[Validé][Magicien/Guerrier][H] Mördred Korsakoff

"Background de Mördred Korsakoff"

Ou

"Les confidences du dément."

Citation :

Nom du compte joueur forum : Leguman
Nom du compte joueur module : Daniilof
Nom du perso : Mördred Korsakoff
Race : Humain
Age : 30
Alignement : Chaotique mauvais

Religion : Beshaba

Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Mage 21/ Guerrier 4
école de magie 1 : Evocation.
école de magie 2 : Transmutation.

Langues : Commun, Draconien,Abyssal,Elfe.

Familier: Diablotin.

Trait de Caractère :

Une méfiance extrême à l’égard des autres, Une susceptibilité démesurée, des crises hallucinatoires chroniques et une surestimation pathologique de lui-même (paranoïaque.) Paradoxalement, est un mage consciencieux, méticuleux et d’une extrême prudence. C'est un homme réfléchi, qui prend le temps d'analyser correctement toutes les données d'un problème.


Description physique :

Un humain de stature modeste, de plus ou moins un 1.75 mètres pour 65 kilos environ. Sa peau est asse claire, ses cheveux noueux sont bruns ainsi que sa barbe et son visage apparaîtra comme tourmenté à n’importe qui le regardera de face. Ses yeux vifs semblent surexciter, tendis que de temps à autre de petits nerfs vibrent sur toute la surface de sa peau. Un auditeur avertit peu déceler certain pic de stresse dans sa voie, quoi que beaucoup plus rare que ses spasmes…


Caractéristiques (base):

FOR : 11
DEX : 13
CON : 14
INT : 18
SAG : 8
CHA : 8

Que ce soit par Dagyde ou par Voult, je le sais je le sens, je suis la victime d’une malédiction.

--- Mais enfin, qui et pourquoi ferait on ça ?

-- Un coupable et un mobile… pourquoi faut-il toujours un coupable et un mobile…

--- On en à déjà parler, je croyais que tu avais compris.

--Des jalousies d’étudiant, des rancœurs entre voisins, des magouilles pour un héritage… Je n’en sais rien, il pourrait y en avoir temps.

--- Je ne peux rien faire pour toi, si tu n’as pas identifié d’où venait le problème.

-- Je sais… je sais…

--- Recommençons depuis le début… J’entretien tout de même l’espoir de trouvé la cause de tes ennuis, Mördred.



Mes parents ont vécus toute leurs misérable vie dans une bourgade de la région du Raxior non loin de la communauté des gnomes illusionnistes d’Yggdrasill. Dans ce pittoresque village qui n’est désormais plus qu’un tas de ruine, Ils se sont tués à la tâche campagnarde avec, à ce qu’on ma raconté, une ardeur déconcertante… Malheureusement je n’ai eu la joie de pouvoir vraiment les « connaître », étant donné qu’une tribu de gobelins en conflit avec les gnomes a incendié la ferme familiale, ainsi que tout le village, d’ailleurs… Nous n’étions qu’une poignée d’enfants qui jouions hors du village et quelques bûcherons isoler dans les bois à avoir survécu. On me confia alors à mon oncle, Sevan, car enfant je n’aurais pu me débrouillé seul, même si j’était plutôt téméraire étant petit. Oncle Sevan tenait une petite boutique de magie dans la métropole du Raxior. Quand j’y repense…c’est avec lui que j’ai appris ce que je sais sur les plantes médicinales et leurs utilisations. C’était un brave type, quoi que un peu trop porté sur la bouteille mais c’était chose courante chez les Korsakoff.

Sévan m’a enseigné les particularités lier à toute les plantes qu’il vendait dans son échope. Je découvrais les facultés des plantes communes comme « l’acacia, l’ail , l’angélique, le basilic, le bouleau, le bouton de rose, la camomille, la cannelle, le coriandre, les fougères, le gui, le romarin, la rose, les clous de girofle… » Et d’autres plus rares ou plus subtiles comme la belladone ou la mandragore. Ma soif de connaissance, déjà à cet age était plutôt acérée.


Quelques utilités de plantes qui me sont revenu en tête il y a peu:
…

Citation :

Bouton de rose:

Jeter quelques boutons de rose dans un feu procure la chance.

Camomille:

Il est reconnu que la camomille attire l'argent; il est recommandé de se laver les mains dans une infusion de camomille juste avant de jouer à un jeu de hasard.

Cannelle:

Utilisée comme encens, elle apporte la prospérité.

