- Citation :
Nom du compte joueur forum : Kage
Nom du compte joueur module : oyoo
Nom du perso : Mao
Race : Humaine
Sous race : /
Age : 26 ans
Alignement : Loyal mauvais.
Religion : Kossuth
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Prêtre (19) / Moine (6)
Arme de prédilection/domaines/école de magie :Kama/Destruction et feu/Evocation.
Langues : Commun, et mulorandih
Familier/Compagnon animal : /
Ennemis jurés : disciple de l'eau. (istishia )
Trait de Caractère : Ambitieux, avenant, respectueux. fin.
Description physique : cheveux blanc, long, des mèches rouge en tresse. un visage agréable, commun.
élégamment habillé, tel le thayen qu'il ai, arborant ses richesse comme des preuve de sa supériorité.
Pied nu, et possédant une corne naturel au pied.
Caractéristiques:
force:14
dex:15
const:10
sag:16
intel:12
cha:10
BACKGROUND:
Natif de Thay, Mao est rapidement orienté par son père et toute la famille vers les hommes de pouvoir de Thay. Les mages rouges.
En ces terres personnes n'est plus respecté qu'un mage rouge qui impose sa puissance.
Après de longues études pour devenir arcaniste de talent, il échoue. faisant de lui la honte de la famille.
Il sera alors rapidement envoyé dans un monastère de Kossuth, pour lui apprendre la discipline, et si il ne veux pas utiliser sa tête il utilisera ses poings afin de monter dans la société pour donner pouvoir et fortune à sa famille.
Son père était très ambitieux, mais puisque blessé lors d'une confrontation d'arcanistes, il du abandonner sa carrière, c'est donc avec haine et rage qu'il reporta toute son ambition sur son fils, qui n'avait semble t'il pas les épaules pour supporter cela.
Le culte de Kossuth, est certainement l'un des seul à Thay selon son père, qui permettait d'avoir une certaine reconnaissance social, et un pouvoir assuré.
AU MONASTERE:
La vie d'ascète était très difficile pour le jeune Mao. Et il n'en voyait pas le bout ! Mais il se débrouillait ! Soutenu avec ardeur par son père pour qu'il accepte son ambition, et la place qu'il lui avait. Et qu'il avance.
Dans le monastère en plus de la privation de matériel, de ration, et de confort, l'ambiance était très compétitive, rajoutant une pression importante sur les résultats de Mao.
Pression extérieur, et intérieur... Au monastère une seul chose lui permettait de résister a un tel traitement. La méditation. La maitrise de la flamme de vie. Celle qu'il avait en lui. Celle qui le faisait vivre, celle qui le rendait fort en cas de litige.
Il apprit par la suite que cette flamme n'était pas incontrôlable, c'est le contrôle de sa flamme intérieur ( le ki ) qui ferait de lui une Salamandre puissante.
Le feu destructeur incontrôlé ne sert a rien, et peux voué a la perte de l'utilisateur. La réelle puissance est la maitrise de soi, et le contrôle du feu. Savoir quand libéré la puissance qui est en soi.
Cette maitrise passe par la maitrise du corps, la souplesse des mouvements, les cycles du corps humain.
La discrétion très utile pour cette maitrise. Différent du déplacement silencieux, qui lui se rapproche de l'acrobatie, la discrétion, est un mélange de perception, et de maitrise de son énergie.
Ne faire qu'un avec le décors matériel alentour. Ne dégager aucune énergie. Et donc diminuer la flamme qui nous caractérise au plus bas, sans l'éteindre...
Les salamandres ne sont pas des moines traditionnels, cherchant à ce que chaque moines trouvent sa place, et la plénitude. Si l'ambiance est compétitive, c'est simplement parce que les entrainements sont sélectif, et expéditif. Afin de faire des salamandres un monastère d'élite. Contrairement aux frères et sœurs de la flamme pur, ou les fils du Phénix, la sélection est mortel.
Aussi, Mao dut apprendre à puiser dans son énergie intérieur, il du se rendre plus résistant contre les maladie existante ( du aux températures variable importantes) l'humidité, le manque de sommeil, tel sont les conditions de vies, qui sont largement propice au maladie opportunistes.
Ceux incapables de résister a de tel conditions finissent par mourir et tomber dans l'ombre de l'histoire du monastère. Selon Kossuth, ils n'étaient pas fait pour réussir. Visiblement...
Avec hargne et discipline, Mao acquis sans s'en apercevoir l'ambition de son père.
