[abandon][roublard/maître des rats]lena

Citation :

Nom du compte joueur forum : solen fauchevie
Nom du compte joueur module : larme coeur
Nom du perso :lena
Race : Demi elfe
Age : 50
Alignement : Loyal Mauvais
Religion : a déterminer ingame
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Roublard roi des rats
Arme de prédilection/domaines/école de magie : main nue ou bâton
forc 8
Dex 15
Const 12
Int 18
Sagesse 10
Charisme 10

Monde de folie

C’était il y a si longtemps, une vie normal mariée a un honnête paysans la vie rêvée parait t’il
Les saisons s’écouler doucement naissance et récolte jusqu’aux jours ou ils arrivèrent un matin comme les autres
L’hivers commencer a pointée le bout de sont nez
Le vent la nature se tue, elle était la les armée reflet d’ébène et de sang pour l’un d’or et d’azur pour l’autre et la ferme au milieux
La ferme fut emporté comme une coquille de noix dans un tempête, après des heures il vinrent nous extraire des ruines fumantes de nos souvenirs c’était nécessaire nous dire t’il, les porteur d’ébène était le mal la mort nous dirent les hommes d’azure
De nos terres fumantes où rien ne pouvait pousser on nous emmena en ville pour notre bien, bien entendu
Adieux les souvenirs, la terre verte avait laissé place aux cendres amères

L’exile

Ont nous amenas dans une citée quelque part aux portes de baldur, on nous laissât dans cette endroit
Mais nous qui n’avions connut que la terre ne savions que faire, dur de faire pousser des plantes de dalle de pierre
Et de poche vide nos estomacs devinrent creux, lui disait que c’était pour le bien
Main tendu aux sorties des temples, regard et joue creuse au fur et a mesure du temps l’hivers partie emportât dans ces bras glacée les enfant née de mon ventre
Adieux sourire et rire, adieux ma vie
Un jours il ne revint pas j’apprit plus tard qu’il avait était exécuter pour avoir voler du pain, normal ce n’est pas bien de voler
Baiser du souffle d’hivers sur ma joue, le sommeil me pris un soir et sur les dalles infertiles de la citée je m’endormis

Réveil

Allonger sur la paillasse d’un temple je reprit conscience, cauchemar frisson et fièvre
Un sourire dénué de tous sens sur le visage des prêtres qui me soignèrent m’arrachant à l’oublie pour mon bien me rappelant à mon chagrin
Bonne volonté au goût acide, on me mit en cuisine la ou mes gestes dépasser mon souvenir la ou mon esprit doucement s’éveillât
Le vieux prête avec douceur me racontât la paix qu’avez trouver ceux qui éveiller ma douleur, discours de paix et de bonheur j’avait comprise et mon couteau dans sont cœur lui ôtât la vie et le malheur
j’avait trouver ma voie et doucement dans le temple endormit ces vers les portes du paradis que ma lame les conduits
malheureusement il ne dormait pas tous dans le temple et un des prêtres sonnât l’alarme me forçant a fuir , pauvre homme je ne pus le délivrée ce soir la et c’est par les égouts que je m’enfuit.

Les égouts

C’est la que commence mon histoire et ma vrais vie, traquée je restait cacher dans les égouts vivant de rapine et délivrant des que je le pouvait les malheureux qui tomber dans mes bras.
Je finit par connaître les sous sol comme ma poche et d’égout en égout je découvrait la surface.
Plus je délivrait du monde plus il me traquait et je du rapidement apprendre a semer sur ma route de quoi les retenir eux les porteur de vie que je haïssait.
Au début cela était fait dans l’urgence du verre brisée … des fioles d’acide cacher dans un tournant mais avec le temps mes pièges devinrent de plus en plus compliquer.
J’en était venu a voler du fil et diverse accessoire pour rendre mes pièges plus tranchant et mortel ne pouvant m’enpecher de sourire quand j’entendait un cris de souffrance, signe que j’avait délivrée une personne de ce monde maudit.
Mon œuvre bien sur ne plus pas a tous le monde et je du me cacher dans les profondeurs de la terre toujours plus loin. Avec seul compagnons les rats.

Une morsure.

Plus je m’éloignait dans les anciens égouts plus la rumeurs du monde du dessus me semblait étrange, je pris l’habitude de parler au rats utilisant ce que j’avait apprise des pièges pour me nourrir.
Je ne s’aurait pas dire combien de temps je passait dans les sous sol, les nuits et les jours se ressemblant trop.
Parfois je croisait un bandit un aventurier et la ma tache sacret me revenait a l’esprit je le délivrait de la vie l’envoyant a la paix, j’était en train de traquer des traces qui me semblait humaine quand cela arrivât.
Emporter par l’élan de ma chasse je me retrouver face a une énorme créature velue, le museaux de rat au dent si longue que je fut incapable de bouger jusqu qu’il me mordit.
La douleur fut si intense que je fuit lâchement sous les couinement moqueur de mes compagnons rats, je ne sais pas commands j’ai fait pour ne pas glisser et me rompre le cou.

