[Validé/disparu][Magicien][E] Mel'on ce'nare

Nom du compte joueur forum : HLecteur
Nom du compte joueur module : HLecteur
Nom du perso : Mel'on Ce'nare
Race :elfe
Age :140 ans
Alignement :chaotique neutre
Religion :polythéiste de la seldarine, mais accorde une prééminence à Corellon Larethian
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) :magicien pur (25)
Arme de prédilection/domaines/école de magie :magicien généraliste
Langues :commun, elfique, draconien, gobelin, orque
Trait de Caractère : Mel'on est d'un naturel calme et reservé. Il sourit fréquemment mais son sens aiguisé de l'humour n'en est pas la seule raison. Il a une nature franche et simple malgré son attitude rafinée. Il s'adapte très vite à son environnement et n'aime pas être au centre de l'attention. Il réprouve les attitudes injustes ou malveillantes mais ne se pose pas en défenseur des opprimés. Il n'est pas lâche mais plutôt d'un naturel prudent.
Description physique : Mel'on mesure 1m78 pour 60kg. Il est mince même pour un membre de sa race ce qui a des répercussions sur sa puissance musculaire. Cependant il est vigoureux et respire la bonne santé par tous les pores de sa peau. La teinte de sa peau est légèrement halée et il présente des tatouages tribaux bleus et rouges sur les bras, les avants-bras et les mollets.Mel'on est blond comme les blés et ses yeux gris aciers trahissent une profonde intelligence.

Caractéristiques :
FOR :8
DEX :14
CON :14
INT :16
SAG :12
CHA :10

Il ne manque plus que le Bg

oui j'y travaille mais je fais des posts séparés car lorsque je reste trop longtemps ça ne poste pas. Deuxième fois que ça m'arrive

BREF HISTORIQUE DE VOTRE PERSONNAGE :

D’où vient-il (origines, passé, enfance…) ?


Mel'on est originaire de la région de la ville d'Everaska.
Son père est propriétaire d'une importante exploitation agricole, qui fournit la ville en denrées alimentaires.
Sa mère, qui possède un don rare pour l'écriture et l'art de la caligraphie, recopie des manuscrits sur commande pour de riches citadins.
Mel'on est le troisième et dernier fils du couple. Ses frères ainés sont très robustes et aident leur père dans les travaux agricoles.
Cependant il devint très vite évident que Mel'on ne pourrait pas suivre cette voie.
Dès l'enfance sa faiblesse physique le mit à l'écart des autres: il ne pouvait pas jouer aux jeux qui necessitaient un minimum de force physique. Seuls les jeux de réflexion l'interressaient mais ses adversaires n'étaient pas de son âge. Mel'on fut donc très vite un enfant calme et serieux car il s'adaptait très vite à ses interlocuteurs. Il avait compris qu'il y avait une certaine attitude à adopter en présence des anciens.
A son entrée dans l'adolescence son père, qui avait élevé le travail au rang de vertu, se creusa la tête pour lui trouver une occupation utile...
En pure perte. De même que les travaux agricoles, les taches ménagères n'étaient pas à sa portée. Après plusieurs mésaventures (vaisselle brisée, linge à relaver, nourriture renversée,...) sa mère décida de le prendre sous son aile pour qu'il l'assiste dans ses activités.
Elle entreprit donc de lui apprendre la grammaire et l'othographe elfiques. A sa grande suprise Mel'on se révela être un élève très doué. Sa rapidité de compréhension et d'apprentissage l'enchantèrent tellement, qu'une fois l'elfique maitrisé, elle lui enseigna le commun, et le draconique dans le but qu'il comprenne ces langues pour pouvoir les recopier. Sous l'égide maternelle il acquit rapidement la maitrise de ces langues et commença à assister sa mère.
Pourtant l'enthousiasme de Mel'on retomba rapidement. Autant l'apprentissage aussi bien oral qu'écrit des langues l'avait passionné, autant le recopiage des textes lui parut réberbatif.
Sentant bien que le coeur de son fils n'y était plus sa mère fit part à son époux des progrès de leur fils et de ses états d'âme. Le père de Mel'on se dit alors qu'il pourrait mettre à profit les évidentes capacités intellectuelles de son fils.
En effet le père de Mel'on était un elfe juste et bon, et il se sentait coupable de n'avoir pas réussi à s'occuper jusque là de son dernier fils.
Il décida donc de l'initier à l'art de la gestion administrative et financière d'une exploitation. Il fit de son mieux pour le familiariser avec les arcanes de l'arithmétique et des subtilités du marchandage. Comme son épouse auparavant il fut surpris et ravi des progrès fulgurants de son fils dans ces domaines. Mel'on lui faisait gagner de l'argent sur ses déclarations d'impôts et il avait un jugement très sûr sur le prix des objets et denrées d'usage courant.
Pourtant passés les premiers mois de gestion et de marchandages enthousiasmés, Mel'on retomba dans une morne apathie.
Le père de Mel'on voulait le bonheur de ses enfants. Or il voyait bien que son plus jeune fils n'était heureux que pendant ses periodes d'études. Il réfléchit donc à l'activité qui conviendrait à son fils pour que celui-ci s'épanouisse pleinement. La réponse s'imposa rapidement et naturellement à lui: l'exercice de la magie!
En effet il est de notoriété publique que les mages passent une vie d'études perpétuelles et que celles-ci ne s'achèvent souvent que par leur mort.
Fort heureusement sa femme avait parmis ses plus fidèles clients l'un des recruteurs de l'école de magie d'Everaska. Il le contacta donc pour que celui-ci vienne juger si son fils avait les compétences necessaires pour être admis dans cette école.
Le recruteur fit passer toute une batterie de tests à Mel'on. Au terme de cet examen il déclara que le jeune elfe avait les aptitudes necessaires pour suivre les enseignements dispensés au sein de la prestigieuse école.

