FICHE DU PERSONNAGE JOUEUR :Portrait disponible à : http://www.trokus.fr/files/get/AlmXusmeAN/jean-de-bergham-portrait.rarNom du compte joueur forum : Or@tchi
Nom du perso : Jean De Bergham
Surnom : « Crève cœur»
Race : Humains
Age : 30
Alignement : Loyal neutre
Religion : Cavalière Rouge
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 25 (full Guerrier)
Classe de prestige : Chevalier
Arme de prédilection : Epée longue
Titre : Chevalier
Langues : Le commun
(Le blason de Jean « Crève cœur »)
Le fer pour l’amour des chevaux…
La fleur pour l’amour des femmes…
Le lion pour la valeur de l’âme…
L’épée pour la grandeur des larmes…Ennemis jurés : Velasquez Di Gorio (Chevalier)
surnom de l’ennemis : Velasquez « le pourfendeur de têtes »
Descriptions concernant Jean De Berghamprécisions sur le caractère :
Points forts :
- Noble d’esprit, fervent défenseur du code de la chevalerie
- beau, passionné, charmeur et ambitieux
Points faibles :
- Narcissique et dragueur (malgré lui…)
( Il soigne son apparence en dépensant une fortune pour toujours être le plus beau…(:p))
- Parfois naïf sur certaines choses.
Détails concernant le physique :
Un visage aux traits fins et au teint clair, des yeux bleus clair en forme d’amande et des cheveux de couleur châtain clair fins et soyeux.
LE BACKGROUND :Jean De Bergham est né d’une famille aristocratique issue de la castre majeure des Seigneurs marchands de la Sembie, située dans le Royaume du Cormyr.
Son père, Robert De Bergham est un riche propriétaire terrien de plusieurs commerces d’épices et d’étoffes.
Expert dans l’art du négoce, il s’affaire souvent à Selgonde pour exporter et importer ses marchandises au meilleur taux possible.
Doué d’un sens développé pour les affaires, il fait vite fortune…
Sa mère, Thereza Pine épouse de « De Bergham » est une couturière de qualité qui par le biais de Robert exporte ses marchandises à travers tout le continent.
C’est un temps ou les affaires sont florissantes, car le Cormyr s’étend sur un plan commercial et axe sa politique sur une stratégie de développement.
Les années passent et Jean vécut une enfance heureuse et sans tâches.
De bonne famille, il put s’octroyer le confort escompté.
A l’âge de 7 ans, le jeune noble quitte sa famille sous l’influence de son père qui le place en qualité de « Page », au service du Baron Norbert Delacroix.
Celui-ci part en direction de la cité du Suzail, capitale du Cormyr reconnue pour être le siège de la cour, mais aussi pour être prospère sur le plan militaire et économique.
Peut-après la défaite des Ghazneths, La Princesse héritière Tanalasta enfanta le nouveau Roi Azoun V avant de mourir…
Mais bien entendu celui-ci bébé, la charge du Royaume du Cormyr revient à la Princesse Alusair qui dirige en qualité de régente.
Jean arrive dans la citée luxuriante et avec de grands yeux il contemple sa beauté, découvrent le pouvoir monarchique dans toute sa splendeur à travers les œuvres sculptés des édifices, monuments et des peintures.
La conception des infrastructures offrent un panorama de puissance, de stabilité et de prospérité.
Le domaine du Baron se trouve en bordure de la citée, non loin d’une forêt…
Propriétaire d’un somptueux Manoir ainsi que de plusieurs champs et écuries, il fut intéressant de constater que de nombreux serfs s’activent à rendre l’exploitation productive.
Jean découvre au fur et à mesure du temps qui passe, que son suzerain est un homme bon et tolérant envers ses employés.
Mais il ne fallait pas pour autant négliger constamment les considérations du maitre…
Sous peine de sentir le fouet claqueter sur la peau !
Quoiqu’il en soit, Jean fait déjà preuve d’une grande loyauté envers son seigneur…
Car il s’applique à respecter les conseils et à satisfaire les désirs de son maitre.
Il reçoit de riches enseignements concernant les règles de politesse.
Savoir s’adresser aux Dames, être toujours dans une morale de serviabilité et de respect, s’honorer du service des repas, et apprendre à travailler durement à la forge et à l’écurie.
Pour ce qui est du reste du temps, il est initié à l’équitation, participe aux chasses et apprends à manier l’épée longue, l’arc et le javelot.
Pour ce qui est de la lecture et de l’écriture un prêtre de la « Cavalière Rouge », se devait de parfaire ses connaissances…
Le nom de son mentor spirituel « Graham Baldwin » vieil homme de 70 ans,
Un homme sage en qui il vouera une affection toute particulière et ceux jusqu’à sa mort.
