[Parti][Validé][][] Elisandre

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Ah vi je precise, le chevalier noir est un objectif, donc des qu'elle aura trouver un/une guide pour cela, je consoliderais ce BG

5 mot à dire:

[Parti][Validé][][] Elisandre GS_3ad017279e7c6ee18fa4fe449766078f

Validé (en attente pour DK)

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Un bel après midi à Luskan, une femme au grelot tintant au vent, se reposait sur un banc, le visage couvert d'un chapeau tout en fredonnant un air de sa composition. Elle fut réveillée par un tintement de métal touchant le sol. Elle releva son chapeau et vit nombre de pièces d’armure sur les pavés. Elle se releva, intriguée par cette drôle de disposition, et s’en alla observer les morceau laisser au sol. Elle fut prise entre le désir de les prendre et de signaler au garde ce genre de déchet sur la voie.Un groupe de deux aventuriers prirent soin de les prendre et sûrement les vendre à la forge au vu du renseignement qu’ils demandèrent a cette femme de pourpre vêtue.
Revenant vers son banc de repos, une odeur de tissu et de cuir brûlé venant de derrière elle se fit ressentir. Elle se retourna a cette odeur inhabituelle, un homme correspondant à la description d’Alexandre Lamejuste était devant elle. Il était intégralement nu avec une torche à la main. L’odeur ne venant pas de lui, elle comprit aussitôt au regard stupide de l’homme que l’odeur de brûler venait d’elle. L’homme ayant perdu la raison cria sans cesse « Gloire à moi même ! Gloire ! » La femme prit de panique se tapota sur les vêtement et se roula au sol afin de tenter d’étouffer les flammes. Pendant ce temps, un homme tenta de maîtriser le fou, cet homme correspondait à la description de Naga’zull. Cet homme riposta de ses poings nus. Il se calma et Naga’zull s’en partit envers l’humaine paniquée par les flammes un grelot tintant, heureusement pour elle que l’herbe était humide. Alexandre Lamejuste repris de sa crise de folie, sortie une dague qui devait être au sol et se dirigea vers l’humaine inconsciente de ce qui allait se préparer. Naga’zull réussit juste a temps a assommer le dément mais sa lame eu le temps de le lui entailler la joue.
Naga’zull emmena le corps au temple de Tempus, ou il sera sûrement enfermé le temps de recevoir les soins mentaux nécessaire.
Les gardes tentèrent de lui proposer soin et de faire déposition. Celle-ci a la stupéfaction des gardes refusa et demanda simplement que cet homme sorte au plus vite et qui le lui soit confié, elle saurait s’arranger a sa manière, la garde refusa. L’humaine entonna un petit chant qui eu pour effet de la soigner quelque peu et d’apaiser les brûlures lui lacérant le dos. Elle posa un doigt sur la balafre de la joue et en lécha le sang d’une langue gourmande. Un murmure sortit de sa bouche : « Ca mon mignon tu me le paieras d’une façon ou d’une autre ». Elle repartit contant a quelque passant son aventure avant de finalement partir à la recherche d’une nouvelle tenue et de se soigner.

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Une jeune femme, aux apparences des plus anodines, armée de son panier contenant un gâteau fumant, des champignons et une carafe de vin, s’adressa à la garde de Luskan du palais de justice. Elle demanda aux gardes en faction, sur un ton des plus implorant. Peut-être aurait elle assez de talent pour émouvoir les gardes et obtenir les informations qu’elle désire.

-Bonjour à vous gardiens de la citadelle et protecteurs des citoyens, pourriez vous aider une pauvre femme, à la recherche de sa petite sœur ?