Promis la suite arrive! j'ai déjà tout dans ma tête et je l'avais rédigé...
Mais là je suis crevé, je vais me coucher.
A demain^^.
HLecteur

Quels faits marquants a-t-il, éventuellement, vécus (qui peuvent expliquer sa vocation, son orientation, son caractère…) ?

Mel'on a toujours été en position de faiblesse musculaire par rapport aux autres. Il fut donc en situation de dépendance pendant toute son enfance. Il était perpétuellement sous l'aile d'un membre de sa famille, qui se tenait à proximité, au cas où il aurait besoin de quelque chose qui necessitait un effort physique.
De même si une rixe éclatait il avait toujours le dessous et était obligé de compter sur le secours de l'un des siens. Cela rendit Mel'on très conciliant en apparence. Il comprit très rapidement qu'être au centre de l'attention augmentait les probabilités de risque de conflits avec les autres. Aussi il prit l'habitude de ne jamais prendre parti dans un conflit publiquement. Si une situation lui paraissait vraiment injuste il s'en ouvrait à son père ou à ses frères en privé.
Cette situation de dépendance forcée l'amena à haïr les restrictions physiques, qui étaient autant d'obstacles à sa liberté.
Puis au cours de son adolescence cette haine s'étendit à toutes les restrictions quelles qu'elles soient. Il essayait constamment de repousser ses limites même si il fallait pour cela transgresser quelques règles, qu'il jugeait inutiles ou faites seulement pour les autres.
Par la suite son intellect superieur l'aida à s'émanciper légèrement.
Lors de conflits, il agissait dans l'ombre en retrait et manipulait les uns et les autres, pour arriver à des compromis qui contentaient les deux partis, tout en favorisant le camp des opprimés.
L'un des rares cadres qu'il respectait était le cadre familial. Il éprouvait un profond amour filial envers ses parents. En effet il avait conscience que, grâce à ses parents, il pouvait avoir une utilité dans ce monde. C'est pourquoi il ne discutait jamais une de leurs décisions.
Mel'on est une personne très curieuse qui a compris très tôt que le savoir était une force. C'est pourquoi sa soif de connaissances est toujours insatisfaite.
Lors des decennies où on lui apprit les langues , l'arithmétique, les us et coutumes du monde administratif et du monde marchand, Mel'on connut un bonheur inégalé. On lui permettait de devenir plus fort en augmentant ses connaissances. Or la soif de pouvoir de Mel'on était inextricablement liée à sa soif de connaissance.
Lors des decennies où il assista sa mère dans le recopiage de manuscrits il emmagasina des connaissances aussi diverses que variées. Allant des connaissances sur les différents panthéons Faérûniens, jusqu'aux histoires de différents peuples, en passant par la botanique ou l'art des bonnes manières.
Cependant cet apprentissage bien que fait en autodidacte ne satisfaisait pas Mel'on car il était trop lent et parfois ininterressant.
Aussi Mel'on sauta sur l'occasion quand son père lui proposa d'aller étudier à l'école de magie. Il devrait subir le cadre strict de l'école mais il aurait accés à une quantité incroyable d'ouvrages...

