Nom du compte joueur forum : Squirrel Orpenne
Nom du compte joueur module : Squirrel_Orpenne
Nom du perso : Squirrel Oprenne
Race : Humain
Age : 17
Alignement : N
Religion : Illmater
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Roublard 7 / Prêtre 18
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Guérison, Protection
Langues : Chondathan, Illuskan
Trait de Caractère :
Doux et affable, il est toujours enclin à soulager les peines physiques et morales des gens qui l’entourent. Il est peu sûr de lui et est mal à l’aise avec les compliments. Cherche à bien faire même s’il ne sait pas forcément comment s’y prendre.
Description physique :
Les traits fins et presque enfantins. Il a des yeux marrons qui sont emplis de douceur. Ses cheveux d’une couleur chaleureuse sont maintenus en un catogan simple qui libère son front. Souvent vêtu de robes du Clergé d’Illmater, il ne porte aucun bijou sinon un pendentif qui rappelle son ordre.
Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 13
CON : 10
INT : 14
SAG : 16
CHA : 14
Chapitre un : Enfance
C’est pas juste ! Me voilà de corvée pendant deux semaines parce que je suis sorti hier soir ! Grand frère sort tous les soirs ! La chance qu’il a ! Papa grogne parce qu’il n’est pas là pour accueillir les clients, mais il ne peut pas le disputer, il est trop grand maintenant et surtout il a fini son travail. Pfff et moi il faut que je termine mon travail d’école… c’est pas juste ! Quand je serai grand je sortirai aussi tout le temps. En plus je devais rejoindre ma copine Ariana, elle m’a dit qu’elle me montrerait la réserve du marchand de petits pains. C’est pas juste !
Comment ? oui maman, tiens voilà mon parchemin. Merci. Le prêtre a dit que j’avais fait des progrès et qu’il était fier de moi aussi. Oui maman, je suis content.
Pfff j’en ai assez de suivre ces cours. On n’apprend rien d’autre que recopier des textes idiots alors que c’est tout simple de soigner les gens. Il suffit de poser les mains sur la plaie et de penser très fort qu’elle se referme. Je sais, j’ai essayé avec un chat l’autre jour. Il avait la patte cassée, j’ai pris sa patte et je me suis dit que les os devaient être de travers, comme grand-papi. Alors j’ai imaginé les os remis en place et hop, le chat a miaulé et a sauté. Il n’avait plus mal à la patte. Bon, encore deux formules à écrire, après je pourrais aller à l’atelier avec papa. C’est drôle aussi tous ces petites tiges qu’il utilise pour faire des serrures. J’espère qu’il va me laisser le regarder. L’autre jour j’ai été gentil, il m’a même laissé emboîter deux morceaux ensembles.
Chapitre deux : adolescence
Il fait sombre. Çà fait une heure que je suis mon abruti de frère. Mais où est-ce qu’il va encore ? J’espère qu’il va pas aller au Chat Ronronnant… Sinon je pourrais pas entrer. J’aimerais bien savoir où il va là ! Je suis sure qu’il va dans un tripot ! M’étonne pas que papa crie tout le temps et que maman pleure. Il devrait être en train de s’entraîner, il a un exercice à la caserne demain ! Oh…. J’entends du monde, des bruits de pas cloutés. C’est sûrement une patrouille, il est tard. Il faut pas qu’on me voit. Sinon je vais encore me faire punir. Déjà que les prêtres se demande pourquoi je suis fatigué et pourquoi je ne progresse pas plus vite. Là ! Je suis dans un endroit sombre. Je suis caché. Je suis caché. Je suis caché. Je suis bien caché… holala…. Les gardes se rapprochent. ! Ne plus respirer, je suis bien caché, je suis bien caché, je suis bien caché… Retiens ta respiration… Allez pars espèce d’idiot ! Non, je ne suis pas dans le coin… file avec ta torche, il fait noir ici ! Un chat, là qui miaule plus loin, allez va voir idiot ! Ouf ! il s’en va ! Bon où il est mon frè…
Grumpbleuhflumgrr
Au secours, ces mains dans mon dos ! sur ma bouche ! je vais mourir ! au secours ! grand frère !
