[Disparu][Pretresse][H] Aêvon Daoki

[quote]Nom du compte joueur forum :Neree
Nom du compte joueur module :neree
Nom du perso :Aevon Dâoki
Race :Humaine
Age :27
Alignement :neutre mauvaise
Religion :Loviatar
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) :25 prêtresse
Arme de prédilection/domaines/école de magie :Fouet /force,duperie.
Trait de Caractère : Gentille, fraîche et joviale en société en opposition a son réel caractère qui est froid, cruel mais pas insensible.
Description physique : Une humaine très frêle d’apparence mais a l’esprit aussi aiguisé et solide que l’acier de Damas. Elle ne resplendit pas par sa beauté sans pour autant arborer les traits d’une naine. En somme d’un visage agréable rien ne démarque de spéciale. Elle se meut d’une démarche plutôt svelte voir presque féline.

Caractéristiques :
FOR :8
DEX :16
CON :8
INT :12
SAG :18
CHA :8


BACKGROUND



C’est sur la côte des épées que commença l’existence d’Aevon, au sein d’une famille démunie et modeste composant l’austère et maussade village dans lequel elle évoluait. Ce dernier se situait à l’orée d’une immense forêt d’apparence anodine mais hébergeant un culte bestial pour leur plus grand malheur.

Ainsi, dans ce dur climat d’insécurité permanente, les habitants tentaient tant bien que mal à subvenir à leur besoin à savoir labourer les champs mais également s’occuper du maigre bétail pour les plus aisés. Bien entendu Aevon ne dérogea pas à la règle et du s’atteler, sans autre prétention de sa part, à ce qu’elle considérait comme des médiocres occupations. Opinion forgée avec tout le manque de maturité et l’empressement dont une adolescente peut faire preuve. Sans compter que le culte malfaisant ne manquait pas de rendre les taches existentielles encore plus dures à effectuer. Ordre qu’elle ne manquait pas de dénigrer comme tout villageois qui se respectaient si ce n’est à la différence qu’ils ne se contentaient pas de subir les vicissitudes mais qu’ils en étaient même les instigateurs. Ce en quoi ils lui semblaient bien plus respectables que n’importe quel paysan de son pathétique village. Cette créature aux sophismes pour le moins exotiques qui ne nourrissait au départ qu’une simple amertume envers la providence même qui l’avait fait naître dans la pire des castes, en vint finalement à personnifier plus concrètement cette aigreur ostensible en la manifestant à l’égard de ses parents ; parents qui ne faisaient que se plaindre de leur misérable condition sans pour autant en comprendre les mécanisme et entreprendre par la même occasion de s’arracher à cette dernière. Le ressentiment fut si vif que les liens affectifs qui la liaient à ses géniteurs ne représentaient plus qu’une écharde irritante dont l’infection ne faisait qu’accroître la verve de sa haine. Elle apprit de ce fait, l’art de la duperie celui du paraître.