Les gardes, impassibles comme à leurs habitudes, jaugèrent Elisandre. Femme au sourire agréable elle avait des yeux verts magnifiques teintés d’une certaine tristesse. Ils ressortaient telle deux émeraudes sur un lit de soie blanche, son visage avait un teint très pâle. Sa chevelure d’obsidienne, couvrait partiellement une balafre courant du milieu de l’arcade sourcilière et finissant sur la joue. Sa musculature assez conséquente, mais ne trahissant nullement les formes féminines de sa silhouette, révélait qu’elle avait du être guerrière ou quelque chose comme cela. Sa vie ne devait pas avoir été de tout repos. Enfin s’ils avaient connaissance de son passé, l’innocence parfois cache bien des choses qui se devraient de rester caché.
Les gardes se regardèrent et puis revinrent vers cette jeune femme.

- Je vous reconnais, vous devez être la serveuse et danseuse de Garfaux, votre petite sœur à disparu ?

Elisandre fit mine de la tête que oui.

- Ma petite sœur fut menée à la prison de Luskan.
- Une criminelle ? rétorqua le garde
- Je l’ignore Messire, j’ignore la raison, de l’arrestation de ma sœur que j’aime.
- Vous pourriez m’en donner une description ?
Elle acquiesça lentement, et décrivit la silhouette de Kathya.
- Ma petite sœur à la taille d’un elfe, elle a de magnifiques yeux vert, et une merveilleuse chevelure rousse. Elle est si mignonne avec ses taches de rousseur sur son visage, que l’on ne peut pas l’oublier. Parfois elle prend une forme de panthère et me protége lors de mes récoltes en foret, et nous jouons ensemble durant des heures. S’il vous plait ne dites pas a Garfaux que je fais cela lorsqu’il m’envoie chercher de la nourriture.

Le garde de gauche esquissa un sourire et demanda.

- Dame votre petite sœur est rousse et vous êtes brune ?
- Oui Monsieur, j’ai hérité des cheveux de notre père ainsi que de ses yeux et Kathya ma petite sœur adorée des cheveux de notre mère.

Le Garde de droite réfléchit un instant et effaça le sourire de son visage.

- Dame, je crains de vous dire que votre sœur ne soit plus des notre. Elle s’est donnée la mort dans les geôles, il y a un mois de cela.

Elisandre devint très blanche à cette nouvelle, cela se serait bien sur vu si son visage n’était pas si blême.

- Elle. Elle n’a pas supporté son arrestation, elle devait être innocente, elle s’est donné la mort par votre faute, dit elle très froide. Elle a du oublier sa forme de panthère et est entrée en ville comme ça, ou bien elle s’en est prie a des chasseurs qui lui voulait du mal. Peut-être ce paladin, ou sa compagne aux ailes vertes ? Peut-être cette rôdeuse au loup ? Je suis sure qu’elle n’a rien voulu faire de mal !

Ses yeux s’embuèrent de larmes alors qu’elle se frotta les yeux de l’envers de sa main enduit d’oignon. Elle avait prévue pas mal de chose pour être la plus crédible.

- Dame, nous n’y sommes pour rien, la tristesse fait parler votre cœur. La religion et les actes sont sûrement encore la raison de cette mort. C’est aussi simple que cela.
- Tristesse ou pas tristesse, elle n’est plus et tout ce qui concerne la religion est loin d’être simple. Puis je récupérer pour son corps pour lui offrir des funérailles et les derniers honneur tel un soldat l’offre à ses compagnons ?

Le garde parti voir dans ses registres du palais de justice puis revient au bout de quelques minutes

- Dame son corps repose dans un linceul dans les caves froides du palais en dessous des geôles, sa crémation aura lieu ce soir.
- Puis je récupérer son corps, garde, offrir moi-même a son inhumation ?
- Dame il me faudra les accords du capitaine et du maître des lois et je crains que cette requête n’aboutisse pas avant le début de la cérémonie.
- Messire garde s’il vous plait, j’aimerais revoir ma sœur une dernière fois.
- Je puis vous l’accorder.
- Puis je assister a la crémation et recueillir ses cendres.
- Je pense qu’il n’y aura pas de soucis et d’entrave a cela. Venez voir votre sœur dame.