* Un murmure *
Alors comme-çà on suit le Rouquin… tu veux voir où il va ? ou tu veux mourir tout de suite ?
Secoue la tête doucement… il fait peur celui-là… mais comment il a fait pour arriver derrière moi ? Et comment il a fait pour me voir alors que le garde est passé à côté sans me voir lui ? Grand frère…. Au sec ! Mais pourquoi je ne peux plus parler moi ? au secours… Non pas la cagoule ! beurk çà pue là-dedans ! Mais ! Mais il me porte en plus ! ôte tes sales pattes de moi ! Idiot ! Je ne suis pas un sac de fientes de goumf ! Et puis beurk quelle odeur d’égouts ! Il a traîné où avant de venir ! Aïe ma tête ! Mais aïeuh ! il va faire attention cet idiot !
Ah, çà y est il arrête de me bâlo… héééé ! Aïe…. Bon je suis couché par terre maintenant. Des voix ! J’entends rien avec cette cagoule ! Qu’est-ce qu’ils disent ?
…Voulait suivre le Rouquin…
Le « Rouquin » ? comment il parle de mon frère lui !
… s’en débarrasser ?
Quoi ? ! ? Non ! non ! non ! Au secours… Il ôte ma cagoule… je suis fichu. Et j’ai pas rendu mon devoir sur les trois notions de soin par Illmater… Mais je suis idiot ou quoi ! Je vais mourir ! on s’en fout de ce devoir ! ahhhh de l’air ! Mais…. Pourquoi ils sont tous en noir avec un masque sur la tête ?
« Tu répondras et tu répondras seulement à ce que je te demande. Un mensonge et tu restes ici dans un dernier souffle de vie. Compris petit chat ? » Dit une voix étouffée par le masque.
Hoche la tête ! ils sont dangereux ces types…
Ton Nom ?
Squirrel
Tu lui voulais quoi au Rouquin ?
C’est mon frère. Je le suivais.
Ton frère ? le masque se tourne vers les trois autres.
Pourquoi ils agitent les mains comme çà ?
Si tu veux que ton frère vive, tu vas nous rapporter ce qu’il fait.
Mais comment ?
Tu le suis. Nous te contacterons. A ce moment là tu nous dis ce que tu sais. Si tu mens il meurt. Ta famille meurt. C’est bien compris ?
Hoche la tête. Il sont fous !
Chapitre trois : Premières Ombres
Suis fatigué. Mon frère sort tous les soirs et moi je dois faire le mur. Papa me laisse pas mettre le nez dehors il dit que je suis trop jeune. Mais il comprend pas que si je ne rapporte pas les activité de grand frère tout le monde y passe ? Les idiots ! Tous autant qu’ils sont ! Et avec tout çà, je n’arrive plus à me concentrer sur mes sorts. Les prêtres me regardent d’un œil triste maintenant Pfff encore un client. Allez en plus c’est un petit vieux. Qu’est-ce qu’il va me demander encore ?
Bonjour, jeune apprenti.
Oh la voix de crécelle… mes oreilles…
Que puis-je pour vous messire ?
Faire un double de cette clef.
Bien, je vous fait cela tout de suite.
Pfff et père qui n’est pas là… en plus elle est tout tordue cette clef. Allez au travail.
Messire je vais en av…
Mais où il est ce petit vieux ? il m’a laissé sa clef en plus. Il s’est pas écroulé devant le comptoir j’espère ! C’est quoi ce mot ? « Déposez votre rapport dans le casier 6275 des thermes. » V’là autre chose… ils m’ont retrouvé… Rien à gauche… Rien à droite…. Il sont où ?
