[Parti][Validé][Paladine][H]Abiguaïl Kaerenn

Citation :: Nom de compte joueur : Abiguail Kaerenn

Nom de perso : Abiguail Kaerenn

Race : Humaine

Sexe : Féminin

Age : Une vingtaine d’années

Alignement : Loyale Bon

Religion : Sunie

Classe : Paladine

Arme de prédilection : épée longue

Description physique : Abiguaïl est une ravissante jeune fille d’une vingtaine d’années. Elle porte de longs cheveux roux comme sa déesse Sunie. Son visage est recouvert de tâches de rousseur, garni de yeux vert émeraude. Elle est très propre sur elle-même, son apparence compte énormément pour elle. Elle porte de séduisantes robes quand ce n’est pas une armure très bien entretenue. De plus, elle accompagne toujours ses robes de bijoux tels des colliers, des boucles d’oreilles et de bracelets.

Description psychologique : Abiguaïl est une jeune paladine qui accorde de l’importance à son apparence. Elle souhaite que les gens l’apprécient. Cependant, elle prend très à cœur son devoir d’aider les plus défavorisés et de poursuivre les êtres maléfiques et hideux. Elle est assez sensible et émotive bien qu’elle évite de le montrer. Elle doute assez souvent, d’autant plus qu’elle porte souvent des préjugés. Néanmoins, elle est parfois candide, elle fait trop confiance.

Histoire personnelle : Abiguaïl Kaerenn est née à Eauprofonde d’une mère prêtresse de Sunie et d’un père barde. Elle est fille unique et fut aimée tendrement par ses parents. Elle apprit le dogme de Sunie et devint très vite une dévote. Cela ne l’empêchait pas d’écouter son père lui raconter de fabuleuses histoires et légendes. Tout le monde voyait en elle une future prêtresse comme sa mère. Elle semblait être destinée à ce poste, tant sa beauté et son amour inondés son entourage de joie.

Avec l’âge, elle se montrait très attentive, altruiste envers les autres. Elle se donnait sans compter. Courageuse, honnête, elle était heureuse de pouvoir aider. Elle priait énormément, à tel point qu’elle suscitait l’admiration de la part du clergé. Elle était aussi ardente à suivre les préceptes de Sunie car elle doutait d’elle-même. Est-elle aussi bonne qu’il le fallait ? Les gens l’appréciaient vraiment ? Est-elle à la hauteur ? Cependant, elle sentait en elle, comme une flamme…un puissant appel vers la paladinat. Elle n’osa en parler à personne jusqu’au jour où une paladine du nom d’Enola parvint au temple.

Enola et Abiguaïl sympathisèrent de suite. Enola avait une trentaine d’année alors qu’Abiguaïl n’avait pas encore vingt ans. Il s’établit entre elles de forts liens d’amitiés. Abiguaïl sentit que c’était le moment de mettre ses convictions, sa foi à l’épreuve. Elle souhait devenir l’écuyère d’Enola afin de devenir elle-même, une paladine de Sunie. Enola accepta volontiers, elle n’était certainement pas venue ici par hasard. Ses parents acceptèrent que leur fille unique parte accomplir ce qu’elle semblait être sa destinée.

Quelques années passèrent, Abiguaïl faisait preuve d’abnégation, de courage dans son apprentissage. Elle se sentait heureuse, elle savait qu’elle avait fait le bon choix. Cependant, Enola perdit sa foi au fur et à mesure qu’elle vieillissait. Elle ne supportait plus ses devoirs. Sa jeunesse était derrière elle. Elle voulait se retirer et fonder enfin une famille. Enola décida de s’installer dans le Cormyr. Abiguaïl l’accompagna lors la retraite de son mentor, et devenait désormais paladine à son tour.

Ainsi, elle décida de rentrer à Eauprofonde. Elle revit ses parents qui furent ravis de revoir leur fille. Mais, elle devait aller plus vers le Nord, vers Le Val De Bise où le Mal se répandait…

validé

Les premières impressions de son arrivée à Padhiver d'Abiguaïl Kaerenn.

Lors de son arrivée à Padhiver, elle croisa une elfe du nom de Maessa. Un très ravissante et accueilante elfe de lune. Il faisait bon de parler avec une telle artiste. Elle me conseilla de me présenter à Dame Valérie de Lagrange, prêtresse de Lagrange et matriarche des Templiers. Elle fut ravie de voir une cité aussi belle avec des monuments imposants faits pour durer des siècles, une atmosphère de bonté, de bienveillance se dégageait de ses murs. Elle aimait rester à l'intérieur de la ville.

Elle rencontra Dame Valérie de Lagrange, mais elle fut fort occupée alors que des mercenaires de la légion écarlate arrivaient à Padhiver: Dame Béryl, une prêtresse de Tempus et Dame Cassandra. Une discussion assez houleuse porta sur Tempus. Abiguaïl n’appréciait guère le Seigneur des Batailles. Elle le considère comme en partie responsable de la destruction de la beauté de ce monde. De même, pour les mercenaires ; ils choisissent leur camp en fonction de l’argent. Mais, Dame Béryl ne parlait pas avec véhémence, bien au contraire, elle était enceinte et semblait être comblée. Alors Abiguaïl ne pouvait pas s’empêcher de rester assez pondérée devant ces adorateurs de Tempus.

Elle croisa Garente, un apprenti de l’Ordre des Veilleurs qui lui montra son groupe et présenta également les différences avec les Templiers. Abiguaïl fut satisfaite de pouvoir arriver dans une ville où le Bien était un pilier face au Mal. Elle se décida donc de poser sa candidature aux Veilleurs plutôt qu’aux Templiers car elle était en accord avec l’idée des Veilleurs qu’il fallait plutôt prévenir que guérir et le fait d’aider en priorité les plus déshérités afin qu’ils ne choisissent pas le Mal par dépit.

Elle rencontra alors Aerandir, le Patriarche des Veilleurs. Elle fut intimidée de voir tant de bonté et de caractère en une seule personne. Une aura chaleureuse s’exhalait de sa personne. Abiguaïl demanda de pouvoir intégrer cet ordre. Au bout de plusieurs jours d’attente, elle fut acceptée en tant qu’Apprentie. Elle remercia le Patriarche de la confiance qu’il lui portait et elle rajouta qu’elle était honorée de cette fonction et qu’elle saura fait preuve des meilleures qualités.

En se couchant, dans une chambre qui juxtaposée le temple de Sunie, elle ne pouvait trouver le sommeil. Elle était assez excitée mais aussi angoissée par les épreuves qui pourraient l’attendre. Elle se doutait que sa foi et son amour serait mis en rude épreuve, mais elle avait accepté le chemin de la justice. Elle pria encore une fois Sunie et elle trouva finalement le repos.

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Au chaud au cimetière

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