- Citation :
- Nom du compte joueur forum : tungrim
Nom du compte joueur module : helena cain
Nom du perso : helena cain
Race : Humain
Age : 20
Alignement : loyal mauvais
Religion : Shar
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 16 roublard / 9 assassin
Arme de prédilection/domaines/école de magie :
Langues : Commun
Familier/Compagnion animal :
Ennemis jurés : aucun
Trait de Caractère : drageuse, froide, calme
Description physique : Jeune femme de 20 ans, aux cheveux rouge sang attaché en une longue queu de cheval et belle comme un couché de soleil.
Se ballade souvent en ville avec un sourire enjoleurs, avec une robe bleu nuit et violette à large décolté, et une sacoche à ses côté.
Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 16
CON : 1
INT : 16
SAG : 8
CHA : 14
I : Enfance malheureuseDans une petite ferme,
naquît une jeune fille,
aux cheveux rouge couleurs sang,
et belle comme sa maman.
Mais un terrible malheurs,
s'abattit sur cette famille,
alors que sa mère se meurt,
laissant seule sa petite fille.
Elle grandit dans la tristesse,
son père devenu poivrot,
la battait quand il buvait trop,
la fouettant avec sa liesse.
Quand elle eu l'age de seize ans,
devenu belle comme sa mère,
n'a pas put résisté son père,
de la violait pendant deux ans.
Ne résistant car il frappait,
elle appris à le détesté,
sa haine grandissait de jours
en jours, jusqu'au terrible jours.
De la violer encore une fois,
il essaya, mais ne vit pas,
l'éclaire luisant qui frappa,
plongé dans son corps plusieurs fois.
Roulé en boule dans un coin,
de tristesse ou bien de plaisir,
pleurant dans ceci sombre coin,
puis soudain se mit à rire.
Au levé du soleil suivant,
sa maison derrière elle; brûlant,
son passé d'enfant; s'effaçant,
parti; son destin; s'écrivant.
II :les quatre premiers commandements Plusieurs mois se sont écoulés,
depuis ce léger incident,
dans un village elle marchait,
un prêtre avec un enfant,
marchait jusqu'à la maison
elle; suivant sans aucune raison,
Ils entrèrent, puis entendit des cris
elle vit par la fenêtre,
la joue rouge du tout petit,
le prêtre pelotant sa mère.
Ne pouvant plus le supporter,
elle se cacha et l'attendit,
quand il partit; elle le suivi,
fit son vice; la nuit tombé.
Et le suivi dans sa chambre,
sur sa bouche, sa main à elle,
et sa dague, sur sa gorge,
elle étouffa son petit cris,
les paroles qu'il entendit,
elle; son premiers commandement :
« ne devront souffrir devant elle,
d'aucun sorte, ni femme ni enfant. »
Tard dans l'année, dans une auberge,
un homme mourut par sa dague,
il était un jeune bourgeois,
abusant de nombreuse fois,
de femme, dont il se joua,
et le deuxième commandement,
s'écrivit en lettres de sang :
« de femme nul n'abusera. »
Dix-neuf ans, d'avoir elle venait,
un homme qui bien trop buvait,
la fit saigné en la frappant,
elle dans l'ombre, se morfondant,
lors de sa fuit, elle jura,
que nul ne la maltraitera.
Un ans plus tard lors d'un contrat,
alors qu'elle se débattait,
et de l'égorgeait, elle tenta,
elle ne l'égorgea qu'à moitié.
À ramper ainsi qu'à gémir,
il se mit; et agonisa,
la scène la fit s'évanouir,
son calme reprit, elle jura,
de ne pas les faire souffrir.
Après qu'elle se soit reposé,
elle pris le chemin de Luskan,
là-bas plus gros est le gibier,
en ville arrivé pour quelque temps.