14 de constit ce n’est pas être faible bien au contraire, on considèrent que le personnage a un handicap quand il est en dessous de 10.
Tu pourrait expliquer ce qui te pousse a être généraliste ?

La faiblesse musculaire est représentée par sa force ridicule:8 donc pour porter des objets lourds ou pour effectuer une action qui necessite une force physique minimale il a besoin de l'aide d'autrui.
Sa constitution représente plutôt le fait qu'il tombe très rarement malade et qu'il résiste bien aux contraintes exterieures, ou encore qu'il se remet rapidement en cas de convalescence.
Mais je me trompe peut-etre...

Pour ses raisons du choix de la généralité je vais y venir
Patience...

HLecteur

d'accord j'attends la suite

Pourquoi a-t-il choisi de suivre la voie qui est la sienne (explication quant à ses choix personnels : classe(s), divinité, faction, mentor…) ?

La famille de Mel'on vénère La Seldarine, c'est donc tout naturellement, qu'en fils aimant et respectueux il a adopté les croyances de ses parents. Cependant il accorde une place particulière à Corellon Larethian qui domine ce panthéon et promouvoit la magie.
Mel'on dans sa jeunesse avait en effet découvert que le savoir était une force. Peu de temps après son premier contact avec la magie il a compris qu'elle pourrait compenser son handicap physique.
Par contre Mel'on, ayant une aversion profonde pour les cadres, ne pratique les rites avec les autres adorateurs que si il y est forcé. Il préfère prier dans l'intimité et à sa manière pour se sentir plus proche de ses dieux. On ne pourrait pas dire que c'est un non-pratiquant ni qu'il est héretique, mais plutôt que c'est un marginal.
Mel'on est ce que l'on pourrait appeler un touche-à-tout. Sa curiosité est sans cesse en éveil. Ceci ajouté à sa haine viscérale des restrictions fait qu'il s'interresse à la magie dans son ensemble plutôt que de se limiter à un seul aspect de celle-ci. La spécialisation dans une école de magie particulière, bien qu'apportant une puissance non négligeable dans celle-ci, lui apparait comme une erreur grossière.
Pour Mel'on la diversité des connaissances permet de gérer plus efficacement bon nombre de situations, donc elle est préférable.

Tu peut décrire ces premiers sorts, c’est premiers apprentissage ?

oui oui c'est prévu^^
je suis, dans l'ordre, les questions du questionnaire simplifié des backgrounds, il me reste:

Quel apprentissage a-t-il suivi (les diverses étapes de son instruction, ses maîtres, ses expériences…) ?

Pourquoi se retrouve-t-il au Val de Bise ?

Par contre je tape à la vitesse de la tortue rhumatisante qui vient de prendre son cachet de somnifère donc ça risque d'arriver en début de soirée.
voilà a bientôt

HLecteur

Quel apprentissage a-t-il suivi (les diverses étapes de son instruction, ses maîtres, ses expériences…) ?

