[Evolutif][Paladin][H]Lyaz Kazan

Nom du compte joueur forum : Lyaz
Nom du compte joueur module : Lyaz
Nom du perso : Lyaz Kazan
Race : Humaine
Age : 20 ans
Alignement : Loyal Bon
Religion : Tyr
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Paladin (rien de prévu pour le moment)
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Epee à deux mains.
Langues : Commun
Trait de Caractère : Caractère bien trempé (voir pas très commode quand elle s'y met), Loyale, amie fidèle, un peu coincée, se méfie instinctivement des roublards.
Description physique : Petite et mince, apparence fragile... mais on devine derrière cela la Paladine. Lyaz a les yeux bleu foncé et les cheveux noirs.
Langues parlées : Commun

Caractéristiques :
FOR : 15
DEX : 10
CON : 14
INT : 10
SAG : 12
CHA : 15

Histoire :

Lyaz est née dans un petit village quelque part au fin fond du Val de Bise. Ses parents cultivaient une modeste terre qui, si elle ne leur apportait pas la richerre, leur permettait de vivre décement. Jusque-la, Lyaz était une fille de ferme banale, sans histoire.

Il y avait un temple de Tyr (un petit temple) au village. Sans savoir réellement pourquoi, Lyaz se mit à le fréquenter très jeune. Elle se sentait attirée par cet endroit. La foi de la jeune paysanne en Tyr grandit au fil du temps. Vers l'âge de douze ans, elle décida de porter jour et nuit un pendentif à l'image du marteau de Tyr autour du cou.

Lyaz était sociable et se faisait facilement des amis, à l'époque.

Sa vie paisible bascula quand elle eut quinze ans. Une nuit, elle fut réveillée en sursaut par les cris de sa mère. Elle se leva aussitôt, remarquant que, par la fenêtre de sa chambre, filtrait la lumière dansante de torches. La jeune fille fit l'erreur de regarder par la fenêtre... Des brigands avaient investit la ferme et le corps de sa mère gisait devant la porte. Son père était maintenut à genoux par l'un des brigands devant un homme qui semblait être le chef de la bande. Ce dernier dut apercevoir la jeune fille, car il fit un geste vers elle et, presque aussitôt, l'un des brigands fit irruption dans sa chambre.
Quand elle fut emenée, les mains liées, aux côtés de son père, Lyaz pria pour la première fois. Elle pria pour sa vie, pour son père...
Cela n'empêcha pas le chef des brigands d'abuser d'elle, sous l'oeil horrifié de son père.
La jeune fille serait sans doute morte sans l'intervention de Suel Kazan. C'étgait un Paladin, un Paladin de Tyr. Il ne passait pas par hasard... en voyage dans les environs, une intiotion soudaine l'avait attiré vers la ferme des parents de Lyaz. Il arriva à temps pour la sauver, mais pas pour sauver son père.

Suel sentit que Lyaz avait le potentiel pour devenir Paladin. Il prit la jeune fille avec lui. Il fut comme un père pour elle... et finit par l'adopter.
Cinq années passèrent, renforçant les liens entre Suel et Lyaz. Quand la jeune femme, devenue Paladin à son tour, décida de revenir dans sa région natale et de quitter son père adoptif, ce fut un déchirement.

Le début est bien, je t'offre deux choix.

1) soit tu passes en évolutif et tu postes ton noviciat auprès des templiers ( ça permet de jouer les relations Maître élève )

2) soit tu développer ton noviciat l'apprentissage des dogmes, etc.. pour que je mesure ta connaissance de Tyr.

Merci ^^.

J'avoue que je suis assez novice... mes connaissances de Tyr sont faibles... (et c'est mon premier paladin.).

Donc je crois que le meilleur choix est de passer en évolutif et de m'amuser avec la relation maître-élève. ^^

Ok, donc évolutif, pense à poster le plus souvent ta progression et l'intronisation dans ton ordre.

(premiers pas dans le val...)

A peine arrivée à Luskan, Lyaz fit une rencontre qui marqua ses actions à venir: Un homme qui la regarda comme si elle était un démon...
Lui, et plusieurs autres par la suite, ont dit que Padhivers, et les Tyristes, étaient corrompus.

Ils avaient l'air tellement convaincu de ce qu'ils disent...

Lyaz se mit à douter de tout ce en quoi elle avait cru. Elle décida de vérifier ces informations...
Si cela se révélait exact, aurait-elle la force se se battre pour ce qu'elle pensait juste? Contre tout son ordre?
Lyaz ne pouvait décement décider sans savoir. Elle prit la décision de rencontrer les templiers...

La jeune paladine allait abandonner et tourner le dos aux templiers quand on lui conseilla de rencontrer Thamriel Brillétoile, un paladin membre des Templiers. L'homme semblait penser comme elle, d'après ce qu'on lui dit. Peut-être trouverait-elle en lui un allié pour mettre fin à l'injustice et à l'inquisition à Padhiver.

Lyaz rencontra Thamriel pour la première fois le jour du procès d'Hakemm Enrique. Cette rencontre, ainsi que le procès, marqua la jeune femme pour plusieurs raisons:
- Même si certaines choses qu'elle avaient entendues n'étaient pas forcément fausses, elle avait fait preuve d'une naïveté honteuse!
- Elle n'avais pas à calomnier les templiers, quelles que soient les actes de leur nouveau chef...
- Elle avait fait preuve d'arroguance.
Rencontrant à nouveau le paladin le lendemain, elle lui parla de ses doutes... Il lui conseilla d'approcher les templiers pour se faire sa propre idée. Lyaz décidé de suivre le conseil.

Elle contacta donc l'ordre pour s'y présenter au plus vite.

Entrée chez les templiers.

Lyaz rencontra Celtoras de Piètresac par hasard, aux alentours de Padhiver. Le Paladin lui fit une très forte impression, même si elle garda à l'esprit les conseils de Thamriel et de son épouse.

Afin de mieux apréhender la vérité sur les templiers, Lyaz demanda à les intégrer. Celtoras la reçut volontier, heureux qu'une jeune Paladine rejoigne leurs rangs.
L'entretient se déroula sans problèmes... La jeune femme se dit qu'elle en apprendrait plus plus tard.

Celtoras lui confia sa première mission: enquêter sur l'évasion du Légat Hakeem, lui donnant un parchemin certifiant son accréditation afin qu'elle puisse avoir la coopération de la guarde.
Les premières personne que Lyaz savaient présentes au procès et qu'elle interrogea ne se montrèrent pas très coopératives. Certaines lui expliquant clairement qu'elles ne pouvaient pas l'aider, d'autres refusant car la sachant jeune recrue des templiers... la tâche de Lyaz se montrait plus ardue qu'elle ne le pensait...

(mise en pause du perso... et changement de cap RP)

Quelques jours à peine plus tard, Lyaz reçut une lettre de son père adoptif.