Par rancœur surtout, par manque, le fait de vivre sans rien, juste ce qu'il faut pour survivre pendant des années d'entrainement monastique, il développa une forme d'avarice et d'envie.
Il en voulait toujours plus. Pus d'argent, plus de pouvoir, plus de force !
Cette façon de penser et d'agir percuta les maîtres du monastère.
Il ferait certainement une fière salamandre, escouade dévastatrice de Kossuth pour imposer son pouvoir et sa domination sur les autres éléments quand il sera nécessaire.
Mais la jeune salamandre ce voyait déjà poussé des ailes et voulait approché les dieux.
Le dieu purificateur. C'est sur cette idée qu'il intégra le clergé de Kossuth. Pour toucher du doigt la puissance du dieu suprême.
Non, sans difficultés ! Le culte de Kossuth est parfaitement hiérarchisé. Il y a des plateaux, niveaux, stades à atteindre. Chacun s'atteind grâce aux niveaux de prêtre accumulé bien sûr, mais également avec un rite de passage.
Traverser pied nu une certaine distance de braise bien rouge, et attisée.
Plus le plateau visé est important, plus la distance à parcourir est longue, et plus il y a d'obstacles.
Il continua tous de même les enseignements monastique, en vivant dans le monastère. Et étudiant la théologie de Kossuth au temple.
La prière était sincère et total. Il souhaitait comprendre le feu divin, le touché. Le faire vivre, et qu'il continue à être craint. Tous comme Kossuth. Tous les matins au levé du soleil, et au couché du soir; Tous les moments importants du soleil sont des moment dignes pour la prière dédiées au dieu du feu.
C'est ainsi qu'il voua sa vie à l'adoration du dieu ardent. Son ambition personnel servirait les intérêts de Kossuth, il en était convaincu.
Aussi sa vie de prêtre était parsemée de deux sentiments.
-l'envie très grande, le désir d'avoir ce que les prêtres supérieurs possédaient, autant en pouvoir qu'en confort.
-Le respect indispensable pour le bon fonctionnement du culte. Un respect créé par démonstration de puissance, et bien sûr ces hommes supérieurs, avaient réalisés les rites de passage de niveau supérieur, et ça; ça méritait le respect.
Les prières, étaient des actions importantes pour le dieu Kossuth, et elles m'apportaient puissance, et force. Et plus je priais, plus mes possibilités était grandes, ce qui m'emplissait d'une fierté...
Je le méritais. Je devais réussir ! Kossuth avait raison.
Aussi, avec cette puissance et grâce à mon dieu je pouvais touché les cieux. Et c'est accompagné des élément de confort que je pu gravir les échelons, et acquérir nouvelles possibilités grâce a mes talents de prêtre, et une vie agréable assuré pour moi, et ma famille...C'était la preuve que mon choix et celui de mon père était le bon!
La vie est telle que l'a dicté Kossuth, ceux qui doivent réussir réussissent. C'est le dogme le plus important. Et c'est vrai.
Tout apprentissage se fait dans la douleur ! Comme les rites de passage, et l'ascétisme.
C'est ainsi que j'ai appris la vie selon le dieu tout puissant du feu.
L'apprentissage se fait également par l'histoire. C'est ainsi que j'ai appris tous les périples du dieu kossuth !
Né sur le plan du feu, il a régné sur le feu dès les premiers instant du multivers!
Je suis persuadé que C'est le même être supérieur qui dirige depuis le début. Le feu est unique, et traverse le temps sans s'atténuer grâce à la toute puissance de son maître, Kossuth.
Il n'interviens que rarement chez les mortels, et lorsqu'il le fait, il n'est pas manipulable, comme l'ont certainement cru les arcanistes raumathari en -150 CV.
RITE ARDENT !
Un chemin fait de braises, sur 5 m. simple à dire, mais à faire...
Ma première fois, ce fis dans les larmes et la douleur, pas sur le moment non. La douleur, et la chaleur avaient anesthésiées mes pieds. C'est par la suite, ou il fallait faire comme tous les jours les exercices avec les pieds brulés et cloqué.
Pour apprendre à blessé l'ennemi, il faut savoir ce qu'est la douleur...
j'ai intégré les brasiers brûlants, et la flamme éternelle de thay, au vu de mes talents et progrès me chargea de mission. Partir à l'aventure dans une région, lointaine: Le val de bise.
Afin d'engendrer pouvoir, terres et argent au nom du dieu flamboyant.