Elle déposa son panier à l’entrée du palais de justice. Les gardes lui firent poser tout ce qui pouvait être magique, mais elle n’avait rien. On lui demanda de déposer toute armes, elle déposa sa dague lui permettant de se défendre en foret et de couper quelques plantes. Dans sa robe de petite classe, elle ne paraissait nullement dangereuse.
Elle avançait à pas lent dans ce sinistre couloir descendant vers cette chambre de repos mortel. Deux gardes l’accompagnaient. Ils arrivèrent à une lourde porte de bois ferrée, ou une bénédiction laïque était gravée sur le linteaux de pierre : « Souviens toi que tu dois mourir, nul n’échappe a ce destin et nous seront tous égaux face a elle ».
Le corps de Kathya reposait sur un empilement de fagots. Une cheminée de pierre se trouvait au dessus du corps sans vie. Le souffle d’un courant d’air glacial s’engouffrait dedans, la faisant siffler tristement. Elisandre approchait lentement vers ce corps qui ne semblait pas avoir subit les effets de la mort, un prêtre avait veillé a ce que ce corps lors de sa crémation soit dans l’état originel. Elle eut un haut le cœur en arrivant sur le marbre noirci par les crémation passé et l’ou reposait ce corps sans vie. Une odeur d’huile sortait des fagots, tout étais près pour la crémation. Elisandre passa sa main sur l’une des joues Kathya, repensant à la panthère à la robe noire si soyeuse. Elle ne pu contenir ses larmes ce qui la troubla au plus haut point, ceci n’était nullement du au jus d’oignon. Elle resta immobile à l’observer durant de longues minutes, repensant à tout leur jeux et au moment de leur rencontre.
Elle passa une dernière fois sa main dans ses cheveux, puis elle se tourna vers les gardes.

- Puis-je prendre avec moi l’une de ses mèches de cheveu en souvenir ?

Le garde acquiesça silencieusement et s’approcha à son tour avec le plus grand respect du corps inanimé. Il sortie une épée courte et trancha une mèche de ses cheveux roux. Il fit signe à Elisandre de venir la chercher. Elle approcha lentement et prit la mèche de cheveu la serrant près de son cœur.
L’heure de la crémation était venue, un sergent de la garde vint une torche à la main. Elisandre regardait le corps comme hypnotisée. Deux garde relevèrent un drap et recouvrir le corps de rouge vêtu, la bordant telle une enfant. Pour cette enfant la nuit serait sans fin. Alors que les flammes courraient sur l’huile des fagots, les gardes invitèrent Elisandre à sortir. Elle refusait de quitter la pièce, elle n’était plus vraiment présente. Pensant comprendre sa douleur ou bien peut-être le dégoût de voir quelqu’un brûler, les gardes la laissèrent dans la pièce et refermèrent la porte. Elisandre regardait les flammes danser doucement sur le corps de son amie Kathya, une fumée à l’odeur si caractéristique des chairs brûlées s’échappait vers la cheminée. Pour la première fois en plus de dix ans Elisandre reconnut cette sensation si douce et si insidieuse qu’était celle de la peur. La fumée chargeait peu a peu l’atmosphère de la pièce. La cendre très fine collait aux larmes d’Elisandre, colorant ainsi son visage, tel une rivière courrant sur les joues de couleurs de neige. Elle ne pu s’empêcher de respirer cette fumée qui la fit tousser alors qu’elle tressait la mèche de cheveux roux à l’une de ses mèches.

Apres quelques heures les flammes s’étaient éteintes et une grande partie de la fumée avait été évacuée vers le dehors. Elisandre affaiblie regardait le tas de cendre qu’était sa protectrice des milieux sauvages avec laquelle elle avait partagé les plus belles offrandes. Les gardes revinrent peu a peu vers Elisandre. Ils eurent une grimace de dégoût en respirant les premières fumées rémanentes, puis ils durent s’y faire, car cela était proche de l’odeur des bûchés au temps des guerres. L’un tenait une urne, l’autre tenait un assemblage de deux morceaux de bois serrant plusieurs brins de paille rangée. La cendre fut rassemblée et mise dans l’urne. Elisandre fut menée au vestiaire des gardes, on lui présenta des vêtements propres et on lui la laissa seule le temps qu’elle s’habille. Une dizaine de minute après, elle ressortie et on lui redonna l’urne. Elle ressortie en direction du nord et pris la direction de la forêt, sa destination était une cacade.

