[Validé/disparu][Prêtre][E] Fenris

Nom de compte: Neree

Nom de compte mod: neree

nom du perso: Fenris

race: elfe

age: +/- 160
Alignement: CN

classe: Prêtre pur (normalement,je préviendrai avant si y'a un changement inopiné)

religion: Fenmarel Mistarine

arme de prédilection/Domaine: en a pas/ faune, voyage

langue:elfique, commun

caractère: très peu locace,voir austère, antipathique, reste à l'écoute de son prochain à sa manière.

description: le visage à couvert, la couleur des vêtements toujours en accord avec l'environnement naturel.

carac niv 1:

force: 8
dext: 16
const:10
int: 14
sagesse :15
char: 12

Background d'Erchamion



Erchamion fut issu d'un petit havre de paix elfique dans les terres du nord. La communauté était paisible et n'avait pas à souffrir d'attaques récurrentes ou autres désagréments. Il fut donc élevé comme tout elfe dans un cadre des plus propices à son apprentissage.
Cependant sa physionomie n'était pas sans rappeler de manière perceptible celle des drows: un teint gris clair et des prunelles qui avaient une fâcheuse tendance à tendre vers un mélange de bleu et de violet. En outre son expression était plus affûtée que celle de ces jeunes contemporains et irrémédiablement plus agressive en conséquence, et ceux naturellement. C’est pourquoi, souvent il avait à affronter le regard des autres ainsi que la raillerie caractéristique des jeunes enfants. Sinon la tendresse et les mots d’amour réconfortant de sa mère, il était ostensible que ces moqueries l’affectaient grandement. Tout était mis en œuvre malgré tout au sein du giron familial pour que le temps soit à la joie et la bonne humeur dans le but de préserver ce qui pouvait l’être encore ; mais l’enfant chéri souffrait, et conséquemment les parents aussi. Il y avait bien un lègue drow qui imprégnait leur chair, plus ou moins dilué aujourd'hui. Une proche ancêtre hybride avait donné naissance à leur lignée. Le voisinage le savait, Erchamion le savait, tout le monde était au courant, et c’est bien cela qui le mettait au supplice.

De son histoire seul subsistait quelques bribes d’une tradition orale. Cette parente avait entrepris de rejoindre ses géniteurs, qu’elle avait délaissé afin de s’enrichir de diverses expériences. C’est à force de volonté et d’abnégation qu’elle y avait réussi mais non sans mal. En effet, lors de ses pérégrinations, l’infortunée était tombée sur une enclave dissimulée de vhaeruniens.L’aubaine et la promesse d’une nouvelle manne étaient trop heureuses, ils traquèrent donc sans relâche la pauvre créature. Quand bien même, l’empirisme l’avait affûté, ils eurent tôt fait de la capturer, la fatigue prononcée mais aussi la malice des poursuivants n’y furent pas étrangers.
Esclave elle était devenue, elle portait en outre le fruit des dogmes de Vhaerun, un enfant bâtard qui viendrait, plus tard, grossir les rangs de ses adeptes. Rien ne fut épargné à la futur mère, les traitements mesquins, cruels et monstrueux chers aux drows étaient promulgués avec zèle sinon avec l’unique retenue que requérait le bon déroulement de sa grossesse. Seule un mince espoir d’une liberté recouvrée inhiba ses pulsions mortifères. Mieux valait-il survivre dans l’espérance de. C’est pourquoi, elle guettait la moindre occasion de s’échapper. Cependant, elle ne due son salue qu’à la providence même. Peut-être, qu’un mâle drow grisé avait poussé son exploration trop loin durant une embardée nocturne. Cette nuit même dont la lumière diaphane appartenait à Séluné mais dont l’obscurité était chérit des elfes noirs. Le fait est que les vhaeruniens furent poussés à une retraite dans l’urgence. Une citée environnante, avait eu vent de la présence de drow dans la région et avait dépêcher un bataillon fort et robuste afin de débusquer et d’éradiquer la menace potentielle. Les enfants de Vhaerun exécutèrent les esclaves, rien ne serait abandonné sous le joug d’un autre que leur divinité. Elle fut laissée pour morte et seul une infime poigné d’entre eux survécue. Les survivants furent récupérés et soignés.
Après un long rétablissement, elle se décida à reprendre la route et parvint enfin à rejoindre ses parents, usant de tout la discrétion possible afin d’éviter de nouveaux déboires. Ils accueillirent leur fille à bras ouvert et avec toute la chaleur d’une séparation prolongée. Après avoir entendu ses aventures il ne purent se résoudre à perdre une nouvelle fois le fruit de leur amour qui refusait catégoriquement d’abandonner la graine impie qui germait en elle. Ils mirent donc tout en œuvre pour que ce petit être soit accepté de la communauté et c’est après d’interminables tractations qu’il fut admis en son sein. Ce dernier oeuvra toujours deux fois plus que les autres en plus des remarques désobligeantes occasionnelles. Il sut tout de même s’attirer, très partiellement, les faveurs de tous, mais sa plus grande réussite fut de perpétuer la famille sans nul doute.

