[Validé/disparu][Barde][E]Malwaë Aiwë

Citation :

Nom du compte joueur forum : Wildcat
Nom du compte joueur module : Wildcat555
Nom du perso : Malwaë Aiwë
Race : Elfe
Age : 132 ans
Alignement : Chaotique, Neutre
Religion : Sehanine Archelune
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Barde (Multiclassage possible selon l'évolution Ingame)
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Épée courte
Langues : L'elfique, le commun
Trait de Caractère : Double personnalité
Personnalité de l'elfe: Douce, aimable, naïve, délicate.
Personnalité du Fauve: Fourbre, menteuse, manipulatrice, rancunière
Description physique :
Traits importants dut aux nouveaux corps: Yeux de chat, dents pointues, griffes, ronronnement, vision améliorée dans le noir (en noir et blanc constamment par contre)

Si jamais il y a problème, je peux tout a fait jouer ses traits ingame.

Caractéristiques :
FOR: 10
DEX : 16
CON : 12
INT : 12
SAG : 10
CHA : 16

Description physique :

(N.B: Le personnage à deux yeux de chat, le montage est pour montrer ses deux personnalités.)

!!!À noter que les inscriptions en italique permette de savoir la personne qui est en train d'écrire dans le journal, puisqu'elle variera souvent.!!!

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Jour 1- Affamé d’impatience

*Les pages de ce livre semblent écrite dans une langue étrangère*

Ce que je suis . . . je suis Ahriman, puissant lanceur de sort de mon peuple, ceux comme moi se font plus couramment appeler les Chercheurs. Pendant que les Warlocks et les Rukhs partent en mission, nous nous restons dans notre cité au fin fond de la jungle à tenter d’apprendre, d’améliorer et d’enseigner notre savoir à notre progéniture.

Et voila nous en sommes venu à ce jour. On m’autorise enfin à débuter mes recherches. Je frémis d’impatience à me rendre sur leur plan pour les observer, les espionner, les connaître du bout de leurs cheveux jusque dans la pointe de leurs pieds. Mes poils s’hérissent juste à penser à l’idée de tenter un nombre inimaginable d’expérience sur eux. Peut-être que pour une fois ses impitoyable races inférieures pourront servir à autre chose qu’à nous nourrir . . .

Ce que je suis, je suis un Rakshasa et ceci est mon recueil.

Jour 5 – Introduction aux sujets

Il faisait jour depuis un bon moment que déjà j’étais transformé. Comme eux, je déambulais dans les rues de la ville. Les commerçants étaient à l’extérieur, près de la place du marché, les femmes s’approchaient des étales de bijoux précieux.

Comportement des femelles humaines: Aiment les bijoux, les pierres précieuses

Je continuais de les regarder, je les observais en détail. Leurs mouvements, leurs paroles. Les mâles tentaient des sortes de parade devant les femelles pour les séduire. Ce fut presque amusant lorsqu’un se prit une belle gifle.

Comportement des mâles humains : Aiment les femelles

Alors que je m’amusais follement à regarder cette race si lamentable, on m’a tapoté l’épaule, je me suis retourné doucement. C’était un jeune mâle, il avait un sourire presque exagéré aux lèvres, sa me donnait envie de le lui arracher. Il m’a serré la main et m’a traîné jusqu’à un recoin vieux et sombre de la ville, dans une taverne humide et obscure. Je me suis retenu pour ne pas le déchiqueter en morceau. Nous avons parlé, il a tenté de me vendre une multitude d’objets inutiles puis il m’a payé un verre. Nous avons discuté, et j’ai trouvé que ce mâle ferait un bon premier sujet.

Nom : Tanis
Âge : 29 ans
Sexe : Mâle
Ambition : Inconnue
Loisir : Visiblement, boire.
Travail : Marchant
Description : Cheveux blond, yeux bruns, plutôt petit si on compare au reste des humains. Il ne semblait pas très gros non plus.
Traits de caractère intéressants : Amical et naïf.

