Nom du compte joueur forum : phoenix
Nom du compte joueur module : urian1
Nom du perso : Mennimos
Race : humain
Age : 20 ans
Alignement : loyal neutre
Religion : kelmevor
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) :25 moine
Arme de prédilection/domaines/école de magie : main nue
Langues : commun, elfique et draconien
Trait de Caractère : calme et posé, comprenant que pour que le bien existe le bien et le mal doivent coexister et que tous sont égaux dans la mort. Cherchant la paix sauf face au mort vivant contre qui il ne rechigne a aucun moyen pour les éradiquer.
Description physique : un corps forger au combat et souvent vêtue de manière humble, ne cherchant pas à attirer l’attention sur lui.
(Caractéristique au niveau 25)
FOR : 12
DEX : 14
CON : 14
INT : 14
SAG : 20
CHA : 10
BREF HISTORIQUE DE VOTRE PERSONNAGE :
Née dans la région du mitan occidentales il fut recueillis par le temple de kelmevor après avoir été retrouver braillant dans les décombres de son village détruit par les porteurs de pourpres (culte du dragon). On le nomma Mennimos en hommage au village ou il fut trouvé. Il fut éduqué dans la vérité et dans l’honneur du temple de kelmevor. On lui expliqua que la mort n’étais qu’une étape vers un nouveau plan, on lui démontra qu’il fallais savoir vivre et bien vivre pour ne pas regretter la vie qu’on avait eut.
La parole des dieux était sacrée autant que celle des mourants, chacun devaient vivre en bonne entente et faire comprendre à tous que la mort nous rendra tous égaux.
Ce cours était son préférer, écouté le père Aripos lui expliquer que chaque vie était une bénédiction qui ne trouvais son apothéose que dans la mort, que chaque mort devait apparaître comme la plus douce et la plus calme possible. Cet homme avait le talent de captiver son auditoire, sa classe était toujours d’un calme exemplaire et ses mots d’un pouvoir supérieur et plus impressionnant que tous nos exercices physiques que nous pouvions espérer faire.
Je trouvais dans ces cours un réconfort, parfois des nouvelles du monde extérieur nous parvenait et nous entendions parler de guerre et de tueries… face à cela je me disais que si les hommes écoutaient et parlaient alors peut être un jour ces guerres s’arrêteraient.
Mais nos instructeurs n’étaient pas d’accord, ils expliquaient également que le monde n’était pas assez ouvert, que notre rôle était seulement de faire retrouver le repos à certain mort et pour cela seul la force brute et une parfaite maîtrise de sa peur nous permettrait de devenir le bras vengeur de l’église. Les paladins ne pouvaient pas toujours ce charger de certain, notre rôle était plus fin, nous étions la pour aider les prêtres mais également arriver dans des lieux inaccessible à nos frère. Chaque frère devait apprendre à maîtriser son corps et son esprit, des leçons de luttes était organiser, des leçons d’escalades ou de natations, des tests d’endurances ainsi que des combats entre frère. J’apprécier très peu ces leçons, le combat ne me plaisait pas même si je n’étais pas mauvais. Combattre pour combattre ne servais à rien et seul les non morts méritaient que l’on se charge de les faire disparaître.
Pendant de nombreuses années je me suis forger un esprit de servant des morts, un corps de combattant afin d’arriver à détruire les créatures du mal même si je n’aimais pas cela. J’espérais ne pas avoir à les combattre car je ne savais si je pouvais garder mon calme face à eux.
Puis le jour de mes 20 ans je fut autoriser et mandater pour accompagner un groupe de prêtre et certain de mes frères dans un cimetière à plusieurs lieu de notre monastère, des affaires de nécromancie semblaient avoir eut lieu et notre ordre avait été dépêcher pour s’en occuper.
Arrivée aux grilles je me remémorais les dires de mes professeurs, n’ayez pas peur de la mort car elle vous délivres mais ne la souhaiter pas car elle vous privera de la vie. Chaque pas que vous faites dois être en harmonie avec votre conscience, vivez en paix avec vous-même et notre seigneur vous ouvrira ses bras quand vous le verrez de l’autre coté de la grande porte.
Je me remémorais chacune de ces paroles, me rappelant les exercices physiques fait, préparant mon corps alors que les prêtres nous indiquaient le chemin.
Puis surgissant de terre de nombreuse créature apparaissait, chacun de mes frères ce mis en garde, les prêtres ce mirent à genoux et commencèrent leur prière…
J’étais le seul tétaniser par ce que je voyais… je n’arrivais plus à bouger le moindre muscle, je voyais des morts se lever… tous ce que l’on m’avait appris ne servis à rien, je ne savais pas quoi faire, je ne pouvais fuir je devais combattre mais mon corps refuser de bouger…
Puis le noir m’envahis alors que je m’évanouissais.
Je me réveillais dans ma cellules sous les draps, aucune blessure sur mon corps mais j’avais l’esprit égaré… que c’était il passer, pourquoi n’avais je pas pus bouger ? J’attendais calmement en lisant un ouvrage quand le père Aripos entra dans ma cellule, il venait me parlait de ce qui c’était passer au cimetière… et de ce que cela impliquait.
« Tu as échoué… tu as eut peur, peur de ces morts alors que ton devoir sera certainement un jour de les combattre, nous ne pouvons te blâmé car ton échec nous montre également les faiblesses de notre enseignement. Nous ne pouvons enseigner comment mourir si nos disciples ne savent pas comment vivre, tu vas devoir partir du monastère, tu vas devoir allez dans le nord afin d’y apprendre ce qui pousse les gens a vivre et ce qui leur donne la peur de la mort, et si possible les aidez à accepter que la mort est juste une nouvelle étape de leur existence. »
Une semaine plus tard je partais en direction des terres du nord pour continuer mon apprentissage.