ; à lui, celui d'en faire naître 1 500. C'est en se purifiant de son séjour aux enfers qu'Izanagi donna la vie à d'autres divinités dont trois principales : de son œil gauche apparut Amaterasu, déesse du Soleil ; de son œil droit, Tsukiyomi, déesse de la Lune ; de son nez, Susanoo, dieu de la Tempête.

Après un longue discution et un nettoyage des anciens post hrp, j'entame un nouveau traitement du Bg modifié:

Peux tu développer un peu plus la partie monastique dans sa philosophie ( peut-être la lier à ce Kami/totem du lion des sables ) et entamer le passage subtile qui dirigera le Ki , non pas dans l'équilibre du corps mais dans celui du kiba ?

Développe également une ou deux techniques pour la partie Mda.

Pour finir, peux tu mieux faire ressentir ce qui pousse un guerrier qui vit à plusieurs centaines de milliers de kilométres de la côte des épées ( à l'autre bout de Toril en fait ) à aller explorer ainsi le Grand Ouest sauvage.
Décide t'elle de tenir une sorte de carnet de voyage mélant découverte culturelle et découvertes martiales ?

La voie du lion.

Le soleil n’était encore que naissant lorsque Mishima ouvrit les yeux, au travers du fin mur de papier qui séparait sa chambre de celle de Morumé filtrait la lueur d’une chandelle. Son jeune acolyte était déjà réveillé. Elle enfila son kimono rapidement et se rendit a la salle commune, avant que ne leur soit servi le repas du levé les moines méditaient une bonne demi heure. Mishima avait prit pour habitude de louer l’esprit du lion chaque matin, elle avait eu la chance un jour de croiser l’un de ses animaux sacrés, et se remémorait cette rencontre.

C’était une après midi, elle était partie sur un des plateaux de la région seule pendant une décade, son maitre le lui avait conseillé, elle avait pour but de survivre par ses propres moyens avec pour seule équipement un arc, dix flèches et un Daïsho.

L’escapade organisée par le maitre avait pour but d’aider Mishima à ressentir l’énergie Ki, qui selon le Shonto était la maitrise du temps. Les maitres ne se laissaient jamais surprendre, ils semblaient toujours avoir quelques secondes d’avances sur les événements. Et cette énergie qui prenait sa source dans l’esprit de l’initié était aussi une force qui parcourrait son corps, comme une vague qui traversait les veines, les poumons, les membres du moine, et qui si elle était maitrisée pouvait devenir une onde de choc pouvant meurtrir la matière.
La voie du lion amenait à la maitrise du ki en développant l’instinct, la partie animale qui réside en chacun. L’entrainement de Mishima tendait tout entier vers cet unique but, que ce soit dans l’art du combat a mains nue, le développement des reflexes ou encore la méditation transcendantale. Les maitres semblaient penser qu’elle était sur la bonne voie depuis plusieurs mois elle avait considérablement progressé dans le combat, elle avait gagné en vitesse et en précision, mais surtout elle avait rapporté d’étranges phénomène a ses dire de ses méditations. Mishima avait narré au père de l’ordre comment elle avait entraperçu les yeux clos au milieu de sa séance de méditation une image plus ou moins précise de sa chambre, comment elle avait ressenti le vacillement de la chandelle prise dans un courant d’aire, et le résonnement des pas dans la matière vivante des planches du monastère. Elle avait aussi raconté comment elle avait été extirpée de son état semi conscient à l’approche calfeutré d’un de ses congénères, la sensation de percevoir avec un temps d’avance son entrée impromptue dans sa chambrée.


Le septième jour de son escapade sur les plateaux, en surplomb au dessus du village et alors qu’elle méditait sur une grosse pierre plate écrasée par un soleil brulant elle fut tirée de son introspection par le ronronnement grave d’un félin. C’était une vielle femelle, le poil roussi, la peau tannée par les années et l’éclat d’Amaterasu. Le félin se maintenait a quelques pas d’elle, majestueuse malgré l’âge, ses muscles saillants sous le pelage défraichit. La lionne était maigre, elle fit quelques pas en direction de la jeune moine, elle boitait, et s’allongeât comme extenuée.

Mishima avait un doute quand a la façon de réagir, devait elle partager le maigre lapin qu’elle avait attrapé plus tôt dans la journée avec l’animal ? Devait-elle craindre pour sa vie ? Son regard plongeât dans celui du félin. Une sensation étrange l’envahit, alors qu’elle se questionnait encore sur l’attitude à adopter, son corps lui se détendit, ses muscles se relâchèrent. Sans vraiment comprendre se qui la poussait à agir de la sorte, elle ferma les yeux et se remit à méditer. Son esprit s’échappa et elle se vit lionne, guettant depuis le fourré une jeune et vive proie, elle s’entait l’herbe se plier sous ses pates, le vent s’engouffrer dans ses narines, ses muscles se tendre. Elle s’était vue bondir sur sa proie, et assener un puissant coup de patte. Elle avait sentit le gout du sang lorsqu’elle plongeait ses crocs dans la chaire palpitante du gibier. Elle ouvrit les yeux.

