[Mort RP][Guerrier/CHNO/Champion Cyric]Merethon de Valterne

Citation :

Nom de compte: Joruce

Nom du persos: Merethon de Valterne

Race: Humain

Age: inconnu

Alignement : Chaotique Mauvais

Religion: Cyric

Classes: Guerrier /Chevalier Noir /Champion Divin

Arme de prédilection : Epée longue

Trait de Caractère: Fourbe, intolérant, sournois, sanguinaire, paranoïaque,… un Cyriciste quoi

Description physique: Un corps de taille respectable dans une armure de noire et de pourpre imposante. Pour ceux qui verront son visage, il a la peau pâle, les traits tirés, un corps rongé par le mal, les yeux rougeoyant. Il vous parle avec mépris d’une voix caverneuse qui semblerait presque venir d’outre-tombe. Mais plus inquiétant encore est cette aura des plus maléfiques qu’il dégage, le mal exultant de tous les pores de sa peau …

Histoire :

1356, Année du Ver

Château-Zhentil en Mer de Lune, j’étais garde de la ville, modeste petit sergent de patrouille mais je comptais bien prendre du galon, ma vie n’était en rien aisée, je me débrouillais comme je le pouvais pour amasser quelques richesses. La tâche n’était pas aisée, la ville était sous la coupe de Baine et la plupart des soldats pour ne pas dire tous, le priait… j’y faisais exception mais c’était trop dangereux de l’affirmer alors je faisais comme ci. S’ils savaient que c’était moi qui avais tué mon chef de patrouille pour prendre sa place… je serais sûrement pendu, personne ne devait savoir. Même ceux qui m’étaient proches et au courant de cette histoire ne sont plus là, il le fallait, j’ai du les éliminer, aucun risque ne serait pris. Il faut dire que c’était un imbécile et je devais le faire. Tout m’y poussait… comme si c’était une voix en moi qui m’y poussait, je ne savais pas encore pourquoi mais je l’écoutais, aucun scrupules sur mes agissements, la fin justifiait les moyens, c’était une doctrine qui me plaisait à ce temps là je ne savais pas qu’elle deviendrait celle de mon maître. Pendant deux ans ce fut ainsi mais ce qui suit a vraiment changé ma vie…

1358, Année des Ombres

La ville était sans dessus dessous, la nouvelle était tombée, le Dieu qu’ils vénéraient tous était mort, Baine le Tyran avait succombé dans un combat contre Torm. Mais ce fut pendant ces temps troublés qu’une nouvelle puissance montait à l’insu de tous, le Dieu des Dieux, l’Unique, Cyric avait déjà repris les rênes du Clergé du Tyran. Peu à peu les prêtres recevait de nouveaux messages, une nouvelle image, de nouveaux dogmes, un nouveau culte était né. Xero Mirrormane, le Haut Prêtre de l’Unique à ce moment-là, tourna les fidèles de l’Imposteur vers Cyric et Château-Zhentil tomba sous sa coupe, seuls les orthodoxes et quelques autres Bainites refusèrent de se soumettre et furent condamnés à la clandestinité au fur et à mesure que les choses avancèrent. Ce fut le début de mon ascension, à partir de là je ne sais pas pourquoi je me sentais pousser vers le Temple de la Vraie Foi. Les paroles des prêtres pendant les messes, je les buvais littéralement :

« Gloire à toi, Ô Prince du Mensonge, nous sommes tes fils, nous te servirons jusqu’à la fin, le Soleil Noir triomphera, les hérétiques seront châtiés, mort à ceux qui s’opposent au Maître de Faerun. »

Combien m’a-t-il fallu de temps ensuite avant que je ne devienne un des capitaines de la garde de la ville? La fourberie, la tromperie et le mensonge étaient mes armes. L’Unique devait m’accompagner aussi, quelques uns de mes chefs étaient tombés dans des batailles ou encore dans quelques rixes que j’avais provoquées dans leur dos, quelques piécettes d’or suffisaient pour un pauvre barbare qui voulait son repas dans un quartier malfamé de la ville… pendant 3 ans c’est ainsi que j’ai agi, complotant contre mes supérieurs en accusant de vénérer toujours le Tyran. Des fouilles étaient faites et des « preuves » que j’avais donné l’ordre d’y mettre furent trouvées, je me hissais de plus en plus haut dans la hiérarchie, je priais de plus en plus au Temple, il n’y avait plus que Lui qui comptait car c’était grâce au Soleil Noir que je me trouvais à cette place.