A son entrée dans la prestigieuse école de magie Mel'on sentit que sa vie ne serait plus jamais la même. Il voyait dans la cour un jeune elfe presque aussi frêle que lui, soulever des caisses que seuls des elfes de la stature de son père ou de ses frères pourraient normalement soulever. rassemblant son courage à deux mains Mel'on s'approcha du jeune elfe et lui demanda timidement comment il parvenait à un tel prodige. L'autre le regarda par en dessous la caisse qu'il portait et répondit d'un air soupçonneux:
-"Si c'est une blague, Elle est de très mauvais goût! Etre puni me suffit largement sans que j'aie besoin de subir les sarcasmes des autres."
Cependant Mel'on et ses dénégations avaient un tel air de franchise qu'il répondit:
-"j'utilise un sort du second cercle qui augmente ma force physique. Maintenant je te serai reconnaissant de me laisser terminer ma corvée en paix."
Par un hasard formidable Mel'on venait de découvrir le sort qui ferait de lui l'égal des autres. N'aurait été sa retenue naturelle Mel'on aurait bondit partout de joie en riant et pleurant.
Les premiers mois de la formation de l'école de magie étaient destinés à faire une sélection. Ceux qui ne parvenaient pas à exécuter les plus simples tours de manipulation de la magie étaient renvoyés chez eux. Heureusement Mel'on n'était pas de ceux-là. Même si il n'était pas l'élément le plus brillant de sa classe, il se situait parmis les meilleurs.
L'enseignement à l'école de magie se faisait par trois groupes de niveaux et Mel'on était dans la première moitié de la meilleure classe.
Il commença donc le long apprentissage de la magie et se rendit bien vite compte qu'il n'atteindrait pas le second cercle rapidement et facilement.
Lui qui était si indiscipliné dut feindre de se couler dans le moule car lorsque l'on mécontentait les maitres mages on était sévèrement puni.
En effet chaque punition était adaptée à l'élève fautif. Ainsi un élève paresseux devait faire des corvées fatiguantes alors qu'un élève brillant mais indiscipliné était consigné avec une interdiction plus ou moins longue de pratiquer et d'étudier la magie.
Conformément à son caractère Mel'on se fit peu d'amis, préférant regarder de l'exterieur la formation de groupes, les rivalités, les trahisons, et tous les différents niveaux d'interactions entre ces groupes.
Une decennie environ après son entrée dans l'école de magie, Mel'on atteint avec une excitation sans borne l'accès au second cercle. Il obtint rapidement la maitrise du sort tant convoité de force de taureau.
Une fois ceci fait il voulut quitter rapidement l'école car sa motivation première était remplie et ne pouvait plus contrebalancer son désir de liberté. De plus plusieurs "accidents" malheureusement mortels étaient survenus. Mel'on savait que ces accidents étaient en fait le résultat de duels à mort entre les élèves, et il ne voulait pas se retrouver embrigadé dans des conflits qu'il jugeait aussi inutiles que stupides.
L'occasion de quitter l'école lui fut donnée par un archimage aventurier de passage qui cherchait un assistant.

Pourquoi se retrouve-t-il au Val de Bise ?

Mel'on suivit donc l'archimage qui se dirigeait en direction du nord-ouest.
En échange de son enseignement l'archimage attendait de Mel'on que celui-ci effectue toutes les corvées: chercher du bois pour faire du feu, faire la cuisine, laver le linge sale, faire les courses, etc...
Mel'on se rendit vite compte qu'il préférait de loin l'enseignement de l'archimage dans le feu de l'action que celui théorique de ses vieux maitres à l'école de magie.
De plus être préposé aux corvées le remplissait de joie car, pour la première fois de sa vie, il réussissait à remplir des tâches qui l'auraient mises à genoux par le passé. En effet il ne se passait pas une journée sans que Mel'on améliore son potentiel musculaire à l'aide de la magie.
Quatres années de cette vie d'errance lui permirent d'accéder au troisième cercle.
L'archimage voyageait apparement au hasard mais Mel'on s'apperçut que les adversaires qu'ils affrontaient étaient le plus souvent des tribus orques et gobelines. Son nouveau maitre semblait avoir une haine farouche pour ces créatures et leur faisait la chasse à travers tout le continent.
Un de ses principes majeur était:"connais ton ennemi pour le vaincre plus facilement!". L'archimage apprit donc à Mel'on les langues de ces deux peuples pour qu'ils puissent espionner les différentes tribus qu'ils rencontraient et ainsi recueillir des informations pour continuer la traque de leurs races.
Un jour ils arrivèrent à Luskan. L'archimage voulait y faire une brève halte pour acheter des objets magiques puis reprendre rapidement sa croisade.
Cependant Mel'on, qui ne partageait pas son obsession et qui pensait avoir acquis une puissance suffisante pour etre autonome, lui fit comprendre qu'il allait suivre son propre chemin.
Ils partirent donc chacun de leur côté et la véritable aventure ainsi que l'indépendance commencèrent pour Mel'on...

De plus plusieurs "accidents" malheureusement mortels étaient survenus. Mel'on savait que ces accidents étaient en fait le résultat de duels à mort entre les élèves,

On est pas chez les drow quand même ^^

C'est vrai que je me suis un peu laissé emporter par l'histoire^^.

Je désire juste mettre en scène un évènement, négatif cette fois, qui va convaincre le prudent Mel'on à sortir dans le vaste monde.
J'avais donc pensé créer un climat d'insécurité qui le pousserai à s'exiler cependant j'ai un peu trop forcé le trait. Je vais tenter de faire quelque chose de moins "dark".