Au premier jour de ses 14 ans, Norbert Delacroix fait de Jean son écuyer.
Son rôle pendant les quatre années qui suivirent fut de porter l’écu, d’assister le suzerain sur les champs de bataille tout en s’occupant de son cheval et de ses armes.
L’éducation est affuté, car il apprend les règles de la courtoisie et s’enrichit d’ouvrages poétiques.
Bien entendu, la formation militaire n’est pas en reste et il enchainera de nouveaux exercices concernant le maniement des armes, en ajoutant les bases de la hache et du marteau de guerre.
Et comme ci cela ne suffisait pas, il lui fallait apprendre durement la lutte, l’escrime, et parfaire sa dextérité à cheval.
Après ses quatre années d’apprentissage, il passe une année supplémentaire à pratiquer des jeux équestres comme celui de la quintaine (qui consiste à faire tourner sur lui-même un mannequin en le frappant de sa lance).
C’est donc à l’âge de 19 ans, que l’écuyer Jean De Bergham est fait « Chevalier »…
Lors de la cérémonie de l’adoubement.
Extrait de la veille au soir de la cérémonie rapportée dans « Bachelier J.Bergham »:
« Nuit silencieuse, prière des cieux…
Offrandes de toiles dans les murmures de l’âme…
Accomplissement d’estoile dans le chant des espoirs…
Au sang des cents de braves au rythme de la gloire. »
Il veillera toute la nuit pour parfaire son âme à recevoir les armes.
Puis le lendemain après le passage de la paumée, le Baron récite le code de la chevalerie tout en posant la garde de l’épée sur l’épaule de Jean qui se trouve agenouillé en face de lui.
«
1)Noble Service rendu avec Empressement
2) Défense de toutes accusations jusqu'à la mort
3) Respect de tous les Pairs & Egaux
4) Honneur envers ceux de plus haute position sociale
5) Obtenir par ses actes respect et obéissance de tous ceux de plus basse position sociale
6) Prouesse guerrière au service de Son Seigneur (ou suzerain)
7) Courtoisie envers les membres du sexe opposé
8 ) La bataille est l'épreuve de l'honneur et de la Gloire : s'y soustraire est déshonneur
9) Rechercher la Gloire personnelle au cours des Combats
10) Préférer la Mort au Déshonneur»
Après avoir consenti à cela en prêtant serment à l’Ordre de la Chevalerie, le Baron effectue l’accolade et lui remet ses éperons et son propre écu.
« Sir Jean De Bergham Chevalier de l’Ordre, peut embrasser à ce jour l’aube d’une nouvelle destinée… »
Ce fut le point de départ d’une ascension fulgurante vers la reconnaissance des siens.
En effet, il accomplie de nombreuses missions d’escortes pour le compte du Cormyr sous la direction de son Suzerain le Baron Norbert Delacroix.
Il participa également à des escarmouches pour assurer la riposte contre les bandits de grands chemins…
Puis il se distingua tout particulièrement à la bataille d’Arabel, où il prouva sa bravoure à mater la rébellion.
D’ailleurs c’est en plantant son épée dans le cœur d’un Chevalier rebelle qu’il se vit octroyer le surnom de Jean de « Crève cœur ».
Le chef de la rébellion qui semblait grandir dans le Royaume du Cormyr n’était autre que le fruit d’un noble Chevalier insatisfait, ambitieux et cruel répondant au nom de Velasquez Di Gorio surnommé « Le pourfendeur de têtes ».
La légende du surnom remonte à des batailles immémoriaux ou il affectionnait tout particulièrement la barbarie gratuite, qui consistait à pourfendre la tête des vaincues à l’aide d’une lourde hache de guerre.
D’autres racontent qu’il se nourrirait du sang des morts…
Quoiqu’il en soit, Velasquez « Le pourfendeur de têtes » était fortement colérique de savoir que Jean « Crève cœur » simple Chevalier de l’Ordre, avait réussi à faire capoter son plan de domination sur la dite citée d’Arabel.
Et en cet instant, il jura par son sang de mettre à l’échec le Chevalier en s’attaquant à la racine du problème…
Le Baron Norbert Delacroix.
Il établit donc un plan d’action ingénieux qui consiste à faire diversion…
Mobiliser 30% de son armée aux portes de Suzail pour y établir un siège dans les plaines bordant la citée.
Puis envoyer les 70% restant se ruer dans les bois pour venir surgir et attaquer la porte Sud de la citée et ainsi gagner le Manoir du Baron pour occuper son domaine.
Les terres du domaine situés sur une colline, offrirait un avantage tactique non négligeable pour les rebelles.
Et d’ailleurs, le plan fut un succès…
Tout ce passa comme l’avait envisagé le Chevalier Velasquez !