…

Je me souviens de l’autre apprenti de la boutique de magie, Tristan, un halfelin à l’humeur toujours sombre et qui passait le plus claire de son temps à chercher des sortilèges et des malédictions dans les grimoires que vendait mon oncle. Je me suis toujours bien entendu avec lui. Un jour, nous avions tout les deux fabriqué une poupée en cire du gros Sevan. Nous avions bien rit ce soir la. Lorsqu’un client entrait pour venir chercher sa commande ou par curiosité, nous nous empressions de piquer la poupée grassouillette dans les fesses avec une aiguille en fer froid. Des blagues d’adolescents qui s’ennuient, rien de bien méchant… Mais suite à cet « incident », mon oncle a commencé à me frapper lorsqu’il n’était pas sobre. Mine de rien… sa fait quand même beaucoup…

Séance n°2 : «L’adolescence et la scolarité »

*commentaire du prêtre*
Mördred commence à me confier de plus en plus de détail sur son passé, c’est probablement car je lui inspire davantage de confiance. Peut être que je vais bientôt pouvoir lui demander clairement ce qui ne va pas.

Je suis resté comme apprenti à la boutique de magie jusqu'à mes 15 ans. C’est à peu prêt cette année la que nous avions appris le décès de mon grand père paternel. Je me souviens encore de la première chose que mon oncle a dit en apprenant que lui et moi, nous avions hérité de toute les possessions et les économies du vieux Axim. Il m’a dit que je n’avais pas mériter cette argent et qu’il ferait tout se qu’il pourra pour que j’en aie le moins possible… Déjà bien avant j’avais appris à me débrouiller par moi-même et j’avais découvert les joies autodidactiques. J’avais tout de même l’aide de tristan dans certain cas. Tristan, malgré qu’il était plus petit que moi, était de 5 ans mon aîné et je lui demandais souvent la signification de certain passage dans un livre mal compris. Mon oncle quand a lui, n’en ratait pas une pour me pourrir la vie... Que se soit en me donnant toujours plus de travail dans la réserve, ou en me rabaissant à longueur de journée. Je ne lui en veux pas, c’était un ivrogne avide et cupide mais il m’a beaucoup appris sur les composantes nécessaires aux lancements des sortilèges magiques et sur les comportements faces à l’argent.


En effet, à chaque nouvelle lunaison, Sevan le gras attendait toujours les alentours du 17 du mois pour préparée son rituels mensuel qui devait servir, selon ses dires, à attirer l’argent. En faite il ne me l’aurait jamais expliquez si Tristan et moi ne l’avions pas surpris un soir de pleine lune en train d’allumé une bougie et en plein baragouinage mystique. Mon oncle, comme pour se justifier le lendemain, nous montra la page de son grimoire personnel parlant des sortilèges ayant un effet sur l’argent. Il y en avait des tas ! Celui que nous avions surpris était numéroté 43.

Citation :

Rituel n°43 pour attirer l'argent

Supports:
• 2 clous de girofle
• 1 bougie verte
• 1 bougeoir
• de la monnaie (peut importe la quantité)
• 1 soucoupe
• 1 bourse en cuir (avec fermeture)

Rituel:
• Trois jours avant une Pleine Lune, frottez la bougie avec les clous de girofle, l'un après l'autre, pendant un instant. Placez ensuite la bougie dans le bougeoir, posez celui-ci et les clous de girofles dans la soucoupe, et la soucoupe sur les pièces d’or et la bourse. Laissez tous les supports reposer ; ne les touchez ni ne les déplacez pendant trois jours.

• Le soir de Pleine Lune, c'est-à-dire trois jours après la première opération, allumez la bougie. En vous concentrant sur la flamme, prononcez 5 fois, à voix haute : "Par la volonté de Dieu, que les richesses affluent vers moi en abondance et sans discontinuité. Ainsi soit fait !". Plantez 1 clou de girofle dans la bougie et laissez-les se consumer complètement.

• Le lendemain, mettez dans la bourse, les pièces de monnaies et le clou de girofle restant, puis placez la bourse dans un endroit secret, où elle devra séjourner pendant au moins 7 jours. Par la suite, lâchez la monnaie dans la nature le plus rapidement possible, soit en la dépensant, soit en l'échangeant.

Bref…C’est en raison de sa cupidité que dé mes 15 ans il m’envoya au pensionnat de l’école des arts magiques qui se situait dans la métropole voisine. C’était une région sauvage car tout autour des remparts de la ville, des créatures voguaient selon leurs bon vouloirs et cela dans l’impunité total. C’était dangereux pour un enfant mais le gras s’en foutait. L’école était c’elle proposant la meilleure qualité… par rapport au prix. (Bien sur.) La malchance jusque la ne m’avais que partiellement altéré. Beshaba dit bien que le mauvais sort frappe tout le monde et puis sa pouvait toujours être pire.