1361, Année des Demoiselles

Ma montée rapide de la hiérarchie et ma Foi en l’Unique avait attiré l’attention de plusieurs prêtres et dirigeants du culte. Par une nuit des plus noires, tous les officiers furent réunis dans la cours de la caserne principale de Château-Zhentil, Xero Mirrorman en personne avait une mission pour nous et il s’adressa à nous :

« Cyric m’a parlé ! Il est temps d’agir et de purifier cette ville des derniers serviteurs du Tyran ! Depuis trop longtemps nous les tolérons, nous allons y mettre fin, VOUS allez y mettre fin ! Descendez dans les rues et les sous-sols, tuez tous ceux qui ne se soumettront pas à notre Maître ! Gloire à l’Unique ! Gloire au Soleil Noir ! »

Les hommes reprirent en cœur et nous allions chercher les armes et réveiller les bataillons de la garde. Des espions avaient repéré les maisons des chiens du Tyran et une liste était donnée à chaque chef d’unité, j’en reçus une et nous partîmes dans la ville. Les rues résonnaient de bruits de pas lourds, le cliquetis des armures lourdes et des armes ainsi que les louanges à notre Maître se faisaient entendre dans tout Château-Zhentil. Les portes furent enfoncées, nombres d’habitants furent tués, même ceux qui n’étaient que suspectés. Des cris s’élevèrent au dessus des ruelles sombres et dans les habitats des félons, le sang coula abondamment. La tâche accomplie, nous retournions à la caserne faire notre rapport, quelques unités manquaient à l’appel. Certains membres de la garde avaient fui dans les sous-sols pour rejoindre les orthodoxes qui refusaient de se soumettre et s’étaient bien organisés pour défendre un des temples de l’Imposteur dans les profondeurs de la ville. Je fus convoqué au Temple principal, un honneur pour moi, oui j’ai approché celui qu’on nomme Xero Mirrorman, il était secondé par Fzoul Chembryl, il me confiait un bataillon et je devais annihiler les dernières traces de la résistance dans les sous-sols. L’échec c’est la mort, je devais accomplir cette mission pour la Gloire de l’Unique. Je savais que je serai récompensé. Je menais donc ces hommes qui me suivaient vers l’endroit où nos éclaireurs nous avaient rapportés la présence massive et armée de traîtres.
Je n’avais pas peur, Il me guidait, Il était avec moi je le sentais. L’assaut débuta. Nous avions un peu de mal à atteindre les portes du Temple, ils étaient bien préparés, les sous-sols tremblèrent sous les combats, les boucliers furent fracassés, leur ligne de défenses enfoncées au prix de nombreuses morts de notre coté mais il en fallait, tous le savaient, mourir pour Cyric est un honneur. Après des heures de combats sanglants qui ne ressemblaient qu’à une immense boucherie nous étions devant les portes du temple dissident.

« Qu’on apporte le bélier, hurlai-je »

Un coup… deux coups… trois coups et la lourde porte d’ébène tomba, une salve de flèches sortirent immédiatement de l’intérieur tuant quelques hommes, je donnais l’ordre d’attaquer. Les gardiens du Temple furent massacrés sans pitié. « Qu’ils souffrent et qu’ils meurent ! L’Unique veut des morts, l’Unique veut du sang ! » Seuls les dirigeants furent épargnés… pour un moment. Ils seront sacrifiés sur l’autel du Temple de la Vraie Foi pour que tous comprennent que nul ne s’oppose à Cyric.
Les morts furent brûlés pour éviter les épidémies et nous repartions vers la surface la victoire acquise.
Je me présentais au Temple avec les prisonniers. Je fus reçu par le Haut Prêtre Fzoul, bras droits de Fzoul, il fut très satisfait de voir que la mission avait été une réussite totale. Je pénétrais dans le temple après avoir donner l’ordre de repos à ces hommes qui avaient contribué à tout cela. Une messe fut organisée où les dirigeants des dissidents furent sacrifiés et puis je fus honoré par la bénédiction du Haut Prêtre.

