- Citation :
- Nom du compte joueur:Norlo
Nom du perso: Safina-Fak Lach'Da'K'Dal
Race: humaine
Age: 25
Alignement: Neutre-Mauvais
Religion: Beshaba
classe(s):(nbre de lv prévu aussi si possible): Roub10, Guerrier6, Barbare9
Arme de prédilection/domaines/école de magie: Epée.
Trait de Caractère: Taciturne.
Description physique: Taille moyenne, Noir, Tête rasée, plustot masculine. Pas très jolie.
Safina-Fak Lach'Da'K'DalEnfance dans une chambre:Séquestré depuis une semaine... mon père me bat.
Me bat?
Non!
Me massacre.
Une longue et éternelle semaine. Une semaine d'injures, d'instultes, d'invectives et de coups. Je ne sens plus mon corps, je ne sens plus mon âme. Je ne suis plus qu'un trou béant de douleur, de hargne... de haine. J'en ai même oublié ma mère. Je ne me demande même plus pourquoi il m'a séparé d'elle.
La fillette que j'étais n'est à présent plus des vôtres. Mon père vient de créer un monstre.
Adolescence dans une grange:
Après la grenouille... Le chat.
Après le chat... Le cheval.
Et après le cheval... C'est au tour de mon père... C'est à son tour de mourrir dans d'incommensurables souffrances.
Vous devriez voir l'expression d'intense satisfaction qui plane dans mon regard lorsque je m'affaire de scier le dernier bras qu'il lui reste avec un vieux morceau de métal rouillé qui servait jadis à je ne sais trop quoi...
Je scie, le sang gicle... Il crie.
Peut être que ce bout de métal servait à proteger les parois des murs de cette grange des puissants coups de pattes des chevaux? Non, c'est trop petit... Et le métal est trop mince...
Je scie, j'arrive a l'os... ça fait un bruit de frottement, de sablage... Il hurle.
Ou peut-être serait-ce l'un de ces cônes là-bas, ces cônes qu'on met autour du cou des chiens pour éviter qu'ils lèchent leurs plaies. Le metal est de la même epaisseur. La rouille a probablement eu raison du reste. Peut importe...
Je scie, l'os est passé, le reste ce fera comme du beurre... Il ne crie plus, il gémit... Puis s'évanouie.
Serait-il mort? Serais-je enfin libre?
Non, il respire encore.
Dehors, le chien abois. Il a senti l'odeur du sang. Je sort et le laisse entrer. Il se fera un agréable plaisir de déguster ce copieux repas paternel.
Bon, partons d'ici et allons nous voler de quoi a boire, j'ai soif....
Début de la vie d'adulte à la sortie:
Aujourd hui, c'est le grand jour...
Je sort finalement de prison après 5 longues années.
Je compte bien quitter cette ville. Cette ville de lâche, de pleutre, de bon à rien... Je n'ai, de toutes manières, plus rien à faire ici. Ma mère est apparement morte d'une crise obscure, elle était atteinte d'un mal inconnu.
Je partirai et irai m'établir à Luskan. Là-bas à ce qu'on ma dit ici, on a qu'à se pencher pour se relever les mains pleines d'or...
2 mois plus tard... 3 heure du matin... centre ville de luskan...- Tu ravales tes paroles!
...que j'hurle à tue-tête à un homme que je ne connais pas. Je n'en crois pas mes oreilles! Il a réelement dit je que j'étais dans mes règles... textuellement. Il va mourrir.
- Tu t'excuses... tout d'suite... et à g'noux!
Lui et le gros con d'orque à coté je vais leurs faire la peau. Le dernier imbécile a m'avoir dit une connerie du genre a perdu l'usage de ses jambes...
- Et que ça saute!
Il aussi perdu l'usage d'un bras...
- Ou bien toi et moi on va dans les bois!
Et d'un oeil... si je me souviens bien.
Dans les bois... 5 minutes plus tard...
- Tu dis à ton orque de fermer sa gueule!
Le demis orque ne bouge pas. Il regarde les bras croisé... il n'a pas l'air impressionné. Il s'appelle Grorsk.
Ca m'énerve...
L'autre m'appelle "fillette". Il s'appelle Dédalius.
Je fulmine. Je suis saoule. J'attaque.
Il me frappe.
Je tombe. Je suis en train de m'évanouir.
Ils parlent entre eux...
...de la patrone. Que la patrone m'aimerait. C'est flou. C'est loins. La réalité est la, quelque part, aux travers du rêves. Ils veulent m'emmener à la patrone. Elle va me tuer! Pire! Me torturer! Je vois le visage de mon père couvert de mon propre sang. Il y a des bruits de batailles aux loins. Quel'qu'un met une main dans ma bourse. Je ne comprend plus rien. Ca tourne. Je panique... Je suis inconsciente...
Dans une cellule... L'image flou devint claire.- Ou suis-je?
En prison?
Tout me revient. Grorsk. Dédalius.
Je suis désarmé. L'orque bave en me regardant. Il va probablement me violer.
Dédalius c'est fait battre lui aussi, c'est évident. Il est presque aussi pitoyable que moi. Qu'est ce qui c'est passé?
Je regarde autour de moi, je suis dans une cellule. Grorsk s'approche. Il va me violer. J'en suis convaincue. Il me fait peur. Faut pas lui montrer. J'arrache mes vètements, histérique:
- Allez violes moi!
Non.
L'orque s'arrete:
- Toi va rencontrer patrone.
Dédalius entre en scène:
- R'habille toi, c'est ridicule!
Ils ne vont pas me violer!
Grorsk, bavant de plus belle devant ma nudité m'attrape par la gorge, me souleve et approche son gros visage d'orque du miens:
- patrone va aimer toi.
Et il me catapulte dans le fond de la cellule comme un vieu torchon.
Dédalius, méprisant:
- C'est une chance qui t'es donné. On va voir si tu mérites d'être respecté.
Dédalius m'impressionne. Je le déteste. Il se dirige vers la porte. Comme pour sortir.
Mais il me laisse en vie!
Grorsk me pointe un coin de la piece
- Arme à toi dans coffre juste la!
Juste avant de partir Dédalius se retourne:
- On te fixe un rendez-vous avec la patrone. Soit prete.
Ils tournent les talons et claquent la porte.
Je reste la. Seule. Perplexe. Mais qui est cette patrone? Combien de jour on passé?
Beshaba... 13 minutes 43 secondes plus tard...Je me rabille, reprend mes armes et tourne la poigné. Surprise, ce n'est pas vérouillé. Je sort. Je reconnais les environs. Je suis chez les ogres. Les seul orgres que je vois ici sont mort, probablement tombé sous les lames de Grorsk et Dédalius. C'est surment la qu'il a été blessé.
Au loins j'apercois la silouhette evidente de Grorsk, de Dédalius et d'une femme. La patrone? Ils approchent vers moi.
La femme me regarde, majestueusement calme:
- On me dit que tu ferais une bonne candidate pour notre culte. Je me présente Mailyn Korwyn, Haute Prêtresse Du Culte De Beshaba, La Pucelle De L'infortune.
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