"Mon enfant,

Je suis désolé de t'arracher à tes devoirs à Padhivers, mais la situation au domaine est plus qu'inquiétante. J'ai besoin de ta présence ici, et ce dans les plus brefs délais.
Une étrange épidémie ravage le peuple, des granges à grain ont brûlé... la maladie et la famine menace les autres.
Le domaine étant en quarantaine, je ne puis partir pour guider le convoi de vivres que j'ai commandé au domaine voisin... J'ai besoin que tu t'y rendes et l'amène chez nous, sinon je crains que la majorité des nôtres ne passent pas l'hiver.
Le peuple a grande confiance en toi, j'ai besoin que tu m'aides à le rassurer, à soigner les malades et prendre soin des orphelins.

A très bientôt mon enfant. J'espère que tu as de meillures nouvelles à m'annoncer que moi,

Suel Kazan."

Lyaz demanda donc la permission de quitter padhivers et d'abandonner son enquête afin de retourner chez les siens...

L'épidémie, la suite de l'apprentissage.

Arrivée au domaine, Lyaz se rendit compte qu'elle resterait peut-être plusieurs mois... il y avait tellement de travail à faire...
Mais, le soir, au coin du feu, Suel lui demanda de lui raconter comment cela s'était passé à Padhivers...
Lorsque la jeune femme lui raconta ce qu'elle avait vu, et qui l'avait choquée (inquisitions, lois douteuses...), le Paladin devint sombre.
Il lui dit qu'il lui ferait ré-étudier certaines choses.

Les journées de Lyaz furent épuisantes... elle aida les prêtres à soulager les malades, son père à rassurer la population, supervisa des travaux de reconstruction, suite aux dégats provoqués par les émeutes... Elle passa aussi une partie de son temps libre à s'occuper des orphelins.

Et le soir, son père se chargea de lui enseigner certaines choses.
Il lui fit étudier consciencieusement les lois de padhivers et celle de leur domaine. Cela lui prit des soirées entière... La nuit, elle se demandait simplement pourquoi, car Suel, pour une fois, ne lui avait pas expliqué le but d'un excercice.

La première révélation qu'eu Lyaz fut qu'elle était peu habituée à réfléchir par elle-même. Ayant grandit protégée, d'abord par ses parents, ensuite par Suel, elle s'était toujours reposée sur ses mentors.
La seconde fut qu'elle devait comparer les lois de Padhivers et celle du domaine des kazan.

La jeune fille le fit, sous l'oeil attentif de son père.
Les lois auraient parut semblables pour n'importe qui... mais les différences existaient. Rares, infîmes... Mais aux yeux des Kazan, radicales!
Ou était la différence? Simplement que les châtiments imposés aux comdamnés à padhivers étaient considérés comme criminels au domaine des Kazan. Une chose toute simple, mais révoltante pour un héritier du domaine!
Lyaz prit conscience que si elle servait padhivers ou une organisation lui étant liée et faisant respecter ses lois, elle serait une criminelle aux yeux de son peuple et des lois qu'elle devrait faire respecter.

Quand elle expliqua ses conclusions à Suel, le paladin lui sourit.
"Tu as compris mon enfant. Et n'oublie jamais que nous sommes responsables des ordres auxquels nous obéissons, des actes des gens que nous choisissons comme compagnons ainsi que ceux de nos suppérieurs. Tu ne peux tolérer aucune déviance de tes pairs ou suppérieurs."

Ensuite, Suel lui rappela certaines traditions des Kazan.

"Mon enfant, tous les Kazan ne deviennent pas Paladin... Mais il est de tradition que nous effectuions un voyage initiatique avant de prendre la tête du domaine. J'étais à la fin de ce voyage lorsque je t'ai rencontrée.
Certains d'entre nous ont rallié des ordres tels les templiers lors de ces voyages, désireux de mettre leurs talents à leur service.
Mais cela est plus difficile pour ceux d'entre nous qui sont devenus paladin... Le domaine fonctionne d'une façon très... avant-gardiste. Et certaines des cités de plus respectables ont des lois qui, chez nous, pour un simple détail, paraissent criminelles. Ton intention de rejoindre les templiers est louable et la décision t'appartiendra le moment venu pour toi de repartir... Mais n'oublie pas ce dont on a parlé: tu es responsable des ordres auxquels tu obéis.
Peut-être que, comme moi ou d'autres avant moi deviendras-tu paladin Errant par la force des choses. Cela n'est pas une tradition, contraîrement au voyage... mais un choix personnel. Choisis bien, Lyaz. Le temps que tu passera ici, tu dois y réfléchir.
Un engagement ne doit pas être rompu à la légère, penses-y. Tu as signé chez les templiers, ne romp pas cela sans une excellente raison!"

Quand elle eut comprit cela, Suel lui laissa un peu de répit... déjà épuisée par ses activités journalières, la jeune femme avait besoin de ses nuits.

Le temps passant, les malades devenaient moins nombreux. Certains guérrissant, d'autres morts...

Les choses se calmant, d'autres problèmes firent leur apparition...
Le domaine n'étant plus en quarantaine, les portes furent ouvertes. Et la garde fut un peu relâchée... Les soldats, épuisés, vécurent cela comme un soulagement!
Le calme dura peu de temps... Les fermes désertées par les familles décédées et la fatigue générale attirèrent nombre de pillards, brigands et fauteurs de troubles.

Suel choisit ce moment pour mettre Lyaz à l'épreuve. Il lui confia la sécurité du nord du domaine.

Pour la première fois, Lyaz allait devoir agir par elle-même, sans personne pour lui dicter ses actes et ses jugements.
Pour la jeune paladine, c'était une période cruciale qui s'annonçait.
Au début, Suel la confia à l'un des paladins qui le servaient, afin de veiller à ce que Lyaz respecte les dogmes de Tyr et sa mission de Paladin... l'instruisant au besoin.

L'épreuve.

Chasser des brigands et traquer les pillards fut la partie la plus facile de la tâche de Lyaz: les crimes et les coupables étaient évidents. La jeune femme organisa les patrouilles, y prenant part elle-même et anticipa avec brio les actions des brigands. Grâce à ses efforts, plusieurs pillards furent prit sur le fait, avant qu'ils ne puissent répandre le mal... D'autres furent arrêté dans leur repaire. Le biens volés furent rendus à leur propriétaires... Si ceux-ci étaient décédés, ils furent donné au profit des temples, hopitaux et orphelinats.

Toujours, Suel garda un oeil discret sur les actions de sa fille adoptive, évaluant ses progrès, la corrigeant par la suite au besoin. Lyaz gardait note de ses actions... et des corrections de son père.

Ensuite... une tâche moins évidente atendait Lyaz.
Le nord du domaine était pacifié. Mais les citoyens du domaine des Kazan n'étaient pas tous calmés.

La jeune paladine assista, apparement seule, à une scène qui manqua lui faire manquer de jugement.

Une adolescente était apparement sur le point de se faire agresser pas deux "gros bras", sur un chemin isolé. Lyas s'avança et demande ce qu'il se passait.
La jeune fille lui répondit que les deux hommes en voulaient à sa vertu... Lyaz leur demanda confirmation, sachant d'avance qu'ils nieraient. Eux, accusèrent la jeune fille de les avoir volé.
Elle nia, évidement.