En effet, malgré cette humeur qui la rongeait, elle sus malgré son immaturité développer les rouages nécessaires au travestissement des ses émotions. Son corps changeait et le regard des jeunes loups en herbe se faisait plus insistant au fur et à mesure que les rondeurs de ses voluptés se dessinaient. Elle le constatait et su en jouer en conséquence, s’attirant les bonnes grâce de certains au détriment des autres sans pour autant se mettre dans des situations embarrassantes pouvant lui nuire relationellement. C’est dans cette période de « mutation » qu’elle rencontra sa plus fidèle compagne et amie la plus chère, avec qui elle partagea son désarroi,Mystik ou encore Mystrique tant sa vocation savait éveiller les fièvres et les comportements irrationnels. Comme d’un accord elles décidèrent toute deux de fuir cette existence morne et insipide à laquelle elles seraient vouées si elles persistaient à ne pas quitter ce lieu de perdition. Son amie avait un don innée pour la danse et Aevon bien que plutôt svelte et gracieuse ressemblait souvent à une barre de fer à ses côtés tant l’aspect artistique lui manquait. Elle compensait ce manque flagrant d’exotisme par des qualités spirituelles très affûtées. Alors que selon la coutume elle venait de se jouer d’un plaisant dans une auberge quelconque pendant que Mystik mettait le feu au plancher, une femme discrète et énigmatique vint l’aborder. Elles discutèrent chiffon durant la soirée mais manifestement le courant était passé. Et au fil des soirées,cette silhouette devint plus précise dans ses propos expliquant habilement à Aevon que ces actes étaient certes, emprunt d’une certaine finesse, mais que sans finalité plus noble que celle de la satisfaction immédiate, ils ne valaient pas plus que ceux d’un roublard. Son orgueil en prit un coup et la réaction fut aussi violente que l’entaille qu’elle venait de produire. L’inconnue, avant de quitter, lui glissa une note indiquant un lieu requit si elle désirait se transcender plutôt que de se complaire dans ces menus larcins. Comment, elle, qui menait la danse et qui ne s’était jamais plus interrogée sur ses aspirations et ses actes tant ils lui paraissaient auto satisfaisant pouvait-elle être autant ébranlée dans son fort. Et qui diantre était cette personne qui avait su frapper si juste et gripper les rouages de son esprit machiavélique.

La véracité des propos ne pu qu’exploser à son minois tant son rejet avait été intense. Elle se rendit donc en lieu et place qui n’était autre qu’un temple glorifiant Loviatar.Elle s'inclina respectueusement devant l'édifice de celle qui pourrait enfin redorer le blason de son existence. De son intronisation elle ne se souvint que de peu de chose hormis une manifestation chaotique de chair et de plaisir ou l'entendement des sens semblaient en être le leitmotiv avec le recule. L’intéressée assimila les préceptes avec une facilité outrageante bien que la souffrance du a l’apprentissage fut à la hauteur de cette rapidité. Mais sa sagesse lui permit d’entendre et d’analyser les raisons de ces échecs ainsi que la cause. Sa vanité était grande d’où l’incessante douleur qui se déversait tel un poison dans son âme. Sans sa clairvoyance mais surtout toute la dévotion fanatique qu’elle portait à Loviatar elle eut sûrement sombré dans l’aliénation, en tout premier lieu du aux sévices corporels. Chaque mission dépassait les limites supportables des affres à subir. Son corps était soumis à mille enfers et elle e du son salut qu’a une volonté implacable et une foi frisant l’obscurantisme. Il était broyé, lacéré, presque littéralement démembré et au regard de sa fragilité physique elle fut sans doute l’une des aspirantes qui en pâtit le plus. C’est également grâce à cette déficience notoire qu’elle connaissait les zones les plus douloureuses c’est pourquoi elle l’exposa avec le plus fervent intérêt aux différentes horreurs requises par les préceptes.Toutes ces mutilations corporelles incarnaient pour elle, certes la douleur, mais aussi le saint sacrement ; moment unique et précieux ou sa Dame les « imprégnait » auréolée de toute sa magnificence. Elle pénétrait par les stigmates, manifestation concrète, de leur élan religieux. Cependant la plus grande difficulté vint de la torture psychologique qui annihila bon nombre de ses comparses ; certains sombraient presque instantanément dans le gouffre béant de la folie alors que d’autres glissaient aussi lentement que sûrement dans ce dernier. Elle-même devant folle sur une courte durée s’auto mutilant sans finalité, en proie au chaos de son esprit disloqué. Encore une fois sa piété eut grand rôle dans le recouvrement de sa raison. Loviatar avait rasée les soubassements sclérosés de son esprit corrompu par les conventions sociétales et les avaient remplacé par le ciment sempiternel de ses sophismes dont les dogmes s’érigeaient en tant que colonnes fondatrices.


Ainsi renaquit Aevon Daoki...

