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Nom du perso : Valaraukar Orcen
(Valaraukar – Démon de la Terreur en Quenya de Tolkien)
(Orcen = Nécro a l’envers)
Comme tout mage son prénom et son nom ne son que des pseudonymes, dans sa première vie on l’appelait Seregon, mais pour brouiller encore plus les pistes il changea celui ci pour sa seconde vie avec une certaine pointe d’humour pour Valaraukar Orcen.
Race : Demi-elfe
Age : 27 ans
Yeux : Verts
Cheveux: cuivré presque roux
Taille : 1m70
Poids : 65 kg
Alignement : Loyal Mauvais
Religion : Baine
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : mage 25
Arme de prédilection :
Ecole de magie : Mage généraliste - Ecole renforcée en Evocation et Nécromancie – Attrait pour la Nécromancie, Démonologie, Elémentalisme
Langues :
- Commun (forme simplifiée de Chondathan - Alphabet Thorass)
- Draconien (Langage des dragons - Alphabet Draconien)
- Abyssale
- Loross (ancienne langue noble de Nétheril)
- Elfe
- Nain
Trait de Caractère :
Pour décrire en quelque terme valaraukar voila ce qui le caractériserait le mieux calculateur, déterminer, l'esprit vif, avide de pouvoir et de connaissance magique ou non.
Il est capable de se concentrer sur une multitude de tâche et de planifications à la fois l’un des atouts de sa haute intelligence, aussi aime t’il explorer tout un panel de matière allant de l’alchimie, botanique, astrologie, littérature, géographie, histoire, tactique militaire, architecture, intendance etc …
On peu le dire machiavélique en cela il espionne ses subalternes et ses rivaux, et n'hésite jamais à fournir des informations à d'autres personnes pour protéger ses intérêts et d'éliminer les dangers potentiels. Bien qu’il évite les situations trop dangereuses pour sa vie, préférant diriger et manipuler les choses de derrière la scène laissant des tierces personnes faire le sale boulot aussi aime t’il s’entourer de serviteurs, par cela la convocation et le contrôle des monstres d’autres plans et de mort vivant le satisfait grandement.
Il aspire a devenir un archimage d’où sa recherche constante de pouvoir, bien que son corps soit relativement jeune, il compte faire suivre à celui-ci la voie nécromantique le transformant en liche, pour atteindre au-delà de la non mort un savoir inégalé de son vivant, son but étant de vivre éternellement pour assouvir cette soif de puissance qui l’embrasse.
Description physique :
Un homme à la peau quelque peu bronzé, d’une taille moyenne au corps mince, un visage délicat ou l’on discerne quelques traits elfique, aux yeux verts qui lui donne un regard pénétrant, orné d’une chevelure cuivré généralement tressé
Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 10
CON : 12
INT : 19
SAG : 10
CHA : 12
1-Background
« Seregon » le nécromancien :
Aussi loin qu’il puisse retracer son histoire, seul les vingt sept dernières années de sa première vie lui son connu, au-delà, tout n’est qu’interrogation, qui furent ses parents ou quelle enfance eu t’il voilà autant de question qu’il ignore, et qui en définitive lui importe peu.
A cette époque déjà il faisait partie du Zentharim et vivait dans un certain confort dans la petite bourgade de Luln, situé à l’est du désert de « l’Anauroch » et bordant la « forêt de l’Orée », dont l’intérêt majeur est la route commerciale, surnommé la «route noir» passant par le désert.
Pour ce qu’il s’en souvient sa vie avait été riche en mission pour le Zentharim, allant du meurtre, à l’espionnage en passant par l’extorsion. Son contrôle sur les morts-vivants faisait merveille quand le réseau noir voulait s’implanter dans quelque bourgade. Provoquant une soudaine attaque sur celle ci, qu’un escadron de soldats Zhentarim n’avait que peu de mal à repousser, leur permettant après coup d’y établir un camp de base, comme les valeureux défenseurs qu’ils étaient. Ceci dans le but d’y prendre le « contrôle » par tromperie, ce qui bien souvent consistait à s’allier avec les marchands les plus cupides des environs et engager une partie de la population comme garde pour se rendre ainsi indispensable a l’économie locale.
Au fil du temps il avait plus ou moins progressé dans la hiérarchie du Zentharim au point qu’on lui accorde un petit groupe d’hommes et de mener des caravanes marchandes. Jusqu'à ce qu’il administre vers l’age de trente cinq ans, l’enclave Zentharim de la bourgade de Luln, dernier point de passage avant de se rendre dans le désert de l’Anauroch.