Lyaz était prête à embarquer les deux hommes quand elle surprit un mouvement furtif chez la jeune femme. La paladine lui saisit la main au moment où elle dissimulait un objet dans sa poche.
C'était une bourse. Celle d'un des deux hommes.

Il apparut après interrogatoire que la jeune fille appartenait à l'un des clans de brigands... Une autre leçon pour Lyaz: ne pas se fier à une apparente innocence.

D'autres affaires lui apprirent bien d'autres choses jusqu'à ce que le domaine soit de nouveau en paix.


(à suivre)


Fin de la pause.

Le départ.

Le domaine en paix, Lyaz du prendre sa décision.

Oui, elle repartirait vers le nord.
Non, elle ne servirait ni les templiers, ni padhivers.

Elle écrivit donc une lettre à Celtoras de Piètresac pour lui donner sa démission.

"Messire de Piètresac,

Veuillez d'abord me pardonner les mots qui vont suivre. Ils seront peut-être durs, mais je ne puis me taire.

Je vous envoie cette lettre pour vous soumettre ma démission définitive de l'ordre des templiers. Je sais que je n'ai pas passé un mois parmis les vôtres et que j'ai l'air de rompre mon engagement à la légère. Ce n'est pas le cas.

Depuis mon arrivée à Padhivers, plusieurs choses m'ont troublées, choquées. J'ai pensé prendre du recul et voir les choses de l'intérieur en servant Padhivers... Mais mon retour chez moi m'a permi de voir les choses sous un autre angle.

Mes devoirs d'héritière du domaine des Kazan sont totalement incompatibles avec le fait de servir Padhivers et les Templiers.

Pour une simple raison:

Certaines lois et les châtiments infligés aux criminels sont jugés chez les miens comme injustes, cruels et criminels!
Je ne puis servir des hommes qui sont vu par les miens comme ayant trahi Tyr. Je ne puis contribuer à faire appliquer des lois qui me feront juger par les miens à mon retour.

Ne vous attendez donc pas à me revoir à la citadelle de mon propre chef.

Sachez cependant que je reste soucieuse du devenir de Padhivers.

Mes salutations distinguées,

Lyaz Kazan, fille de Suel, paladin au service du Juste et héritière du domaine des Kazan."

Retour à Luskan.

Arrivée à Luskan, Lyaz fit plusieurs rencontres intéressantes.

Solen, une elfe noire, masquée, qui lui expliqua ce qu'étaient les louves.

Un message des templiers, demandant si elle acceptait de voir l'une d'entre eux. Lyaz en conclut que sa démission avait peut-être fait un peu de bruit... La paladine se demanda également s'ils n'allaient pas essayer de la faire changer d'avis.

La dernière rencontre: Coralys, la haute louve. Cette femme ramena un peu d'espoir dans le coeur de Lyaz. Les bien n'était pas mort et d'autres personnes se battaient pour lui.

La vision du bien et de la justice de Lyaz concordait parfaîtement avec celle de Coralys... Ayant fait connaissance, celle-ci lui dit qu'elle pouvait se considérer comme amie des louves... peut-être plus, un jour, si elle le désirait.

Lyaz décida d'y réfléchir. Mais avant, elle irait à la réunions à laquelle l'avait conviée Belthanie Selen, concernant, entre autres, un combat contre la corruption de Padhivers.

En quelques jours, Lyaz avait véu plus que pendant les mois précédant son retour chez les Kazan! Mais, enfin, elle allait pouvoir agir sur le mal sévissant dans la région!

Les gardes arcanistes.

La réunion à laquelle Selen l'avait conviée n'avait rien d'anodin.
Des personnes très différentes, assez complémentaires s'y étaient rendus.
Elle se déroula dans la salle de conférence de l'arcania, en secret.
Officiellement, pour discuter d'un projet de "gardes arcanistes de la tour"...
En réalité, de la création d'un groupe qui agirait contre les clergés maléfiques. Lyaz y prit part, jurant de garder le secret...

Le cyriciste.

Lyaz avait fait une erreur: le cyriciste l'avait provoquée et elle était rentrée dans son jeu...
Tentant d'abord de l'arrêter, elle perdit le contrôle de la situation... qui commença à dégénérer dans l'arène de luskan.
Il était fort. Lyaz perdit le combat et se retrouva étalée sur le sol, la garde de son épée toujours serrée dans une main.
L'homme se pencha sur elle, lui rappelant une nuit de cauchemard, cinq ans auparavant...
Et ses paroles, comme un poison, s'infiltrèrent dans son esprit.
"Tu es FAIBLE!" "Tu es une VICTIME"...
Elle réussit à se relever et à le repousser... mais il l'acula contre un arbre: plus il avançait sur elle, plus elle reculait.
Et ses paroles, comme un poison s'infiltrant das son esprit.
Lyas tomba à genoux, dans une tentativé de prière... mais encore et toujours ces paroles empoisonnées!

Il la tenta, lui parlant de liberté et de vengeance... il réussit même à lui faire parler de son passé douloureux, acquérant d'autre armes pour atteindre la jeune femme.

Il lui proposa de le rejoindre... Lyaz finit par s'enfuir.
Elle n'eut la paix que grâce à deux hommes: Armand Mender et l'Elfe Dardan... un officier de la garde finit aussi par intervenir...

Le Cyriciste finit par la laisser en paix... pour le moment.

Retrouvant calme et lucidité grâce à la prière, Lyaz se rendit compte qu'elle devait se préparer à ce genre de choses... Le cyriciste n'allait peut-être pas la laisser s'en sortir aussi bien!

En effet, il revint à la charge quelques jours plus tard. Lyaz se rendit compte qu'il souhaitait la convertir... la méfiance s'installa dans son coeur.

(petit ajout postérieur: toutes les réactions de Lyaz pendant sa détention ont été jouées au jets: volonté, vigueur, etc etc. Pas de cheat dans sa 'résistance")

Le temple de Cyric.

IL finit par la capturer. Il l'avait suivie partout en ville, se moquant de son exaspération... Le jeune femme fit alors l'erreur fatale de se diriger vers la forêt... Lyas espérait y rencontrer elfes ou louves qui l'aideraient.

Mais soudain, alors que le Cyricquiste la soumettait aux railleries habituelles, il lança un sort. L'obscurité se fut... La voix de l'homme résonné encore et ce fut le néant.

Quand Lyaz reprit conscience, elle était transportée sur l'épaule du Cyricquiste. Elle était ligotée. Il lui fit traverser les terres des fidèles de Cyric et le temple... les yeux cachés juqu'à ce qu'elle soit à l'intérieur de temple.
Il la fit entrer dans une cellule, où elle fut déshabillée et fouillée intégralement,... La jeune Paladine serra les dents. Ce n'était que le début!

Lyaz pria. Tyr était à ses côtés, ils ne l'atteindraient pas. Le Cyricquiste donna alors l'ordre qu'on lui lie les poignets. Ses chevilles furent enchaînées à une grille sur le sol de la prison.