Plusieurs points qui posent problémes:

1- Une elfe mauvaise est extrêmement rare, si tu désires malgré tout la jouer ainsi, il sera necessaire d'expliquer son cheminement. Naturellement un elfe est Chaotique bon, comment peut il devenir Neutre mauvais ?

2- Le culte de Loviatar n'accepte que des humains, voir des demi elfes. comment une elfe pourrait elle atteindre un poste élevé dans le culte ?

3- Les domaines (possible sur nwn) de Loviatar sont Mal, Duperie et Force.
Il te faudra donc choisir entre ces trois là. Voyage ne correspond aucunement à un domaine de Loviatar.

4- Tu affiches 6 en constitution, c'est bien trop frêle pour raisonnablement endurer les flagellations, les scarifications, les mutiliations rituelles.

5- à la lecture de ton texte qui est agréable, je ne vois là aucun caractére elfique à ton personnage. De plus, tu relates à peine son intronisation, il manque ce contact, cette relation obscene avec la Vierge des douleurs. On ne ressent pas la foi.

1-J'ai regarde les alignements possible, loyal neutre n'est-il pas plus envisageable que neutre mauvais? Faut-il forcemment un traumatisme pour qu'un elfe change d'alignement? En fait j'ai essaye rapidement de pallier au probleme en montrant tout d'abord un degout pour son environnement puis presque de la haine. Si tu peux m'indiquer plus precisemment comment remedier a ca, ca serait sympa .

2-A premiere vue je dirai que l'ambition de gravir les echelons rapidement n'est pas la priorite qu'elle se fixe tant qu'elle peut servir selon les preceptes de Loviatar.Mais il est sur qu'au fil du temps le probleme pourrait se poser,en quel cas je pense que,n'etant pas dans une merritocratie,soit elle se resigne a garder un rang assez bas tout en sachant qu'elle pourra toujours peser un peu plus qu'un nouveau membre,soit elle abandonne (ce qui m'etonnerait fortement ).

3- Aucun probleme pour les domaines,il faudra sans doute que je recommence le personnage (aucun soucis^^) il n'a pas dutout les bons domaines .

4-Je pensais justement en faire sa force dans l'apprentrissage des dogmes,rituels, etc. Je l'ai sans doute mal retranscrit dans le texte mais je voulais contre-balancer cette faiblesse flagrante par une volonte de fer qui lui permet egalement de transcender sa condition d'etre particulierement chetive.Peut-etre est-ce a moi d'en rajoutter un peu plus sur la question.

5- Oui je sais le texte est mal articule,et rien ne ressort de special j'ai voulu l'ecrire trop vite . Je vais essayer de donner un peu plus de matiere a tout ca .

1- Ce que je veux dire, c'est que la nature de l'elfe est Chaotique Bonne ( créature intuitive, volage parfois, détachée, sensible, etc..) L'elfe vit dans une communauté, qui l'éduque dans le respect des créatures (bon) dans l'écoute de ses pulsion, de la compréhension de la magie naturelle, l'ouverture de l'inpiration, etc.. ( Chaotique ). Donc, faut une bonne raison pour l'éloigner de cette voie. Je te conseille de voir les Bg des elfes bad du serveur pour te donnner une idée. Parfois, cela peut venir d'un éloignement, d'une disparition des repéres de la communauté. A part les elfes moine, il y a peu d'elfe qui font le chemin vers l'axe de la loyauté, à part les drows, il y a peut d'elfes qui vont vers l'axe du mal, donc ça devient encore plus rare et demande plus d'explication encore pour les elfes qui veulent aller conjointement vers ces deux Axes, diamétralement opposée aux axes de départ.