« Capitaine de Valerne, l’Unique et son clergé sont très satisfaits de vos services. Vous êtes l’image même des Chevaliers de son Ordre. Vous quittez désormais la garnison de la ville, vous entrez dès à présent dans l’Ordre du Pal Ebène. »

Le prêtre fit quelques prières de bénédiction.

« Relevez vous Chevalier de la Vrai Foi, vous marcherez où l’Unique le voudra, vous éliminerez tous les hérétiques, vous répandrez ses dogmes par la peur et le meurtre. Gloire à l’Unique ! Gloire au Soleil Noir ! »

A partir de cette date, Cyric me conféra des pouvoirs divins pour accomplir Sa Volonté. Sept ans passèrent pendant lesquels je suivais Sa voie. Nombres de mission j’ai accomplie pour Lui, je n’échouais jamais…

1368, Année de la Bannière

Des évènements sombres pour le culte s’étaient passés : Xero Mirrorman, le prêtre en charge de Château-Zhentil fut tué par Mask alors qu’il détruisait les derniers vestiges de l’autel Noir de Baine, le jour de la lecture du Cyrinishad. Fzoul Chembryl lui a succédé. Cyric avait lu le Cyrinishad et était devenu fou ce qui lui fit perdre des sphères d’influences. Pendant ce temps Fzoul Chembryl avait eu connaissance de L’Existence Véridique de Cyric.

Ce fut une sombre année, depuis les sous-sols de Château-Zhentil, dans un temple des plus secrets, le fils de Baine fut relâché et par je ne sais quelle magie, le Tyran revint. Ce fut le chaos dans la ville, les fidèles de Cyric furent massés dans les Temples, Fzoul ordonna qu’ils se convertissent à la Nouvelle Eglise du Tyran ou bien qu’ils meurent. La situation devenait critique … mensonges que répandaient ce traître de Fzoul ! Comment osait-il proférer de tels blasphèmes de mon Maître ?!?
Nombre d’âmes furent converties au Tyran… les chiens ! Ils paieront pour avoir trahi l’Unique ! Ils périront et souffriront 1000 tourments dans le royaume du Tout quand nous les retrouverons… mais l’heure n’était pas aux actions idiotes et irréfléchies, il fallait se replier avant que ce ne soit notre tour. Des prêtres, des chevaliers et soldats restés fidèles à Cyric me suivirent dans les rues de la cité mais la grande porte était fermée, le chaos devait être répandu, il nous servirait à quitter cette terre sainte devenue territoire impie… plusieurs incendies furent déclarés dans la ville pendant que les adeptes de la Vraie Foi s’apprêtait à attaquer la grande porte. Se faufilant dans les ténèbres plusieurs assassins tuèrent les gardes des postes stratégiques de la défense de celle-ci, nous massacrâmes le reste par surprise, la porte s’ouvrait nous quittâmes la cité sur un feu nourri de flèches issu du haut des remparts. Nombre de fidèles avaient rejoint l’Unique ce jour là mais leur sacrifice avait été à en sauver des centaines voir des milliers d’autres… Le Tout m’avait guidé, je fus l’un de ceux qui avaient sauvé nombre de ses fidèles tous emprunts à la vengeance, l’Imposteur paiera, Château-Zhentil sera détruit et ils comprendront tous l’erreur de leur félonie. Après cette fuite, les groupes se divisèrent en plus petits pour passer inaperçus. Je menais une 50aines de chevaliers noirs. Le culte avait un Temple en Amn.
Un an ou deux s’écoulèrent avant d’atteindre cette lointaine contrée, la route jusque là fut jonchée de morts et de destructions, tous les villages que nous traversions furent détruits en grande partie quand cela puit être fait. Et finalement… nous y parvîmes.