Au seuil de sa vie à soixante huit ans, il n’était qu’un mage intermédiaire, dont la maîtrise s’arrêtait aux sorts du septième cercle, il aurait souhaité devenir plus puissant, Mais il du attendre longtemps, et avoir une certaine autonomie dans le Zentharim, pour se lancer dans d’importante recherche magique, ce qui correspondait avec son arrivé a Luln.
Non pas qu’il était incompétent mais ses principaux talents étaient surtout liés à sa vie « aventureuse » ainsi il avait acquis une certaine maîtrise pour façonner l’énergie ou la matière dans des sorts d’évocation si utile pour détruire et au combien impressionnant dans leur effet pour mater le commun des mortels.
Mais plus que tout, une chose la toujours terrifiait, quelque chose sur laquelle il n’avait aucun pouvoir « la mort », non pas celle des autres mais bien la sienne, l’humain qu’il était envié la longévité des elfes, pourquoi lui devait-il survivre à peine quatre vingt dix ans alors qu’il avait tant de chose a découvrir et apprendre, dans l’art profane en autre.
Ainsi on peu le croire dés ses plus tendres années d’apprentissage, il se pencha sur l’art de la nécromancie, chose qu’il perdura tout au long de sa première vie, en cela il devient un « ami » fidèle de la race elfique, ils furent quelque un à passer entre ses bistouris, croyant qu’il aurait pu comprendre le sens de leur longévité en les disséquant.
Il porta ses recherches sur tout un panel de domaine lié au sombre art de la simple animation de cadavre parfois bien utile, au dialogue avec les esprits, observant les forces de la mort et de la non-vie, manipulant et étudiant l’énergie négative, analysant la structure de la force vitale et de l’âme des créature vivante.
C’est d’ailleurs par ces études que lui vint l’idée absurde, qu’il pourrait s’accaparer un corps jeune et elfique en y mettant sa propre âme pour jouir de leur longévité.
Son principal soucis était que pour arriver à une telle chose il devait vaincre la volonté de l’âme de sa victime, chose dés plus difficiles surtout chez un elfe adulte ou adolescent. Il pensa un moment qu’il lui aurait était plus facile d’agir sur un enfant elfique. Mais le temps que celui ci grandisse, il serait déjà mort et enterré avant de pouvoir prendre possession de ce jeune corps. Qui plus est son étude sur les elfes lui rapporta qu’avec leur éducation, ceci pouvait contrôler leur cycle de sommeil qu’il appelait « rêverie » leur concédant de se préparer à affronter les siècles de leur vie, sans succomber à l’ennui et à la folie.
Ce qui le mettaient devant un épineux problème, puisqu’il devait découvrir comment son âme allez réagir en prenant possession d’un tel corps et surtout y vivre, sans connaître cet enseignement.
Devant ce cas problématique, son esprit machiavélique trouva une solution intermédiaire, ne pouvant s’octroyer le corps d’un elfe, il pouvait peu être le faire pour un demi-elfe dont l’espérance de vie pouvait atteindre cent quatre vingt cinq ans, étant quelque part entre la frontière de l’humain et de l’elfe.
Un demi-elfe qu’il aurait façonné et brisé mentalement, pour cela le meilleur moyen était qu’il « crée » son réceptacle. Aussi fit-il capturer secrètement quelques elfettes du soleil, jusqu'à trouver celle qu’il jugea comme lui étant complémentaire, pour la conception d’un demi-elfe. Bien entendu inutile de dire qu’il participa à sa création, considérant qu’il serait bon que son demi-elfe ait certaine de ses caractéristiques génétiques.
Une fois née l’enfant fut séparé de sa mère, qui elle-même alla rejoindre ses ancêtres. Il fut « éduqué » si l’on peu dire pour ne devenir qu’un pantin à la volonté atrophié, non pas qu’il fut maltraité car Seregon pris grand soin de ce corps physique, mais il le brisa mentalement dés sa plus tendre enfance par l’emploi de sort comme charme personne, brume mentale, domination pour n’en faire qu’une coquille vide complètement soumis à son maître, chose peu en définitive peu difficile étant donné que celui ci ne connaissait rien d’autre du monde qui l’entourait.
Pendant plus de vingt six ans il poursuivit ses expériences, avec pour objectif deux points, créer un sort de Métempsycose permanent et améliorer sa force de volonté.