Sinon est-ce que quelqu'un pourrai m'expliquer la différence entre les backgrounds en cours et ceux qui ne sont dans aucune catégorie comme le mien?

Merci et à bientôt

HLecteur

Quel apprentissage a-t-il suivi (les diverses étapes de son instruction, ses maîtres, ses expériences…) ?

A son entrée dans la prestigieuse école de magie Mel'on sentit que sa vie ne serait plus jamais la même. Il voyait dans la cour un jeune elfe presque aussi frêle que lui, soulever des caisses que seuls des elfes de la stature de son père ou de ses frères pourraient normalement soulever. rassemblant son courage à deux mains Mel'on s'approcha du jeune elfe et lui demanda timidement comment il parvenait à un tel prodige. L'autre le regarda par en dessous la caisse qu'il portait et répondit d'un air soupçonneux:
-"Si c'est une blague, Elle est de très mauvais goût! Etre puni me suffit largement sans que j'aie besoin de subir les sarcasmes des autres."
Cependant Mel'on et ses dénégations avaient un tel air de franchise qu'il répondit:
-"j'utilise un sort du second cercle qui augmente ma force physique. Maintenant je te serai reconnaissant de me laisser terminer ma corvée en paix."
Par un hasard formidable Mel'on venait de découvrir le sort qui ferait de lui l'égal des autres. N'aurait été sa retenue naturelle Mel'on aurait bondit partout de joie en riant et pleurant.
Les premiers mois de la formation de l'école de magie étaient destinés à faire une sélection. Ceux qui ne parvenaient pas à exécuter les plus simples tours de manipulation de la magie étaient renvoyés chez eux. Heureusement Mel'on n'était pas de ceux-là. Même si il n'était pas l'élément le plus brillant de sa classe, il se situait parmis les meilleurs.
L'enseignement à l'école de magie se faisait par trois groupes de niveaux et Mel'on était dans la première moitié de la meilleure classe.
Il commença donc le long apprentissage de la magie et se rendit bien vite compte qu'il n'atteindrait pas le second cercle rapidement et facilement.
Lui qui était si indiscipliné dut feindre de se couler dans le moule car lorsque l'on mécontentait les maitres mages on était sévèrement puni.
En effet chaque punition était adaptée à l'élève fautif. Ainsi un élève paresseux devait faire des corvées fatiguantes alors qu'un élève brillant mais indiscipliné était consigné avec une interdiction plus ou moins longue de pratiquer et d'étudier la magie.
Conformément à son caractère Mel'on se fit peu d'amis, préférant regarder de l'exterieur la formation de groupes, les rivalités, les trahisons, et tous les différents niveaux d'interactions entre ces groupes.
Une decennie environ après son entrée dans l'école de magie, Mel'on atteint avec une excitation sans borne l'accès au second cercle. Il obtint rapidement la maitrise du sort tant convoité de force de taureau.
Une fois ceci fait il voulu quitter rapidement l'école car sa motivation première était remplie et ne pouvait plus contrebalancer son désir de liberté.
De plus il avait récemment été approché par différents membres des diverses factions présentes dans l'école.
Or il ne voulait pas se retrouver embrigadé dans des conflits qu'il jugeait aussi inutiles que stupides.
Seulement ses réponses évasives et son manque de conviction à entrer dans une bande firent que chaque partie était persuadée qu'il était un sympathisant de la partie adverse. Il commença donc a recevoir des menaces à peine voilées et se fit même rosser une fois.
L'occasion de quitter l'école lui fut donnée par un archimage aventurier de passage qui cherchait un assistant.

Un conflit d’intérêt ou une volonté de te faire quitter ta branche généraliste qui serait pris par ton personnage pour du harcèlement aurait peut être suffit pour ton personnage.

Ton bg en court attende la validation ou dans ton cas le passage en évolutif

Quand il sera en évolutif cela voudra dire que je pourrai le jouer?
Ou est-ce que je devrai attendre sa validation?

Sinon il y a-t'il d'autres choses à modifier? Mon Background est-il acceptable?
Ai-je encore quelque chose à faire ou tout est-il entre vos mains?

Merci de ta patience et de ton attention.

A bientôt.