1371, le culte de l’Eclipse Eternelle

La nuit était tombée sur le campement, j’avais ordonné une relève de la garde permanente comme à chaque fois que nous nous arrêtions. Le ciel était nuageux et la lune ne se montrait pas mais le calme planait, les bruits de la forêt proche nous avertiraient d’un éventuel danger. J’étais sous ma tente à regarder quelques cartes pour choisir notre prochaine destination quand celui, qui au cours de la traversée, était devenu mon second vint me prévenir qu’on entendait des bruits de pas lourds de l’autre coté de la clairière, certainement des hommes en armures lourdes.

« Aux armes soldats de la Vraie Foi ! »

Tout le monde était en état d’alerte. Les bruits se rapprochaient de notre position, nos archers étaient prêts à ouvrir le feu mais à la surprise générale, nous puîmes distinguer un étendard pourpres flottant au dessus de ces hommes, le même que ceux plantés autour de notre campement. Ils continuèrent à avancer puis le chef de leur groupe approcha escorté de deux de ses hommes, je fis pareil et allai vers lui.

Lui : « Gloire à l’Unique chevalier de la Vraie Foi, qui êtes-vous ? Que venez vous faire sur les terres de l’Eclipse Eternelle ? »
Moi : « Gloire au Tout ! Nous sommes les survivants de Château-Zhentil, nous avons fait une longue épopée jusqu’ici afin de rallier les fidèles de l’Unique »
Lui : « Ainsi vous auriez survécu… hum… qui nous dit que ce n’est pas une supercherie du culte déviant du Crâne ? Qui nous dit que vous n’êtes pas des hérétiques ! »

Un de mes hommes avançait vers nous.

« Si vous me permettez Seigneur de Valterne, j’ai déjà fait un ou deux voyages entre la Mer de Lune et les Tours Jumelles de l’Eclipse Eternelle. Je crois pouvoir apporter la réponse… »

Je lui fis signe d’approcher, l’homme s’expliqua avec notre interlocuteur dont un peu de doute s’envolait.

« Soit… je vous amène au Temple mais si vous vous avérez être des traîtres… »

Nous nous sommes remis en route et après plusieurs jours de marche nous atteignions enfin les Tours Jumelles de l’Eclipse Eternelle, tout ces efforts n’avaient pas été vains. Encore une fois l’Unique nous avait montré la voie et ses forces se ressemblaient pour accomplir Sa Volonté. Nous fûmes conduits au Temple où les prêtres nous feraient prêter serment de servitude à Cyric et à l’Eclipse Eternelle, jurant de le servir jusqu’à la mort puis j’eus l’honneur de rencontrer le Grand Inquisiteur de l’Unique Noirdessin Akhmelere. Il savait ce qu’il s’était passé au nord et nous n’étions pas les seuls à être arrivés ici et à ma grande surprise il avait entendu parler de ceux qui s’étaient illustrés pendant la Purge contre les Imposteurs. Je me sentais flatté mais cet être devant moi provoquait dans mon être une peur que je parvenais à peine à contrôler, je n’osais pas le regarder en face. Cependant il voulait des preuves que je n’étais pas un usurpateur et avait donc une mission à me confier, évidemment il ne voulait pas perdre d’homme dans cette mission qui lui semblait presque suicidaire alors ce serait les miens et moi-même qui irions tenter cet exploit. Dans la montagne, le culte du Crâne a un petit bastion à proximité d’un campement orque, apparemment un certain accord de non agression a été décidé entre les deux, je devais ramené la tête du haut prêtre de ce bastion.
La mort ou la gloire pensais-je… mais il le fallait… je n’échouerai pas, je montrerai que je suis un fervent serviteur de l’Unique ! Je rassemblais mes hommes et nous partîmes. Trois jours plus tard nous arrivions et montions un nouveau campement pas trop près. Nos éclaireurs nous rapportèrent la position de notre objectif. Nous ne pouvions attaquer de front c’était du suicide, nous provoquerions un conflit entre les orques et eux qui nous sera profitable. Nous attaquerons à l’aube… dix hommes iront abattre une sentinelle du camp puis se replieront vers le bastion ensuite ils rejoindraient l’Unique mais leur acte ne sera pas vain. L’ordre fut donné et ils partirent alors que nous nous approchions du bastion. Après quelques longs moments nous entendîmes le cor orque et puis au loin, nos hommes foncer vers le bastion suivis d’une petites hordes d’orques. Le bastion en face s’agitait, les flèches furent tirées sur nos hommes et les peaux vertes. J’ordonnais à mes archers de tirer à volonté sur la forteresse et dans leur mur mais principalement sur les remparts pendant que les orques avaient massacré nos hommes et s’apprêtaient à enfoncer la porte qui finit par céder. Une fois qu’ils y pénétrèrent, nous entrâmes en action, armes au poing, nous ruant à notre tour vers la forteresse. Le chaos régnait en leur mur : nos troupes, celles des déviants et des orques nous adonnions à un combat sanglant, des têtes furent coupées, des harnois lacérés, les hommes et les bêtes tombèrent les uns après les autres jusqu’à ce que les bruits de bagarres cessent. Le sang et les cadavres recouvraient le sol de la place forte… c’est à ce moment là que le haut prêtre du Crâne sortit avec les derniers hommes de sa garde. Il savait qu’il avait perdu et voulait se rendre.