C'est à l'école des arts magiques que j'appris le plus de choses. Des notions dans divers métier, plusieurs sciences fortes utiles comme l’anatomie et les mathématiques; l’histoire de notre monde dans les grandes lignes et même certaines langues. J’appris les rudiments scolaires de la langue elfique ainsi que quelques dialectes humain. Bien que certaines consonances et prononciations m’ont parus pendant fort longtemps comme affreusement compliquées, j’ai fini par comprendre les quelques subtilités de cette langues qui étaient à ma portée. L'elfique est tres utilisé en magie, il est même indispensable dans certain cas. J’ai par contre, non sans peine, été contraint à étudier par moi-même l’abyssal. Cette langue n’étant enseignée nulle part, c’est c’elle que je maîtrise le moins. Elle m’a été tout de même fort utile lors de nombreux sortilèges d’invocation de démon. Conversé avec les créatures invoquées est plus lucratif qu’il n’y parait…

Séance n°3 : « La démence »

*commentaire du prêtre*
J’ai enfin pu aborder le sujet de sa prétendue « malédiction ». C’est pire que ce que j’avais imaginé…

Malgré ma dévotion perpétuelle pour la pucelle de l’infortune durant toute ma scolarité, j’ai commencé à angoisser pour toute sorte de chose, vers l’age de 18 ans. C’est venu petit à petit. Rampant dans mon esprit toujours plus proche et s’éclaircissant toujours davantage. C’est d’ailleurs à cette époque que j’ai adopter le réflexe de regarder régulièrement derrière moi. Je me sentais observée. Cette sensation vicieuse me poursuivait dans les couloirs de l’école jusque dans la chambre qui m’avait été assignée par le concierge de l’internat. Au fur et à mesure que le temps passait j’eu même des crises d’inflammation cutanée, des picotements nasal et buccal, des sensation de brûlures interne, des moments précis d'intense déprime, des sensations régulières mais momentanées d'une présence très malfaisante, l'impression de voir une ombre au dessus de moi; en tout cas une étrange impression de présence désagréable. Cela se produisait chaque jours à des moments bien défini.


L’une de mes plus grandes angoisses a été et sera toujours le phénomène du choc en retour de la magie. Je me suis toujours poser la question. Si le monde non magique est soumis aux lois « physique », pourquoi la magie, elle ne subirait pas ces lois ? C’est la loi universelle de « l’action et la réaction » qui elle par contre s’appliquera toujours dans les domaines magiques ou non magiques. Mais alors, que va-t-il m’arriver demain ou dans une semaine, même plus tard, en réaction des sorts que je lance aujourd’hui… La magie est une action spirituel se qui implique normalement tout magicien doit se poser la question de savoir se qui va advenir du monde qu’il modifie en lançant son sort, le plus petit soit il. Mais ce n’est pas le cas ! A l’école j’étais le seul élève à m’être posé la question… Quoi que l’on fasse, toute action entraîne une réaction. Toutes les décisions que l’on prend modifie la toile et influencera notre vie future. La vie n’est que changement, mais un mauvais changement peut entraîné le déclin de toute choses. L’élève comme les autre dira : « M’enfin Mördred te prend pas la tête, fait ce que t’aime tu sera jamais puni. » Mais je ne pouvais m’empêché de pensé à cela, comme une obsession qui pourrissait à l’intérieur de mes tempes. Forte heureusement le temps à fait que ça c’est calmé. Je n’ai pas résolu la question complètement mais je m’en préoccupe moins, même si le doute persistera toujours.

Séance n°4 : « Les choix philosophiques/magiques»

*commentaire du prêtre*
Cette fois je vais détendre un peu l’atmosphère, en le questionnant sur son initiation à proprement parlée. J’ai remarquée à l’autre séance que la fréquence de ses tics nerveux avait augmenté. Autant ne pas aller trop vite et risqué ainsi de fermé complètement le dialogue.

L’école des arts magiques de Raxior présentait aux premières, deuxièmes et troisièmes années d’étude, des cours dans toutes les « écoles de magie » différentes. ( Abjuration, Divination, Enchantement, Evocation, Illusion, Invocation/Conjuration, Nécromancie et Transmutation). C’est pour vous donner un bagage ! Qu’ils disaient… Par la suite, au début de la quatrième année d’étude, nous pouvions choisir les branches qui nous plaisaient le plus. Les généralistes continuaient à suivre l’entièreté des cours. Quand à moi à la fin de ses 3 années, j’avais trouvée mes voie de prédilection : « L’evocation et la transmutation ».

Bien que L’abjuration me permettait de me mettre à l’abri mais en restant au même endroit… Je me sentais comme en sécurité lorsque je commençais à manipuler la trame du pouvoir profane. C’est l’une des meilleures choses qui me soit arrivée. Elle m’a permis de contenir la malédiction qui m’incombait. Je suis ce que l’on peu appelé un enfant de l’infortune qui tente de maîtrisé sa crainte par des mediums et techniques variées.