*Les pages suivantes du recueil semblent remplies de notes de phrases, de noms et de comportements de la part des humains. Les notes semblent au cours des pages revenir du pareil au même jusqu’à cette page*

Jour 32 – Liens possible avec le sujet

Cela fait déjà plusieurs jours que l’humain est mon sujet principal. Il semble vouloir passer beaucoup de temps avec moi. Ça peut s’avéré une bonne chose, je commence à tout savoir sur lui. Bientôt à ses yeux nous serons . . . comme ils appellent ça déjà? Ah oui . . . des amis. Peu importe, j’ai bien hâte de voir ou m’amènera ses nouveaux liens, enfin ceux que l’humain se tissent seul.

*Les pages qui suivent sont remplies de diverses choses, dont des sujets qui ne semblent plus parler de Tanis mais d’autres comportements humains. On remarque une note importante cependant sur une des pages.

‘’ Selon l’humain, je suis officiellement son ami maintenant.’’*

Jour 78 – Crime en ville

Enfin un peu d’action dans cette ville d’humain. Un crime, un meurtre, du sang, cela faisait plaisir à voir que tous n’étaient pas aussi naïfs et blanc comme mon premier sujet humain. Ces humains comment de plus en plus à m’intéresser. Tous semblent des sujets pertinents. La seule chose que j’aime chez cette race, c’est qu’ils sont imprévisibles.

Je ne vois plus beaucoup l’humain, est-ce un autre comportement illogique des hommes, que de disparaître sans avertir. De toute façon, mes notes sur lui commençaient à s’achever.

Jour 165 – Sauvetage inattendu

La ville grouille d’action ses temps si. On racontait qu’un mage fou en aurait auprès des autorités, mais rien n’était fondé jusqu’à aujourd’hui. J’étais sur la place centrale, étrangement Tanis y était également. Il m’a sourit, du même sourire exagéré mais il me dérangeait moins maintenant. Soudain, nous avons entendu des incantations magiques.

Les gens se sont mis à courir dans tout les sens, ça criait, cela hurlait. Les soldats courraient vers le magicien, mais il eu juste le temps de lancer une ravageuse boule de feu sur la place. C’est à se moment que Tanis c’est mit devant moi. Les flammes ont mangé son dos. Enfin dévoré serait le mot plus juste.

J’aurais pu facilement contrer le sort, mais cela aurait éveillé trop de soupçons. Voila un autre comportement inexplicable des hommes . . . pourtant je lui en suis reconnaissant.

Jour 170 – Le bref retour

J’avais un bon nombre de note sur les hommes donc je suis rentré. Je pouvais commencer à tout analyser. Rien ne se passa comme prévu. À leurs yeux, j’étais devenu trop humanisé. Sans même vouloir savoir les résultats des recherches, ils m’ont exilés. Je dois me résigner maintenant à voyager de monde en monde.

Je retournerai donc sur le plan des hommes pour achever mon travail et peut-être pousser mes recherches encore plus loin avec les nains ou les elfes.

Jour 230 – Introduction aux Elfes

Transformé en elfe, je suis allé continuer mes études de ce côté. Un peuple plus tranquille et moins mouvementé que les humains, ils sont cependant un côté gracieux fascinant. Mon principal sujet est une elfe.

Nom : Lalwendë
Âge : inconnu
Sexe : Féminin
Loisir : Chanter
Travail : Jouer de divers instruments lors de spectacle
Description : De longs cheveux noirs, des yeux bleus encadrés de longs cils. Svelte.
Traits de caractère intéressants : Souriante, délicate

Jour XX – Rapprochement avec le sujet

Je ne comprend plus ce qui m’arrive. On dira qu’elle m’a envoûté, qu’elle m’a enchanté. Je ne prends même plus de note sur le peuple elfique, je ne fais que passé mes journées avec elle. Je crois que je commence à comprendre le sens d’ami que disant souvent Tanis. Elle semble avoir confiance en moi, et pourtant ce n’est pas tout à fait moi. Je me surprends même à vouloir la protéger, pour que rien ne puisse y faire du mal. Je ne me comprends plus.