Erchamion était impur. Il revenait à lui de porter ce fardeau plus que quiconque dans l’enceinte familiale car il en possédait les stigmates des plus visibles. La parole avait donné naissance et force à ce qui demeurait pour lui, une malédiction. Il ne supportait plus ces impressions fugaces de dégoût, expressions spirituelles de cet autre qui percevait cette vomissure anachronique.
Peut-être n'était-ce que son esprit ankylosé qui déraisonnait, mais le poison se déversait. Il se sentait épié, il entendait les quolibets inaudibles, ces dédains pernicieux. Il se devait de partir et quitta sans un mot à quiconque la communauté quelques années avant l’avènement de la majorité, le coeur empli et écrasé d'un poids mort. Du sang scélérat dans sa famille. Sa mère avait dû apprendre à vivre avec, mais lui, n'était-ce pas visible? Si lui n'y croyait plus, qui le ferait? Il ne désirait pas vivre comme un paria aux yeux de tous, nombreux étaient les elfes, souvent parmi sa tranche d'âge, qui n'auraient que dégoût et mépris à son égard. Ce n'était pas un loi universelle en soit, le fait que son aïeul se fusse unie, avec succès, à un autre elfe en était la preuve, mais ne vivre, ne serait-ce qu'une fois encore, cette expérience de rejet communautaire, lui semblait abominable. . Une déchirure en son sein, une harmonie brisée, une expiation. Serait-il seul? Il reprit du poil de la bête, cependant, en pensant qu'il était aujourd'hui un être à même de résoudre ce genre noeud. Rien n'est inextricable, même l'éternité revêt bien des formes. Elle peut-être mobile et pourtant demeurer la même. Comme un disque tournant sur lui-même, à l'infini, de manière identique, l'immuabilité mobile, oui. Son esprit était las de tous ses raisonnements qui ne cessaient pas et malgré son état, ses rêveries demeuraient agitées. Ici et là il voyait ces silhouettes sombres qui le narguaient telles des figures de proue, lui rappelant inlassablement la cause de cette dépression constructive. Ce fardeau ne le quittait jamais complètement même dans les moments de félicité, la métis lorgnait toujours. Il appris, néanmoins à vivre avec cette honte. Il désirait faire face à la cruelle adversité mais nourrissait une crainte plus grande encore envers un potentiel bannissement. Il n'y avait que peu de chance que le cas se produisit, mais la simple éventualité le prémunissait d'un tel épanchement.
C'est au gré de ses voyages, au milieu de ces nombreuses haltes, qu'il découvrit Fenmarel Mistarine, le Loup Solitaire. Il fut accueillit par ses frères avec bienveillance mais une atmosphère lourde pesait sur le campement placé sous l’égide de cette Entité. Un calme cérémonieux où l'énigme planait en souveraine. Demi-drow, reclus, la lie, l'excrémentation de la société elfique demeurait en ce sanctuaire. Nul ne lui demanda sa provenance, ni son passif. Rien, juste quelques paroles échangées, quelques mots, percutants, concis et justes. Il ne saisit pas d'emblée quelle était la teneur de ce lieu mais il ne se sentait pas épié, violé, profané. Aucun ne paraissaient s'intéresser à sa nature. Un silence libérateur dans lequel le solipsisme était le maître mot. Rien n'était plus présent que les affres que chacun portait sur son échine meurtrie, les tourments étaient même mis en abîme du au fait de calme religieux; et pourtant la plaie ne déversait plus de pus. Il resta quelques années dans cet état de claustration, subvenant aux besoins des un des autres sans fioritures idiomatiques. Une sorte de dialectique introspective prédominait. Ainsi, se manifestait sa manière de rendre grâce à son salut Tout Divin. Pourtant bientôt il sentit le besoin de véhiculer l'essence de son apprentissage. C'est avec chacun d'eux qu'il s'entretenait longuement avant de méditer sur ce qu'il venait d'assimiler. Malgré les apparences, le Loup Solitaire était sans doute celui qui nourrissait le plus d'espoir dans la race elfique. Chacun ne se suffisait qu'à lui-même. Tous possédaient la force de s'accomplir, nul besoin d'autrui. L'âme se nourrissait de sa propre substance. Une fois encore il revint à cette notion d'éternité mobile. L'effusion démonstrative n'était pas de mise, elle était un frein au fondement de l'individu qui prime sur l'intérêt générale. Néanmoins, ce dernier ne devait pas être nié totalement au profit de ce premier agent. Si l'individu composait les colonnes fondatrices de la communauté, celle-ci n'en demeurait pas moins une chape protectrice ainsi que le ciment qui désignait, également, la personne. Les préceptes s'accompagnaient d'une formation poussée dans les capacités personnelles, pièges, traque, empoisonnement, afin que tout adeptes puissent accomplir la sacro-sainte mission qu'il s'étaient eux-mêmes fixé. L'art de la survie était la forme empruntée pour entr’apercevoir cet état de béatitude. En outre ils avaient pour devoir de protéger les frontières des territoires de leur race et notamment les agressions des elfes noirs. Voilà qui lui donnerait sans doute l'opportunité de renforcer son sentiment identitaire.
Erchamion se marginalisa, pourtant de lui-même, ne laissant à aucun autre la possibilité de le faire. Il ôtait ainsi le pouvoir que confère la société sur son prochain, une interéaction communautaire, une altération externe, au profit de la seule vérité, l'introspection.

