- Citation :
- Nom du compte joueur: hiphopeuz
Nom du perso: Gwendoline
Race: Demi-elfe
Age: 19
Alignement: Chaotique mauvais
Religion: aucune pour le moment
classe(s): Barde(15)/Assassin(10)
Arme de prédilection/domaines/école de magie: Katana, fouet
Trait de Caractère: Sadique, Manipulatrice, Sournoise, Vicieuse, Insolente/ Gentille, Sensible, Attentionnée, discrète, Impulsive
Description physique: originaire de l’Est, la peau mate, les cheveux bruns ainsi que deux yeux bleu mysérieux et profond, rempli de tristesse. Charmeuse dans sa démarche, discrète dans la prise de parole. Elle est vétu d'une capuche cachant une grande partie de son visage.
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*Au alentour de Luskan, Gwendoline s’assoit dans un coin retiré, adossée contre un arbre, fatiguée de son voyage et commence à chanter silencieusement* « Ce matin le soleil était sortit de sa tanière,
Et il éclairait les collines de sa forte lumière.
Les bruits des troupeaux qui remplissent la plaine,
Etaient semblables aux éléments qui se déchainent.
Ma tribu se déplaçait en fonction des saisons,
Suivant la migration de l’ours et du bison. »
*un parchemin en main, Gwendoline écrit tout ce qui c’est passé jusqu’à son arrivée ici*Moi, Gwendoline, originaire de l’Est et ma tribu est nomade. Ce matin là, cela faisait 11ans que j’étais née dans les prairies, au Nord du Val de Bise o mes ancêtres ont périt. Il y avait un regroupement d’hommes, de femmes et d’enfants, d’animaux éparpillés qui vivaient au rythme des vents. Seulement j’étais différente, mentalement développée plus que les autres. Aucuns bijoux et aucunes peintures ne m’habillaient, seul un tatouage en forme de plume plaçait sur ma clavicule. Une amoureuse des moments de silence qui s’éclipse parfois sans qu’on en prenne conscience. Fille, ancêtre porteur de la plume, aux conseils utiles et aux secrets de la Lune. Il me disait que ce monde était le mien et que bientôt je trouverai mon chemin. Qu’il fallait se méfier de l’homme blanc et de son alcool qui me dépouillerai de mes terres.
Un soir d’hiver, je partis méditer, au sommet des collines enneigées, là où les anciens venaient se couper du monde.
Mais subitement, une vision m’apparut, mon village massacré par des soldats inconnus. Je dévalais la montagne à toute allure en refusant ce futur, j’empoignai ma monture. De la fumée qui jaillit de mon camp, je me rassurai en espérant le feu de camp. Je rembobinais la scène que j’avais eue. En arrivant, c’est l’horreur qui me saisit, la vision d’un tas de corps sans vie : aucuns tipis, aucune âme n’a survécut, aucuns arbres aucunes fleurs tout est abattu. Svinkels, mon amour caché à la tête trouée de coup de couteau. Quant à ma mère scalpée aux parties génitales. Des nourrissons cloués sur des arbustes, des mères porteuses éventrées de leur fœtus.
*Gwendoline lâcha sa plume, prend une profonde inspiration puis murmure silencieusement*« Comment comprendre le geste de ses brigands,
Si ce n’est la cruauté de leur imagination.
L’homme est capable du meilleur comme du pire,
Du sourire ou de faire souffrir.
D’aider les autres à porter leur fado,
Ou d’être à l’origine des sévices du bourreau.
Les pilleurs sont des loups,
Ils nous chassent et s’imposent.
Se venger sera la seule solution… »
*Reprend sa plume*La fin de ma vision pris fin. Désormais je chevauchais comme la foudre et l’éclair.
Quelques heures passèrent, ma haine m’envahissait, trouver ces mercenaires était ma seule préoccupation. Seulement j’étais inconsciente de leur puissance, seule la vision du visage de Svinkels et celle de ma tribu me hantait.
