- Citation :
Nom du compte joueur: L'Exécuteur_
Nom du perso: Viktor.
Race: Humain
Age: *la trentaine*
Alignement: LM
Religion: *sans préférences*
Classe: Roublard (15lvl) / Assassin (10lvl)
Arme de prédilection: Kama (griffes acérés)
Trait de caractère: Charmant quand on le connait, froid la premiere fois.
Description physique: Taille normale, queue de cheval, yeux marron.
24 Aout.
Eradication de la petit village perdue de "Krusk".
Nombre de survivant : Aucun
Population : Fermiers, Pecheurs.
Attaquant : Camp Mercenaire de "Munir".
Tel etait le rapport fait par les "Gardiens".
Malheureusement il n'etait pas exacte sur un point, le nombre de survivants.
Il survécu deux hommes et une femme.
Le Premier se Nommer Allek, le deuxieme Paulk et la femme Muse.
Tout trois fermier, tout trois survivants.
Dans le village il restait encore quelques mercenaires finissant de piller les maisons.
Ils avaient peur, peur de ces brutes à la force démeusuré par rapport à eux. Qui gagnerai selon vous entre un Guerrier et un paysan ? Le guerrier me direz vous ? Pas sur.
Ils c'etaient caché derriere une maison qui finissait sa vie dans les cendres... l'ancienne maison de Paulk.
Un morceau de métal qui tombe, un regard accusateur, un mercenaire qui s'approche.
Ils restaient la, figée de peur, n'osant pas bougé, l'homme continuait de s'approcher.
Elle pleurait, trop fort, trop fort pour qu'il ne remarque rien, trop fort pour qu'il ne sorte pas son épée courte de sa botte, trop fort pour que l'on ne meurt pas.
Il l'empoignat avec force, la souleva de terre, un flamme dans le regard, une flamme de haine et de malveillance. Nous regardant avec ironie, ironie que je resentait, on etait deux .. contre un seul.. mais on ne pouvais c'etais trop dur. Alors il commenca a la rouer de oups. C'est à se moment la qu'une sorte de déclique se fit, cette petite conscience qui nous trotait au fond de l'ame. Cette conscience a présent enfouit au plus profond de lui.
Il n'avait peut etre pas la force, mais il avait l'agilité et la rapidité.
Ou fesons nous le plus mal ? au cou, aux articulation, ou avons nous le plus de douleur apres une dur journée de labeur dans le champ et qui nous empeche de faire des mouvement brusques ? au dos, aux cotes.... Tant de points sensibles, qu'en y repensant sont facilement accesibles.
Un sursaut de courage, ou de folie, la piece de métal pointue qui les avaient fait repéré et il se jetta dans le dos du mercenaire. Lui plantant le morceau derriere le genoux, puis avec le peux de force qui lui restait, lui plantant dans le cou.
Il s'effondra dans un rale de douleur accentué par les petites bulle de sang jaillissant par intermitances.
Il fallait partir, ils arrivent, Muse est morte, la nuque brisé. Allek et moi traversions le champ d'acoté à toute vitesse, commencant à réaliser que je venais tout simplement de tuer un homme deloyalement. Mais ca ne me choquais pas plus que ca, meme j'y avais prit un plaisir .. bizarre. Un plaisir de sang, de froideur, je me sentais grand.
* * *
Pendant la nuit nous revinrent, la suite de l'histoire est plus compliqué. Alors que nous amenions un baril remplit de vin en fermentation pret d'une cuve de stockage d'engrais, Allek devait resté pour y mettre le feu et qu'il ne puissent pas emporter nos recoltes.
J'entendai les mercenaires approché mais je devais resté caché pendant qu'il jetterai la torche.
Trop tard, il l'avaient cerné, il reculai méticuleusement vers le baril, la torche à la main... "Non Allek, Non ne fait pas ca !" criais-je betement, il jetta la torche à ses pieds, l'alcool prenant feu à toute vitesse. Il c'est sacrifié pour moi. Je devais finir le travail, une question d'honneur. L'honneur, me direz vous, pour un assassin ? Oui je comprend maintenant se que c'est de tuer. Ce n'est pas par amour par haine ou par compassion. C'est une question d'honneur.
Chacun à son honneur, chacun le modèle à son image.
Je devais le venger, me venger, nous venger. je reviendrai plus tard, je les prendrai un par un, ame par ame.
* * *
La lune etait voilée se soir la. Il en restait sept un peu dispésé dans le village à la recherche de prisonniers. Tous y passèrent :
¤Le premier eut la gorge tranché nette, voulant ramasser quelque chose au sol.
¤Le deuxieme finit sa course dans un piege à Loup, etrangler dans un collet tenu à bout de bras.
¤Le troisieme se fit ecraser par des rondin de bois laché par "mégarde".
¤Le quatrieme se fit enfermé dans le grange du taureau de la famille "Mills", enervé par la brulure d'une fer chaud le taurreau n'en fit qune bouché.
¤Le cinquieme se retrouva empalé par une fleche tiré à bout portant sur la porte qu'il venait d'ouvrir.
¤Le sixième fut poussé par une ombre dans la fosse à purin. Du vrai sable mouvant.
¤Et le dernier, le septieme, commencant à se sentire seul, prit peur et courut dans la foret à toute jambe, se retournant tout les deux pas. Malheureusement il ne vit pas le piege à ours au tournant du chemin, bizarrement caché sous des branchages. Il finit embroché, coulissant le long des pieux.
* * *
Quelques années passerent, je travaillais par ci, par la, pour le compte de différentes organisation, je commencais à me faire un nom.
On le connaissait sous le nom de Viktor.
La suite ? Cela n'importe pas trop, arrivé à Luskan sous peux, pour de nouveaux contrats et finir son apprentissage.