Dans ses cours d’abjuration, l’un des premiers sorts que l’on nous a appris est le sortilège de bouclier magique qui apparaît sous la forme d’un champ de force psychique. La plupart des élèves ne savaient pas que pour pouvoir utilisé se sort de manière fluide, il faut une longue préparation.

Je me souviens de la cérémonie que je du faire pour que me soit accordé le mien:

La veille de la pleine lune j’avais préparez moi-même l’autel en y plaçant mon récipient incantatoire, une chandelle rouge à ma droite, une chandelle noire à ma gauche et une chandelle blanche en face derrière le récipient. J’avais broyé une quantité égale de chaque ingrédient ; le tout en même temps comme le disait la consigne. Je m’étais appliqué à mélanger le nombre exact de gouttes des différents fluides dans le récipient.

Le soir de pleine lune qui suivit je m’étais Laver avec les huiles désignée pour me débarrasser des « influences » négative puis m’étais habiller de l’habit de rituel blanc éclatant mis à ma disposition par l’école pour l’occasion.

Mes professeur on alors fait brûler de l’encens dit de « protection » et je pu allumer les chandelle (en commençant par la droite). J’ai prononcé les antiques paroles sacrées à chaque point cardinaux puis je m’étais asperger tout les points vitaux avec le mélange préparé la veille. Une fois la cérémonie terminée je fermais les différentes bouteilles de composantes, remercier le dieu de la protection et enfin souffler les bougies, accompagné des applaudissements de l'assemblée.


Malgré cela, la branches que j’affectionnais le plus à l’époque et que je maîtrise toujours avec grand plaisir aujourd’hui c’est l’évocation. En réalité j’ai choisi cette école de magie pour ses nombreuses utilisations fortes utiles et pour sa faculté destructive. Mais avec le recule et l’initiation que j’ai fait par la suite, je me suis rendu compte de toute l’importance qu’a un mage à connaître cette école si il veux pouvoir comprend le fondement de chaque chose.

De plus, mon angoisse concertant le choc en retour de la magie c’est un peu atténuer pendant l’étude de l’évocation car le fait de connaître mieux les énergies que l’on utilise lors de la magie me permis de mieux me préparer à d’éventuel « représailles » de la magie elle-même. J’ai continué sur ma lancée en me penchant plus sérieusement sur la transmutation. Car une fois que je compris la matière, j’eu le besoin d’apprendre à la manipuler, la transformer, l’adapter à mes utilités… La transmutation c’était le meilleur moyen pour moi de savoir précisément à quel niveau je modifiais le monde qui m’entour et la toile, lors de l’utilisation de la magie. Plus j’avance dans ces deux écoles parallèlement, plus j’ai une impression de puissance par le fait de savoir, tout simplement. Savoir précisément ce que l’on fait n’est pas le luxe de tous le monde. Peut être un luxe pour les fous… aller savoir !…

Séance n°5 : « L’isolation »

*commentaire du prêtre*
Je réattaque en douceur en lui demandant si il n’a jamais tenté de trouvé une solution à son mal être.

Sortit de l’école des arts magiques vers l’ages de 26 ans, je me suis mis en quête d’atténuer le mal qui m’avait ronger jusque la. Pour se faire je suivi les conseilles de Tristan avec qui je conversais par lettres. (Non seulement pour toujours garder un œil sur les agissements de mon oncle avec l’héritage mais aussi pour avoir un avis supplémentaire sur les questions qui pouvait me turlupiner…) Tristan était resté tout ce temps à la boutique de magie à étudier plus profondément et sérieusement les grimoires mis à sa disposition par le gras. Il m’a conseillé suite à la lecture d’un bouquin fort intéressant sur la démence et ses variantes magiques, de m’isoler pendant quelque temps pour méditer. Comme cela je pouvais identifier réellement les « symptômes » de la malédiction qui me poursuit. Je me suis exécuté les 2 années qui suivirent dans les galeries montagneuses qu’avaient construit les gnomes; mais en plus, j’en profitai pour apprendre plus en profondeur à manipuler le flux de l’évocation. Toute chose est formée par des énergies fondamentales, pour comprendre ses choses, il faut préalablement comprendre ce qui les régit. Une autre raison qui me poussa à en étudier les principes, est que l’évocation me permet de laisser libre cours à mes instincts. Cette vision brutale de destruction à un effet des plus apaisant sur mon esprit. Une sorte de moyen de décompresser…

Dans ses tunnels ou je suis resté durant 4ans, il a bien fallut qu’ont se débrouille moi et ma solitude. Non seulement pour nous nourrirent tout les deux mais aussi pour nous défendre contre des ennemis qui cette fois n’avais rien d’insipide. J’avais appris à contrer toute sorte d’attaque interne ou magique mais jusque la jamais encore d’attaque physique. Je du me résigné à apprendre le maniement des armes que je trouvais sur l’ancienne terre gnome désormais hostile car dans un couloir de 1,5 mètres de largeur sur 2 mètres de hauteur, sa ne sert à rien de se servir d’une boule de feu… Cela ne m’enchanta guère et je tentai de me soustraire à cette contrainte qu’est le combat physique en m’habituant à la douleur corporel, comme je m’étais habitué à la douleur psychique.