Oups si c'était pas clair j'avais qualifier l'ancêtre de demi-drow (hybride) mais peut-être que le problème reste inchangé du fait de sa nature métissée avec l'ennemi juré des elfes?

Je suis loin d'être un expert en elfe donc si un demi-drow est réellement hait par les elfes aussi, on va oublier ce pan là et je referai un bg sans cette aberration . A toi de me le dire, je n'ai pas envie de devoir justifier un évênement quasi-improbable chez les elfes .

ah oui pardon, mais encore une fois je ne veux pas justifier une chose qui est très rare. Je peux amener la chose par une agression sexuelle mais j'ai peur de tomber dans un récit fangieux par ces justifications. Donc je pense que je vais plutôt refaire ce passage là, enfin le BG en entier même xD.

ps: tu peux passer à un autre BG le temps que j'en ponde un moins capillotracté .

oki mets le dans 'en cours' mais si tu vois que mes justifications partent en confiserie, hésites pas à me le dire, on arrêtera les pots casser xD.

Jparlais de ça quand je disais remettre dans les "en cours" ^^

Citation :

Donc je pense que je vais plutôt refaire ce passage là, enfin le BG en entier même xD.

Euh voilà, c'est l'unique passage séparé au mileu^^

petit up^^

Alors !

Pour commencer, pourrais tu me dire comment tu comptes jouer tes 8 en force et en dex ? En effet, on considère ceci :

Citation :

Sachez cependant qu'une valeur de 8 ou moins correspond à une déficience grave voir un handicap et que vous devrez impérativement en tenir compte dans l’interprétation de votre personnage. Le cas échéant, un MD vous aidera à mieux intégrer ces conséquences dans votre jeu.