*Gwendoline relève la tête, les yeux fixés dans le vide*Bientôt j’aperçu la poussière de leurs chevaux et j’accélère le galop. Deux hommes se retournent et au cœur de l’affrontement, je repense à ma tribu. Poussée par la colère, je tente d’enfoncer ma dague dans sa jambe mais celui-ci me projette au sol.
*Pose à nouveau sa plume et recommence à murmurer*« C’était un bel étalon, majestueux et noir,
Messager de l’espoir.
Il m’attendait sagement, paisiblement au vent,
Ses yeux pétillaient et sa petite tête scintillait.
Cheval de mon cœur, galope dans le bonheur… »
*Elle reprit ensuite son écriture*Sultan me voyant au sol, fit tomber le cavalier de sa monture et le piétinait, plusieurs hommes armés lui enfonçèrent nombres coups d'épées dans toutes les partie de son corps. Celui-ci s’étala à terre et donnera bientôt son dernier souffle. Je le regardais, pétrifiée, l’enlaçant de mes petits bras en le suppliant de survivre. Les rires mauvais jaillissent de leur bouche et me regarde avec intérêt. Aucunes larmes n’avaient frôlé mes joues, seul mon cœur pleurait. Un des mercenaires s’était approché avec arrogance dans ma direction puis se retourna pour chuchoter avec ses collègues.
Pendant ce temps, j’étais installée auprès de Sultan. Celui-ci dont le regard s’envolait ainsi que sa respiration de plus en plus faible … je lui murmure :
« -Brave pur-sang arabe, là haut occupe toi de Svinkels, je vous aime …, je n’ai plus rien à perdre, maintenant ne souffre plus, tu es libre… » Je lui coupai quelques crins, puis avec une profonde tristesse, j’empoignai ma dague et lui arrêta net la respiration….Son cœur s’était stoppé de battre. Je retins mes larmes jetant des regards noirs aux humains.
Ils s’avancèrent ensuite, me mirent dans un sac et je fus trainée derrière les chevaux en pleins galop. Lorsqu’ils ouvrirent le sac, j’aperçus l’intérieur d’une petite caserne, remplie d’armes et de soldats en armures. Un homme surgit d’un bureau : le chef d’arme, le sourire sournois en m’apercevant.
« -La capture a été bonne à ce que je vois ! »Il m’emmena dans sa chambre, je ne pouvais me débattre, mes jambes étaient sillées marquées de nombreuses blessures dû au voyage.
Il m’observait, j’étais silencieuse, recroquevillée dans un coin obscure de la pièce, le regard perçant. Je pensais à Svinkels pendant quelques minutes avant que l’individu ne commence ses sauvageries. Il s’approcha, le fouet en main et le sourire mauvais. Je ne bougeais pas, fixant le soldat de mes deux yeux. Il me criait dessus, comme si j’étais une bête de foire, le fouet claquait sur toutes les principales parties de mon petit corps : les jambes et le dos. J’étais à terre…paralysé de douleur, je me répétais sans cesse de résister et de ne pas montré ma souffrance.
Une phrase me trottait dans la tête :
« -Comment comprendre le geste de ses brigands si ce n’est la cruauté de leur imagination … »Il se baissa soudain et me murmure :
« Brave petite bête, tu ne supplie même pas ... » Je tournais légèrement la tête, lui crachant à la figure.
Celui-ci s’essuya et me hurle :
-Garce ! Je vais te montrer le respect que tu me dois, et l’obéissance à l’homme ! » Il m’emmena à l’infirmerie pour soigner mes blessures. A ce moment, je ne comprenais pas son geste de générosité … puis il m’enferma dans une cellule.
*Gwendoline lève légèrement les yeux vers le ciel, réfléchit longuement jusqu’à ce décider à reprendre son écriture*Quatre ans passèrent, quatre ans de soumission, quatre ans de souffrance, quatre ans …Cette caserne…rempli d’hommes impurs, avides de sang. Je fus éduquée à leur façon malgré mes nombreux refus d’obéissance, il ne m’apprenait rien ... J’étais simplement soumise à tout leur désir, anéantie … détruite …je ne retiens qu’un point positif à ces situations : cela renforçait mon caractère, mais mes émotions disparaissaient petit à petit, plus le temps s’écoulait.
