Nom du compte joueur: Orkuz [volvic]
Nom du perso: Asphodèle
Race: Elfe sauvage
Age: 250 ans
Alignement: CM
Religion: la seldarine mais plus particulièrement Erevan Ileserë et Fenmarel Mestarine
classe(s): roublard 10 / assassin 15
Arme de prédilection/domaines/école de magie: arc court
Trait de Caractère: détachée, presque indolente, incivive parfois, joueuse invétérée
Description physique: Elfe sylvaine, la teinte verdâtre de sa peau trouble souvent ses interlocuteurs, elle cache la plus possible.
Ses yeux possedent la même teinte jade.
Caractéristiques
FOR: 08
DEX: 22
CON: 10
INT: 20
SAG: 08
CHA: 08
Langues parlées
0-Elfe
0-Commun
1-Orc [Kubiac]
2-Sylvestre
3-Langage secret roub'
4-Drow [saluzar-Rad']
5-Draconique [Ordo arcanum+Saluzar]
[les carnets de l'ombre]
La mélancolie finit toujours pas toucher notre race, tôt ou tard. Je vis grand nombre des miens partirent lorsque le poids des ans avaient fini par user leurs dernières volontées.
chaque départ me faisait craindre cette cet ultime sensation, cette vacuitée morbide qui finira un jour par s'emparer de moi.
La première distance
Je naquis dans les sombres terres de de la Haute Forêt. Nous protégions et vivions dans ces l'immense chevelure de notre terre mère. Qu'il était doux le temps de l'enfance, un âge d'or qui n'appartient désormais plus qu'aux souvenirs.
La vie passait avec lenteur.
Il nous arrivait parfois de chasser les présences étangères en les effrayant. Les humains sont si aisément impressionables que nous je prenais cet acte comme un jeu, au point que parfois même leur mort n'avait finalement que peu de sens. Que leur vie s'écourte de quelques dizaines d'années n'avait en soit que peu d'importance.
Notre paix valait bien ce prix là.
Un jour Un goupe d'orc et un convoi humain s'affrontèrent à quelques lieues de notre lisière. Le feu avait embrasé quelques chariots. je parvins sur les lieux pour endiguer l'incendie, lorsque, parmis le crépitement des flammes, les corps calcinés des orcs et des humains, les pleurs d'une créature attirérent mon attention.
Un bébé Orc...
L'aversion que nous avions pour ces créatures était certaine et presque par par réflexe nous les tuions. Mais cette fois, ci... la vue de cette créature verdâtre aux oreilles pointues me troubla.
Je restais immobile un long moment, l'arc tendu, le temps en suspend.
Déjà mes compagnons s'apprétaient à repartir, me demandant quel était la raison de mon trouble.
Pris d'une réaction que je ne me reconnaissais pas, j'enroulais l'enfant dans un tissu et repartis en forêt.
Je ne l'emportais pas à la cité, je en savais pas ce qui m'avait prise de sortir cette créature de la mort qui aurait du être la sienne.
Je l'abandonnais donc dans le creux d'un arbre et parti.
Sur le chemins des remords me serrèrent le coeur... puis je me forçais à ne plus y repenser, me forçant à penser que cette créature valait de mourir.
Le lendemain, je revenais, curieuse à l'endrois où j'avais laissé l'enfant. Il dormais. Je déposais à coté de lui un pain elfique et un peu d'eau, puis je repartis.
Je revins chaque jour, curieuse de voir le petit être survivre. Je m'en était presque fait un jeu.
Puis l'enfant disparut un jour que je revenais voir s'il survivait. Je vis au sol des traces de pas humains qui se dirigeaient rapidement vers un village proche.
Le temps passait. Et toujours cette douce lenteur, j'apprenais à tirer à l'arc, à pister... toutes les activitées qui me permettaient de m'éloigner un peu de la communauté.
Quelle était cette envie d'éloignement ? J'avais l'impression étrange que cette lenteur, que cette mélancolie ne tenait qu'à ce rassemblement d'éternité.
Je trainais ma solitude dans les bois.
Poussée par la curiosité, je m'approchais d'un des villages humains voisins.
Longtemps j'observais les moeurs humaines. Je m'étonnais de la mixité qui composait ces villes, des humains, des demi orcs, des petites gens... et mêmes des elfes.
Comment notre race pouvait t'elle vivre loin des siens ?
J'interrogeais mes propres sentiments, je les mettais en regard à cette étrange pulsion qui me poussait à m'éloigner de la communauté.
Cette incoercible envie d'échapper à l'ennui, à la disparition, à l'appel du départ.
Les premiers jeux
Erevan Ileserë semblait répondre à ma détresse, à ma crainte de l'ennui, m'expimant le besoin de jouer, d'user de la peur naturelle que nourrisent les humains.
A la lisière de la forêt, je regardais le village qui avait receuilli, il y a quelques années, l'orc et je me mis dans l'idée d'aller leur jouer quelques tours.
J'avais appris a être discrête parmis les bois, à jouer de l'ombre des feuillages pour me dissimuler, je voyais dans cette ville un nouveau terrain de jeu, un nouvel apprentissage.