Ensuite pour ce qui est du teint et de la couleur des yeux de ton perso, tu mets ceci :

Citation :

Pour on ne sait quelle raison, providence divine sans doute, cet héritage avait refait surface chez Erchamion

Or, si ton perso ne le sait pas, toi en tant que joueur tu dois bien le savoir et donc le staff aussi via ton BG. Il faudrait donc que tu expliques cela pour que l'on puisse valider ce saut de génération. Sinon, soit ton perso est un parent proche du demi drow et peut donc en avoir les caractéristiques, soit il est un descendant éloigné mais dans ce cas il ne ressemble presque plus à un demi drow.

Enfin, voici ce que j'attends dans un BG de prêtre :

Citation :

- Voir que le joueur a compris et assimilé le dogme du dieu choisi

- Voir la façon dont le joueur va appliquer ce dogme avec son perso :
Tous les prêtres ne sont pas pareils. Il suffit de voir les possibilités d'alignements de prêtres pour un même dieu. De plus, quelque part, le but d'un prêtre dans les RO est de pousser toujours plus de gens à prier son dieu pour qu'il ait plus de pouvoirs, donc je souhaite avoir un aperçu de la manière dont le perso entreprendra cela. Je ne parle pas forcément d'actes concrets, mais plutôt de la vision du perso pour servir au mieux son dieu en ce sens.

- Sentir l'évolution du perso dans sa foi : Qu'est ce qui l'a poussé, attiré vers ce culte là en particulier ? Comment sa foi est-elle passée de celle d'un "simple" disciple à celle d'un prêtre, qui demeure la première personne vers qui on se tourne au sein du culte ?

Tu as un peu commencé les deux premiers points, mais j'aimerais que tu développes un peu plus.

Citation :

Après une longue retraite sacerdotale pendant laquelle il obtint son statut clérical

C'est justement ce passage là qu'il faut étayer, vu que c'est cette obtention du statut clérical que je suis sensée valider.

Oki doki, je vais essayer de préciser tous ces points, pour les carac je vais changer^^.

Pour la parenté on dira proche alors, j'ai écris un passage sur l'obtention de ses pouvoirs, le dernier paragraphe voilà .

Je pensais à une petite mise à l'épreuve sur le durée, une sorte de suite à son initiation par le groupe.

La foi il l'a puisqu'il suit les préceptes après généralement on devient prêtre parce que l'on se sent investi du devoir de propager la parole divine. Alors je peux peux toujours rajoutter un passage sur sa motivation mais je ne vois pas quoi d'autre . Pour moi ce qui te gêne c'est un problème de forme non? Donc montrer sa détermination à tendre vers le statut d'intermédiaire entre le dévot et son dieu c'est cela? Sinon, si tu ne ressens pas que le perso à la foi je ne peux pas faire plus j'ai bien peur .

Je vais déjà rajoutter une partie sur sa motivation en ce qui concerne la prêtrise, je finirai bien par y arriver .

(jai déplacé le dernier paragraphe, auquel j'ai ajoutté un peu de matière en vert ,parce la limite de texte en un post avait été dépassée)

