[BG Evolutif][Validé][Roub/enso/Chevalier noir]Ana Menarnn

Citation :: Nom du compte joueur:. Xurantar.
Nom du perso:Ana Menarnn.
Race: Humaine.
Age: 23 ans.
Alignement: Neutre Mauvais.
Religion: Shariste.
Classes : Roublard. (Multiclassage envisagé : Ensorceleur , Chevalier Noir.)
Arme de prédilection/domaines/école de magie:
-Sabre (Katana manier a deux mains, sans bouclier, sans deuxième arme.)
-Affinité avec Acide/Ténèbres (Évocation principalement) : [Auto restriction du multiclassage d'ensorceleur : Nécessité de posséder les sorts en rapport avec l'acide, et les ténèbres]
Trait de Caractère: Partagé entre son "rôle" et son caractère réel: fanatique.
Description physique: -Peau d'un blanc maladif.
-Cheveux noir "Corbeau".
-Taille petite.
-Corpulence moyenne proportionnellement à sa taille.
Spécial : Nictalopie.

[BG Evolutif][Validé][Roub/enso/Chevalier noir]Ana Menarnn Ana

Chapitre 1 : Genèse.

Contexte du récit : La ville du Havre du Levant, membres des dix citées, vient de subir l'assault de Mercenaire et Pirate enrôler par un membre de la famille Sultar. Par une ruse, ils réussirent à éloigner tout les défenseurs éventuels en menaçant une autre citée, la brèche de Dougan, trouvant ainsi la ville du Havre du Levant sans défense ou presque.

Maintenant …

Une main blanche comme marbre ôtes la lame du corps inerte de mon père, elle peine, la lame a traversée la table aussi, elle vient retirer une mèche sombre qui me coule dans les yeux, avant de revenir à la charge, pour finir par la tiré dans le craquement des dernières cotes intactes.

Il y à 5 minutes …

J’entre dans la villes, une fumée épaisse me bouche la vue, je n'époumone a appeler mon père, je bute sur le corps de madame Béatriz.

Maintenant …

Ils reviennent, nos héros, ils reviennent, nos défenseurs, je vois dame Katie marchand au milieu des décombres. Les flammes d’un dernier incendies continus de monté derrière la butte. On me cris d’aller trouvez refuge au temple de Tempus.

Il y à 5 heures …

Je cour, j’étais dans les falaises, j'espionnais des gobelins à leur pathétique passe d’arme avec leur bâton, quand la clameur et la fumée a été porté jusqu'à moi, je cour jusque cher moi, à cour de souffle.

Maintenant …

Je me détourne du temple , je me dirige vers le soleil levant, je n’entend plus les pleurs des enfants qui ont plus êtres rassemblés.

Il y à 2 jours …

Ils embarquent, nos héros, ils embarquent pour Dougan, nos défenseur, il vont sauvé la ville de l’attaque disaient t’ils.

Maintenant …

J’hoquette un sanglots, marchant droit, je suis la main, elle est rouge, le sang de mon père à coulé de la lame à elle, je suis la main.

Il y à 1 semaine …

William s’en vas, me traitant de sorcière, un de plus de toute façons. J’ai repousser ses avances, mon père l’a chasser. Il me prend dans ses bras, me disant que c’étaient des paroles en l’air, qu’il ne faut pas m’en soucier.

Maintenant …

Je passe de la neige sur la main, la vue de ce sang me donne envies de vomir. La main bleu légèrement, sans lâché sa lame. Je me remet à suivre la main, elle est redevenue blanche.

Il y à 4 mois …

J’amenes quelques vivres à la maison, je les est achetez là bas, mon père me sourit, me demandant où j’ai trouvez cela, je ne répond pas. Il invites les voisins à prendre la soupe, l’embargo nous touche la ville durement.

Maintenant …

Je m’assois dans la neige, la main joue avec la garde de l’arme, je ne sais que faire, j’entend des bruits de pas. Je me redresse.