Pour cela l’art profane lui offrait par la démonologie un terrain d’entraînement parfait, en effet bien que les rituels soient absolument essentiels dans le processus de contrôle d’un démon, ce sont souvent la force de volonté et la personnalité de l’invocateur qui font la différence lorsqu’il s’agit de contrôler la créature. Cela lui prit plusieurs années avant de mettre la main sur une suite de parchemin au texte ancien mentionnant le nom de quelques créatures des plans infernaux, sur leurs capacités et les rituels nécessaires à leur invocation dans le monde matériel. D’apprendre l’abyssale et de déchiffrer les parchemins écrit en Loross l’ancienne langue noble de Nétheril.
C’est par ses expériences démonologique qu’il lia à sa personne « Umarth » (Mauvais sort) Son familier diablotin.
Ainsi après de nombreuses années de travaux néoromantique, démonologique, est une recherche approfondie sur l’enchantement liée à la métempsycose celui-ci lança le projet de sa vie.
L’étape de la Métempsycose ou la possession d’un nouveau corps :
Extrait du grimoire de Seregon
« …La métempsycose a pour effet de plonger le corps de l’utilisateur dans un état de transes profondes, alors que sa force vitale est placée dans un objet inanimé se trouvant à portée. Depuis cet objet (pierre précieuse, flacon, etc ..) on peut tenter de posséder une créature passant dans les 40 mètres. (La victime a droit à un jet de sauvegarde contre la volonté, qui s’il est réussi, permet d’échapper aux effets de la métempsycose. Dans ce cas l’utilisateur ne peut pas essayer de posséder à nouveau la créature pendant le tour qui suit. Si la victime rate son jet de protection, son corps est possédé et donc, sous le contrôle du magicien.)
La force vitale de la victime est alors placée dans l’objet ayant servi de réceptacle.
On peu forcer le corps possédé à accomplir des actions normales, mais aucune autre de ses facultés spéciales ne pourra servir. Un sort de dissipation du mal obligera la force vitale du lanceur de sort à retourner dans le réceptacle, ou quand celui-ci décide de retourner à son propre corps ; le sort prend alors fin.
Si le corps possédé est détruit, la force vitale de la victime meurt aussi et celle du lanceur de sort retourne au réceptacle. Depuis cet objet, l’utilisateur peut à nouveau tenter de posséder un corps, ou retourner au sien. Si le réceptacle est brisé alors qu’il est occupé par la force vitale du lanceur de sort. Ce dernier meurt instantanément. Si le réceptacle est brisé alors la force vitale du magicien se trouve dans un autre corps, elle ne pourra plus le quitter. Si le corps du magicien est détruit, sa force vitale est alors bloquée dans le réceptacle jusqu'à ce qu’il possède un autre corps… »
Avec mille précaution est une très bonne préparation il lança son opération de « métempsycose », la possession du corps de son « fils » ne lui posa en définitive pas de problème, il brisa le flacon ou était retenu la force vitale de son fils, et détruisit par le feu son ancien corps.
Ainsi tout c’était déroulé à merveille il était dans un corps jeune prés a continuer sa quête d’immortalité et sa soif de connaissance. Malheureusement cela aurait était trop beau, puisque qu’apparu un certain nombre d’effet secondaire, peu être est ce le fait d’avoir prit possession d’un corps qui n’avait que vingt sept ans d’existence, mais en tout cas ses souvenirs n’allèrent pas au delà des vingt sept dernière année de sa vie, en cela il n’avait pas perdu ses connaissances générale qui lui était propre, ainsi par exemple il connaissait la formule pour lancer un projectile magique ou les pas de danse pour une gigue, pourtant il en était bien capable de les réalisés. Son corps physique ne suivait pas, il devait éduquer celui-ci pour qu’il devienne complémentaire à sa force vitale et ainsi retrouver cette union qu’il avait par le passé avec son ancien corps physique.
Valaraukar ou une nouvelle vie :
Outre le fait d’avoir préparé la possession de son nouveau corps, il avait aussi organisé sa nouvelle vie, il lui avait ou plutôt il c’était octroyé jouissances de ces biens encore qu’il ne pouvait se faire passer pour son ancien « mentor ».
Ainsi il ne pouvait prétendre à continuer de diriger la bourgade de Luln, le pauvre Seregon n’étant plus, chose qui lui convenait parfaitement car sa soif de connaissance et d’immortalité le poussait à parcourir le monde en la recherche de cette quête qui le taraudait.
Après quelques aventures sur faerun et un long chemin vers la cote des épées il arriva dans la citée de Luskan, ou il découvrit l’existence de la communauté Bainite de targos dans le nord …
Ainsi débuta l’aventure de Valaraukar sur la cote des épées.