"Es-tu vierge, Paladine?" Fut la première question du prêtre de Cyric. Cela lui rappelant son calvaire, cinq ans auparavant, elle ne répondit pas.
En guise de punition, il appela un garde, lui donnant l'ordre d'abuser d'elle, la plus grande peur de Lyaz.

Le prêtre fit ensuite aller chercherun prisonnier, une vieille femme, et ordonna à Lyaz de la tuer avec l'épée qu'il lui tendait. La paladine refusa, jetant l'épée à terre. Le prêtre donna allors l'ordre au garde de la soumettre au supplice du "poussoir". Lyaz reçut encore l'ordre de tuer la vieille femme... Lyaz refusa...
Le prêtre lui mit l'épée dans les mains. "lève la lame, pas besoin de frapper", lui dit-il.
Dans un moment de faiblesse, lyaz leva la lame. Avant qu'elle n'ait eu le temps de la baisser, le prêtre avait jeté la vieille femme dessus, l'empalant.

Anéantie, salie, la paladine dut faire appel à toute la force de sa volonté pour ne pas céder.
Lyaz pria, demandant pardon à son dieu... elle sentit la puissance de Tyr en elle... elle était toujours sa paladine!

Ce n'était pas fini. Le prêtre fit emmener un vieil homme. Il ordonna encoe à Lyaz de tuer. Devant son refus, il fit ammener une enfant, qui fut torturée sous ses yeux. Le prêtre promit à Lyaz qu'il cesserait si elle tuait le vieil homme.
La jeune femme était déchirée entre ses deux choix... Puis, demandant pardon à l'enfant, elle refusa de tuer le vieil homme.
Le prêtre fit emmener un autre prisonnier, un jeune homme, auquel il ordonna de torturer l'enfant, sous peine de mourir.
Le prêtre ordonna à Lyaz de tuer le vieil homme si elle voulait faire cesser cela.
Elle refusa encore.

Le Cyricquiste menaça alors directement la vie de l'enfant et du viel homme, ordonnat à Lyaz de choisir celui qu'il allait tuer; elle n'aurait qu'à dire "oui" quand il menacerait la gamine et il dirigerait sa lame sur le viel homme. La jeune femme fit un autre choix.
Alors que le prêtre menaçait l'enfant, elle hurla "Oui" et tenta de s'interposer entre le veil homme et l'épée...
Peine perdue.
Le vieil homme mourut.

Le prêtre fit emmener l'enfant. Il piqua ensuite la paladine de son épée enflammée... sur les poignets, les bras, les jenoux, les jambes... Lyaz tint bon. Il perdait son sang froid. Il utilisa ses pouvoir de prêtre pour blesser et soigner la paladine tour à tour.
Lyaz tint bon, criant de douleur, mais continuant de défier le prêtre. Le sentant perdre son calme, elle sentit un regain de confiance en elle!

Hors de lui, le prêtre fit ouvrir la grille au sol de la geole. Il y jeta une épée, le prisonnier, ensuite Lyaz.
Il leur dit: "l'un de vous deux doit mourir"
"Tues-moi", fut la réponse de Lyaz. Ce qui fit changer le prêtre d'avis. Il leur dit "si l'un meurt, les deux meurent"... Avant de commencer à poser des questions à Lyaz sur ce qu'il venait de se passer: son nom, sa souffrance, sa responsabilité à propos des deux morts et de la douleur de l'enfant...
Devant son refus de répondre, il ordonna au prisonnier d'abuser d'elle. Lyaz le repoussa et répondit, du défit dans ses réponses.

La jeune paladine jugea le prêtre coupable de torture, d'enlèvement, d'esclavagisme et d'incitation au viol, lui promettant de le châtier un jour au nom de Tyr.

Le prêtre posa alors une couverture sur la grille fermant le trou, afin d'enlever auxprisonniers toute lumière, et s'en alla.


Le lendemain matin, Lyaz s'évaille seule... avec le cadavre du prisonnier, apparement étranglé. Le prêtre de Cyric était la, au dessus du trou. Il enleva la couverture pour laisser passer le lumière.
Le harcèlement reprit. Lyaz résista, mais les questions devenant plus sensibles, elle craqua, déjà affaiblie par le traîtement reçut la veille.

Le prêtre lui dit "si tu as des questions, poses-les, je te répondrai". Lyaz lui demanda son nom, ajoutant qu'elle n'avait rien à apprendre de lui. Il lui répondit: "Sarcémas".

Il lui fit dire qu'elle était sa plus grande peur.
A chaque fois qu'elle refusait de répondre, il jetait un sceau d'eau sur la jeune femme.
Ayant passé la nuit dans un trou sombre et froid, en étant nue, elle avait froid... l'eau glacée n'arrangeait rien.
Lyaz finit pas lui avouer sa plus grande peur: le sexe. Elle avait tenté de ne rien dire, sachant pertinement que cela serait pour son bourreau une arme supplémentaire pour l'atteindre... mais à force de sceau d'eau, de froid... elle craqua.

Le Cyricquiste lui dit qu'il pouvait l'aider à combattre sa peur... tout en la menaçant de la réaliser si elle priait Tyr, refusait de répondre ou le contredisait.

Petit à petit, la paladine, se racrochant comme elle le pouvait à sa foi, cédait du terrain.

Les jours passèrent. Lyaz croupissait dans sa cellule, nue, conditionnée... mais nourrie. Ils désiraient la convertir, pas la rendre invalide.
C'était toujours Sarcémas qui venait la nourir... Lyaz luttait entre ce qu'elle savait: qu'il était son ennemi, son ravisseur et son bourreau... et ses menaces entrecoupées de paroles rassurantes, sa présence, seule compagnie à laquelle elle avait droit. C'était aussi le seul moment où elle voyait la lumière...

(petit ajout postérieur: toutes les réactions de Lyaz pendant sa détention ont été jouées au jets: volonté, vigueur, etc etc. Pas de cheat dans sa 'résistance")

La libération.

Quelques jours passèrent...
Lyas passait chaque moment de répis, si elle ne se sentait pas observée, à prier en silence.

Un matin, Sarcémas la surprit en prière. Il tentait de le faire céder à nouveau, mais la jeune femme ne cessa de prier...
Il exécuta sa menace en ordonnant à un garde d'abuser d'elle.

Peut-être se lassait-il, peut-être avait-il comprit qu'elle ne cèderait pas...
Le prêtre de Cyric pronnonça le nom de son dieu en plaquant sa main sur lapoitrine de lajeune femme.

A moitié inconsciente, il l'emmena sur un bateau, après avoir marqué son front de la marque de Cyric.

La jeune femme reprit conscience, nue, sale et marquée, au sud de Luskan...
Elle fut trouvée en forêt, marchant comme un automate, par un demi elfe, Leith Erghistson. Qui tenta de la calmer et lui donna des vêtements.
Ils furent bientôt rejoinsts Par Wissm, Bethlany Selen, Zaryel et Venuza Crow, qui la ramenèrent à l'Arcania.
Lyaz demanda après Coralys, mais personne ne trouva la haute louve...