La douleur, une notion qui a jalonnée toute mon enfance et qui transperce encore ma vie aujourd’hui.

Séance n°6 : « De retour chez Sevan»

La première chose à la quel j’ai pensé en sortant de cette caverne miteuse c’est d’enfin me lavé de la souillure qui s’était malgré mes efforts accumulées sur ma peau. Une fois cette chose faite, une envie irrésistible me poussa à revenir chez mon oncle pour aller remercier Tristan pour ses conseilles avisés qui mon beaucoup profitée, je le concède. N’ayant prévenu personne de mon arrivée, il n’y avait bien entendu personne dans la boutique de Sevan. Je ressassais de vieux souvenir à la vue des étagères pleine de composantes puis je suis monté au grenier.

C’est au grenier qu’avaient lieu la majeure partie des rituels. Quand je suis arrivé devant la porte, j’entendu une voix qui ne m’était pas inconnue, du moins c’est ce que j’ai cru à ce moment la. Je collai mon oreille gauche contre la serrure pour mieux entendre se qui se passait à l’intérieur.

Au bout de quelque minutes de silence, « la cérémonie » reprit et je pu ouïr qu’elle m’était toute destinée. La voix que j’entendais se faisait de plus en plus autoritaire. J’ai préféré attendre le bon moment pour entrer. Un chant se fit entendre, mais les paroles en étaient inintelligibles, puis une mince fumée brune filtra par-dessous la porte. Un « ENTRE ! » sonore résonna dans toute la boutique. A moins que ce ne soit mon imagination…Je profita de cet instant pour ouvrir la porte et pénétrer dans la pièce éclairée par des bougies placées à même le planché et disposée selon les formes forts complexe d’une sorte d’étoile à 7 branches encerclée et d’où un carré avait été dessiné en son centre avec de la fine poussière rougeâtre. Je reconnu Tristan muni d’une spatule en train de mélangé dans un immense bol placée au centre de la pièce. Il me regardai stupéfait et sans rien dire tendit que la spatule glissa de sa main et alla renversée une bougie. Je l’éteignis du pied tendis que j’avançais vers lui attendant une explication. Je me posta devant lui, il n’avais pas beaucoup grandi et ses trait était à peu près pareil que dans mes souvenirs. A une exception prêt et non des moindres… Lorsque je le secouai par les épaules en lui disant que je voulais comprendre pourquoi il m’avait persécuter durant tout ce temps, il ouvrit la bouche et laissa m’apparaître le spectacle tragique d’un ridicule petit morceau de langue fraîchement cautérisé visiblement par une bougie. Je le reposai par terre sans comprendre…

*Je met fin à la séance car les mains de Mördred ne s’arêtent pas de tremblées et des goûtes de sueur perlent de son front*

Séance n°7 : «Atrocité»

*commentaire du prêtre*
Je crois bien que nous touchons au bute, cette séance sera sans doute la dernière.

J’avais pourtant entendu une voix que je pensais être la sienne. Mais sur le coup je ne m’y étais pas plus attarder. Sous le joux de la colère, je le défenestrai du grenier qui était au troisième étages… Lorsque je suis descendu, après avoir saccager tout ce qui pouvait l’être dans le grenier, mon oncle m’accosta sur le palier sans me reconnaître. Il s’insurgeait sur ma présence ici qui n’était pas normal pour un client. Le troisième étage étant une propriété privée. Il était probablement saoul sinon il aurait entendu le bruit qu’avait engendrée ma colère. Que ce soit le bruit de l’Halfelin s’écrasant mollement sur les pavés ou bien le planché craquant sous mes ruées de coups. Soit…il puait l’hydromel et après avoir essuyé un refus de « dégager de la » me plaça un directe dans la mâchoire. Je le fixai durant quelques secondes avec la fureur dans mes yeux qui n’avais pas baissée depuis la mort de Tristan. Je l’assomma d’un coup de coude sur la tempe et le traîna jusqu’à l’étage des rituels désormais un piteux état. Je descendis dans la boutique pour y trouver un brin de corde puis je remontai calmement les marches une à une. J’étais beaucoup plus apaisée désormais car je venais de me débarrasser du gêneur qui m’avait gâché la vie. Arrivé sur le palier je cru voir passé Tristan qui courait dans l’établissement le dos plein de sang et un air triste décomposant son visage… mais je du me résigner à ne pas croire se que je voyais… Au grenier je saucissonna mon gros oncle pour être bien certain de ce qui allais advenir de lui lorsque j’eu enflammer le bâtiment. Je redescendis sereinement les 3 étages et humant l’odeur du bois en train de s’immoler, je m’apprêtais à sortir lorsque la vue d’un dessin, qui dépassait d’une sacoche, m’interpella. Il y était représenté la formation à établir sur le sol pour un sortilège de protection apparemment fort ancien. C’était précisément le rituel que Tristan était en train d’exécuter…