Il y à 1 ans …

J’observe ma peau blanchie, c’est étonnant, Maîtresse Tylnei est satisfaite de mes progrès au combat, elle m’a offerte une longue lame, c’est un peu lourd mais c’est plus simple a manier que d’essayer de faire pousser quelques choses dans ces terres gelées.
Maintenant …

L’homme est devant moi, il tien un cimeterre, je ne sais pas ce qu’il veut, il ressembleau au pirate que me décrivait mon père…

Il y à 5 ans …

Je prononces mes vœux a la Dame de l’Egarement. La pièces où m’a menée Tylnei est d’un noir absolus, je cache ma peur, elle semble disparaître au fur et a mesures de mes vœux. Je prend confiance en la déesse, je la laisse me guidée. Maîtresse Tylnei me remet une disque pourpre au bord sombre, la cérémonie est finis.

Maintenant …

La main abat la lame encore une fois, le pirate râle, rouge de son sang, la lame m’éclabousse, j’essaye de contenir la main, qui furieusement, continue de s’abattre sur les membres de l’homme terrasser.

Il y à 7 ans …

Je suis concentrée, j’essaye de faire jaillir l’énergie de mes mains, j’exécute l’incantation comme me l’a indiquée Maîtresse Tylnei, mais seule une sphère palote s’échappe de mes mains. Je crains qu’elle ne me punisse, mais elle ne dit qu’une chose. Je ne suis pas encore prête, plus tard peut être la maîtresse de a nuit m’ouvrira sa toile. Sans autre mot , elle m’indique de rentrée m'entraîner.

Maintenant …

Je m’essuie encore dans la neige, l'homme n’est plus qu’un vers sanglant, râlant faiblement. Je jette un regard en arrière, vers lui, avant de me remettre à suivre la main.

Il y a 10 ans …

J’entre en titubant dans la ville des pluie. J’ai fuis havre. Papa venait de me dire que c’est moi qui est tuer maman en venant au monde ! Les tombes me font peur. J’avance lentement a travers la ville, une grande dame a peau pâle m’observe. J'entends les loups qui m'ont suivit ! Ils arrivent !

Maintenant …

J’entre tête basse dans la ville des pluies. Je piétine les tombes sur mon passage. Maîtresse Tylnei semble m’attendre. Je m’avance vers elle, la main retombe, elle laisse traînée la lame au sol.

Il y a 10 ans …

La dame a tuer les loups blanc, elle m’observe à présent. Elle prie. Elle se redresse, vient vers moi. J’ai peur. Elle me prend dans ses bras, me portant jusqu'à une ruine bordant la foret sombre. Elle me dit qu’elle prendra soin de mon éducation, Qu’ « elle » me réserve u grand avenir.

Maintenant …

Maîtresse Tylnei m’enlace, elle me berce légèrement, la main se referme sur mon bras gauche, ayant lâché la lame. Je pleure. Elle me dit que dame Shar m’offrira la vengeance, qu’il est temps que mon destin s’accomplisse … Je la crois.

Demain …

Je les saignerais tous … lâches comme assassins. Ils ne verront la lame sortir des ténèbres.

Chapitre 2 : Naissance d'un Chevalier des Ombres.

Un rêve …

Je marche, j’avance au milieu des flammes, je vois les pirates déferler sur le havre. J’hurle, mais aucun son ne sors. Je m’effondre dans la neige, j’assiste au massacre, certain homme me traversant, comme si j’étais inconsistante. Je les vois prendre les torches, les lancer … et je ne peut rien faire. Je le vois ! L’assassin. Je le reconnais ! Il s’avance cher moi, mon père brandit une chaise. J’essaye de m’interposé ! Je le frappe de mon arme ! Rien, ne se passe.

Un chant s’élève …

Une ombre approche …

Elle me fixe derrière son masque emplumé ...

Elle semble accompagné ma peine de sa voix …

Je regarde l’assassin. Il a changer. Il porte une armure. Une robe bleu et noire, derrière laquelle coule une cape de même couleur. Il se retourne. Son vissage ! William ! Dans son uniforme de milicien. Je me jette sur lui, lame en avant … et perce mon père de la lame, traversant la table. L’assassin rit aux éclats, me désignant.

