[En attente][Moine][H] Jeana Nidions

Nom du compte joueur forum : Cyril
Nom du compte joueur module : Néférée
Nom du perso : Jeana Nidions
Race : Humaine
Sous race : Kara turienne
Age : 29
Alignement : Loyale neutre
Religion : Ex loviate, Tempus
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Moine (lvl non définits)
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Poings nus
Langues : Communes, Kara Tur
Familier/Compagnion animal :
Ennemis jurés :
Trait de Caractère : Douce, mais ferme. Indulgente mais loyale à ses principes.
Description physique : Originaire de Kara Tur, cette femme est vêtue d’une tenue légère, svelte, son corps respire la santé. Son visage allie une beauté naturelle ni exceptionnelle ni banale, a une certaine fermeté.


Caractéristiques :
FOR :
DEX :
CON :
INT :
SAG :
CHA :






Souffrance...

Douleur...

Terreur...


Le froid est une torture
C'est une chose inconsistante
Au mordant cruel et douloureux

L'eau croupie suintait de toutes parts
Glaçant mes membres inertes

La douleur toujours plus intense
D'instant en instant

Le temps s'allonge
Les cris ralentissent
Le sang coule doucement
Le feu danse doucement

Noir
Une ombre gigantesque
Me recouvre entièrement

Froid
Une main glacée soulève mon corps
Et m'emporte hors du carnage

Des cadavres sont trainés
Des hurlements fusent de toutes parts

On m'entraine devant deux silhouettes
Attachée à des pieux
Nues et terrorisées

Un morceau de cuir se retrouve dans ma main
Les mains d'une femme referment mes petits doigts
Sur le manche d'un fouet

On lance mon bras
L'accompagnant dans son élan
Le fouet claque
Le fouet frappe

Les hurlements ne tardent pas
Je ne vois rien
Je ne peux rien faire
On me porte
On me force
Mon bras, impuissant face à la poigne de fer
Ma main fermement contrainte
A projeter cette arme de douleur
De souffrance
De torture

L'hurlement
Cette chose qui déforme tout autre
Aucune voie ne résiste à cette corruption
Aucune voie n'est reconnaissable

Ce cauchemar parut durer des heures, des jours
Sans que rien ne puisse l'arrêter
Sauf les hurlements
Qui se transformèrent en gémissements
Qui devinrent des pleurs
Et le silence dominat...

On me lâcha ma main
On me porta jusqu'aux deux corps
Lapidés, terriblement défigurés

Mais ses visages resteraient gravés à tout jamais
Dans mon cœur

*Pleurs*

"Maman...Papa..."





Le monastère de mes parents, en Kara turie, n’est plus qu’un vague souvenir… je peine à revoir les visages de mes parents…Chaque claquement produit par mon fouet balaye un peu plus ces lambris du passé, chaque instant passé dans ce lieu, chaque rite de la Douleur et de la Pureté entrave mon esprit un peu plus dans cette prison spirituelle, dans cette dévotion pour La Sainte Vierge des Douleurs…


Les années passés, les loviates se disent mes sœurs, mais elles ignoraient alors tout de mes tourments, tout de mes souvenirs, tout de mon passés…Tous pensaient que j’avais reniée mon passé, relégué loin dans ma mémoire, mais chaque jour passant, chaque nuit, mon affliction forçat mon dégout, et jour après jour je m’éloignais dans principes de Loviatar…


Une nuit, j’étais chargée de rendre visite à un village proche, j’y allai seule, il n’y avait qu’une faible population…Cette nuit fut décisive…Au moins autant que celle où j’assassinai mes parents…


Je devais les terroriser, les torturer, les plier à la volonté de notre Déesse, mais à l’instant où je pénétrais dans ce modeste hameau, les souvenirs me submergèrent, tels des vagues renflouées depuis des années, les images se succédèrent, se chevauchèrent…Je compris, cette mission, qui m’était confiée, c’est une épreuve comme cela qui me fit devenir ce que je suis, pourquoi aurait je le droit de détruire d’autre vie, je réalisa que tout ceci n’était que mensonges et trahisons, je ne pouvais en supporter plus…

Cette nuit, une nuit sans lune, une nuit noire comme l’onyx, je partais…seule et perdue, je m’enfuyais…

Folle que j’étais de ne point craindre le courroux de Loviatar, oubliais je cette grande Patronne des Tortionnaires ? Pensais je que je ne risquais plus rien une fois asse éloignée…quelle aveugle je fis…