Chapitre quatre : Choix.
Tu m’a l’air éreintée mon enfant, dit le prêtre en robe rouge et grise.
Oui, mon père. Les devoirs sont durs et j’ai du mal à dormir.
Est-ce tout mon enfant ? Tu sais que je suis aussi là pour t’écouter. Nous avons vu avec tes précepteurs que tu avais du mal à progresser. Le Dieu Martyr nous mets tous à l’épreuve, mais il ne nous empêche en rien de recevoir de l’aide.
Je ne peux vous le dire, mon père. C’est un problème de famille.
Je vois mon enfant. Mais n’oublie pas que la souffrance guide nos pas et la soulager est notre devoir envers Illmater. Refuser de la soulager revient à tourner son dos au Dieu Martyr.
Mon frère a des ennuis, mon père, et j’y ai été entraîné. Mon père j’ai peur. Le seul moyen de nous sauver tous, ma famille et moi-même est de le trahir. Est-ce qu’Illmater peut encore tourner le regard vers celui qui trahit son propre sang mon père ?
Le Dieu Martyr nous demande des sacrifices mon enfant. Et Il nous demande aussi de prendre sur nous pour soulager les autres. C’est cela la voie qu’il nous enseigne et nous montre.
Merci mon père.
Il ne me reste qu’une chose à faire alors. Mais par Illmater que cela fait mal.
Chapitre cinq : Eloignement
La nouvelle est tombée.
« Au nom du Seigneur Nasher, autorité suprême de Padhiver, le conseil condamne à l’exil définitif le première classe de réserve et apprenti serrurier Ruffin Orpenne pour les motifs de vol de biens appartenant à la cité et tentative de recèle, coups et blessures sur un responsable de la garde, acte déshonorant l’uniforme de son régiment, parjure et mensonge.
Selon la volonté de Monseigneur le Grand Chambellan, le sus-nommé Ruffin Orpenne, se voit refuser le feu, le sel et l’eau et est condamné à une mort par écartèlement en place publique s’il était repris dans les murs de la cité.
Ce jugement est exécutoire à dater de ce soir, vingt-troisième jour du mois des septentrions de l’an 14352 de l’ère de fondation de Padhiver. »
Voilà c’est fait.
Mais tout ne se passe pas comme prévu ! Mes parents sont vraiment bouleversés ! « La honte est sur notre famille ! Il faut déménager maintenant ! Pour ton bien, nous t’envoyons à Eau-Profonde. Le temple d’Illmater y est aussi renommé qu’ici et tu y seras bien traité. »
Me voilà donc sur le bateau qui me mène au nouveau temple. Le noviciat et l’internat. J’espère que je ferai des progrès sur place. D’un autre côté, l’éloignement me forcera à couper avec mes anciennes relations. Ma copine Ariana est sur une pente qui la même à la maison dorée, et j’ai beau parler avec elle, elle ne comprend pas. Sans doute Illmater lui réserve un parcourt de réflexion. J’aurai aimé lui venir en aide plus tôt. Les faubourgs et la nuit vont me manque, mais je dois me consacrer à mes études, et surtout je dois racheter la faute de mon frère.
Chapitre six : Noviciat
L’office se termine et nous pouvons enfin nous occuper des miséreux qui viennent à notre porte. J’ai fait des progrès pour remettre les os et fermer les blessures, mais je peine encore pour les maladies. Mes supérieurs disent que cela viendra, mais je n’arrive pas à conceptualiser ces maux. Malgré mes prières je suis en peine. Le Dieu Martyr veut certainement que j’ai du mal afin de mieux soulager le mal. J’ai entendu parlé de l’étrange épidémie qui sévit à Luskan. Des gens contaminés par toucher et qui perdent la raison. J’ai fait ma demande au père abbé. Il semblait réticent sur le moment, puis m’a annoncé que je pouvais partir. Je vais enfin montrer que je peux être utile !