Joruce Posteur utile
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| Sujet: [Mort RP][Validé][Paladin/Prêtre] Andarion de Beauprésage Lun 31 Juil - 0:36 | |
| - Citation :
- Nom du compte joueur: Boongalaak
Nom du perso: Andarion de Beauprésage
Race: humain
Age: 25 ans
Alignement: Loyal Bon
Religion: Tyr
classe(s):(nbre de lv prévu aussi si possible) Paladin / Prêtre (mais plus en prêtre)
Arme de prédilection/domaines/école de magie: Epée Longue
Trait de Caractère: aimable, courtois, droit, avisé, attentif.
Description physique: assez grand et bien bâti, on peut dire qu’il est plutôt bel homme, le teint assez bronzé de ses origines du sud, des cheveux bruns ainsi qu’une barbe… arbore fièrement les insignes du Juste sur son armure. BG : Calimport, 25 ans auparavant, des pas résonnent devant l’allée du Temple de Tyr. Une femme portant un panier en osier approche d’une porte annexe fermée pour la nuit et y pose le petit panier. Après avoir frappé contre les planches en bois de la porte afin d’être sûre d’avoir été entendu, les pas de course reprennent et la femme disparut, plus jamais on ne la vit. Tous ces bruits ont eu pour effet de réveiller l’enfant qui se mit à pleurer, quelques novices alertés par tous ces bruits vinrent voir ce qu’il se passait et découvrirent l’enfant. Ils prévinrent aussitôt leurs supérieurs et l’enfant fut amené à l’intérieur des murs du Temple devant le Haut Prêtre du Juste. Ce dernier passa toute la nuit à regarder l’enfant comme s’il le sondait et lorsque les premiers rayons de soleil firent leur apparition, le clerc avait choisi, ils garderaient cet enfant au sein du Temple et lui donna un nom : Andarion. Les années passèrent et le jeune garçon vécut une enfance relativement joyeux mais pieuse au sein du Temple. Une âme saine dans un corps sain, les prêtres lui apprirent à lire et à écrire et l’initièrent à l’apprentissage des soins. Evidemment au début, ce fut assez simple, des bandages, savoir différencier différentes plaies et quelle potion ou onguent à appliquer sur celles-ci ainsi que quelques mélanges basiques de substances curatives et pouvoir reconnaître des plantes médicinales simple et être capable d’en faire une infusion curative à base de celle-ci. Le petit Andarion était très enjoué à apprendre toujours un peu plus dans ces domaines, faisant preuve d’une motivation débordante. Il apprenait bien les leçons que les prêtres et autres responsables du Temple lui inculquaient. C’est réellement à partir de ses 12 ans qu’il compris réellement les notions de Foi et de ferveurs, que touts les actes bons et justes que j’avais vu dans le Temple me parurent être ma voie. Les paroles des clercs lors des messes m’attiraient, je passais beaucoup de temps au Temple à prier. Je ne savais pas trop encore comment faire, que pouvais-je dire par mes prières à l’Illustre Tyr ? Je ne savais pas, je disais juste ce qui me passait par la tête mais la Foi n’est pas que dans les mots elle vient avant tout du coeur et cela je l’avais compris. Un jour alors que je priais avec un ferveur un Paladin bien connu du Temple, Sire Artharus, posa sa main sur mon épaule et m’invita à me suivre faire quelques par au dehors de celui-ci. Ce noble personnage avait pour réputation de former les jeunes hommes à devenir Paladin, tous ne le devenaient pas bien entendu mais ceux qui n’avaient pas reçu de pouvoir divin étaient néanmoins de droits et justes guerriers au service du Mutilé. Il me questionna un peu, observant mes réactions et mes jugements, cela dure une heure ou deux puis il me dit de retourner à mes prières. J’y passais beaucoup de temps, je connaissais les dogmes mais je ne savais pas encore ce qu’ils valaient vraiment dire, j’apprendrais un jour alors j’étais patient. Le soir venu je fus convoqué auprès du Haut Prêtre. A mon arrivée le Paladin Artharus était là aussi. Les deux hommes n’y allèrent pas par quatre chemins, ils me demandèrent si je voulais devenir l’écuyer du chevalier de la Foi afin d’à mon tour en devenir un. Je réfléchis un moment à cette proposition qu’on refusait rarement il faut dire alors j’ai accepté. Au début il m’encourageait à prier, aussi souvent que possible car c’était ça qui différenciait un Paladin d’un guerrier… une Foi pure, sincère et profonde envers son Dieu, assez profonde pour qu’Il nous remarque et nous bénisse de ses pouvoirs. Quelques fois nous nous baladions en ville où ses services furent parfois appelés pour sa clairvoyance, son caractère impartiale et droit pour régler des litiges importants, ou encore même en tant que juge au tribunal quand le Haut Prêtre n’était pas là. Ces années passèrent à une vitesse folle mais je n’en oubliais pas une miette. Quand j’eus 14 ans il estima que c’était le bon age pour m’apprendre le combat et ses règles d’or en tant que Paladin. Il m’apprit à manier l’épée