Il se décida à quitter le groupe afin de mener une vie en accord avec celle prônée par le loup solitaire. C’est dans les montagnes qu’il pu s’accomplir et plus précisément à l’aide d’une large excavation qui lui servit d’abris. Il dominait un paysage somptueux mais austère. La plupart du temps, il le passait sur un petit montant où il pouvait perdre son regard et ses pensées dans l’horizon. Il ne tarda pas à se rendre compte que ce gîte de fortune était habité par un vieux loup sur le déclin. Ce dernier n’avait rien d’une créature majestueuse et splendide, à vrai dire il était pitoyable, ses poils épars frisottaient renforçant ce sentiment de crasse et de laideur. Quant à ses yeux ils demeuraient blafards, jaunis et vitreux. Il était aveugle. Erchamion, non pas par dégoût mais par respect, commença à emballer son paquetage. Il lui fallait laisser la créature jouir de son antre comme il en avait été le cas avant son arrivé impromptue. Cependant le loup vint s’allonger à ses côtés tout en gardant une distance respectable. Il ne manifesta aucune gêne suite à cette intrusion. S’en suivi une brève hésitation, finalement l’elfe redéposa ses effets. Les deux êtres vécurent côte à côte pendant quelques années bien que le lien existentiel du canidé paraisse aussi délicat que la toile d’une araignée ; néanmoins il devait également en posséder l’élasticité et la résistance. Souvent ils s’épiaient l’un et l’autre comme deux étrangers même après cette longue cohabitation et pourtant l’un et l’autre, partageaient. Le loup avait pris pour habitude de s’asseoir devant l’elfe en le fixant quand celui-ci s’adonnait à la rêverie. A cet instant, ses prunelles se dessinaient plus nettement et son regard plus incisif. Il allait ensuite inlassablement se recoucher comme si l’exercice lui coûtait. Erchamion malgré sa nature sur le retrait s’attacha fortement à ce compagnon. Et il se risquait timidement et précautionneusement à le caresser de temps à autres, mais il ne tarda pas à devenir moins craintif. Le loup demeurait docile voir presque amorphe. Et c’est avec assurance qu’Erchamion le couvrait de faveur maintenant. Alors la bête mordit jusqu’au os cette main qui s’enhardissait de jour en jour. Les crocs déchirèrent la tendre peau de façon à ce que les stigmates soient marquants. La bête devait avoir quelque pouvoir de manifestation car devant lui se dressait un colosse aux crocs de mithril et non plus cette misérable carcasse à l’article de la mort. Le loup reprit enfin sa position initiale comme si de rien n’était, le museau entre les pattes, sans aucune autre forme d’expression. Si à un moment de sa vie l’elfe aurait désiré sourire c’était bien là. La chose était entendu et la leçon apprise. L’égarement est toujours pernicieux et se répand comme un doux poison morbifique. De cet épisode, sinon la profonde entaille dans sa chair, il ne subsista rien dans leur relation. Ils reprirent leur vie commune. Chacun oeuvrant indépendamment mais dans le plus grand respect de l’autre. Il se complaisait dans cette vie ascétique, finalement il ne vivait que pour lui. Cette pensée fit germer en lui un trouble nouveau qui vint ternir le tableau. Au fur et à mesure ce dernier ce fit plus précis. En effet, à quoi bon avoir donné vie à tant d’êtres conscient si ce n’est que pour vivre dans l’accomplissement de soi, ne fallait –il pas pour autant propager ce qui nous enrichissait ? Partager les bienfaits, les cadeaux divins? Certainement sur Toril, des individus attendaient un soutien providentiel que pouvait être les enseignements de Fenmarel Mistarine. Grand avait été le chemin parcouru jusqu’ alors du tiraillement de son âme à cet état. Le monde était pourri par cette idée surannée qu’il fallait se reposer sur autrui. Lui-même avait chu lorsqu’il avait tenté de nouer un contact trop profond avec le loup. Il en avait payé le prix même si il était dérisoire, le symbole lui avait pénétré. Qui plus que les elfes, de part leur existence séculaires, nourrissaient l’espoir secret de trouver une âme sœur sur qui se reposer. Voilà la cause d’un grand maux qu’il fallait exorciser. Cette interprétation de la vie était sophistique au possible, il fallait la murer à tout jamais. Néanmoins, en son fort intérieur, il désirait accompagner le dernier vestige sur lequel il avait failli sacrifier ce pourquoi il vivait maintenant. Une promesse onirique, dont la signification lui échappait tout autant, le conforta dans ce choix. Il continua donc à vivre avec son camarade, tentant toujours d'approfondir son apréhension des choses.
La mort emporta le loup un soir d’automne. La bête s’était redresser avec magnificence avait de pousser des rugissements terribles puis se mis à hurler une magnifique plainte mélodieuse pour enfin mourir. Erchamion le laissa tel quel, allongé trônant sur le paysage, ses yeux semblaient nager plus encore qu’avant dans la nébuleuse infinie. Il se recueillit auprès du corps une dernière fois et y déposa quelques offrandes à la gloire de Fenmarel Mistarine; c’est pendant cet acte qu’une lumière éthérée vint le baigner et qu’il acquit son statut clérical. Mille fois , il rendit grâce à ce destin qui lui permettait ce dont il aspirait dorénavant. Cette consécration venait clore des décennies de dévotion et de piété ainsi que le désire d'enseigner. Il se sentait prêt, son tour était venu de d'apprendre à qui voudrait l’entendre la voie du Loup Solitaire.

