Dans la foret
La lune est belle ce soir, la dame nous sourit.
A mes cotée j’aperçois les formes sombres de mes sœurs, l’éclat de l’argent trouble parfois la pénombre de la nuit.
Mon cœur vibre encore des chants en l’honneur de la dame d’ébène et mes pieds fourmillent encore des danses autours du feu, c’est l’heure sombre l’heure de la chasse.
Au loin le son d’un cor me sort de mes rêveries le gibier n’est pas loin le signal et donné et ces dans le silence le plus complet que je m’élance dans les bois les branches effleurant mon corps comme mille caresse.
Mon cœur s’affole, une joie sauvage et un instinct de liberté m’envahit le gibier n’est pas loin.
Nous sommes les chasseuses les filles de l’heure sombre, dans ma course je sent les petits animaux se cacher se blottir dans les petit coin…
Notre cible et différente elle n’est pas loin, je la sent dans tous mon corps.
J’arrive dans une clairière et le choque trouble ma course, la au centre gise mes sœurs le corps tordu par les dernière affres d’une agonie..
Leur visage et marquer de trois griffe les yeux aveugles désormais tourner vers la lune, le visage de notre dame.
Mes yeux se remplissent de larmes, a travers le brouillard de ma détresse je vois une forme sombre achever ça sombre besogne.
Bruit d’un couteau qui tranche la chair…
Plus que le chagrin c’est la haine que je sent ce déverser dans mes veines a ce bruit funeste et ces les main tremblante que je sert la garde de mon épée m’avançant vers le bourreau de mes sœurs mais avant même que j’attaque la voix du sombre individu résonne me glaçant le sang et me paralysant.
« Parfois le chasseur devient proie dans les griffes de la bête .. »
En prononçant ces mots l’assassin se retourne lentement, éclat des yeux jaunes sous la lune qui m’hypnotise.
Des yeux jaunes sauvages ..
« Non »
L’hôpital de luskan, comme chaque jours c’est en sueur que je me réveille l’éclat sanglant de mes yeux se reflète dans un miroir proche de moi prolongeant le cauchemar.
Ombreterre …la marque des griffes de malar et encore visible sur mon visage en court de cicatrisation, le silence de la nuit n’est troubler que par le gémissement des blesser autours de moi.
Deux jours .. Deux jours que ces songes ne me quitte pas, ou me suis-je tromper ?
L’éclat argentée de la lune se reflète doucement par la fenêtre mais ne m’atteints pas, battement froids et sombre ! Mon cœur et comme depuis ce jours ou je me suis réveiller les oreilles tranchées et défigurée.
Pour la première fois je doute et j’ai peur, est ce que je me suis tromper dans mes choix.
Le visage aux yeux rouges me contemple tristement, le visage d’une inconnue d’une drow cruel d’ombreterre.
Bientôt je serais rétablit et il ne me resterait pas de signe sur le corps mais dans mon âme ? Pour traquer des bête faut t’il que je redevienne un des prédateurs que j’ai appris a hair.