La nuit était propice à mes déplacements, je m'aperçu bien vite que la créture que j'avais sauvé il y a quelques années déjà était un hybride, un demi-orc stupide que les villageois avaient cru bon de Nommer Koubiac.
Chaque soir, je nourrissais leur superstitions, revêtissant les apparences les plus diverses, usant de la magie naturelle elfique. La force du demi orc était impressionnante, elle était à la mesure de sa bêtise.
En jouant des supersitions des uns et des autres, je parvint à faire bannir le semi orc du village.
Il me fallais isoler cette piece là du jeu pour rn prendre la pleine mesure.
Le semi orc déambulait seul dans la forêt, à peine conscient de ce qu'illui était arrivé.
J'apparus à lui comme une être salvateur, me présentant comme l'ultime rempart à ce second abandon.
Son esprit était faible, il n'avait encore jamais vu d'elfe, à peine conscient de son engeance.
Je lui ordonnais quantité de chose pour mesurer mon ascendance sur son esprit.
Je m'avouais à peine la satisfaction d'agir ainsi sur un destin.
Il m'appris son nom et je lui appris le mien : Salombo.
Le départ
Il ne devenait plus possible de rester dans ma communauté, j'avais pris la mesure du changement de ces dernières années.
Il n'y avait plus ici un monde qui me correspondais.
Je partis un soir pour une destination inconnue. Je désirais rejoindre les villes des humains pour étendre là le terrain de mes jeux.
Quel étrange couple nous faisions. La seule couleur de notre peau et la pointe de nos oreilles pouvaient nous donner un air de ressemblance.
Je m'amusais de cela.
Nous voyageâmes longtemps, vers l'ouest, vers la côte des Epées, jusqu'à atteindre la ville de Luskan.
Vaporine
Je passais les premières journées à Luskan à observer les êtres qui la peuplait : Elfes, petites gens, semi orc, demi dragons, demidémons, et humains. Tant de mixité ne pouvait que titiller ma curiosité et mon plaisir du jeu.
C'est alors que je rencontrai un femme humaine qui beuglait à la populace, cherchant à vendre armes, armures et toute une quincaillerie clinquante jetée là sur les pavés de la place.
Je m'interessais au manège de la femme.
Lorsqu'elle remballa finalement tout son étal, je la suivais discrêtement dans les rues de la ville.
Je voulu alors lui jouer un tour lorsqu'elle s'arréta, lui subtilisant un de ses casques grotesque et passer ainsi devant elle, mine de rien.
Elle m'interpella bien vite, me demandant qui d'autre possedait un tel objet. Je lui fis un description très vague et lui proposais de m'acheter ce casque.
Elle l'examina alors pour immédiatement s'apercevoir qu'il s'agissait du sien. Je vis son visage changer, s'assombrir, puis finalement l'ombre passa sur son visage.
Elle me proposa de mettre à profit les talents qui semblaient être les miens.
C'est ainsi que je rejoignais quelques mois après la Main d'or.
La légion écarlate
Il m'arrivait assez souvent de déambuler dans les rues de Luskan et plus principalement sur sa grand' place.
Un guerrier au large torse et un prêtre discutaient du projet ambitieux de créer un groupe de personnes aux talents multiples qui effecturaient diverses missions contre de l'or.
Le projet semblait naissance, et je me joignis à la discution avec Koubiac
Nous discutâmes longtemps et nous fûmes trés vite intégré au projet.
Ces deux hommes étaient Kragnarr Dansesprit et frère Tuck.
Quelques mois après la légion Ecarlate naissait.
Saluzar
J'avais rencontré ce mage emmitoufflé sur la place de Luskan alors qu'un bédat métaphysique sur l'essence de la magie animait quelques arcanistes.
C'est une période de ma vie où je m'amusais à usurper des identités et celle que j'avais prise pour objet de jeu était la magicienne. Mes connaissances de la magie n'étaient que théoriques, mais les lois de la ville me permettaient de ne pas avoir à prouver ma nature.
C'est ainsi que je rentrais dans la discution, ne laissant plus à aucun le doute de mon appartenance au monde elististe des arcanistes.
Saluzar fut séduit par mon esprit, et nous nous revîmes.
Il nourrissait le projet de monter un guilde de magie. Je comptais bien l'aider dans cette tâche et bénéficier ainsi d'une place privilégier.
Parallellement Mon influence au près de la guilde de l'ombre prenait de l'ampleur.
Les choses se sont ensuite enchaînées rapidement, jusqu'à ma mort, jusqu'à le son filement argenté qui me retenait à la vie que je tenais dans mes mains, comme le fil de l'épée qui m'avait traversé le corps. je m'étais sentie couler dans un lac sombre et glacé. Le jeu ne pouvait pas s'achever ainsi. il me restait encore un carte à jouer.
Le valet de pique récupérant de la défausse la dame de pique pour la remettre en jeu.
La partie n'était donc pas terminée, une nouvelle done me redonnais la vie. La salombo périt pour laisser le phénix de mes sombres désir, devenir la nouvelle Salem.
**fin**
Accueil 
Portail 
Rechercher 
Dernières images 
S'enregistrer 
Connexion 