HLecteur

Des que tu seras valider tu pourras jouer ton personnage que se sois en évolutif ou valider évolutif, la différence en évolutif c’est que tu est obliger de poster ton « évolution ».
Ton bg me semble acceptable mais j’avoue que les scènes de violence aux seins d’une école de magie me font tiquer, en effet les religions généralement pratiquer par les mages est azouth et mystra.
Les mages necro peuvent se tourner vers d’autres religions plus sombres comme le culte de l’élogieux, développe cet histoire de conflit ou trouve autre chose au choix

Quel apprentissage a-t-il suivi (les diverses étapes de son instruction, ses maîtres, ses expériences…) ?

A son entrée dans la prestigieuse école de magie Mel'on sentit que sa vie ne serait plus jamais la même. Il voyait dans la cour un jeune elfe presque aussi frêle que lui, soulever des caisses que seuls des elfes de la stature de son père ou de ses frères pourraient normalement soulever. rassemblant son courage à deux mains Mel'on s'approcha du jeune elfe et lui demanda timidement comment il parvenait à un tel prodige. L'autre le regarda par en dessous la caisse qu'il portait et répondit d'un air soupçonneux:
-"Si c'est une blague, Elle est de très mauvais goût! Etre puni me suffit largement sans que j'aie besoin de subir les sarcasmes des autres."
Cependant Mel'on et ses dénégations avaient un tel air de franchise qu'il répondit:
-"j'utilise un sort du second cercle qui augmente ma force physique. Maintenant je te serai reconnaissant de me laisser terminer ma corvée en paix."
Par un hasard formidable Mel'on venait de découvrir le sort qui ferait de lui l'égal des autres. N'aurait été sa retenue naturelle Mel'on aurait bondit partout de joie en riant et pleurant.
Les premiers mois de la formation de l'école de magie étaient destinés à faire une sélection. Ceux qui ne parvenaient pas à exécuter les plus simples tours de manipulation de la magie étaient renvoyés chez eux. Heureusement Mel'on n'était pas de ceux-là. Même si il n'était pas l'élément le plus brillant de sa classe, il se situait parmis les meilleurs.
L'enseignement à l'école de magie se faisait par trois groupes de niveaux et Mel'on était dans la première moitié de la meilleure classe.
Il commença donc le long apprentissage de la magie et se rendit bien vite compte qu'il n'atteindrait pas le second cercle rapidement et facilement.
Lui qui était si indiscipliné dut feindre de se couler dans le moule car lorsque l'on mécontentait les maitres mages on était sévèrement puni.
En effet chaque punition était adaptée à l'élève fautif. Ainsi un élève paresseux devait faire des corvées fatiguantes alors qu'un élève brillant mais indiscipliné était consigné avec une interdiction plus ou moins longue de pratiquer et d'étudier la magie.
Conformément à son caractère Mel'on se fit peu d'amis, préférant regarder de l'exterieur la formation de groupes, les rivalités, les trahisons, et tous les différents niveaux d'interactions entre ces groupes.
Une decennie environ après son entrée dans l'école de magie, Mel'on atteint avec une excitation sans borne l'accès au second cercle. Il obtint rapidement la maitrise du sort tant convoité de force de taureau.
Une fois ceci fait il voulu quitter rapidement l'école car sa motivation première était remplie et ne pouvait plus contrebalancer son désir de liberté.
De plus il avait récemment été approché par différents membres des diverses factions présentes dans l'école.
Or il ne voulait pas se retrouver embrigadé dans des conflits qu'il jugeait aussi inutiles que stupides.
En effet chaque faction, qui représentait en réalité une école de magie spécifique, rivalisait avec les autres pour mettre en évidence la suprématie de sa spécialité.
Mel'on avec sa volonté de ne négliger aucune des facettes de la magie était donc considéré comme un vendu qui mangeait à tous les rateliers.
Etant donné qu'il ne se conformait pas au système clanique de l'école il commença à être l'objet d'un rejet de la part des autres et d'une hostilité latente croissante.
Le fait de ne pas avoir de groupe derièrre lui, pour faire bloc en cas de coup dur, fit qu'il devint rapidement le bouc émissaire de sa classe et la cible privilégiée des railleries de ses camarades.
L'occasion de quitter l'école lui fut donnée par un archimage aventurier de passage qui cherchait un assistant.

valider

Merci beaucoup!
J'ai une dernière question: Si mon personnage est en évolutif, devrais-je poster des textes à chaque nouveau niveau atteint ?
Sinon quels sont les paliers où je devrais le faire?