Pendant que la majorité du contingent de l’armée du Cormyr s’exprimaient au combat dans les plaines…
Velasquez et sa horde s’empara du portail Sud et dévaste rapidement le domaine du Baron Delacroix.
Ce fut un véritable massacre !
Cependant ils ne purent s’établir au domaine, car des éclaireurs rameutèrent le reste des troupes du Cormyr, qui s’activent vers leur position.
Velasquez mit alors le feu au manoir et dans les champs…
Puis, il fit exécuter sans sommation tous les serfs (hommes, femmes, enfants) qu’il aligne insensiblement dans les champs.
Puis, ils se retirent pour se réfugier en plein cœur de la forêt voisine.
Peut après la victoire de la plaine, le Baron informé de la dramatique situation, part rejoindre son domaine à la hâte suivi de prêt par ses Chevaliers…
L’horreur s’affichent aux yeux des hommes d’armes du Cormyr.
Sir Delacroix s’agenouille devant la dépouille de sa femme qui fut exécutée sauvagement comme les autres serfs.
Elle avait la tête complètement fendue en deux, du front jusqu’au menton.
C’était un bain de sang, et Jean « Crève cœur » vit son Suzerain pleurer pour la première fois.
Après cet évènement dramatique, le Baron devint une toute autre personne…
Il se mit à sombrer dans l’obscurantisme et la folie.
Il organise de grandes battues, puis dilapide rapidement sa fortune dans l’investissement d’hommes et de moyens en termes d’équipements.
La révolte commence à gronder parmi ses hommes qui ne touchèrent point de solde.
Jean et quelques fidèles tentèrent de raisonner les détracteurs…
Mais le mutisme du Baron qui reste dans son Manoir à cuver son vin toute la journée n’arrange guère les choses.
C’est alors qu’en quelques semaines, le domaine devint désertique.
Il ne restait plus que Jean « crève cœur » et quelques autres fidèles chevaliers.
Devenant vulnérable et croulant sous les ardoises de dettes…
La Princesse Alusair, à contre cœur ordonne l’arrestation de Sir Norbert Delacroix.
Alors, un détachement de gardes de la garnison Royale se met en route pour exécuter l’ordre de la Princesse.
Jean De Bergham, fidèle et loyal envers son Suzerain qui lui à tout appris…
Organise la défense du Manoir, en voyant les troupes s’approcher l’arme au poing.
C’est alors qu’à l’arrivé des soldats, les Chevaliers se mirent à charger d’un bloque les agresseurs.
Les membres tranchés sous le joug des épées longues, haches et hallebardes se meurt dans la boue ou se mélange les cries et le sang…
Mais la garde est supérieure en nombre et les Chevaliers commencent à être débordés.
Jean « Crève cœur » parvient à planter sa lame dans le cœur d’un officier de la garnison, mais il se fait maitriser et tombe de cheval…
Quant aux autres Chevaliers, ils tombèrent vaillamment au combat.
Le Baron qui a assisté à la scène, se défenestre dans un excès de folie puis s’écrase lamentablement sur le parvis du domaine.
Jean inconscient est quant à lui ramener dans la citée, et placé dans la geôle d’un donjon en l’attente d’un procès…
Mais quelques jours plus tard, l’intendant de la Princesse vint remettre un ordre sous plie scellé à Jean De Bergham…
Celui-ci apprend que la Princesse le gracie de toutes poursuites, qu’il conserve son titre de Chevalier…
Mais qu’il est néanmoins banni des terres du Cormyr.
Se résignant à son sort, il part retrouver sa famille à la Sembie.
Son père et sa mère accueillent avec joie le retour de leur fils,
Jean explique alors ses mésaventures, et ils sont attristés d’apprendre la terrible nouvelle.
Mais bien que cette histoire semble tragique, les parents sont confiant envers leur fils car maintenant qu’ils savent qu’il est Chevalier…
Il n’aura pas de mal à trouver un autre Suzerain en d’autres terres.
C’est pourquoi, les parents affrètent un navire de transport de type « Galion » pour l’emmener comme convenu en d’autres terres.
Jean n’a plus d’équipement, mais l’argent n’est pas un problème pour ses parents…
Ainsi, il embarque à bord du navire avec d’importantes caissettes d’argents qu’il prend soins de placer en cale et ceux sous bonne surveillance.
Remerciant chaleureusement ses parents, et dans un ultime au revoir…
Le Galion s’éloigne du port et gagne le large.
Le Capitaine du navire observe Jean et s’exclame : « Une direction Sir ? »
Celui-ci rétorque d’un ton assuré tout en posant le doigt sur une carte de navigation…
« Cap au sud mon brave ! Vers la côte des épées ! »