L’ombre me tend une arme.

La même que celle sous laquelle agonise mon père.

Son chant a cessé.

Elle me désigne l’assassin riant.

Ma main de marbre prend la garde offerte. Je me tourne vers l’assassin. Il à cesser de rire. Il pue la peur. Il recule. La lame vibre, et s’abat soudainement sur lui.

Maintenant …

Je m’éveille, me redressant. Le noir est complet. Je me lève. J’enfile un vêtement. La main attrape ma lame à tâtons. Je la suis. Elle me mène dehors. Le havres n’est pas loin. Nous marchons.

William est là. Je le savais. Il monte la garde. Havre est en reconstruction derrière. Je m’en moque ! J’approche de Lui. Il m’interpelle. La main tire ma lame. Elle vibre dans la main. Il me traite de sorcière, attrapant la garde de son épée. La main s’abat sur lui. L’acier de son haubert, se fend, se brise, son bras suis. Il hurle, s’effondre, s’agite comme un vers. Je regarde la main rougie.

J’entend un chant, moi seul l’entend, je le sais.

L’ombre est derrière moi, elle me couvre de toute sa hauteur.

La main, ma main.

Elle s’abat sur la larve. Il cesse de hurlé. La lame cesse de vibré. Le chant s’envole. Je vois William. Son visage saisis d’horreur me fait sourire. J’entend la rumeurs des autres gardes qui accoures. Je me retourne. Les ténèbres m’appel. Je m’y enfonce lentement. L’ombre est derrière moi. J’entend à nouveau le chant alors que les gardes hurle au meurtre …

Chapitre 3 : Inquisition

Contexte du réçit : une éxpédition punivitive organisée par Vaporine Sultar contre les pirates ayant ravagé le Havre du levant, est aux yeux d'Ana, un éxelent moyen de se débarassée de Vaporine Sultar, réponsable à ses yeux de la mort de son père. Aprés avoir tuer cette derniere, le reste de l'éxpédition se retourne contre elle. Laissée pour morte, éborgée elle rejoins le temple de sa déesse par ses propres moyens.

Maintenant ...

Je prie, tête basse, je ne sens plus la présence de l’ombre. Plus de chant. Les ténèbres me sont hostile. Maîtresse Tylnei ne m’a pas encore adresser un regard depuis mon retour au temple. Je sens mon œil arraché comme si il était encore là. J’ai mal. Ma peau me tire, je n’est pas été soignée autre que par moi même.

Je l’avais fait … je l’avais tuée ! Mais elle est revenue a la vie. Cet idiot de prêtre de Tymora l’a ressuscitée. J’ai ressayé … déesse ! la honte me submerge ! J’entend Maîtresse Tylnei approchée. Elle vient de verrouiller ma pièce, disant que l’ « on » s’occuperait de moi.

Je ferme mon œil, installée sur ma couche.

J’ai peur …

Maintenant …

Il m’enchaîne, il es venu me tiré de ma pièce. Il se penche sur moi, m’ordonnant de m’expliqué, je ne sais pas quoi répondre. Il sort des objets de sa sacoche et se penche sur moi...

Je m’éveille. J’ai mal. Le froid du murs a engourdis mes jambes et mon dos. Je sens mon sang couler sur ma peau. Je n’est plus la force de pleuré. Il dit qu’il n’a jamais vus une créature plus faible.

Je l’entend parler avec Maîtresse Tylnei, il lui dit qu’elle est incapable d’accomplir sa mission, qu’elle aurait déjà du me tuée, je ne comprend plus ce qu’ils disent, je ne veut pas comprendre ! J’ai trop mal. Il revient, Non !

Quelques jours ou es ce des mois après ? …

Cela fait longtemps que j’ai entendus la voix de maîtresse Tylnei, j’ai été emmenée…

Je suis renchaîné, j’entend des pas, on soulève ma capuche. Il tien une dague. Il me traite d’impie… il me dit froidement qu’il saura me formée aux paroles de la déesse… et plonge sa dague vers mon visage.

Tout n’est plus que ténèbres.