Bon courage pour la suite.

A bientôt sur le forum et peut-etre dans le jeu.

HLecteur

Mel’on commença donc sa vie d’aventurier… Cependant il se rendit vite compte qu’on ne vit pas d’amour et d’eau fraîche : pour manger il faut payer. Et pour payer il faut de l’argent. Mel’on n’avait jamais eu à se soucier d’argent auparavant. En effet il avait toujours été sous la tutelle de quelqu’un et n’avait donc jamais possédé en propre des espèces sonnantes et trébuchantes.
Il dut faire donc comme tout le monde : chercher du travail. Notre aventurier en herbe alla donc à l’hôtel de Ville pour s’enquérir des moyens de gagner sa subsistance. On lui proposa toutes sortes de travaux qu’il ne jugea pas dignes de lui ou qui n’étaient pas en son pouvoir, en raison de sa faiblesse musculaire, sans l’usage de la magie. Il allait se résigner à s’abaisser à balayer les rues, la mort dans l’âme, quand une proposition lui fit redresser la tête.
Il était question d’une mission dangereuse dans le cimetière de la ville. Depuis quelques temps déjà ce cimetière semblait avoir été maudit et était devenu infesté de spectres. Pour le bien-être des familles des défunts, qui ne pouvaient plus venir se recueillir sur la tombe de leurs chers disparus, il fallait nettoyer cette infestation.
La paie était correcte et on lui dit que tout ce qu’il trouverait de précieux et d’abandonné dans le cimetière constituerait une prime pour lui.
Cependant, arrivé au cimetière il déchanta très vite. L’ampleur de la tâche lui sauta aux yeux. Le cimetière était immense et le nombre des spectres ne semblait pas diminuer. Ils erraient en bandes peu nombreuses, cependant à chaque groupe éliminé un autre venait se substituer. De plus les combats étaient périlleux, et Mel’on ne compta plus les instants où il frôla la mort. En sus de tout cela l’ambiance morbide des lieux lui pesait sur le moral…
Il tira tout de même de substanciels bénéfices de ce dur labeur. La paie lui permit de se nourrir et de se loger. Quant aux objets précieux trouvés dans les nids de spectres, Mel’on en tira de bons prix. Cela lui permit de s’acheter un équipement qui le rendrait plus efficace dans son travail.
Malgré le profit Mel’on était miné par la nature des créatures qu’il éliminait chaque nuit. Il retourna donc à l’hôtel de Ville pour vérifier si ses services ne pourraient pas être mieux employés ailleurs. Ayant fait ses preuves en tant que combattant, on lui proposa d’aller éradiquer des bandes de gobelinoïdes, qui attaquaient les voyageurs isolés en tendant des embuscades. Ces bandes évitaient les patrouilles trop nombreuses, donc seule une personne isolée pourrai vaincre leur méfiance et les convaincre d’attaquer. De plus Mel’on n’ayant pas une carrure de combattant, il attirerait ces bandes à lui comme les abeilles sont attirées par le miel…
La tactique marcha à merveille. De plus Mel’on sachant parler la langue de ses proies, il pouvait interroger les derniers survivants sur les autres bandes.
Au cours de ces multiples combats, Mel’on se rendit compte que parmi ses sorts seuls les sorts offensifs des domaines de l’évocation et de la nécromancie lui servaient réellement. Il se rendit également compte que certaines créatures tentaient de résister à ses sorts. Il étudia donc les moyens de percer ces résistances.
Au cours d’un combat contre des Hobegobelins où notre jeune elfe commençait à avoir le dessous, il fut sauvé de justesse par un archimage humain…
L’archimage, qui se présenta sous le nom de Roderick, avoua à Mel’on qu’il suivait ce dernier depuis quelques temps et qu’il était fort contrarié par le manque de maîtrise de l’elfe dans ses sorts offensifs d’évocation. L’humain qui était spécialisé dans ce domaine proposa un marché à Mel’on. L’humain proposa à Mel’on de lui enseigner l’essence profonde de l’école d’évocation et des techniques pour optimiser ses sorts dépendant de ce domaine. En échange Mel’on s’engageait à enseigner à l’humain le complexe langage elfique.
Mel’on répugnait à se concentrer sur certains aspects seulement de la magie. Cependant force lui était de constater que certains aspects de la magie semblaient relativement inefficaces dans la région. De plus seuls les imbéciles ne changent pas d’avis, et Mel’on n’allait pas oublier ce qu’il savait déjà. Mel’on accepta donc le marché de l’humain.