La lionne était allongé, la tète posée sur ses pattes, elle fixait Mishima. Elles restèrent toutes les deux a ses fixer jusqu'à ce que le soleil atteigne les pics rougis par sa lueur. Puis la lionne se leva, et partit. Mishima resta assise jusqu'à ce que Tsukiyomi apparaisse dans le ciel, elle venait pour la première fois de découvrir le ki, cette force surnaturel dont parlaient ses maitres. Pour la première fois elle était devenue lionne et était rentré en relation avec l’esprit du kami. Elle sut aussi à cet instant qu’il lui faudrait encore beaucoup de patience pour reproduire cet instant, qui avait fait frissonner ses sens.

Le repas fut ensuite servit et consommé dans le plus grand silence. Mishima rejoignit Morumé avec qui elle devait combattre dans un duel d’entrainement sous l’œil impassible du maitre d’arme. Les adversaires portaient le même équipement : une amure légère, un katana en bois et une griffe de combat du même bois. Les deux armes fictives étaient incrustées d’anneaux en acier pour que leur poids soit comparable à l’armement classique.

Morumé était un colosse, il mesurait au moins deux tètes de plus que Mishima a ses biceps étaient de la taille des cuisses de la jeune femme. Mishima ressassait dans son esprit les techniques que lui avait enseigné le maitre instructeur lorsque celui-ci cria le début du combat. Morumé se jeta sur la frêle guerrière, le katana fendait l’aire de la droite vers la gauche a niveau d’épaule le bois résonna lorsque Mishima tenta de paré avec le dos des lames de la griffes, le sabre percuta l’épaule se qui lui arracha un cri de douleur et de surprise. Son adversaire était trop puissant pour pouvoir parer efficacement ses attaques. Pour se tirer honorablement du pétrin dans lequel elle était il lui fallait user des enseignements du combat Shonto.

Mishima fit deux pas en arrière, elle prit une profonde inspiration et s’élançât contre son adversaire, elle devait user de son talent naturel à l’acrobatie et a la feinte pour espérer a la fois toucher et éviter Morumé. Au moment de l’attaque tout son corps se déportait sur sa droite, la griffe de Morumé se mis en position pour parer le coup, mais au dernier moment alors qu’elle lançait son katana a la rencontre de la griffe, elle se laissa glisser sur le sol, et emporté par son élan elle passait sous la garde du combattant, sa propre griffe frappa la cuisse, juste au dessus du genou. En combat réel, Morumé aurait été sérieusement handicapé, mais les armes étaient de bois, et le combattant n’avait pas souffert, si ce n’est dans son ego.

Mishima reprit rapidement son élan, profitant que le moine se retourne pour tenter une deuxième attaque, elle sauta vers son ennemi, griffe et katana entrecroisés. La manœuvre visait a désorienté l’adversaire en ne lui indiquant pas qu’elle arme allait frapper. Mais se fut un échec, Morumé eut le temps de s’écarter et la lame ne fendit que l’aire.

Les deux combattants se fixaient, Morumé changea sa garde. Les deux jambes écartées, face a la jeune femme, le sabre au dessus de la tète. Le katana fendit l’aire de haut en bas, et rencontra la griffe de combat, Mishima avait laissé l’attaque se déroulé, maintenant la lame du sabre était prise entre les griffes. Dans le même mouvement la guerrière s’était accroupie pour passer sous le coup et toucher au ventre Morumé.

Le moine instructeur frappa dans ses mains. L’entrainement était terminé, les adversaires se saluèrent en s’inclinant l’un devant l’autre.

On ne sent pas assez la recherche de la maîtrise du Ki. Avec 6 lvl de moine on développe un début d'entrainement assez significatif, le corps commence à subir les effets de cette méditation/entrainement.
Tu l'évoques à un moment, mais c'est très succint.
Concernant le voyage, je voulsias signifier par là que ce n'était pas qu'un simple voyage d'Ouest en Est. Parcourir une telle distance avait quelque chose d'initiatique: tu traverses le monde, cela porte une symbolique très forte. Il manque sa vision personnelle.
Le fait que tu ais crée le perso n'est pas un probléme.

Voila, en vert les ajouts apporté concernant le voyage (premier texte), et la vision monacale (deuxième texte), je rajouterais plus tard ou demain la suite du second texte avec les techniques martiale du Shonto, a toi !

Dac pour les deux textes, j'attends le troisiéme pour te passer en évolutif Mda, tu peux prendre tes lvl de moine.

Petit ajout en vert à nouveau dans le second texte, si cela ne suffit pas je peux toujours essayer de développer différemment. Par soucis de lisibilité, j’ai enlevé les couleurs aux précédents rajouts.

développe plutôt une technique particulière, la sensation du ki qui "sacralise" ton arme, le lien fusionnel, etc.. Il faut sentir une dimension plus spirituelle, plus mystique.

Mishima a prit la route du sud dans l’indifférence général, la combattante de Kara-Tur s’en est allé vers de nouveaux horizons.

[Abandon pure est simple du Rp avec l’asiate, au moins j’en aurais appris beaucoup sur les méthodes d’argumentation, et la lourde charge du post de scribe]

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