Quelqu’un bande mes yeux. Je n’y voyais deja plus, le sang coule sur mes joues…. Mon œil … J’ai mal … J’ai peur … Déesse, pourquoi ? …

Je ne sais plus quand …

Il a dit me montrer à quel point j’étais à la déesse. Il m’a attaché a ce qui ressemblé à un lit …

Cela fait trop longtemps …

Je prie. Je n’est plus que cela. Je prie la déesse de tout mon cœur. J’ai mal … il revient.

Je ne sais pas … Je ne sais pas ...

Je doit récité mes vœux chaque jour. Si je me trompe le il m’enchaîne … et recommence …

Maintenant …

Il m’a mit une robe, il m’emmène. Les dalles son froides. Il m’agenouille, me calant un poignard entre les doigts…

Il me dit de me frappé. Je veut lui répondre que je ne le ferait pas … Mais j’entend un chant.

Maintenant …

Le chant est loin derrière. Une plume me frôle la joue. Ma main tremble. Je l’entend à nouveau, je l’entend « ce » chant.

Une voix lointaine me répète de me frappé. Mes doigts se relâche légèrement. Je laisse ma main se guidée sous mon sein.

Le chant s’envole …

Maintenant …

Il me dit de me m’éveillée. J’ai froid … si froid. Je suis allongée sur la pierre … je n’est plus ma robe. Je pose ma main sous mon sein, tâtant la plaie absente. Il plaque une lame sur ma tempe. Je ne bouge pas. La lame glisse sur ma peau. Elle coupe le bandeau …

Maintenant …

J’ouvre les yeux … les ténèbres sont différent. Je les refermes. Je les rouvres. Ils ont encore changé. Je tourne lentement la tête vers lui. Je distingue ses traits, ils semblent flambé de milles lumières rouges. Un rictus de satisfaction est figé sur son visage. … Et les ténèbres redeviennent ténèbres.

Maintenant …

J’explore des yeux la pièces que je n’est vus que du bouts des doigts. J’attend. Je prie. …

"Merci déesse …"

Chapitre 4 : Bercée dans la toile d'Ombre.

Contexte du réçit : Aprés avoir subit l'inquisition, Ana à déserté les Dix citée, pour se mettre au service sctrict du temple, parcourant les routes affins d'accomplir les taches qui lui furent confiées, ne se rendant plus que dans l'extrème nord pour recevoir ses ordres et récupèrer ses forces.

Cela fait quelques mois …

Je fixe le Chakram que m’a remis le prêtre. Malgré tout mes efforts … je n’est jamais sus manier correctement l’arme de choix de la dame de la perte. Détail sans importance … qui semble tellement choqué ce prêtre pourtant … Je clos les yeux. L’obscurité redevient ténèbres. J’ai beau tendre l’oreille, je n’entend plus le chant hors des combats…

Dans les secondes qui suivirent …

La douleur revient … mille épine qui me perce la peau, la chair, et l’esprit. Le Chakram entre en effervescence … Il bout entre mes doigts. Je ne peut m’empêcher de le lâcher, malgré le fait que la brûlure ne m’atteigne pas. Le disque tombe … lentement … ma main remonte jusque mon front … elle soutien ma tête. L’arme touche enfin le sol dans un bruit métallique … le disque n’est plus qu’un croissant boursouflé à ses bords …

Quelques temps avant cela même …

Dans le coin sombre d’une auberge. Un des bardes s’avances vers moi. Il tapote quelques corde de son instruments, louant la beauté de la Dame Aux Cheveux De Feu , tournant autours de moi. Il finit par s’asseoir. Mille mots se sont déjà échapper de ses lèvres, quand je relève les yeux sur lui. Quelques notes me revienne en mémoire. Mes yeux s’arrête pour la première fois sur l’humain. Quelque chose change dans ses gestes , sa beauté devient plus insolente encore … il laisse son instrument sur le banc. Malgré moi, je lui accorde le verre qu’il demande.