Mais les semaines passaient, et je m’éloignais, sans cesse, jusqu’au jour où…J’arrivais à un monastère isolé, lequel acceptait de m’accueillir sans me poser de question…C’est là que ma vie changeât…Les souvenirs refluèrent, l’éducation que mes parents avaient eus le temps de m’apporter refit surface, et je repris l’entrainement des moines afin de retrouver la paix intérieure…

Un beau jour, un homme se présentât à moi, le coup de foudre fut immédiat, un tel amour peut-il être puéril, je l’ignorais alors, mais je m’en contentais. Nous vécurent heureux quelques temps, nous avons même conçu un enfant, un petit garçon, charmant, adorable, respirant l’amour, jamais je n’aurais crue pouvoir jouir d’un tel bonheur malgré mon douloureux passé…

Mais cela ne dura pas le feu recommençât, les cris, le hurlement, la terreur, tout réapparu…Je fus laissée pour morte, agonisante et amnésique, quelques semaines après les souvenirs refluèrent, non sans mal, Loviatar m’avait retrouvée…m’avait fait payer…

Je mis des jours, des semaines pour retrouver ma santé mentale, et je redécouvrait les ruines fumantes, j’errai alors dans les décombres jusqu’à arriver à mon ancienne chambre, là reposant sur le sol noirci par la fumée et par le sang séché, deux cranes reposaient, un d’homme et un d’enfant, un fouet s’appuyant nonchalamment dessus…Ma vie me quitta, le désespoir s’ensoufra dans mon cœur tel l’eau dans un torrent glacé, la tristesse hurla en moi, mon esprit se brisa, mon cœur mourût dans ma poitrine…

La folie me pris, je cherchais alors la mort, je n’avais plus rien à attendre de la vie, j’errais dans la forêt, non loin d’une cité, et là je cru mourir…

Des hommes arrivèrent, accoururent après qu’une chose de la forêt m’ai laissée agonisante, sans que je me défende, ils me sauvèrent, me soignèrent, contre ma volonté…au début tout du moins.
Ils m’offrirent une nouvelle vie, et une chance de rédemption…par le combat. Comment aurais je pu refuser ? Après quelques temps de réflexion j’acceptai et je me rendis dans la cité nommée Logor, afin d’être acceptée par Tempus pour protéger les innocents, dévotion que je mettrais sans nulle doute, dans le but que jamais personne ne sombre comme je l’ai fait à cause d’horreurs et de choses qui ne devrait pas exister… Je repris le combat, je repris le flambeau de mes parents et de leurs enseignements, afin de ne jamais oublier mes erreurs, je protégerais ceux qui en on besoin, pour créé du bonheur dans un monde qui en manque…

Moi Jeana Nidions, j’en fais le serment.

Plusieurs petites choses :

Tu sembles venir de Kara tur, mais tu évoques loviatar, il faut savoir que les dieux de Faerune et de l'Orient ne sont pas identique, donc, il n'y a certainement pas Loviatar à Kara Tur.
Je trouve le revirement de foi un peu trop soudaine: on ne se délivre pas d'un conditionnement en une nuit. Il faut des événements qui conduisent à une révélation.

Je ne vois nul part de trace d'un voyage qui te ferait aller de Kara Tur à Lorgol, ce n'est pas un petit voyage que de traverser un monde. Il y a plusieyrs centaines de milliers de kiloétres entre Kara Tur et la cöte des épée, et ce n'est certes pas un voyage sans risque.
D'ailleurs, je ne vois pas trop l'interet de la naissance kara turienne, ça n'apporte pas grand chose à l'histoire de ton personnage.

Maintenant tu dis t'être dirigé vers le Clergé de Tempus qui est CN, donc, completement à l'opopsé de ton Alignement ( LN) ce n'est pas logique.
Tu n'évoque pas ton entrainement monastique, ni la philosophie.

tu n'as pas renseigné tes caractéristiques.

Oula, je vais retravailler tout ca en prenant mon temps histoire de pas avoir trop de lacunes la prochaine fois ^^

Je pense qu'on peut mettre celui là en stand by le temps que je prenne mon temps de faire ca bien


Merci !

Je le met en attente.

Je le mets au cimetière en attendant pour ranger la partie en cours, il suffira de prévenir pour le ressortir.