L’idée que le reste de l’héritage me revenais dorénavant à moi seul ne me consola… que partiellement. Je m’étais trompé concernant mon ami de toujours… et la résultante en était tragique. En plus, cette enflure de Sevan le gras avait déjà dilapidé la majeure partie de l’argent en fille de joie et en liquides alcoolisés… La malchance me poursuivra encore.

**Lorsqu’il partit de la ville, Mördred laissa tombé une pièce de monnaie à chaque carrefour en prononçant l’allocution : « Tiens te voilà, te ramasse qui pourra… » Et pour la première fois, il ne regarda pas derrière lui.**


**Le meurtre d’un prêtre n’est pas bien venu, cela dans n’importe quel ville. Soit…il devait absolument partir loin de Raxyor. Il n’avait pas de destination propre mais des récits provenant du Val de bise lui fit choisir ce lieu plutôt qu’un autre. Des récits de voyageurs lui appris qu'apparemment il y a peu de temps, il y avait une cellule du culte de la pucelle de l’infortune encore en activitée dans cette région.**

Dans l'ensemble ça me convient à part que je ne discerne pas l'aspect martial du perso.

Cependant peux tu expliquer comment tu as appris l'elfe, le nain et l'abyssal ?

Dernier petit point : l'alignement du familier ne convient pas avec celui de ton personnage.
Diablotin : LM

des nouvelles ?

Je classe au cimetière

Il y a quatre ans j’ai été fait prisonnier par un groupuscule fanatique du bord de mer, sur le point de mener l’assaut contre des tribus locales. J’ai vraiment cru que j’allais y passer étant donné les maltraitances physiques. Fort heureusement pour moi, leur chef ; un certain Fidesz qui s’était apparemment autoproclamé empereur, avait besoin au plus vite de sang frais dans son armée. J’ai donc été enrôlé de force dans les cohues armées Fidesziennes. Moi et les quelques cinquantaines d’autres prisonniers étions conduit comme du bétail vers les différents champs de batailles. Au fur et à mesure que le conflit évoluait, les Fidesziens équipaient de mieux en mieux les survivants de leur fière et brave armée de base, tout en engrangeant de plus en plus d’esclave. Moi qui n’avais pour ainsi dire jamais porté d’armure lourde, je du me résoudre à en apprécié la sûreté relative… En effet, j’aurais bien plus facilement utilisé des sortilèges pour mettre en pièce l’armée ennemie, si seulement Fidesz ne faisait pas exécuté le moindre soldat utilisant de la magie…

Durant les deux ans que j’ai passé dans ce merdier, j’ai réellement eu l’impression de mourir asphyxié sous une cloche. Je ne voyais que du sang et de la crasse à longueur de journée et j’ai souvent pensé être tombé dans la folie, que tout ça n’était qu’une mauvaise interprétation de la réalité par mon esprit… Lorsque Fidesz eu remporté sa rébellion et réunifier sous la même bannière toutes les peuplades nomades de la région, il nous assigna à la construction d’un château qui devait servir, à ce qu’on racontait, à recevoir sa famille lors des fêtes religieuses de leur culte.

Je me souviendrais toujours des traditions de ces tribus car elles mon fort marquées. Malgré leur barbarisme évident, ils avaient tout de même du respect pour leurs femmes qui se devaient d’être pures avant le mariage, ainsi que pour leur défunt, leurs nourritures ou encore leur divinité. Ils vénéraient tous, toutes tribus confondues et sans exception, un trident apparemment millénaire pas plus grand que le bras d’un homme et d’une couleur verte marbrée de fissure noirâtre. Cet objet aurait, selon la légende, appartenu au tout premier empereur des tribus côtières… Certaine scènes de leur vie quotidienne resteront en ma mémoire pendant encore fort longtemps.