Dans l’heure qui suivit cela …

Nous montons tous deux dans une chambre … quelque chose me frappe l’esprit. Je continue à avancer … les notes du barde me revienne à l’esprit … je les bannis d’une pensé … J’entre enfin dans la chambre … l’homme clôt la porte derrière lui … Il prononce quelques mots … des mots sonnant faux … J’ôtes lentement les gants, fixant le plancher crasseux. Je clos les yeux, j’entend le bardes marcher face à moi. Rouvrant ces derniers, je lève la tête … Il change d’expression … je ne lis plus l’envies dans ses yeux … mais la peur. Milles lames me remontes le long du bras, quelques mots s’échappes de mes lèvres. Ma main suinte, je la lance en avant, paume ouverte vers le vissage déformé de peur. Les ombres même sembles s’enrouler tel des serpents autours de mon bras … la douleur continue de remontée … J’empoigne le barde … son hurlement déchire le silence … Une ombre passe devant mes yeux … les lames sembles pénétrer au cœur même de mon âme … Je clos les yeux …

…

Le temps semble ce ralentir. Je décrispe ma main du barde. Il ne hurle plus … seul un sanglots s’échappe de sous ma paume … Ma main rejoint lentement mon front … elle soutien ma tête … Je lève les yeux vers l’homme plié en deux … l’empreinte de ma main est gravée dans ses traits … sa chair est rongée … Sa beauté arrogante a laisser place a des traits que même un servant du Dieu Brisé fuirait. Mes yeux dévient vers la porte qui tremble sur ses gonds, avant de se tourner vers la fenêtre. Les lames sembles avoirs attaquée mes jambes, mon pas se fait lourd. Je passe la tête dans la nuit fraîche, avant de me laisser basculer …

…

Mes mains arraches le lierre au fur est à mesure de ma chute … Un réflexe me fait m’arqué avant que mes jambes ne touche le sol, roulant soudainement alors que j’heurte ce dernier. Mes jambes retrouves leurs forces … mon pas se fait plus assuré … mais ma tête est toujours prise d’une fournaise sans nom … Je brise le verrou de l’écurie de la lame de ma dague … Ce n’est pas cette nuit que je dormirais … et la route pour Brynd Shandler promet d’être encore longue …

Enfin au sein du temple de Brynd Shandler.

Je regarde le croisant d’acier rongé. Je ne connaissais pas ce sort … Aucun des parchemins qui ont circulés entre mes mains ou aucunes des paroles d’Alack Dûl n’en faisait mention … L’acide … corrosion de la matière a l’image du temps dévorant la vie … Un outils du chaos surpassant même les armes, comme le prouve ce Chakram dévoré … La douleur me quitte … et le croisant s’immobilise au sol. Le prêtre ouvre la porte de ma cellule. Il m’annonce que mon maître m’attend, toute la haine de son regard allant du Chakram à moi ... La cérémonie me libérera de cette gène ... si la déesse le veut ...

"Les combats me manque ... les chants me manque ..."

Bien écrit et intéressant Smile

quelques trucs à retoucher cependant :

Les Dix Cités sont sous le contrôle lache de Lorgol (précision ce n'est pas lorgol qui est lâche mais le contrôle Laughing

)

Le temple de Tempus à été détruit

Sinon bel effort d'intégration du BG dans le val, chapeau !

//Ici prend fin la "premiere partie" de ce réçit. Comme tout les personnages que j'ai pus joué sur nwn, chaqu'un a plus visitée différence régions des Royaumes Oubliés par le biais de Différent serveur ayant pour base les R.o

La plupart des évèvenement décrit ci dessus, je pense notaments aux dévelopement des pouvoirs de Sorcier, sont mis en "prévision" du moment ou Ana, sur le serveur du Val de Bise, serra en messure d'accomplir son évolutions.

Ce background se complètera surrement des autres évènements à venir, marquant radicalement la vie d'Ana.//

(Edit : Merci meliserus, pour te répondre, Le background d'ana se situe dans un passé s'éloignant sur quelques année à présent. Je pense donc que c'est antérieur a l'arrivée au pouvoir de ce "Lache de Lorgol" ^^)

Gardien des Mystères Nombre de messages : 11689 Age : 50

Au chaud au cimetière

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