Elle releva la capuche de sa cape pour franchir la cascade. Derrière ce voile d’eau, elle alluma sa lanterne à la lumière dansante et orangée. Elisandre avança dans la grotte qui au premier abord se trouvait vide. Elle continua à s’engouffrer à l’intérieur, et elle passa derrière un pilier, qui par illusion d’optique se détachait à peine du mur. Une armure montée sur mannequin l’attendait dans l’ombre. Elle déposa l’urne au pied de celle-ci. Elle saisit une dague cérémonielle, ouvrit l’urne et s’entailla un doigt. Le sang perla et une goutte se mit à tomber dans l’urne, levant un petit nuage de cendre.

Elle reprit la direction de Luskan après avoir laisser l’urne en place. Elle devait se justifier a Garfaux d’une si longue absence. Ensuite elle devrait trouver un expert en métaux, peut-être un forgeron ou un nain, et enfin trouver un magicien ou sorcier, peut-être a cet Ordre. Mais avant tout, une rumeur sur la lune noire cour, peut-être est ce un signe.

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Une jeune femme errant dans les bois enneigée avoisinant Hundelstone, surveillait était surveillée par les patrouilles dans les forets. Cette jeune femme tout simplement vêtue laissait penser à une femme du peuple. Cela devait être sûrement ça au regard des conversations et de ce qu'elle faisait.

La patrouille de six soldat demanda un contrôle d'identité, les raisons de sa présence et surtout voir le contenu de son panier. Lors des guerres, rien ne pouvait être laissé au hasard. Dans son panier se trouvait un gâteau de seigle et quelques branches de houx et autre plante d'hiver. Une dague se trouvait dans ses affaires, elle devait sûrement servir a couper les plantes et arme de défense. On ne sait jamais en foret.
L'un des soldats de la citadelle se souvint de son visage, il l'avait déjà rencontré à proximité de la Citadelle et l’avait aussi vu à Padhiver lors d’une permission, elle accompagnait une petite fille à la Matriarche Valérie. Devant la citadelle il lui avait ordonné de se découvrir et de s’identifier, bien que la jeune femme avait des bonne raison de ce couvrir, il lui ordonna de se montrer. Il se souvint de son nom : Elisandre, la douce serveuse a la peau si pâle et sensible a la lumière, ne serait ce que la lumière de la Lune. Elisandre lui sourit gentiment et se soumit sans aucune entrave. La patrouille lui demanda de faire attention car la guerre pouvait être proche et qu'il ne pourrait garantir sa sécurité, il lui était vivement recommandé de rentrer dans l'enceinte fortifiée de la ville. Elle leurs dit qu'elle rentrerait avec la prochaine caravane vers Luskan dans la soirée qui partirait du hameau longeant la foret plus au Sud, mais qu'avant elle devait finir sa cueillette avant que le champ de bataille ne détruise tout. Elle entreprit son chant dans la cueillette et se concentra sur le garde qui se souvenait d’elle. La nuit tombait peu a peu et la garde reprit sa ronde avant que celui-ci ne soit, la voix de cette damoiselle du peuple était si doux.

Dans le coeur de la nuit noire une silhouette continuait d'avancée, elle était vêtue de brume et accompagnée d'une lanterne tempête, le bruit d'un grelot se fit entendre dans le coeur de ce bois. Une voix chantante se fit entendre, envoûtant peu a peu l'un des garde se trouvant près de la grande porte des remparts, ce militaire n'avait pas été choisi au hasard. Elle avait déjà eu a faire a lui pour une histoire de capuche en ville, et ceci avait été très loin. Elle avait aussi passé du temps à l’observer lui et sa vie, il tenait énormément à sa famille. La Silhouette le fixa et entama une douce mélodie de domination. Ce garde demanda la permission à l'officier de quart d'aller voir ce qui se passait suite a ce chant qui était si doux à son oreille. Le froid était brûlant, celui ci donna son autorisation, mais que courir après une elfe chantante, une dryade ou encore qui sait une nymphe. Cela serait un gâchis de temps et de ressources. Ce garde semblait quelque peu convaincu et persuader au point de commettre un refus d'insubordination. Il était persuadé que c'était sa soeur qui voulait lui souhaiter la bonne chance pour sa garde et lui donner le bonjour de sa famille. Il semblait implorant mais son regard sonnait comme vide. L'officier le constata, mais pensa que s’était un effet du froid. Il donna sa permission par compassion et de lassitude devant tant d’obstination. La domination avait particulièrement bien marché.