Jour XX – Concentration affaiblie

Sa joie de vivre et sa gentillesse déteignent sur moi. Son sourire me charme, elle me fait presque perdre ma concentration. Ce qui ne faut pas, sinon je retrouverais mon apparence d’origine et je doute qu’elle m’appréciera autant. Je ressens quelque chose en moi lorsque je suis avec elle. Quelque chose que je ne puis contrôler.

Je ne pourrais pas tout cacher indéfiniment, soit je lui dis, soit je pars. Je dois y réfléchir . . . oui, réfléchir et me reposer.

Jour XX – Baiser et découverte

*Cette page n’est plus écrite en langage étrangère comme les précédentes, elle est plutôt rédiger avec un soigné et délicat elfique*

Ce que je suis . . . je suis Lalwendë, petit barde elfique. J’ai tout découvert, de manière plutôt surprenante mais pour le moment rien ne me déplait dans cette découverte. Le temps avait passé depuis notre première rencontre. Il avait ce quelque chose de différent. Il tentait constamment de tout savoir. Comment je voyais les choses, quels goûts avaient les fruits et même encore comment je ressentais certaines émotions. Mon cœur finit finalement pas me chanter dans un murmure qu’il était amoureux. Je l’ai donc amené dans une clairière tranquille, je me suis approché pour lui donner un doux et délicat baiser. Il en a perdu sa concentration, tout son corps à changer.

Je ne connais que peu de chose sur sa race, mais la crainte que ses yeux m’envoyaient n’était pas quelque chose d’habituel chez eux. J’avais découvert son secret, mais pour moi ça n’avait aucune importance. C’est de sa manière d’être et d’agir que je suis tombée amoureuse . . . pas de son enveloppe corporelle.

Jour XX – Début d’un long secret

Nous avons du partir de mon village elfique, le secret devenait trop grand, surtout avec un nouveau membre qui était au courant. Nous nous sommes cachés en forêt jusqu’à ce que ma petite boule de poils soit apte à imiter son père et ainsi pouvoir changer de forme un certain temps pour échapper aux soupçons. Chose faîte, nous avons voyagé jusqu’à Lunargent pour nous y installer.

Nous avons bien évidemment choisi notre demeure dans un coin éloigné pour rester discret et ne pas trop se faire déranger par les habitants. Pour gagner notre vie, nous montons plusieurs spectacles. Avec mes deux amours, les gens semblent encore plus fascinés. Ils peuvent interpréter plusieurs rôles, des nains, des elfes, des hommes. Ça fascine le public de voir leur don. Au moins de cette manière, ils ne pourront jamais savoir leur vraie nature et notre famille restera hors du danger.

Jour XX – Spectacle et comédie

*Les pages sont toujours inscrites en elfique, mais celui-ci semblent beaucoup moins soigné, visiblement l’auteur du journal à changé*

Des spectacles, ma famille ne fait que cela. Nous sommes rendus plusieurs. Mais tous nous sommes enfermés dans ce secret. Ma mère peut facilement changer de forme, moi j’ai de la difficulté. Ils ont tous essayé de m’apprendre, mais je reste incapable de tenir une transformation pendant un long lapse de temps. De toute manière, je n’ai pas envi de donner des spectacles.

S’en ai assez, ce soir, je me délaisserai de ce secret, je les quitterai. Ça n’est pas mon destin que d’être un comédien. De toute façon je ne pense pas comme eux. Nous sommes bien au dessus des autres races. Nous n’avons pas à nous cacher à mentir. Je trouverai un moyen, de survivre dans eux.

