- Citation :
Nom du compte joueur : _Onanie_
Nom du perso : Baalberith
Race : Demi-Elf
Age : 13 ans
Alignement : Chaotic Neutre
Religion : Croire ? non...
Classes : Barde 15 / Maitre Blème 10
Arme de prédilection : Serpe (Maniement très sommaire)
Ecole de magie : Nécromancie ( En connaissance principalement vu que barde...)
Magie Utilisé : Varié
Caractéristique à la création :
Force : 10
Dextérité : 16
Constitution : 12
Intelligence : 14
Sagesse : 12
Charisme : 14 (A évoluer au fil des niveaux)
Traits de Caractère :
Calme, Solitaire, Triste et Patiente
Description physique :
Teint pâles, cheveux brun lui tombant sur les épaules, regard sombre et vide.
(Voir image ci-dessus)
Interêt du perso :
Puis pourvoir écrire des textes RP racontant comment dans cette mort et grace aux autres personnages, elle redécouvre la vie qu'elle n'a jamais eu.
Un 19 Janvier...
Oui, j'ai perdu ce qui fait l'essence même de la vie un 19 Janvier.
Ce jour là, j'y ai perdue tout espoir, tout sentiments et bien plus encore.
Cela remonte à si loin, et c'est pourtant encore si présent.
Pourtant, tout commença par un amour profond, fort et intense, peut être trop même.
Mon père Ularf Heneman tomba en admiration devant une créature croisée au détour d'un bois, une elfe, Klarya Ldyel dont la beauté pouvais faire pâlir de jalousie les plus belles femmes.
Cette admiration ainsi que cet amour fut brisé par un refus net et catégorique de la part de cette elfe.
Fous de tristesse, il la suivi tapie dans l’ombre jusqu'à ce qu’elle soit seule.
Il sauta sur elle et profita de sa force pour abuser d’elle.
Dans les cris et la douleur je fut conçut en cette lugubre nuit.La grossesse, de celle qui fut ma mère, se passa aussi bien que fut-ce possible après un viol.
Elle fut obliger de se réfugier dans un cabanon au fin fond d’un bois pour me mettre au monde.
Mais mon père n’en avait pas encore terminé sa vengeance…
N’ayant jamais perdu la trace de Klarya, le jour de ma naissance, il m’enleva au bras chauds et tendres de ma mère.
Il commença à m’élever, mais bien loin d’une éducation pleine d’amour, plutôt de celle qui mélange les coups de bâton, de fouet et le pire le pire qu'il soit pour un enfant : les insultes.
Mon père était en fait quelqu’un maîtrisant les forces occultes de la nécromancie et il utilisa ses pouvoirs pour me détruire mentalement, ainsi que pour anéantir la beauté que j’avais hérité de ma mère.
Je n'ai jamais compris pourquoi cette personne qui se disait être mon père me faisait autant de mal...
Sa dévotion pour cette haine amoureuse le poussa à me faire vivre milles tortures, pourtant une seule idée me maintenait encore en en ce bas monde, celle de pouvoir vivre avec ma mère à nouveau, un jour.
Voyant cet espoir dans mes yeux, sa haine s’accentua, et il transforma les tortures en expérience nécromantique.
Pourtant entre ces expériences, je m’aperçu que je développait quelques pouvoir des arcanes
Puis physiquement s’opéra des changements radicaux, la transformation de mon corps, une sorte de ... mutation, ma voix tout d'abord, je me mit à fredonner de petites complaintes me permettant d'exterioriser mes douleurs. Mais ces chants avaient quelques chose de particuliers, je ne voulais pas qu'il l'entende... surtout pas.
A l’age de 10 ans je réussi a m’échapper de la demeure de mon "père" pour partir a la recherche de mon ultime espoir, ma mère.
Cette recherche me pris une année.
Une année où ses relents de douleurs dans mon bras gauche s'amplifièrent, que m'avait-il fait ? Si je l'avais su plutôt...
Quand finalement, je découvris où elle habitait, de nombreux sentiments emplirent mon cœur : de la peur, de l’excitation et de l’amour.
Au fur et à mesure que s’approchait sa maison, ses sentiments s’entremêlèrent et s’amplifièrent.
Mais dès que nos yeux se croisèrent, seul l’amour était dans mon cœur.
Elle me reconnu presque instantanément. Nous nous approchâmes l’un de l’autre, doucement, comme pour nous découvrir petit à petit.
Puis quand nous fûmes à un mètre l’un de l’autre je sauta dans ses bras, les yeux emplis de larmes.
Nous parlâmes toutes la nuit, de mon père, de mon « éducation », de sa vie, des mes dons.
Au petit matin, je me leva de bonne heure et ma mère était là, endormie, et un sourire parcourait son visage.
Je lui caressa la joue de cette main gauche mutante comme si son contact allait tout effacer...
Elle se réveilla en sursaut comme pétrifiée, et son visage calme se figea en une expression de surprise et de douleur infinie.
Elle tomba dans mes bras inaniméé et son cœur vidé de totue vie.
Je ne compris que trop tard ce qu’il s’était passé.
Je m’écroulais à ses pieds, et me mis à hurler à la mort.
La rage, la haine, la vengeance firent disparaître tout ce qu’il restait d’humanité en moi ; et le "cadeau" de mon père me sauta aux yeux.
C’était un 19 Janvier....Je partis de chez ma mère après l’avoir enterrée afin d'assouvir mon ultime sentiment, la vengeance.
Lorsque j’arriva devant lui, il m’accueilli comme si je n’étais pas partie, c’est a dire en me criant dessus, et en voulant continuer ses expériences et tortures sur moi.
Mais finalement il lu dans mon regard quelque chose qui lui fis peur, il se mis a reculer, c'est alors que j'entama l'ultime chant qui accompagna son dernier soupir.
Un chant du malheur aigu, strident et d'une tristesse à fendre un coeur...
C'est d'ailleur ce qui se produisit car il s'agenouilla devant moi, pris sa tête entre ses mains, et ses paupières tombèrent sur ses yeux révulsés.
" Dans ce chant, je ne t'ai pas narré ma vie père... je t'ai conté ma mort ! "