« Il n’y a nul rédemption, hérétiques déviants ! Seule la mort t’attend comme tous les chiens qui te suivent. »

Je m’approchais de lui, ma lame le décapita. La tête roula un moment et le corps s’effondra, j’allais ramasser la tête comme trophée et dit à ce qui restait de mes hommes d’éliminer les derniers survivants du bastion. Puis après une nuit de repos, nous retournions aux Tours Jumelles.
Nous arrivâmes au Temple, le Grand Inquisiteur attendait devant l’autel. Je m’inclinais devant sa personne et lui fis présenter la tête du haut prêtre qui avait un peu souffert je dois bien l’avouer sur un plateau d’argent. Il partit dans un rire fou et satisfait :

« Je n’en attendais pas moins de vous Seigneur de Valterne, l’Unique vous accompagne, Gloire au Soleil Noir ! C’est d’hommes comme vous dont le Tout a besoin pour répandre Sa Volonté, vous serez désormais Seigneur du Pal Ebêne et commanderez les Chevaliers Noirs de ce Temple. Gloire ! »

Je m’inclinais à nouveau pour remercier cet honneur qui m’était fait mais que je méritais amplement. Les années passèrent en Amn… combien de mission ai-je fait pour l’Unique ? Je ne saurai plus dire mais toutes avaient été un succès.
Alors que je m’arrêtais dans une ville où le culte avait une chapelle pour prier et prendre un tant soi peu de repos et que je m’agenouillais devant l’autel, je sentis une force étrange prendre possession de mon corps, ce dernier rayonnait d’énergie négative et le dénatura. Je perçus sa présence, l’Unique m’avait gratifié de plus de puissance ou bien n’était-ce que ma volonté à transformer cette Foi intarissable pour mon Maître en une nouvelle arme…toujours est-il que je pouvais désormais faire appel à son courroux… je restais au Temple et priais avec ferveur toute la nuit. Ces nouveaux dons seront ma nouvelle arme contre les ennemis du Soleil Noir, ils mourront tous.
D’autres occupations m’empêchèrent de retourner aux Tours Jumelles et quand je puis enfin m’y retrouver, le Grand Inquisiteur avait été tué par un prêtre des plus puissants à ce que l’on dit : la Vigilance Noire venue des terres du nord. A cette révélation, je sentis qu’il était temps à mon tour de quitter la région, je voulais rencontrer celui à qui je jurerai allégeance à nouveau, je quittais les lieux et pris la direction du nord …

[Je préviens, histoire que tu sache pourquoi ca risque de trainer: La classe Champion Divin va poser soucis.]