2- Prêtre est déjà un grade, avant cela tu as les novices, les acolytes, etc... Dés lors que tu gagnes tes pouvoirs de prêtres d'un certain cercle, c'est que tu as atteind un certain lvl dans la hierarchie. Je vois mal une prêtresse considérée comme une novice et capable de balancer des implosions

3- Nickel faudra noter ceux que tu choisiras

4- Il y a des réalités physiques que même la volonté ne saurait permettre. il te faudrait alors dans ce cas prendre obligatoirement volonté de fer et volonté de fer épique ainsi que de la concentration en talent et talent épique et tous tes points de compétence dedans.

5- Ca marche

Peut-etre qu'il vaut mieux concernant la nature elfique de mon perso en faire une humaine alors . J'aurais sans doute moins de choses a changer, notament le cote elfique etc et les justifications,certainement desastreuses venant de ma part ,le personnage sera sans doute plus credible ainsi .
De plus j'ai deja fait un elfe mauvais,je vais eventuellement penser a arreter les exceptions qui vont vite ne plus en etre avec moi .

Si tu choisis des écoles de magie, note les

Voili voilou ,je n'ai rajoutté que le caractere religieux etant donne que devenue humaine les problemes elfiques ne sont plus aux gouts du jour .

Je tiens cependant à m'assurer que tu prendras des dons de concentration et volonté de fer pour pallier au peu de vigueur d'une prêtresse loviath.

Ok aucun soucis ca sera fait ma petite bouteille d'eau minerale .

Pour pallier a ma constitution legere je prends les,robustesse,volonter de fer et concentration a fond.

et le choix entre concentration épique ou volonté de fer épique, histoire de bien marquer que le fait que ton perso en passant épique doive assurer un don épique de cet ordre.

Si tu n'as pas noté d'école de magie, c'est que tu n'en choisis pas ?

non pas d'ecole speciale,j'opterai pour volonte epique je crois .

Parfait: Validé

L'entrée en matière


A Belle Prairie, debout en figure de proue sur la petite colline qui lui sert de promontoire, la Maîtresse du Fouet inspecte l’avancé des travaux du temple en l’absence de la Haute Douleur Sangmaugrez et du Haut Bourreau. C’est alors que l’Ecuyère du Fouet, Ty’ia, l’interrompt dans sa contemplation.

_Prêtresse, pardonnez moi cette intrusion dans votre inspection ô combien difficile, mais je désirerai me racheter de mes échecs en vous soumettant une idée…idée quelque peu délicate de par sa présentation, bafouilla t’elle.
_ Et bien parlez bougresse !s’écria Aêvon, vous ne voyez donc pas, comme vous l’avez mentionné pourtant, que je suis en plein exercice de mes fonctions ? finissant de se manicurer. Au diable les formes, allez droit au but.
_Bien Maîtresse, selon vos souhaits.
_Encore heureux, abrutie.
_Alors voilà, afin de me racheter, je veux vous enseigner des techniques martiales qui me sont propres et qui pourraient grandement vous satisfaire; technique dites défensives…
_Incapable ! Tchouk-tchouk-nougat ! siffla t’elle, m’enseigner à mÔa ?! mais pour qui me prenez-vous ?! et qui êtes-vous ?! je ne vous connais pas,quel est votre projet ? Que me voulez vous, imbécile ! petite pucelle décérébrée prétentieuse ! Gouffre à semence ! du large !
_Les deux dernières affirmations sont incompatibles, Maitresse du Fou… objecte la pauvre infortunée la tête basse sans pouvoir finir.
_Hors de ma vue ! la saisissant et la repoussant rouge cramoisi qu’elle est.

Ainsi ce clôtura les prémices du conversation dont l’intérêt sera relancé quelques jours plus tard. En effet la Prêtresse Daôki revient d’une de ses trop nombreuses pérégrinations, mal embouchée. Elle vient de se faire ramasser la gueule, encore une fois, de la plus belle des manières dans une mine non loin de Leilon. Mine habitée par de petites créatures surexcitées, teigneuses et sensiblement ravagées de l'organe maître à penser. Celles-ci ont, de surcroît, ponctué leur méfaits sur la personne d’Aêvon, par une phrase assassine : « la mine tu l’aimes ou tu la quittes ! ».

