- Citation :
Nom du compte joueur forum : pantoreille
Nom du compte joueur module : pantoreille
Nom du perso : Yipzig
Race (exotique): Svirfneblin (gnome des profondeurs)
Age : 33ans
Alignement : neutre mauvais
Religion : Urdlen
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Roublard (5) Assassin(10) Maître des Ombres (10)
Arme de prédilection/domaines/école de magie : épée courte/dague
Trait de Caractère : rusé, méfiant, silencieux, discret, grand instinct de conservation
Description physique : Plutôt petit 1m, muscles nerveux, peau très sombre presque noire, visage tuméfié balafré par des mauvais traitements, agile.
Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 18
CON : 12
INT : 14
SAG : 10
CHA : 8
Les parents de Yipzig sont née dans la très secrète citée svirfnebline deBlingdenstone. Un peu plus ouvert que leur confrères, ils étaient chargés, avec d'autres comparses, de s'approcher des sorties de l'outreterre pour y installer des magasins sommaires. Ils vendaient de somptueuses pierres précieuses extraites et taillés par les habilles artisans gnomes de Blingdenstone. Des marchants de toutes les races de la surface venaient commercer avec eux. Ils troquaient ou rachetaient des biens introuvables en outreterre. Accompagné par des guerriers aguerris, ils craignaient peu les bandits et les créatures. Leur commerce était florissant et la rumeur d'un campement svirfneblin finit à arriver aux oreilles des matrones de Menzoberranzan. Le campement était éloigné de la ville elfe noir et ne constituait aucune menace; mais pour conserver le règne de la peur que les drows faisait peser sur l’outreterre, elles décidèrent de le raser. Les matrones envoyèrent une patrouille de combat composé de jeunes à aguerrir, de leurs maîtres d'armes et d’esclavagistes opportunistes.
Jaro était l’éclaireur du campement gnome; aguerri, il était plutôt efficace pour repérer les dangers. Comme toutes les cinq minutes, il colla sont oreille contre la pierre qui lui était si familière. Il entendit dans le lointain des bruits furtifs. Inquiet, il regarda le camp se demandant s’il fallait donner l’alerte. Les marchants étaient entrains de marchander avec des humains : mieux valait-il ne pas les effrayer et allez voir par lui-même la supposée menace. Se cachant de pierre en stalagmite, il s’avança prudemment vers l’écho. A mesure qu’il s’approchait son inquiétude grandissait. Avant même d’atteindre la patrouille drow, un carreau d’un éclaireur elfe noir lui perça le crâne. Se fût la première et la dernière fois qu’il se fit surprendre.
La compagnie gnome fut attaqué par surprise : les guerriers furent fléchés de carreaux empoisonnés, le père de Yipzig tenta de protéger courageusement sa femme mais un esclavagiste le frappa si violemment au visage que son cou se rompit. Après la brève bataille seul quatre gnomes était en état de supporter le voyage, dont la mère de l’Yipzig. Ont les ramena à Menzoberranzan où ils furent mit en esclavage. Comme de nombreux gnomes, la mère de Yipzig fut affecté à la taille de pierres précieuses.
Quelques jours après son arrivée, elle s’aperçu être enceinte. Elever un enfant dans de telles conditions ne l’enchantait guère mais elle se résigna ; peut-être qu’il s’en sortirais mieux qu’elle. A l’atelier de taille, elle rencontra un curieux vieillard gnome du nom de Furduch. Malgré son âge, il était particulièrement habile pour la taille et arrivait embellir toutes les pierreries qu’on lui confiait. Régulièrement, ses mains se mettaient à trembler pour une raison inconnue et il brisait la pierre qu’il taillait. Les contremaîtres duegars lui faisaient payer cher ses erreurs. Lorsque Furduch s’aperçu que la mère de Yipzig étaient enceinte, il se mit à s’intéressé de plus près à elle. En qualité de prêtre, il lui proposa de l’aider à accoucher. Elle accepta avec joie, heureuse de ne pas supporter se fardeau seule. En effet, les gnomes des profondeurs en esclavage étaient encore plus méfiants et solitaires qu’en temps normal.
Un soir, elle sentie des contractions, elle se renda donc en hâte à la tente de Furduch. Il l’aida à mettre au monde Yipzig en lui administrant des herbes et des champignons médicinaux. L’enfant naquis en parfaite santé quoique un peu rachitique dû aux restrictions alimentaires.
Le lendemain elle retourna au travail comme si rien n’était, le bébé étant caché dans sa tunique. Elle fût soulagée de voir que l’enfant était silencieux, ne pleurant jamais. Lorsqu’il avait 2 ans elle pu le laissé seul dans sa tente. Furduch était très intéressé par l’enfant : il cherchait un apprenti pour reprendre son culte, celui d’Urdlen. Néanmoins, il s’avait que la mère risquait de s’opposer. Il se mit en tête de l’empoisonner : il lui donna des supposés champignons fortifiant. Elle fût foudroyée d’une attaque cardiaque en pleine rue, son cadavre finissant dans la fosse commune.