Ces soldats après chaque batailles, après chaque affrontements, se défoulaient sur moi lors des soirs de fêtes. Je méditais quelques instants, pensais aux personnes que j’aime puis venait l’heure où le premier homme venait me chercher, pour ensuite m’enfermer dans sa chambre … une heure interminable : violence verbale et physique, viole et humiliation …
Pourtant je me défendais sans pouvoir me sortir de cet enfer, je savais très bien que plus je leur tenais tête et plus ils continueraient.
De retour dans ma cellule, je faisais le vide, pensant à rien de tout ce qui c’était passé auparavant…
*Gwendoline parle silencieusement*« J’ai besoin d’air pur,
De me vider par l’écriture.
De remise en questions
Et de résolutions.
Besoin de libérer mon esprit,
Pour emprisonner le mal que j’ai appris.
J’ai besoin de croire dangereusement en tout ce qui est impossible,
Puisque j’ai besoin de m’ouvrir pour être plus objective. »
Subitement, un miracle apparut : un jeune homme dont les yeux et sa chevelure était noir, avait été embauché comme nettoyeur. Entre lui et moi se fut le coup de foudre, un coup de foudre caché… c’était comme un déjà vu, que je le connaissais parfaitement. Souvent, il me consolait, me rassurait avant que le premier soldat vienne me chercher. Il m’enseignait quelques techniques de combat basé sur la sournoiserie, l’agilité et la dextérité.
*Gwendoline relève la tête et se répète plusieurs fois de suite …* « -Salif …Salif… »C’est un être fourbe, vêtu de noir, influençable et très intelligent. Il savait que je me situais ici et que j’avais besoin d’aide, mais comment ?
Depuis longtemps je pense à la réincarnation de Svinkels …Peut être que je suis folle et que Salif n’est que ma simple imagination ?
Pendant ces quatre années et encore aujourd’hui, je continu d’avoir des pulsions meurtrières, dû à la violence …
*Gwendoline prononce une phrase ...* « -La parole et la sagesse sont des atouts mais montrer les crocs et indispensable… »*Elle sourit ensuite sous sa capuche…* Lors d’un « tête à tête » avec un soldat, j’eu une forte prise de conscience d’en finir avec ça. Aveuglé par mon côté félin, l’homme était faible, à ma merci. Je pris donc ma dague et en deux coups ajustés, son visage saignait, la joue coupée et l’œil crevé. L’homme se mit à crier de douleur et s’écroula au sol. Je me baissai à la hauteur de son oreille et lui murmure :
«- Je vous ai prévenu, je suis sauvage et vous le savez, vous êtes si faible quand on vous plait que je te domine à présent… »L’homme essaya de se relever, je le mis face au sol me mettant dessus.
« Vous m’obligez depuis trop longtemps à me soumettre à vos désirs, ma dignité à disparue mais je la récupérerai… »Ma dague en main, je lui enfonçai délicatement dans le dos en descendant de plus en plus bas. Je me moquai de sa souffrance, qu’il paye !
*Un court instant, elle réfléchit, hésitant à inscrire se passage*Le soldat bégaya :
« petite panthère, tu es prise au piège *crachant du sang* tu es a nous jusqu’à la fin de ton existence … »Le regard haineux je répliquai :
« tu ne souffriras plus, désormais je ne t’appartiens plus… » A pas de velours, je m’approchais avec le sourire puis je lui enfonçai la dague dans la rate. A cet instant j’étais soulagée :
« Un de moins… Svinkels, Sultan … ma vengeance commence. »Je fus battus et punis : pas de nourriture avant le retour du chef d’arme.
*la nuit tombe et Gwendoline s’assoupi dans les profondeurs de la forêt*[HRP]mon BG n'est pas finit, je mettrai la suite plus tard... pour ce qui est de la classe assassin, se sera dans la suite du BG[HRP/][url]