Une fois en sécurité, la jeune femme finit par s'écrouler...

(passage suivant retravaillé pour mieux traduire la façon dont cela a été joué)


Réveillée, Lyaz ressentit le désir impérieux de voir le ciel, la lumière, des gens...

Une douleur sourde dans le coeur, elle sortit. Pâle, comme anethésiée, le regard vide, elle marchait d'un pas las. Sans cesse, elle retournait dans sa tête les horreurs de sa détention...

Elle y rencontra Isiolia sur la place de Luskan, qui lui raconta ses péripéties durant la période "anti-elfe"... les deux femmes sen sentirent proches.
Un homme lui offrit aussi son aide, RayKlin.

Lyaz se rendit ensuite à Padhivers, avec l'intention de se rendre au temple de Tyr, espérant que cela l'aiderait à retrouver la paix.
Avant, elle fit un tour hors de la ville, revoyant avec plaisir le paysage connu... Mais même cet endroit familier ne la rassura pas.
Elle y rencontre Solen... qui lui offrit d'effacer la marque de Cyric. Acceptant, Lyaz se laissa conduire, les yeux bandés, au cercle Elistreen... Après l'effacement de la marque et une longue conversation avec Solen, la jeune femme s'y reposa, avant de se diriger vers le temple de Tyr. (reconduite par les Elistreene vers la ville, bien entendu)

Elle passa des jours et des jours en prière.
La nuit, elle hurlait dans son sommeil, revivant la torture. Lyaz ne supportait pas non plus l'obscurité, faisant brûler des chandelles pour veiller sur son sommeil agité...
Si elle était surprise, dehors, par la tombée du soir, elle se précipitait au temple, croyant revoir Sacrémas dans chaque ombre, chaque recoin sombre.

Le chemin vers la guérison promettait d'être long... Son corps n'était plus marqué, à part quelques cicatrices qui s'effaçaient doucement... cependant... La jeune femme ne cessait de se sentir sale, souillée.

(en rouge: un oubli...)

Certains propos de ton Bg peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes; je te prierai de les retirer ou de passer ce même Bg en section privée... pas besoin de détails comme cela, merci à toi

je me permets d'ajouter également une chose que les scribes pourront retirer s'ils ne la jugent pas nécessaire : un viol est quelque chose de lourd (extrêmement); tu ne peux pas dormir et hop aller mieux. C'est con à dire mais imagine ce qu'ont ressenti des femmes irl qui restent traumatisées à vie, peut-être cela te donnera-t-il une idée de ce que peut ressentir ton perso

désolée, je vais corriger...

Je sais que c'est lourd, aussi je m'excuse d'avoir écrit cela ici.
Merci de me l'avoir fait remarquer, je ne voudrait pas choquer (sincèrement).

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J'ai fait quelques changements... Si c'est encore trop lourd, je peux encore corriger...
(et encore désolée...)

c'est mieux merci un scribe peut effacer nos posts s'il vous plait ?

La jeune femme se remettait lentement... toujours rongée par les souvenirs de sa détention. Chaque nuit, les souvenirs revenaient l'assaillir, la faisant hurler dans son sommeil. La paladine ne supportait plus non plus l'obscurité.

Pendant qu'elle se reposait au temple, Lyaz fit trois rencontres qui la marquèrent.

La première, celle de Celtoras de Piètresac, la surprit au plus haut point. Le templier était tout simplement venu aux nouvelles et lui donner quelques conseils.
Sans essayer de lui faire parler des détails éprouvants de sa détention, il lui demanda sie lel avait appris quelque chose.
Lyas lui réléva le nom de Sarcémas, ainsi que les Cyricquistes disaient avoir infiltré les Templiers...

La seconde la surprit également, mais la toucha.
Leith, le demi elfe qui l'avait trouvée dans les bois. Il avait fait le trajet depuis Luskan pour la voir. Emue aux larmes, la jeune femme sentit, petit à petit, un poids se retirer de ses épaules, en sa compagnie.

Lyaz rencontra aussi Thamriel Brillétoile. Qui lui dit connaître et comprendre sa souffrance... ses conseils firent le plus grand bien à la jeune femme.

Retour a Luskan.

Le coeur toujours serré par le souvenir et les marques laissées par sa détention au temple de Cyric, Lyaz revint à Luskan, ne supportant plus d'être inactive.

Et la, elle sentit que sa vie allait changer... à jamais.
Lyaz devint une louve. Forte de la solidarité de la meute, la paladine sentit son courage revenir quelque peu...

Ensuite... il y eut cette soirée.

Sortant de l'auberge en compagnie de Leith, elle tomba sur un attroupement qui attira son attention.

Au centre de la place, des cyricquistes, affichant leurs couleurs et leurs banières, clamant haut et fort leurs inepties habituelle et blasphémant à tout va.
Ce fut un choc pour Lyaz, qui se sentit mal. Leith l'emmena à l'écart, la soustrayant à cette scène.

Ils discutèrent, Leith tentant de la calmer...
La, il lui avoua son amour... Surprise, Lyaz crut qu'elle allait le repousser... mais elle dut se rendre à l'évidence.
Elle se sentait attirée vers lui. C'était quelqu'un de bon, qui l'avait soutenue, réconfortée, qui se comportait de façon honnorable... et son coeur avait déjà crié sa réponse, sans qu'elle s'en rende compte:
Dans ses moments de faiblesses, Leith lui avait plusieurs fois prit les mains, serrée contre lui pour la rassurer... et, alors Que la Paladine frémissait d'horeur au moindre contact avec une homme, elle l'avait laissé faire... Se rappelent cela, Lyaz sourit, tout simplement, et lui avoua son amour en retour.

Le jeune homme lui jura qu'il prendrait soin de son coeur comme du plus grand trésor de Toril... et qu'il la suivrait au domaine des Kazan quand elle y serait rappelée.

Ce doux moment fut interrompu par des éclairs, au sud de Luskan. Les deux jeunes gens se rendirent sur place... pour arriver après la bataille.
La Paladine y trouva Solen et une elfe, mortellement blessée. Ensemble, elles la remirent sur pied... Solen n'était pas dans un état très reluisant non plus.

Et, peu après, IL apparut. Lyaz ne le reconnut pas. Sarcémas portait une armure complète, le dissimulant intégralement. Lyaz lui demanda qui il était, intriguée et troublée par les paroles du Cyricquiste. Elle SAVAIT qu'elle le connaissait... mais sans reconnaître son bourreau.

Il alla aux portes de la ville... la, il enleva son heaume, la salua et courut vers la place. Hurlant son nom, Lyaz le poursuivit, pour le rattraper dans le quartier commerçant.
Elle n'était pas seule, cette fois. Plusieurs personnes, dont des légionaires, ainsi que Leith étaient présents.
Le coeur battant à tout rompre, Lyaz lui rappela son jugement, l'affronta de face, sans frémir, même si son coeur hurlait de rage. Elle resta calme et digne, lui rappelant ses crimes sans se faire avoir par ses mensonges, ni ses rappels de ce qu'elle avait vécu lorsqu'elle était entre ses mains.
Cela fut éprouvant pour la jeune Paladine. Très éprouvant... mais elle tint bon, soutenue par Leith et rassurée par l'attitude des personnes présente envers Sarcémas.
Le prêtre de Cyric eut tout de même l'occasion de s'enfuir.
Armand Mender lui jeta une pierre en pleine tête et, alors qu'il se relevait, un officier de la garde fit son apparition.
Même s'il n'arriva pas à corrompre l'officier, il profita de sa présence pour fuir.