petit up

Salut joruce, il me semble que ce n'est pas le Cyrinishad qui a été lu devant les foules de CZ le jour ou Fzoul tua le Patriarche Mirroran gace à laide de mask, mais bien la véritable existence de Cyric rédigé en secret par une scribe sous la coupe d'oghma. Fzoul a toujours detestait le soleil noir depuis quil lui a décoché une fleche dans la poire et parce qu'il est bien moins efficace que Fléau( )il a donc fait partie de ce complot.
ll me semble aussi que Cyric a perdu le trone de la Mort non pas a cause de sa soit disant folie, mais a cause des évenements survenus a CZ qui lui ont fait perdre nombre de fidèles et donc de pouvoir.

Voila , amicalement
Rabban

Donc après discussion, nous n'acceptons pas la classe champion divin, dont la validation doit se passer IG avec un DM.

Pour Guerrier/DK c'est bon, mais pour champion divin je classe en évolutif si tu souhaites toujours le devenir.

Aujoud'hui je suis sorti du Temple, j'ai pris le bateau qui me ramenait sur ce territoire souillé par les pas des hérétiques. Des Imposteurs circulaient souvent d'après ce qu'en avait observé les juges, peut-être tomberais-je sur l'un d'eux. Je ne croisais que quelques personnes, je n'allais pas me rabaisser à eux et leur faire l'honneur de les envoyer rejoindre l'Unique, je passais mon chemin.

Le croisement nord se présenta devant moi, je puis entendre des paroles et des mots au ton toujours plus élevé un peu plus loin. D'abord deux nains qui étaient en train de s'en prendre verbalemment à un Imposteur avant qu'ils ne me voient. Leur attention se porta de suite sur moi. Le Général nain escorté d'un de ses hommes commença à m'insulter :

"Encore un chien de Cyriciste... c'est plus amusant à traquer que les Bainite."

"Nul ne traque l'Eperon d'Ebène, répondis-je, nains... c'est lui qui vous pourchasse pour répandre la mort et de le chaos"

L'imposteur, couard comme il était, profita de cette nouvelle altercation pour fuir. Un troisième nain avec un arc apparut, puis d'autres voyageurs, j'étais seul au milieu de tous, je devais me replier, et puis il y avait ce stupide général nain qui voulait se battre contre moi... je sortis une baguette qui me dissimula en l'activant. Je me repliais un peu dans le bois pour me protéger et incanter la puissance de l'Unique. Comme prévu ils me suivèrent. L'archer leur mit des sorts de détection pour qu'ils puissent enfin me voir, je restais là devant eux, triomphant. Ce couard de générale commença à pleurnicher, il voulait que je dissipe les sorts que j'avais activé, il n'osait pas m'affronter ainsi, je jubilais de le voir si tremblant devant moi, de ne pas oser me combattre, le doute l'avait envahi.
Puis une naine, passa près d'eux, ils lui dirent de partir, c'était dangereux... je riais, elle marchait innocement et se mit à peine à quelques mètres de moi. Je me suis rué vers elle, la menaçant de ma lame. Je la prennais ainsi en otage sous les cris impuissants des autres nains. Je dis au général nain que ses hommes devait se montrer et puis partir vers le nord, sinon elle mourrait. Il ne puit que ses résigner à le faire. Je lançais un nouveau sort pour voir s'ils avaient bien respecté ces consignes, puis je la relachais avant de me dissimuler à nouveau, je partis plus au sud, jouant au chat et à la souris avec le Général. Dans un coin reculer, j'incantais la puissance du Dieu des Dieux, il me donnerait la victoire. Puis ce nain, fou au point de me suivre seul approcha et je me ruais vers lui. Totalement pris au dépourvu, il ne résista pas face au Fils de la Vraie Foi et tomba rapidement. L'archer qui s'avéra être un maitre des ombres m'attaquaient, je pris une flèche dans le bras mais j'en avais vu d'autre, le général au sol baignant dans son sang était une réussite, je puis retourner au Temple.. blessé mais triomphant.