Jour XX – Une vie de nomade

*Cette page ne ressemble pas à un écrit ordinaire mais plus à une lettre adresser à la secrète famille*

Je pars, comme je l’ai déjà écrit. Je hais les humains. Pour eux, je ne suis pas vivant, je suis une bête sauvage. Je me trouve trop dangereux pour rester auprès de vous. Mais sachez que vous ne pourrez pas vous cachez indéfiniment. Je préfère partir, vivre ma vie, trouver un moyen de vivre avec ce handicape sans avoir à mentir et me cacher constamment.

Soyez prudent

Une dernière petite chose, prenez soin de ma fille chérie. Protégez la, l’amenez avec moi serait trop dangereux et je sais qu’elle trouvera sécurité auprès de vous. Faites moi l’honneur de lui remettre ce journal lorsque vous lui aurez appris à lire. Merci.

Turambar – Kaithaba

Jour XX – Le début d’un voyage

*L’écrite des pages suivantes devient petite et fine, la journal à finalement été donner comme prévue à la fille de son ancien propriétaire.*

Je suis Malwaë Aiwë, je suis la dernière née d’une longue lignée ou on nous apprend déjà jeune, notre secret. On nous enseigne à maîtriser nos pouvoirs. Moi, je n’ai pu hériter que d’un physique de semi chat et d’un don particulier pour mentir au gens et pour jouer la comédie. Je ne me suis pourtant pas assoupit sur ce don. Je l’ai perfectionné, toute ma famille m’y a aidé.

De toute évidence, ma famille au grand complet est douée pour jouer dans des pièces de théâtres. Moi c’est ce que je préfère, certains de mes cousins préfèrent faire des tours de magie, peu importe, j’adore avoir différentes personnalité, de jouer différents rôles. Ensemble, nous ferons une caravane assez connue. Nous essayons cependant de rester discret, pour ne pas éveiller les regards un peu trop curieux. J’aurais aimé que mon père me voie à ma première représentation. Sa présence me manque, il me manque.

Nous sommes partie de Lunargent, il n’y a pas longtemps. Étant donné que je ne peux pas me transformer, on m’a placé un fin bandeau sur mes yeux de chats de sorte à ce que je puisse voir l’extérieur sans que les autres sachent que mon regard est celui d’un fauve. Et quant à mes mains, on m’a fabriqué des gants spéciaux qui me permettent de paraître normale.

Nous nous sommes arrêtez dans plusieurs villes, les gens nous ont aimé. Nous voyageons maintenant en direction Yûlash.

Jour XX – Yûlash, des essais et un soupçon

Nous voila rendu à Yûlash, notre premier spectacle est demain. Mes rôles commencent à tourner en rond, je ne trouve pas ce petit quelque chose pour les rendre vrais. On dirait que je fais simplement lire les textes . . . mon don se détériore . . . c’est possible . . . enfin, je n’espère pas.

J’ai tout essayé pour fasciner d’avantage les gens. J’ai mit plus d’intensité, plus de . . . Ah! Si je n’aurais pas ce satané bandeau, je pourrais en plus de ma voix et de mon corps, user de l’expression de mes yeux.

Il fait noir, je n’en peux plus. Je retire soigneusement mon bandeau, je cligne des yeux. Puis je me mets à réciter mon texte de demain. Déjà, je trouve que ça coule mieux. Ça sonne plus vrai. Mais je n’ai pas cette émotion de tristesse et de drame.

C’est en pensant à mon père que tout s’est éclairé, j’avais maintenant l’émotion, l’intensité, tout était réunit dans une union parfaite, on aurait dit que j’étais une personne complètement différente. Puis j’ai senti comme une poussée magique virevolter en moi. J’avais réussi . . . de part ma comédie, j’avais charmé la toile.