Lyaz ne lepoursuivit pas, épuisée. Elle s'abandonna à la présence réconfortante de Leith...

Se demandant secrètement quand il la demanderait en mariage... seule possibilité pour qu'ils puissent vivre pleinement leur amour, les règles du paladinat étant strictes en ce domaine.

Doux moment.

Après une journée mouvementée, Lyaz et Leith se retrouvèrent à l'auberge. Le jeune druide lui fit un aveux: il avait l'intention de lui demander sa main, une fois qu'ils auraient pu chasser ensembles...
Lyaz sentit son coeur battre comme jamais...

Plus tard... Lyaz, soignant les bobos de Leith, à l'abris des regards dans une chambre de l'auberge de garfaux, faisant semblant d'être horrifiée par l'attrocité des ridicules bobos... Leith tacquinant son infirmière...

Le jeu faillit aller plus loin. Mais, avec douceur, mais fermement, Lyaz repoussa son aimé. Lui prenant les mains la Paladine lui expliqua l'une des règles du Paladinat "Pas avant le mariage"... Leith garda bonne figure et accepta d'attendre...

Lettre à Suel Kazan.

Les évênements s'étant bousculés, La jeune femme prit conscience qu'elle n'avait pas prévenu son père... des bonnes comme des mauvaises choses...

"Père,

Cela fait longtemps que je ne vous ai donné denouvelles. Je m'en excuse, mais à la lumière de ce que je vais vous raconter, je suis certaine que vous comprendrez.

Il y a presque deux mois, un prêtre de Cyric a commencé à me harceler en ville. Je lui ait fait face comme j'ai pu... Mais quelques temps plus tard, il m'a suivie hors de la ville et m'a enlevée.
J'ai passé des jours prisonnières dans leur temple, alors qu'il tentait de me convertir à Cyric. Il a réalisé ma plus grande crainte pour tenter de me briser. Cependant j'ai tenu bon, même si, à plusieurs reprise, j'ai manqué de céder.
Ils m'ont libérée, j'ignore exactement pourquoi. Je me remet lentement. Je ne porte plus de blessures physiques, à part quelques cicatrices qui partiront avec le temps... mais mon esprit a été fortement marqué.

Afin d'apaiser vôtre inquiétude, j'ai de meilleures nouvelles à vous annoncer.
J'ai rencontré quelqu'un. Qui est à présent très porche de moi. J'aimerais vous le présenter, mais je doute de pouvoir faire le voyage jusqu'au domaine. Il se nomme Leith. Vous serez sans doute surpris de voir que mon coeur a choisi quelqu'un dont la voie semble éloignée de la mienne, autant que les convictions... mais nos coeurs se rejoignent, et il n'est pas aussi éloigné de moi que l'on pourrait le croire au premier regard. Leith est un enfant de la nature, au coeur bon et juste.

J'ai aussi rejoint un groupe. Les louves, dont vous devez avoir entendu parler. Vous seriez enchanté de connaître leur vision du Bien et de la justice, très proches de la nôtre.
Il y a énormément de choses à faire dans la région: la forêt corrompue, la menace des cutles maléfiques... et tant d'autres. Je crois ne pouvoir avoir trouvé meilleures amies et alliées.

A bientôt, père. Vous me manquez.

Lyaz Kazan."

La demande de Leith.

Ce que Lyaz attendait arriva...
Ils purent enfin être seuls tous les deux... un soir.

Après une longue chaqqe pour débusquer un sanglier, le couple s'arrêta pour souper... Ils profitèrent du moment, goûtant au plaisir d'être seuls, sans urgence ni être dérangés...

Leith demanda la main de Lyaz. Le coeur battant, la Paladine accepta.
Non sans penser, avec une touche d'humour, au sourire amusé de son père adoptif, quand il apprendrait qu'un jour, quand Lyaz dirigerait le domaine, un druide demi-elfe serait à ses côtés...

Lyaz avertit son père par lettre... quelques jours plus tard, la réponse lui parvint.

"Mon enfant,

La nouvelle de ton union me remplit de joie.
Je suis également fier de toi. Que tu aies ouvert ton coeur signifie que tu as fais un grand pas en avant dans ton combat contre tes frayeurs.

Le domaine est calme, je puis le confier à Daelnar quelques temps et te rejoindre à Luskan.
Je suis curieux de conaître celui que tu as choisi.

A très bientôt,

Suel Kazan."

Sarcémas ne s'arrêterai donc jamais...
Il lui fit transmettre un message par Talril: il assassinerait des louves tant qu'elle serait des leurs...

N'yaant pu l'atteindre directement il essayait donc de le faire via ses proches...

Lyaz, craignant pour ses soeurs, leur raconta...

Tout en espérant que les Cyricquistes ne s'en prennent pas à Leith...


_________

Les Cyricquistes menacèrent de s'en prendre à Leith et à une enfant que Lyaz avait confiée aux veilleurs pour ne pas qu'ils fassent le lien entre elles...

La jeune Paladine se demandait que faire... Chacune des menaces des Cyricquistes était une raison de plus pour elle de s'opposer à eux... mais devait-elle tout sacrifier pour faire justice? Devrait-elle laisser les siens risquer leur vie pour sa mission?

Une traitresse chez les louves.

La nouvelle fit mal à Lyaz.
Sarcémas avait encore frappé. Il avait corrompu une jeune louve, Talril...
Depuis des semaines, elle transmettait des informations aux Cyricquistes.

La paladine et les louves se demandèrent que faire de la demi elfe... Pour le moment, elle était exclue du camp et de toute discution tournant autour de la meute, afin qu'elle n'apprenne rien de plus aux Cyricquistes.

Perturbations.

1. Lyly impératrice.

Se rendant au temple de Tyr, à Padhivers, lyaz fit une étrange rencontre.
Un elfe. Nommé Sullivan Jimmar.
Il venait d'un pays lointain ou aucun dieu n'était vénéré.
La seule volonté reconnue comme suppérieure était celle d'une empereur.

Lyaz fut choquée par ces informations... mais plus encore par ce qui allait suivre.

A l'agonie, l'empereur ordonna à Sullivan de trouver Lyaz... la désignant comme successeur.
L'elfe se mit à la suivre partout et à la considérer comme sa maîtresse, l'appelant "empereur".

Ne sachant comment réagir, Lyaz observa l'elfe, décidant d'en parler à ses soeurs pour trouver une solution.

Accepter signifiait prendre l'elfe à son service... et il se comportait comme un esclave...
Refuser, serait lui désigner un nouveau maître... elle ne le pouvait non plus.