Malade.

Je me suis réveillé en sueur. La créature ne m’avait pas suivie mais une sombre maladie courait dans mes veines je le sentait.
Incapable de réagir je voyait les rats courir sur moi et dans mon délire je sentait chacun de leur mouvement et leur odeurs m’agresser comme mille coup d’épée, la fièvre me laissait juste le temps de me traîner jusque l’eau croupit pour boire et j’était persuader que j’allait être libérez a ma plus grande détresse.
Je ne sais pas combien de temps je rester dans cette état quand la douleur me traversa la cœur, je sentit mes os craquer ma peau se recroqueviller.
La douleur obscurcit mon regard et je crut perdre conscience, je du perdre conscience.
Quand je me réveillait j’était nue a mes pieds gisait la carcasse d’une créature que j’eut grands mal a identifier comme un humain.
Je me rendit compte avec horreur que j’était rassasier mon corps couvert de sang ne me laissait aucun doute sur ce qui avait provoquer cette satisfaction en moi.

Découverte

Poussée a la limite de la folie par cette découverte je fuyait les égouts qui m’avait abriter me cachant dans les champs et les forets mais ma malédictions me poursuivait.
Cauchemar de chaque jours, mes nuits étaient agiter par des rêves sanglant des rêves de chasses le pire étaient que ces rêves me plaisait m’exciter.
Partout ou j’allait les rats me suivaient et j’en vint a accepter leur présences , régulièrement la douleur me prenait et avec le temps je restait consciente de plus en plus longtemps avant de me sombrez dans une bienheureux oublis
Plus le temps passait plus ce que j’appelait mes rêves devenait net, je me voyait courant dans les bois le nez au ras du sol un sombre odeur de sang flottant dans l’air comme une promesse funèbre dans mes courses les rats m’accompagnait et j’aimais la présence rassurante de ceux que je considéré comme mes frères.
La proie était traquer tuer et dépecée avec sauvagerie et j’était terrifier de ce que je voyait, un soir mon rêve me conduit au bord d’une rivière ou je me penchait.
Des yeux rouges un museau allongée, des mains au griffe acérée prise de panique je me griffait le visage.
La douleur était trop réelle pour que ce soit un rêve.
Il me fallut un temps pour comprendre accepter ce que j’était, ce que je prit comme une malédiction était une bénédiction dans ma tache


Le rat en soit.

Plus que le changement du corps c’est le changement de l’esprit qui fut le plus fulgurent, je finit par m’en rendre compte dans une certaine indifférence.
Mes petits frère a fourrure m’accompagnait partout quelque soit mon apparence, c’est créatures des égouts qui me dégoûtait temps dans le passé était devenus une présence rassurante.
Mon ancienne civilisation me fit sourire je restait malgré tous méfiante vis-à-vis de cette environnement qui ne me ressemblait pas regagnant des que je le pouvait les égouts rassurant.
J’évitait tous ce qui m’était étranger l’instincts des égouts me guidait a chaque pas.

Dans mes chasses mes petits frère m’accompagnée quoi de plus naturel, ils ouvraient la voix m’avertissant des dangers.
Je finit par les reconnaîtras a l’odeur au fur et a mesure du temps j’en vint a identifier ce qui m’entourait plus avec mon nez qu’avec mes oreilles et mes yeux et juste en un instant je pouvait savoir ou était cacher mes amis a fourrures.


Avec mon changement je du avouer que je me découvrit un intelligence accrut comprenant des problème qui m’echaper jusque la, ma famille aussi m’étonnât et il ne fut pas rare les moment ou je du le fruit de ma chasse a une de mes petits amis a fourrure ces derniers sachant très bien s’introduire dans les maison pour ouvrir les loquet des fenêtre.


Exil

C’est maintenant de ville en ville que je libère les gens du malheur et a l’heure ou j’écrit c’est un couple qui ici repose avec le sourire ma lame les ayant libéré de cette terre de malheur
Dans leur affaires des papiers parlant de lorgol c’est vers cette ville que maintenant mes pas se dirige j’espère trouver la bas des gens dignes de la paix de la mort
Je suis sereine j’ai le temps

La transformation semble trop subite, elle semble être presque anecdoctique. Il faudrait que tu développe plus ce passage, deplus la classe ménes vers un maîtrise de ce pouvoir de changer la forme et de dominer une meute de rat, développe un peu plus la modification de ton esprit humain vers celui du rat.

Abandon pour cumul de classes à quotats