Bon, trois dernières choses.

J'ai un doute.. tu as diminué ton charisme ? En effet, j'ai du mal à voir un prêtre sans modificateur de charisme positif.. dans le sens où il est sensé arriver à approcher les gens, leur parler de son dieu, et tenter de les convertir si possible. Or, sans charisme, ce n'est pas très crédible..

Sinon, comment comptes tu jouer ton 8 en force ?

Citation :

Pour la parenté on dira proche alors

Proche, c'est à dire ? Tu peux me donner la génération stp ? Enfin j'ai une autre question du coup... (désolée, mais c'est pour une histoire de cohérence) Si c'est un parent d'une génération proche, comment se fait il qu'il n'apprenne pas la nature de ce "secret" par d'autres personnes que sa mère comme ses compagnons de jeu étant enfant ?

Voilà, plus que ça et on sera bon je crois

bon je remonte le char^^


8 en force euh incapable de soulever de lourdes charges si tu as des idées à me soumettre je suis partant .

Vu la longévité des elfes, le parent peut-être un arrière grand parent ou grand parent, ce qui est relativement proche d'un point vue humain mais qui l'est, toute proportion gardée, moins d'un point de vue elfique; donc le souvenir peut paraitre lointain et la famille à également la possibilité d'occulter ce côté bâtard. Même si je pense qu'il est clair que la communauté ne l'a pas forcément oublié. Le voisinage est assez délicat pour ne pas en faire mention (c'est rare je te l'accorde xD mais on se dit que les elfes sont extraordinaires )
Et puis j'ai bien précisé que la communauté n'avait jamais montré grief à cet ancêtre, ni à Erchamion. On peut donc supposer qu'il habite un petit coin de paradis qui n'a rien à envier à Mickey and co .

Les parents ne comptaient pas lui dire mais l'intuition du jeune padawan (dsl fin de journée xD) à fait qu'il a ressenti un trouble dans la nature des choses. La parents ont préféré attendre l'avênement de "sa majorité", symbole d'une certaine maturité (prise de distance etc^^), pour lui annoncer qu'il y avait un cadavre dans la placard . Une erreur de jugement malgré la sagesse légendaire des elfes (attention j'ai dit qu'ils étaient hors du communs nos amis elfiques mais pas parfait ).

Le problème est qu'on parle d'elfes et non pas d'humains... Bref, faut que j'y réfléchisse encore un peu

Aucun soucis je patiente

ps: si y'a vraiment trop d'incohérence cela dit, je ne vais pas m'accrocher comme un forcené à ce personnage, ni nourrir une haine vicérale à l'encontre du monde pour ça^^. Par conséquent je suis tout à fait disposer à abandonner l'idée de jouer cet avatar ! et ce sans aucune rancune. Il n'y a pas matière à hésiter si cela pose trop problème .

Oh je trouve que la deuxième solution, est pour moi, de loin la meilleure, je peux donc retravailler le début sans aucun soucis en vue de rendre l'histoire plus crédible .

edit: voilà j'ai changé des éléments afin d'aller dans le sens de la fugue. Par contre, les modifications ayant eu lieu sur des phrases assez épars je ne les ai pas mis d'une autre couleur . Mis à part le premier paragraphe il n'y a pas de changement fondamentale.

Pour résumer:

_changement présent paragraphe 1 (enfance difficile au lieu d'une sans anicroche)
_à la fin du second (ancêtre à du subir des quolibets également et ne s'est donc pas insérer sans problème)
_début du troisième (fugue)