Je continuai de répéter et je réussis même à illuminer mon petit recoin sombre. Puis soudain, je m’arrêtai brusquement, je me retournai. Mes yeux fendant la noirceur. J’entends un cri de frayeur de la part d’un jeune garçon qui part à toute vitesse. Aussitôt, je cours pour récupérer mon bandeau. Qu’est-ce que la famille allait dire en apprenant que j’avais éveillé un soupçon à notre secret?

Jour XX – Dure Révélation

Je leur ai tout dit . . . et ça ne les a pas plus. Ils ne m’ont pas punis. Ils savaient de toute évidence que ce secret serait ébruité tôt au tard.

Le spectacle s’est bien déroulé, avec mon rôle qui a éblouit la salle, nous avons fait encore plus de profit que les autres fois. J’ai même reçu des félicitations de ma plus vieille cousine.

Jour XX – L’horreur d’un secret dévoilé

*Les prochaines pages sont écrites d’une main tremblante, et plusieurs tâches d’encre montre que la personne ne sait pas appliquer, pourtant les lettres se ressemblent. C’est assurément le même auteur.*

C’était horrible, mes yeux en pleurent encore. Le secret a été dévoilé. C’est . . . c’est . . . c’est ce tyran! Celui qui habite Montéloy. Il nous a tous pris, il nous a tout enlevé. Je . . . je n’ai pas beaucoup de temps, j’entend des pas. Je ne sais pas qui sera le prochain. Mais, c’est certain, on ne le voit jamais. . .

Revenir.

Jour

*Aucun titre, ni jour ne semble avoir été donné, comme si l’auteur se dépêchait*

C’était Narmacil, celui qui adorait jongler avec des couteaux de feu. Ils l’ont amené. Dans cette grande arène, pour que tous le voient. Comme si nous étions des bêtes . . . oui, oui des bêtes. C’est ce qu’ils répètent constamment.

Nous ne sommes plus beaucoup . . . non, non, non. Nous ne sommes plus beaucoup. On nous a enfermé dans de grande cage, ils nous ont même mit une chaîne autour du cou.

Oui, oui, il nous tire avec ça, comme une laisse. Mais ils ne t’ont pas encore trouvé. Ils ne te trouveront jamais. Oh non . . . jamais, jamais, JAMAIS.

*le reste des pages semblent être un ensemble de mot incompréhensible, laissant à croire que l’auteure à sombré dans un élan de folie*

Jour XX – Enfin, la revoilà

*L’écriture change un seconde fois, écrite par la main d’un elfe, elle ressemble de très près à celle de Turambar.*

Je l’ai retrouvé, elle va mieux, j’en suis heureux. Elle se repose à côté de moi. Son expérience fut des plus déchirantes. Ce Tyran avait fait courir la rumeur un peu trop loin, car elle est parvenu jusqu’à mes fines oreilles. Je n’ai pas réussi à vivre sans me cacher, mais j’ai réussi à maîtriser les ombres. C’est grâce à ce don que j’ai pu retrouvé ma tendre Malwaë. Il ne restait plus qu’elle dans sa grande cage, je n’ose imaginer ce qui est arrivé aux autres.

On la manipulée, on lui a crié des noms, des critiques, elle en tremble encore. Cette expérience lui laissera plusieurs séquelles. J’aimerais pouvoir tout effacer, avoir été la plutôt. Avoir été la pour elle.

Nous ne pouvons rester ensemble, c’est trop dangereux de vivre en groupe. Nous serons plus discret séparé. Je lui apprendrai comment tricher, comment fuir et comment éviter les gens. Je lui apprendrai à vivre dans le silence et dans l’ombre. Ainsi, elle pourra passer discrète dans les villes. L’idée du bandeau était intelligente, de cette manière on la prendra pour une simple aveugle. Je lui en achèterai un neuf ainsi qu’une paire de gant.