La paladine en parla à ses soeurs, afin de trouver une solution... et aider l'elfe, visiblement victime d'un lavage de cerveau.
Il fallait aussi découvrir d'où il venait exactement, et ce que signifiait d'être "empereur"...

2. Oriann.



Encore, le malarite menaça Lyaz. Au sein de luskan, dans le bosquet Est... la paladine ne pouvait le châtier.
Elle tenta de l'ignorer... Sullivan fit son apparition, lui donnant une distraction de taille.
Les nains arrivèrent eux aussi. La jeune femme vit en leur arrivée un soutient de taille... elle devait déchanter plus tard.
S'éloignant du bosquet, elle entra dans une vive conversation avec Sullivan, essayant encore une fois de découvrir qui il était vraiment, d'obtenir des informations sur "l'empereur".

Et la, l'un des nains se planta devant elle, lui disant que le peu de respect qu'il avait pour elle avait disparu, avant de cracher à ses pieds.
Interdite, Lyaz resta plantée la...

Le lendemain, Lyaz croisa Hildreth en ville et appris que les nains pensaient qu'elle frayait avec Oriann.
La colère gronda en elle. Lyaz expliqua froidement au nain qu'il n'en était rien. Oriann choisit ce moment pour refaire son apparition.
Cela faillit dégénérer... la situation fut quelque peu calmée par l'arrivée de Baren Kley...
Certes, Hildreth écopa d'une amende... ses mots avaient dépassé sa paroles sous le coup de la colère et avait blasphémé.
Mais Kley nota le nom d'Oriann... et visiblement était peu enclin à accepter le comportement du malarite.

3. Zarak... et les excuses d'Hildreth.

Ayant évacué sa colère, Lyaz reçut un message: un cavalier de noir vêtu l'attendait à la sortie nord de Luskan.
Lyaz s'y rendit, découvrant que le cavalier n'était autre que Zarak.
Le bainite lui rappela qu'il lui avait sauvé la vie, qu'elle avait une dette. Il demanda à Lyaz de lui promettre de rembourser cette dette le moment venu, lui assurant que ce qu'il lui demanderait ne serait pas en contradiction avec le dogme de Tyr et les règles deu paladinat.
Lyaz lui dit qu'elle le rembourserait le moment venu, tant que cette condition serait respectée.

Dardan arriva entre temps...

Zarak partit, Hildreth et le nain ayant accusé Lyaz de faire ami/ami avec Oriann apparurent à leur tour.

Hildreth s'excusa des accusation infondées... l'autre se contenta de partir en râlant.

Oriann, le retour.

Dardan attira l'attention de Lyaz: "deux nains à terre, Oriann..."
Ils s'élancèrent pour aider les nains, Lyaz couvrand Dardan, qui commença à soigner le premier.
Soudain l'attaque survint de nul part, dardan tomba.
Pendant qu'Oriann, triomphant signifiait à Lyaz qu'ils étaient enfin seuls, celle-ci fonça sur lui, épée brandie.
Avant d'avoir pu porter un coup efficace, elle tomba, déséquilibrée par le halfelin.
Celui-ci la marque de sa griffe enflamée... Une marque qui resterait un certain temps.

Lyaz perdit connaissance, pour se réveiller entourée de légionaires... Elle fut emmenée chez les veilleurs, appelant Leith, réclamant qu'on le prévienne.

Elle n'y resta pas longtemps, de sombres pensées envahissant son esprit. Encore une défaite, encore un ennemi victorieux face à elle, qui l'avait laissée en vie pour savourer son désespoir.

Quand Leith la retrouva, ils retournèrent à Luskan, clopin clopant, le trajet leur parraissant des kilomètres...
Arrivée à Luskan, Lyaz s'arrêta avec soulagement: elle n'aurait pu faire un pas de plus avec ses blessures.

Rerouvant les louves, Lyaz reprit un semblant de sérénité, mais intérieurement, un phrase s'imposait à elle. "Je ne suis pas assez forte!"
Malgré ses efforts pour ne pas céder, ne pas accorder cette victoire supplémentaire à ses ennemis, le mal était fait.

Des doutes.


Tant d'attaques, de défaites... sans pouvoir faire justice, sans pouvoir châtier les coupables...
Cela minait la paladine depuis longtemps.
De sa détention au temple de Cyric aux menaces malarites, en passant par la mort d'une jeune louve... et par la peur de perdre son futur époux...

Lyaz se demandait si elle devrait tout sacrifier pour suivre sa voie...
La paladine cherchait le réconfort dans la prière...

Mais toujours, le doute revenait, encore.
"Et si je perdais Leith ou un de mes proches, que deviendrais-je? Est-ce que je réussirai encore à faire mon devoir, à rester de marbre devant mes ennemis, devant la calomnie et les insultes?"

Lyaz, depuis qu'on menaçait ses proches autant qu'elle-même, se sentait démunie, impuissante, tentant de rester forte et de répliquer comme elle le pouvait.

Jusqu'à quand tiendrait-elle?


________


Malgré le soutient des louves et du loup blanc, qui lui fit du bien, Lyaz perdait pied.
Ce que son coeur désirait dépassait la justice...
Comment rester objective quand Leith était menacé?
Comment rester de marbre quand Sarcémas était toujours libre?
Comment rester calme alors que, ayant frappé Oriann de toute la force de sa foi, elle avait perdu?

Lyaz priait, cherchant des réponses... cela la réconfortait de moins en moins.
Elle voulait se reprendre... être digne de ce qu'elle avait toujours voulu être. Rennocer, briser son serment... ce n'était pas envisageable.
Et pourtant...

Un matin, Lyaz fouilla dans ses affaires et en sortit un foureau et un bouclier...
Hésitant, elle posa son épée à deux main et s'équipa de ses deux objets... Elle doutait toujours, mais ressentait le besoin de porter l'épée de justice transmise par son père... ce qu'elle n'avais jamais fait.

Le jour-même, un hasard peut-être, elle apprit que Sarcémas était aux mains de la légion... qu'ils voulaient le lui livrer...
Lyaz reçut cette nouvelle comme un coup, ne sachant si elle attendait ou redoutait la confrontation...

Les rêves.

ILs se répétèrent, chaque fois allant un peu plus loin.

La première nuit, Lyaz rêva qu'elle se trouvait entre une masse de gens apeurés et... une sorte de brume, massive... qui sentait la peur, la haine, la vengeance, la corruption...
Puis elle s'éveilla, en sueur.

La seconde nuit, le rêve fut le même... sauf qu'une épée de justice et un bouclier se trouvaient à ses pieds.

La troisième nuit, elle ramassa les armes, mais la masse brumeuse et corrompue continuait d'avancer...


Lyaz se demande s'il ne s'agissait pas d'un message, de son esprit ou autres, elle ne pouvait le dire...
La masse ne représentait-elle pas ses propres doutes? ses propres craintes?


Le clerger de Padhivers.

Le prêtre l'aborda un soir sur la place de Luskan.
Il était accompagné de deux autres paladins...