Comme l’une de leurs traditions l’oblige, les chefs de guerre vaincus devaient offrir en mariage leurs plus jeunes filles aux généraux de l’armée vainqueur, en signe de soumission.
Moi et les autres prisonniers avons profité de l’euphorie des festivités pour renverser nos cages et nous vengés de nos anciens bourreaux avec une certaine cruauté qui me fut fort plaisante…

Je le ressors donc du cimetière.

Pour le familier ça ne va pas: le molosse satanique est d'alignement LM et ça ne correspond pas à une perso CN.

Concernant les langues, peux tu m'expliquer en quoi c'est utile de les apprendre ?
Penses tu qu'un elfe, si fier de son peuple, de ses traditions ( au même titre qu'un nain d'ailleurs ) irait, pour de l'or enseigner un trésor linguistique ?

Pour qu'une elfe ou un nain enseigne sa langue, il faut établir un lien privilégier avec les membres de cette race, ou bien l'apprendre dans le cadre d'une structure bien particulière ( comme une académie de magie par exemple).

Concernant le coté guerrier, il y a un point qui me gène : les milices Tziganes : une milice est un groupe de citoyen qui prend la décision de prendre les armes pour protéger leur ville comme s'il étaient une petite armée.
Ce n'est pas vraiment dans l'esprit Tzigane de faire des milices, ni le porte d'armures lourdes. Je pense que le fait que ce soit des Tziganes est génant pour la justification des lvl de guerrier.

J'ai corrigé le problème qui ce posait avec l'alignement du perso et du familier.

En claire, le perso sera chaotique mauvais et son familier un diablotin.

Je viens aussi de remanier la dernière partie pour que les termes "tzigane" et "milice" n'apparaissent plus.

Pour se qui est des langues parlées j'ai suivis ton idée d'apprentissage dans le cadre de la structure scolaire. (Voir séance 2).

Pour le familier ok.

Concernant les langues, on peut supposer que certains sorts sont écrits en elfiques et qu'il est nécessaire d'apprendre la langue pour pouvoir les employer.

Par contre concernant le nain, je ne pense pas que ce soit dans uen école de magie que tu l'apprennes. Les nains dévelloppent une magie perticulière qu'ils n'enseignent pas à n'importe qui.

Faut trouver un autre moyen pour apprendre le nain ou le faire IG.
Pour l'elfique tu apprend ce qui t'est surtout necessaire pour la magie. Il existe des subtilités que ne sont pas compréhensible par un humain.

hrp :

Ok, bon pour le nain je verrais plus tard dans ce cas, ce n’est pas indispensable de toute façon. . Je l'enlève de mes langues.

Et je précise que je ne connais pas toute l'entièreté de la langue elfique bien trop raffinée pour un humain.

Parfait, je valide

Paranoïa N°I

Citation :

« Dans la vie il faut avancé. »
« Du monde du réel au monde du rêve il n’y à qu’un pas. »

Alors ma question est la suivante :
-Faut il encore avancé ?

Parfois je crois que je recule. Peu être que je marche à reculons ou bien que je ne bouge pas et que je crois avancé … Du monde du réel au monde du rêve il n’y à qu’un pas… Et les cauchemars alors ? Un mot suffit souvent à massacrer des milliards de personnes. J’ai sûrement déjà prononcé un mot de trop. Encore faut il vouloir avancé ! Certaine personnes veulent savoir avant tout où ils vont avant de remuer le moindre orteil. Je ne suis que peu différent si ce n’est que j’évalue mon avenir alors que je suis déjà en mouvement vers lui. Je le rejoins inexorablement ; je le sais. Cette affirmation me donne le vertige. Ce n’est pas tellement le fait d’avancé qui me fait douté mais belle et bien la façon de faire.

Dois-je reculer ? Prendre du recule ce n’est jamais qu’analysé d’un meilleur point de vue ce que l’on à déjà accomplit et la suite des événement. Peu être est il trop tard déjà. Mais quelle est la suite ?

Je n’ai aucune idée du point de départ de ma folie. Est-ce bien raisonnable d’aller fouillé à grande empoignade dans un tas de fumier lorsque l’on ne sait pas ce que l’on cherche ? De plus, je ne suis même pas certain que, sachant cela, je pourrais mieux comprendre le parcourt que la pucelle de l’infortune à présager pour moi.

Pourquoi devrais-je choisir entre deux directions… On en fini pas de courir après les rêves que l’on avait quand on était petit. Faut il encore en avoir. Lorsque le pouvoir remplace la douleur, tout deviens en déséquilibre. Pour ma part j’ai choisi ce que je préférais…

J’ai vécu ce que tout le monde à peur de vivre aujourd’hui…
Lors d’une escapade en mer avec un certain nombre de personnes plus ou moins aussi mal intentionné que moi selon le cas, j’ai perdu une jambe.