Jour XX – Un départ plus heureux

*L’écriture est redevenu plus fine, Malwaë a poursuit son journal.*

Même si ce fut bref, je suis contente d’avoir revue mon père. Sans lui, je ne serais plus ici, j’aurais sombré dans la folie. Ses conseils m’aideront beaucoup. Je ne compte pas me cacher. Je vais tenter de trouver une autre caravane pour donner d’autre spectacle . . . mais je serais plus prudente cette fois. Et plus question d’enlever ce bandeau.

Je l’ai serré fort contre moi avant qu’il ne disparaisse. Je commence mon voyage seule mais je suis tellement effrayée.

Jour XX – Nouveaux départ

Je me suis joint à une caravane, ils sont sympathiques. Ils croient tous que je suis aveugle, et pourtant ils admirent tous mon talent de comédienne. Avec eux, j’ai même appris à danser. Ils plaçaient eux même mes membres, m’aidaient à bouger, croyant que je ne les voyait pas faire. Pourtant, ça m’a beaucoup aidé. C’est une autre forme d’art que j’apprécie énormément. Ça me permet de communiquer des paroles sans avoir à parler. C’est comme jouer un rôle, cela montre une facette inconnue de ta personnalité, cela en dévoile une autre.


Jour XX – Perte de mémoire

J’ai des pertes de mémoire. Cela fait plusieurs fois, à plusieurs endroits, ma mémoire s’est perdue. Je me trouvais dans des lieux inconnus. J’avais dites des choses méconnues, des phrases dont je me croyais incapable de prononcer. Mes amis de la caravane ne me reconnaissent plus, pour être franche, je ne me reconnais plus moi-même. J’ai peur de ce qui se passe, j’ai peur du temps qui passe.

Jour . . .

*L’écriture à changé, l’auteur reste inconnu et ne semble pas vouloir donner de jour ou de titre*

Oh mais qu’est-ce que c’est que cela . . . un journal. Un journal intime. Je ne vais pas perdre mon temps à tout lire. Les gens entourent de moi commence à m’énerver. Et ce fichu bandeau. Je me rappelle leur crie. Ah oui, oui, c’est hurlement. C’est la faute des hommes. Je ferais couler leur sang, je me vengerais. Ils payeront pour ce qu’ils ont fait. Je me rappelle de leur crie. . .

Je me rappelle de leur crie

Leur crie. . .

Crie, crie, j’ai hâte d’entendre leurs cries.

Jour XX – Tout échappe à mon contrôle

*L'écriture semble être redevenue celle de Malwaë*

On écrit dans mon journal, mais j’ignore qui est-ce. J’ai demandé à toute la caravane mais personne n’y a touché. Qui veut me rappeler cette histoire . . . qui est-ce qui me hante de cette manière. Qui me voudrait autant de mal? Je frisonne de peur, je ne dors presque plus la nuit, et même si je tiens solidement mon livre contre moi . . . on réussit tout de même a écrire à l’intérieur.

Peut-être est-ce un puissant mage ou un . . .

Jour . . .

*L’écriture à changé, l’auteur reste inconnu et ne semble pas vouloir donner de jour ou de titre*

Il faut partir, il y a pleins d’humain autour de moi, je deviens folle, j’ai cette envie meurtrière de tout réduire la caravane en feu et cendre, pour qu’ils paient. . .pour qu’ils paient tous!

Le feu, la mort, les cries.
Je les entends dans ma tête, ça hurle constamment. Vengeance, vengeance!


Jour XX – Sombres jours

*L'écriture semble être redevenue celle de Malwaë*

Ce sont les gens de la caravane. Je ne leur fais plus confiance. Je suis certaine que c’est eux qui inscrivent toutes ses atrocités dans mon journal. Il faut que je parte, je ne peux plus rester avec eux.

Il faut que je parte loin, très loin.

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[Hrp]Un merci spécial à Valya pour certaines informations qui on aidé à écrire ce Bg[/hrp]

Ca me convient ainsi, Je Valide