Asther lui parla de ses doutes, de ses soupçons à propos de Padhivers, des louves... Il disait souhaiter l'aider...
Peut-être que Lyaz n'était pas prête à l'entendre... ou peut-être que le prêtre n'écouta pas ses arguments... ou un peu des deux.
Concernant ses doutes, elle VOULAIT de l'aide. Mais quitter les louves? Jamais!
La discution fut longue et Lyaz finit par partir, entendant un avertissement d'Asther: la vie d'un déviant n'était pas facile...


Le lendemain, Lyaz rencontra l'un des paladins qui accompagnaient Asther, en ville. Kelvrahaan. Servantde Tyr lui aussi.
Il l'approcha gentiment, doucement... lui proposa de venirprier avec lui.
Lyaz ne put refuser. Il se comportait comme un frère, contraîrement à tous ceux qui l'avaient sommée de quitter les louves.
Elle le suivit donc au temple de Tyr de Padhivers...
Ils prièrent, parlèrent... Kelvrahaan voulait vraiment l'aider... Lyaz prit cette main tendue, légèrement appaisée.

Ensuite les choses se bousculèrent.
L'un des prêtres vint les chercher, leur confiant une mission. Lyaz fut d'abord surprise qu'on lui demande son aide, puis le prêtre précisa que cela ferait partie de sa rédemption.
Voyant qu'on lui donnait une chance, la paladine ne put refuser... sans réfléchir au prix.
Ils traquèrent un criminel évadé... et ramenèrent son corps à Padhivers.

Et c'est la qu'elle prit conscience du prix.
Ils voulaient qu'elle quitte les louves. Elle devait choisir... Devant Asther, s'il n'était pas parti à l'heure de la prière, sans doute se serait-elle emportée, aurait tout envoyé ballader sans réfléchir...
Mais ce fut Kelvrahaan qui le lui fit vraiment comprendre. Il lui dit qu'il avait besoin d'elle...
Elle lui dit qu'elle réléfléchirait... avant de prendre sa décision.
Puis elle rentra à Luskan... mais le temps de sortir du temple, sa décision était prise: Elle resterait parmis les louves.

Rentrée à Luskan, elle envoya ce mot à Kelvrahaan:

Citation :

Mon frère,

Je te remercie sincèrement pour ton aide...

Ma décision t'attristera...
Elle ne m'emplit pas de joie non plus.

Padhivers fut mon premier foyer...
Le temple fut pour moi un refuge...

Cependant je reste parmis les louves.

Au revoir mon frère.

Lyaz Kazan.

La fin des rêves.

Coralys lui présenta Nada sur la place de Luskan... un prêtresse de Tyr...

Autour d'un thé, les louves, Lyaz et Nada discutèrent... Lyaz parlant de ses doutes, de ses rêves étranges... Nada l'écoutant et la conseillant.
Nada lui apprit qu'elle aussi avait été déclarée "déviante" quand elle avait rejoint les veilleurs...

Elle lui posa des question sur Leith, qui il était, si Lyaz était enceinte... La jeune paladine lui expliqua qui était l'homme qu'elle aimait, comment elle l'avait rencontré... et qu'il ne l'avait pas touchée.

Nada proposa d'aller au camp.

Au sanctuaire, elle invoqua le Juste, qui empli l'autel non encore consacré de sa puissance...
Et un étrange rituel commença.

Sentant la présence de Nada à côté d'elle, comme un soutient, Lyaz revécu son rêve: la brume corrompue, la foule apeurée, les armes...
Mais le rêve ne s'arrêté pas, il continua.

Les armes parlèrent. L'épée disant à Lyaz de s'en servir pour dissiper les ténèbres, le bouclier lui disant de s'en servir pour protéger les innocents... Et enfin, les deux lui demandant de les brandir pour servir la justice, les gens...

Lyaz les brandit donc, frappant la brume.

Plusieurs personnages sortirent de cette brume.
Un drow, armé d'un cimeterre... Lyaz frappa sans hésitation.

Coralys, mais différente, en rage, les yeux injectés de sang, une Coralys ressemblant plus à la description des templiers qu'à celle qu'elle connaissait... Lyaz hésita, puis frappa, disant "Cela ne ressemble pas à Coralys!".

Un dernier personnage arriva: un homme malade, affaibli...
Lyaz ne frappa pas, lui offrant sa protection. L'homme l'accepta et alla rejoindre la foule derrière elle.

La brume se dissipa, les armes vibrèrent...

Et Lyaz entendit une voix: "Tires-en les conclusions adéquates et vis avec les autres dans la lumière"

Le rêve se dissipa... Lyaz revint à la réalité, épuisée, en sueur, Nada et Coralys à ses côtés.
Le poid des doutes qui avait écrasé Lyaz avait disparu...

S'en suivit une longue discution.

Lyaz raconta le rêve dans son intégralité.

Le passage de l'aparition de Coralys dans le rêve sembla rendre perplexe la haute louve...

Mais Lyaz se croyait pas qu'il s'agisse vraiment d'une représentation de Coralys... elle pensait plutôt à un symbole de la calomnie, une fausse image à détruire. Image de Coralys comme des louves... révéler le vrai visage de la meute!

Le reste du message contenu dans le rêve était, pour Nada et lyaz moins nébuleux...
Continuer à servir le juste, rester elle-même...

C'est épuisée, mais soulagée que Lyaz partit se coucher ce soir-la...

Journal de Lyaz:

Citation :

"Les dernières semaines ont été comme un cauchemard... je ne savais plus ou j'en étais...
J'ai même douté de ma capacité à suivre la voie du paladinat, ma capacité à servir le Juste...

En une seule soirée, Nada m'a plus aidée que le clergé de Padhivers...
Je me rend compte qu'en les écoutant, mes doutes s'étaient renforcés, j'ai douté de moi plus encore...

Nada m'a aidée à finir le rêve, à suivre la mise à l'épreuve du Juste...

Je me sens plus... sereine... plus apte à affronter l'avenir, à faire mon devoir...
Et je reste louve. Ma décision était déjà prise, je l'écris aujourd'huis.
Ensemble."

La mort de Nada fut un choc pour toutes les louves...

L'attitude des paladins révolta Lyaz...

Elle ne doutait plus de sa foi... mais la jeune femme se rendit compte que le problè!me était ailleurs.

Elle prit alors une décision... qu'elle regretterait peut-être, mais cela semblait le choix le plus sage.

Le paladinat pesait sur elle... ne sachant vraiment comment réagir en tant que telle au milieu des tensions présentes.

Lyaz dit adieu à cette voie.

Elle n'avait pas besoin d'être paladin pour combattre pour la justice.
Elle n'avait pas besoin de pouvoirs pour lutter contre le mal.
Elle n'avait pas besoin d'être paladin pour avoir foi en Tyr.

Sa décision prise, elle en informa le clergé de Padhivers...

Se rappelant aussi une discution avec Dardan, qui lui avait proposé de lui enseigner autre chose, au cas ou...


(Donc adieu paladinat pour Lyaz... reroll en guerrier mda évolutif possible? *aimerait un avis , merci^^*)