Le bateau avait une cale des plus poisseuse et l’équipage était la plus belle bande de dévergondé de tout Fearum. Pour ce qui est du capitaine … c’était un orc impérialiste recruter sur le tas à la va vite. Lors de la traverser un orage faisait rage et je présentais qu’il ne serait pas de tout repos. J’ai fini par me retrouver en mer lors d’une attaque pirate mêlée à l’apparition d’un typhon. Le requin n’a fait qu’une bouchée de ma jambe malgré mes efforts pour me protéger. Les autres passagers m'ont aidés t’en bien que mal à remonté sur la chaloupe de sauvetage puisque le bateau gît désormais dans les abîmes humides et sombres du fond de la mer. Nous avons péniblement rejoins le rivage malgré les attaques furieuses du requin qui visiblement avait les crocs. J’ai décider de ne pas essayer de soigner cette blessure des plus handicapante… La malchance ne pas épargner, c’est une vraie bénédiction que ma déesse ma faite, et je refuse catégoriquement de chercher à régénérer le membre perdu.
J’arborerais désormais fièrement l’objet inerte qui me servira de jambe à l’avenir…

*hrp*
En conclusion si vous voulez prendre des vacances et partir à la mer, éviter de prendre avec vous un poissard de la pire espèce si vous ne voulez pas que vos vacances vire au cauchemar.

Un effrayant somnambulisme.

IL m’est arrivé quelque chose de sordide cette nuit.
Je me remettais de mes blessures à la jambe lorsque j’entendis frapper 3 fois à la porte de ma chambre. J’ai alors sautiller pour aller voir de qui il s’agissait mais personne … ni devant la porte ni dans les couloirs. Je me sentais un peu bête mais en refermant la porte et en retournant m’asseoir prêt de la fenêtre, je senti une présence malfaisante et humide me reluquer la nuque.

Je frissonna et empoigna le coupe papier qui traînait sur le bureau. Un vents frais mais plutôt violent fit claqué les volets d’un coup sec et fit s’éteindre mes bougies, dans un flash lumineux. Désormais seul la faible lumière blafarde de l’astre lunaire éclairait la pièce par les interstices des volets. Une force Surnaturelle s’empara soudainement de mon bras ! Je vis ma main gauche échapper totalement au contrôle de mes synapses et lâcher le coupe papier pour aller se heurter au meuble de ma chambre. Ma main finie par attraper la barre en bois que l’aubergiste m’avait bien gentiment donné pour m’aider à marcher, et faire office de béquille ; sous mes yeux ébahis et injecter de sang, en conséquence du manque de sommeil. Je me suis alors vu me mouvoir jusqu'à la porte sans pouvoir contrôler quoi que se soit.

Ma vision se brouillait peu à peu. J’apercevais les formes, les contours mais sans être vraiment certain que ce que je voyais étais bien le port avec ses lanternes ou si j’étais en train de contemplé les yeux acérer d’une mouche de plus de 2 kilomètres de long ! Je perdais l’équilibre sans arrêt, mais la force qui s’était emparé de moi m’empêchait de me ratatiner au sol. Mon horrible virée nocturne m’emmena sur la plage où des planches de bois et des débris de vaisseaux s’y étaient échouées. Je vis alors une chaloupe. Elle ressemblais étrangement à c’elle qu’il y avait sur le bateau le soir où les pirates nous ont aborder.

Un visage hideux se dessina alors dans le sable et je pu reconnaître celui du marin survivant qui nous avait quémandé de l’aide alors qu’il allait se noyer. Une voix à vous glacé le sans résultat de la vibration de mes propres cordes vocales, ma langue devenait de plus en plus pâteuse et malgré mes effort je n’arrivais pas à serrer les dents. « Pourquoi ne pas m’avoir aider pourriture de chacal ! Tu crèveras dans les abîmes de l’enfer et lorsque tu me rejoindras, je ferais de ta mort une souffrance éternelle ! Je prendrais un plaisir sadique à démonté chaque trait qui compose tas sale face de rats labial Et le visage s’effaça aussi vite tendis que je suffoquais en crachant de la bille jaunie et enfumée par le souffre.

Mon esprit se replia avec horreur et à mon réveille, j’étais sur la plage entourés de détritus et de débris naufrager. Je ne sais combien de temps je suis rester la à respirer l’orage en dégoulinant de toute ma crasse sur le sable encore rougit par le sang de tout ses hommes. Mes vêtements était déchiré et sentaient le vieux poisson défraîchi. Je n’y comprenais vraiment rien et j’ai alors boité vers l’auberge pour me débarrassé de ses souvenirs dans une cuite bien mérité…