Le garde avança dans la forêt sous le regard de l’officier et quelques gardes, il garderait un œil sur lui de toute façon, l’alliance n’abandonne jamais personne. La nuit tombait et le hululement sinistre d’une chouette se fit entendre et détourna l’attention ne serait ce qu’un instant l’attention des gardes. Ils maudirent cet oiseau et revinrent sur la torche qui signalait leur camarade d’arme. Elle était fixe, il devait sûrement avoir attend son objectif. Les gardes plaisantaient, pensant que ce devait être une courtisane, ou jugeant de la beauté de sa sœur, espérant être présentés. Le temps passait et la chandelle ne bougeait toujours pas, l’officier de quart inquiet alla au bureau de la caserne et se renseigna sur la famille de ce garde. Il s’avéra que celui-ci n’avait pas de sœur ni de femme ou ne serait-ce amie intime il avait fait vœu de célibat. Une patrouille en arme fut envoyée dans la direction de la torche qui venait de se consumer.

Ils trouvèrent la torche calée, a hauteur d’homme, entre la branche et le tronc d’un sapin. Mais pas de garde, mise à part une odeur particulièrement acre. En fouillant les sous bois alentours, ils trouvèrent le militaire, il était plus mort que vivant.

Citation :

Son visage exprimait la peur et le désespoir, enfin ce qu’il en restait, tout le bas de son visage avait été brûlé par ce qui semble un acide particulièrement agressif. Les chairs était mêlé et s’était cautérisé sur le bâillon dans sa bouche. Les parties saillantes de sa mâchoire révélaient la couleur blême de l’os. Il tenait son cœur battant entre ses mains. Le thorax avait été ouvert a vif au niveau du cœur. L’ouverture était telle un cercle noir, les rebords de sa chair sanglante étaient retournés. Prit de dégoût l’un se retourna et se mit a vomir dans les fourrés. L’officier plus stoïque essaya de retirer le baillon mêlé dans les chairs glacée, le froid l’avait anesthésié. Dans un gargouillis il essaya de murmurer, le son qui sortait de sa bouche fit a peu près ceci :

Ding ding une femme dans la brume,
Ding ding dansante dans la Nuit
Ding ding ensemble nous fûmes.
Ding ding ma vie se termine ici.

Citation :

Ses mains prises de convulsion firent serrer le cœur qui cessa de battre et le sang gicla de sa bouche et il se noya dedans.

Les gardes revinrent avec une civière et un drap blanc. Le corps fut ramené discrètement au fort d’Hundelstone. Ce crime ne devrait pas être ébruité, tellement il était odieux. Les gardes sont prêt à faire leur rapport, et reportèrent les dernières paroles du mourrant. L’officier présent faisant le rapprochement entre la signature sur le corps au parole prononcée tel un poème, il se doute qu’un membre d’un clergé qui semble n’avoir aucune présence sur ses terres se soit réveillé. En temps de guerre il ne faut pas laisser de telle rumeur s’amplifier et voir la peur emplir le cœur des hommes de troupes qui se réfugierait dans le désespoir.

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[HRP, je sais je tarde pour le DK, mais bon j'attends l'opportunité, si un membre de l'équipe pouvait me retirer le level que j'ai pris, je pense que cela ne suffit pas encore pour]

Gardien des Mystères Nombre de messages : 11689 Age : 50

Au chaud au cimetière

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