Plusieurs années d’apprentissage et de pratique plus tard, Mel’on devait bien avouer que l’enseignement portait ses fruits. Là ou l’utilisation répétée d’un même sort lui était indispensable, un seul exemplaire de ce même sort suffisait à présent. La Ville contente de ses résultats lui proposa d’ailleurs l’élimination de créatures de plus en plus dangereuses. A force de missions menées à bien Mel’on devint rapidement à l’abri du besoin.
Un soir, il arriva dans un bois réputé maudit par le folklore régional. En effet au terme d’une enquête que lui avait confié la ville, Mel’on avait déterminé que des disparition inexpliquées avaient pour épicentre ce bois que tout le monde évitait. Après une heure de marche Mel’on repéra des alarmes magiques posées un peu partout. Intéressé il se rapprocha de l’endroit qu’elles semblaient garder en les évitant soigneusement. Il arriva en vue d’une petite tour sinistre à l’air abandonnée. Rendu méfiant par les alarmes magiques Mel’on lança ses sortilèges de protection et s’avança discrètement de l’édifice. Une puanteur de mort se dégageait de l’endroit ainsi qu’un froid surnaturel. Il dissipa le sort de protection qui se trouvait sur la porte, puis il crocheta cette dernière.
Une odeur acre de décomposition le prit à la gorge et fit remonter dans sa mémoire le souvenir du cimetière où il avait effectué ses premières missions pour la ville.
Le sol et les murs étaient en pierre nue et Mel’on remarqua au bout d’un moment qu’il n’y avait nulle trace de vie en ces lieux. Tous les petits rongeurs ou araignées qu’il est fréquent de trouver en de tels lieux étaient absents.
Pendant son exploration Mel’on arriva dans une salle plus grande que les autres et il décela un mouvement du coin de l’œil. Il se retourna vivement et se retrouva nez à nez avec une liche qui incantait en tendant un doigt vers lui. Mel’on se mit lui aussi à enchaîner les sorts offensifs. La créature semblait de plus en plus déconfite des échecs répétés qu’elle rencontrait dans le résultat des ses sorts. Le temps qu’elle comprenne que Mel’on était protégé par un bouclier d’ombre il était trop tard pour elle. Une fois son adversaire vaincu, Mel’on poursuivit son exploration des lieux et s’assura qu’il était désormais le seul occupant des lieux. Au cours de son exploration Mel’on tomba sur la bibliothèque de la créature avec des grimoires qu’il n’avait jamais vus. Tous touchaient au domaine de la nécromancie et certains étaient des cahiers de notes de la liche que Mel’on avait défaite. Mel’on maîtrisait déjà certains sorts relevant de ce domaine et il s’était rapidement rendu compte que c’était l’un des domaines qui lui étaient le plus utiles dans la région.
Pour Mel’on le domaine de la nécromancie était neutre en lui-même, seule les intentions et la façon d’utilisation cet outil pouvaient être jugés moralement. Après plusieurs heures de lecture il se rendit compte que le monstre qu’il avait vaincu ne partageait pas sa vision des choses. Il décida ainsi de lire tout ce qu’il pourrait sur le sujet et de fixer lui-même les limites qu’il allait respecter. Ainsi il convint que la création de mort-vivant était une abomination car il faut savoir laisser les morts en paix. Cependant il décida que les sorts qui provoquaient la mort n’étaient que des outils au même titre qu’une épée ou ses sorts du domaine de l’évocation. Ainsi il passa une dizaine d’années à parcourir de fond en comble la bibliothèque du monstre et à s’exercer au lancement des sorts qu’il jugeait neutres. Lorsqu’il eut acquis une parfaite connaissance de l’intégralité de la bibliothèque et une maîtrise approfondie de ses sorts, Mel’on jugea trop dangereux de laisser ces connaissances à la disposition du premier venu. Il résolut donc la mort dans l’âme de détruire méthodiquement cet endroit ainsi que tout ce qu’il contenait avant de retourner à la civilisation.

Voici comme convenu la suite de mon background pour expliquer mes diverses spécialisations. Je suis ouvert à tout commentaire.
Cordialement.
HLecteur