Ainsi maintenant dans tout Karhak drim, les nains peuvent voir que nul ne s'oppose au Soleil Noir, que l'Eperon d'Ebène ne peut être vaincu et que tout ceux qui s'opposeront à lui connaitront le même sort.... Gloire aux Chevaliers du Pal, Gloire à l'Unique !

La forêt de Luskan était plutôt calme cette nuit, trop calme pour l'Unique, il voulait des cris et des plaintes, des hurlements de douleur et des morts. Je lui apporterai, mon Maître aurait ce qu'il attend de moi, dussais-je tuer un autre fils du Mensonge.

Je restais un moment là à prier l'Unique et c'est pendant ces quelques litanies qu'il apparut, un chevalier de l'Ursurpateur, le faux dieux des morts. Ce fut une aubaine pour moi, je me préparais déjà à combattre après quelques mauvaises paroles échangées avec cet hérétique. Mais c'est à ce moment là qu'un étrange groupe arriva. Une elfe, une femme au teint pâle et ce soi-disant chevalier noir de l'Unique, celui-là même qui avait fait l'affront de me tutoyer devant tous les fidèles du Temple en osant prétendre que je ne méritais pas son respect. J'allais lui apprendre à me respecter, je l'avais prévenu : "Recommencez une fois à me tutoyer et vous le paierez par votre sang."
Devant un groupe si païen pour l'Eperon d'Ebène, un chevalier noir ne se déplace pas avec une court mais il l'annihile, je m'écriai :

"Chevalier, que faites vous avez ces gens, j'exige des explications"

"Je n'ai rien à t'expliquer, je m'amusais quoque tu en dises, répliqua-t-il."

Ce furent les paroles de trop, je commençais à invoquer la puissance de l'Unique comme si de rien n'était, le chevalier de l'Usurpateur pensait même que le combat entre lui et moi allait débuter mais à sa grande surprise, je ne me ruai pas sur lui mais bien sur le Chevalier de Cyric qui, totalement pris au dépourvu, s'effondra rapidement dans son sang sur le regard surpris mais toujours inquiet des autres.

"l'Eperon d'Ebène ne tolère aucun manque de respect. Je t'avais dit de ne plus recommencer, tu ne m'as pas écouté maintenant tu paies le prix fort. Puisque mes mots n'ont pas suffit, je te l'ai appris par l'épée, c'était le châtiment que tu méritais."

Le chevalier de l'Usurpateur pris le corps de l'elfe que portait le chevalier de Cyric et s'en alla sur quelques mots : "Au plaisir de ne pas vous revoir." Quant à moi je regardais ceux qui restaient, le chevalier à mes pieds et cette étrange femme à la peau pâle qui aurait pu fuir mais qui est resté là bizarrement. Je lui ordonnais de tirer le cadavre jusque là où je le souhaitais ou bien de mourrir de ma lame ou encore de tenter de fuir et de mourir tout de même de ma lame. Elle choisit la première solution. Elle enlevait les parties lourdes de l'armure et finalement mis à nu le chevalier au sol pour le tirer lourdement sur le sol boueux de la forêt. Arrivé à destination, je l'assomais. Par l'intermédiaire d'une aide des Vrais Croyants, je fis transporter les corps jusqu'au Temple.

Je demandais aux gardiens qui portaient le corps de trainer au sol le chevalier tout en criant sur le chemin du Temple que l'Eperon d'Ebène n'accepterait aucune écart de conduite, tout manquement à son éthique sera puni de cette façon. Tous les Vraies Croyants sur l'île virent ainsi ce qu'il en coutait de se moquer du Chevalier de Valterne. Le corps fut trainé aussi dans le temple, les gardiens et épéistes donnant des coups de pieds pour se défouler dans la dépouille du perdant. Il fut mis en gêoles, à peine soigné pour qu'il résiste à la nuit. La femme au teint blanchâtre quant à elle fut emmener en salle de Purification pour y recevoir le traitement qu'elle méritait...

Gloire au Soleil Noir !