Furduch récupéra l’enfant et commença son endoctrinement. Il lui inculqua tout ce qu’il savait notamment ses connaissances en herbes et champignons toxiques de l’outreterre. L’enfant était réceptif et intelligent et retenais bien les leçons. Il lui apprit également l’art de la dissimulation. Furduch envoyait régulièrement Yipzig voler des gemmes et des bijoux dans les ateliers et sur les habitants des Menzoberranzan. Avec sa faible taille et son agilité, il était particulièrement efficace pour voler des objets. Il savait instinctivement se cacher dans les ombres de la citée drow. Il grimpait sans difficulté le mur du quartier des esclaves et se faufilait dans la ville à la recherche de biens précieux. Il les remettait en suite à Furduch qui les détruisait avec délectation, ravit de calmer la colère d’Urdlen.
A l’âge 7ans, les esclavagistes le mirent au travail. Il fût affecté au nettoyage d’une arène d’entraînement. Les jeunes drows apprenaient les techniques de furtivité et de reconnaissance ainsi que le maniement d’armes légères. Tout en balayant, Yipzig observait les elfes combattrent et retenait le maximum de techniques de combat. Il fût rarement inquiété par les contremaîtres car il restait particulièrement discret faisant sont travail sans broncher.
Un jour on l’autorisa à quitter la ville pour se rendre à la décharge. Il devait transporter divers déchets ne pouvant être évacués par la rivière. Une fois sa besogne effectuée, il se mit à fouiner dans le tas détritus. Au bout de 10min, il trouva ce qu’il cherchait : une dague orque émoussée et une épée courte rouillé. Il se hâta de rentrer à la cité, le garde ne remarqua pas sont retard. Tous les soirs, dans un petit débarra de l’arène, il reproduisait les mouvements qu’il avait vu la journée.
A 20ans, Furduch le poussait à rentrer officiellement dans le très secret ordre des prêtres d’Urdlen pars une cérémonie. Yipzig ne voulait pas se lier les mains en devant prêtre, il savait que Furduch ne le laisserai pas tranquille et pourrait même l’éventrer dans un rituel à Urdlen. Yipzig devait donc le tuer. Une nuit, il suivit Furduch lors de sa cueillette de champignon. S’approchant discrètement, il dégaina sa dague, vérifia que les environs étaient dégagé et fini par la planter dans la carotide du prêtre. Il ne sentit aucune gène ni plaisir à tuer ce qui le rassura : il n’était pas sous l’influence d’Urdlen.
Il reprit ensuite sa vie comme si rien n’était sachant que personne ne ferait d’enquête sur un esclave gnome sans importance.
Un soir, dans son débarra alors qu’il reproduisait les techniques du jour, un duegars contremaître le surpris. Tétanisé, il ne su pas réagir et lâcha ses armes. Le nain gris sorti sa matraque et commença à le rossé. Pendant 5min il reçu des coups jusqu’à ce qu’il réussisse à attraper sa dague. Il la planta de toutes ses forces dans le mollet du duegar. Surpris par l’attaque, le nain recula tout en essayant d’enlever la dague de sa jambe. Tout en ramassant son épée courte, il sa cacha dans l’ombre. Il tenta de reprendre son souffle mais une force inconnue le poussait à attaquer. Il fonça vers le nain et planta avec difficulté son épée rouillée dans le ventre du nain gris. Sans contrôler ses gestes, il éventra le nain, l’évida et le défigura. Pendant sa frénésie il crût voir une taupe blanche qui l’observait. Il reprit conscience que 15min plus tard dans une pièce maculée de sang. Terrifié par son manque de contrôle, il ramassa ses armes et rentra au quartier des esclaves.
Quelques années plus tard, alors qu’il passait le ballet dans une des allées de l’arène, un nain gris vint le chercher pour l’amener dans une taverne. Ont le jeta dans une petite cage et on lui apprit qu’il allait combattre pour distraire les clients. Un drow lui donna une épée courte et il fut lâché dans l’arène. Concentrer sur la porte de son futur adversaire il essayait de faire abstraction des cris des spectateurs. La porte s’ouvrit et un orque désarmé sortis. Il bavait une écumé blanche ses yeux était rouges, on l’avait probablement drogué pour intensifier le carnage. Yipzig ne se démonta pas et se mit à tournoyer autour de son ennemi. L’orque drogué était gauche et peu rapide, par contre ses attaques étaient particulièrement. Si l’orque le touchait, il s’avait qu’il resterait. Il attaquait sans cesse, faisant de rapides passes. Ravit du fil de son épée, il entailla la peau de l’orque visant à chaque fois un tendon ou une veine importante. Par un telle traitement l’orque se fatigua vite et Yipzig pu enfin porter une attaque fatale en lui tranchant la gorge. Le publique l’acclamer pendant que la tête basse il retournait à son triste sort.
Un drow qui avait assisté à la scène descendit du publique et alla voir le responsable des combattants. Il lui remit une bourse tout en désignant la cage du gnome. Le geôlier alla chercher Yipzig et le remit à son nouveau maître. Le gnome suivi l’elfe noire la tête basse, un petit sourire sur ses lèvres tuméfiées : peut-être que sa vie allait enfin changer…