Elle fit donc demander l’Ecuyère prétextant une besogne mal effectuée. Après une longue réprimande stérile sur comment effectuer une tâche convenablement quand on a deux mains et un cerveau elle aborda le sujet épineux, mais de façon on ne peut moins directe, de l’éventuel apprentissage dont la simple évocation avait embrasé son esprit. Ty’ia ayant eu vent des mésaventures de sa supérieure, jubila intérieurement. Suivit un long soliloque qui se clôtura enfin par un ordre annonçant « leur » entraînement, voir celui de l’Ecuyère même.

La leçon allait pouvoir commencer.

La mauvaise foi apprend


Voilà plusieurs jours que les cours ont débuté et au grand désespoir de Ty’ia, la Prêtresse, imbue de ses propres émanations intellectuelles, n’a que très peu sensiblement progressé. Elle se complait dans sa propre claustration, fruit de sa vanité sans borne, entravant ainsi la bonne progression des choses. Ne tolérant pas sa « régression hiérarchique » nécessaire à un apprentissage, elle n’a de cesse de la rabrouer en lui dictant la façon dont il faut « tenir fermement le fouet tout en laissant dans le poignet une certaine souplesse ». Lorsque la pauvre formatrice abordait la position adéquate du pavois, permettant ipso facto une couverture quasi impénétrable pour les attaques ennemis, Aêvon l’imitait consciencieusement mais en n’oubliant pas de sauver les apparences ; à savoir qu’une fois enregistré le positionnement de chaque partie du corps, pieds écartés, jambes fléchies,bouclier généreusement présenté de front alors que l’arme, elle, reste en retrait, la Prêtresse ne manquait pas de corriger Ty’ia en modifiant sa position à l’identique de ce qu’elle était avant. Ainsi l’orgueilleuse osait éhontément prodiguer les mêmes consignes à la bouche qui venait pourtant de lui les donner l’instant précédent. L’Ecuyère du se faire maintes fois souffrance pour ne pas exploser devant un tel rempart de mauvaise foi. Grand était son désarroi.

Cependant, bien que lente, cette mascarade, donnait des résultats. La Maîtresse du Fouet savait maîtriser, en définitif, cette position laborieuse qui allouait du temps aux longues préparations fastidieuses que requéraient les saintes injonctions cléricales. Forte de ses progrès Aêvon se targuait d’avoir une nouvelle technique à son incommensurable talent et ce, sans contre parti. Ty’ia eu beau infirmer de telles allégations rien n’y faisait. Encore un fois elle fut la victime de la pugnacité nombriliste de sa supérieure apprentie. En effet tout bon maître d’arme sait qu’une telle position réduit ostensiblement la précision de l’utilisateur. C’est pourquoi lorsque que la fraîche « diplômée martiale » se mit en tête de prouver à son mentor qu’il n’en était rien, ce dernier ne put que s’exécuter dans une lente agonie spirituelle, désenchanté par tant d’obstination aveugle. Mais Aêvon ne put que convenir de ce fait après avoir manqué d’arracher l’oreille se son enseignante, en voulant faire sauter la pipe qu’elle tenait en sa bouche, par un coup ajusté. Certes sa précision avait été émoussée mais rien ne pouvait mettre à mal sa légendaire grâce féline protestait-elle intérieurement. Elle somma donc Ty’ia de lui lancer des projectiles afin de se rassurer. Quel ne fut pas son grand étonnement lorsqu’elle se prit plusieurs grenailles dans le coffre. A nouveau elle invectiva vivement la malheureuse qui n’avait cependant que suivi les ordres sans se faire prier naturellement.

Ainsi prit fin l’ultime séance supplicielle pour le plaisir des deux parties.

Je me suis aperçu que je m'étais trompé avec les domaines de Loviathar en accordant le domaine duperie. Il faudra donc faire uen mise à jour en changeant duperie par Mal.