longue, l’arme du juste. De longs après-midi s’en suivirent dans la cours du Temple, je progressais au fil des semaines mais ce n’était pas suffisant, je ne devais pas être n’importe quel guerrier, je devais combattre avec ma Foi. Je devais réussir à la canaliser dans mon épée et dans mon corps pour me rendre plus fort et capable de luter contre les injustices et le mal quelqu’il soit. Mais jamais à des fins personnelles je ne devais combattre et user ainsi de la puissance que pouvait me conférer Tyr. Ne jamais frapper un adversaire au sol, toujours attaquer de front, ne se battre que si c’est nécessaire, ne pas tuer mon ennemi sauf si je n’ai pas le choix et si je peux l’amener devant les tribunaux pour qu’il y soit juger c’était ce que je devais faire… toujours. Les années s’écoulèrent j’arrivais enfin à canaliser ma Foi, certes pas autant que Sire Artharius mais, je pouvais me protéger plus efficacement, soigner grâce à la Foi et être plus assidu au combat en faisant appel au Juste. Le Paladin était fier de son élève. A partir de ce jour je ne l’ai plus accompagné pour observer et apprendre mais il me permettait d’agir et d’intervenir avec lui, parfois c’était plus martial quand ceux en face de nous sortirent les armes, mais j’avoue n’avoir jamais beaucoup sorti mon épée, cependant je ne cessais jamais d’apprendre avec ce Paladin qui fut mon mentor. J’étais devenu un jeune Paladin aux grâces de Tyr cependant, je sentais bien qu’il me manquait quelque chose, j’étais toujours plus fervent, l’approfondissement de ma connaissance de la Foi devenait presqu’une quête et j’en parlais à Sire Artharus. Ce dernier me dit des paroles bizarres que je n’ai compris que le soir même : « Tu aurais fait un trait bon Paladin Andarion mais il est temps pour toi d’emprunter une voie légèrement différente qui te correspond mieux, ce n’est pas un mal au contraire… mais va voir le Haut Prêtre il t’expliquera cela mieux que moi. » Ce que je fis donc le soir venu, j’allai trouver le clerc de Tyr qui m’accueillit, il semblait déjà au courant de ce qu’il se passait chez moi comme si mon mentor l’avait senti lui aussi bien avant que je ne voie moi-même. Nous avons parlé longuement et il m’a proposé de suivre la voie de la prêtrise. Je fus d’abord surpris, étonné, intrigué, je pensais être un bon Paladin mais… je réfléchis un moment et je me rendis compte que j’étais devenu en effet plus proche des clerc que du Paladinat, je n’étais pas vraiment un soldat de la Foi … si sur un point de vue théorique mais je ne sortais presque jamais mon arme et répandais les dogmes, les propageant. C’est étrange mais à partir de ce jour je me sentis encore plus à ma place. Je priais longuement au Temple, j’aidais même les novices à comprendre et appliquer les saintes paroles du Juste, j’ai même dirigé quelques messes dans le Temple. Petit à petit je reçus d’autres grâces de Tyr, je puis soigner plus efficacement les personnes dans le besoin. Ma principale arme n’était plus mon épée bénie par les pouvoirs de Tyr mais c’était la Foi et les paroles justes, droites et impartiales, et ainsi investi d’une nouvelle Foi un peu différente, je devenais prêtre mais je n’oubliais pas les quelques années de ma vie dans le Paladinat au contraire, ce sont elles qui m’ont conduit là où je suis maintenant. Un jour je fis une rencontre qui allait me mener bien plus loin… une prêtresse d’Illmater, Victoire. Cette jeune femme n’avait pas son pareil en bonté ni son coté taciturne, elle parlait rarement d’elle préférant parler de ceux qui avaient des problèmes, leur trouver une solution, cette femme devint rapidement une amie que j’accompagnais et aidait tout en servant le Juste. Elle me dit qu’un jour elle allait partir vers Luskan, cela me chagrinait un peu de devoir la laisser ainsi et la Foi en le Juste ne s’arrêtait pas aux murs de la ville, elle devait être propagée partout alors je suis allé trouver le Haut Prêtre qui m’autorisa à partir. Je rassemblais quelques affaires dans ma chambrée et empruntait les couloirs du Temple. A ma grande surprise ils étaient tous là, prêtres, paladins, novices… ils… étaient venus me saluer et me dire adieu. Devant ces personnes que j’allais quitter pour longtemps sûrement je ne puis retenir quelques larmes. Au fil des années ils étaient devenus mes amis, ma famille. Après quelques embrassades et saluts je partis d’un pas décidé, triste de devoir les quitter mais je savais qu’ici il y aurait toujours un endroit pour moi auprès de personnes qui me sont chères. Je rejoignis Victoire et nous sommes partis… | |
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Ultimus Membre Sacré du Triumvirat
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| Sujet: Re: [Mort RP][Validé][Paladin/Prêtre] Andarion de Beauprésage Lun 31 Juil - 21:23 | |
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