deadmocratie Néophyte (Noob en poli)
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| Sujet: [Evolutif][Validé][Pretre] Agustino Mar 8 Mai - 1:53 | |
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Nom du compte joueur module :Deadmocratie Nom du perso :agustino.. Race :Humain Age :30ans Alignement :chaotique Evil Religion :Cyric Classe(s) et nombre de lvls (prévus) :Pretre.. 25lvl Arme de prédilection/domaines/école de magie : Epee Longue.. Domaine Destruction et Mal Trait de Caractère :un regard franc et fou. Il a également une voix grave, rauque, aux inflexions tantôt cyniques, tantôt douces, tantôt haineuses Description physique :cheveux noirs, une posture forte,Sa peau marqué par les brûlures, les mutilations et les tortures qu’il a subi.
Caractéristiques : FOR :15 DEX :10 CON :14 INT :10 SAG :17 CHA :10
sa détermination : Devenir haut Inquisiteur du Seigneur aux Trois Couronne. Il montre toute sa détermination lorsqu’il lui faut éliminer les obstacles sur sa route...Son rêve le plus ambitieux est de réussir à faire triompher la domination sans partage de l’Unique sur le monde ! Partie 1 : Un beau matin de printemps, un évènement anodin dans l’histoire de Toril eut lieu : la naissance d’Agustino, sa mère Almonia et son père Elfito furent heureux de voir leur grande famille, déjà composée de cinq enfants, trois garçons et deux filles, s’agrandir encore plus, et ainsi disposer de davantage de bras pour travailler la terre. C’est à l’âge de six ans qu’il commença à apprendre à lire et à écrire, tout en s’impregnant de cette culture particulière, qui était la norme dans cette partie du monde : ce qui deviendra plus tard les Marches d’Argent, et qui n’était encore à l’époque que des régions sauvages où survivaient des îlots de civilisation. Il commença à aider son père à la ferme dès l’année suivante, et ne se plaignait guère de la dure charge de travail qui l’accablait : son père se montrait particulièrement exigeant avec lui, le voyant, pour ainsi dire, comme le chef d’œuvre de la famille, celui qui pourra reprendre ses terres. Ses frères avaient en effet d’autres ambitions : le premier rêvant de la Chevalerie de Lunargent, le second ayant pour ambition de s’engager dans les ordres, Tyr habitant son cœur, et le dernier étant un véritable vagabond, un amoureux de la verdure. Mais cette vie idyllique, aux relents bucoliques, et à l’allure ô combien pastorale allait tourner au drame le plus abject. A la fin de l’été, lors de la traditionnelle séance de pêche avec son grand frère, les doigts de pied en éventail, profitant du temps doux avant l’hiver rigoureux, il y eut ce que le jeune Agustino n’avait jamais pu imaginer jusque là, une chose qui peuplait les histoires que lui racontait sa mère le soir avant de s’endormir : l’arrivée de trois trolls. Son frère, Albertino, l’attrapa alors par le col de sa chemise, et le lança dans l’eau, parmi les nombreux roseaux qui le masquèrent à la vue de ces monstres. A peine cela fut-il fait que les trolls remarquèrent son frère, qui tenta, vainement, de fuir ces immondes géants. Un coup de griffe acérée, une tête qui roule, et c’est sous l’œil horrifié de son petit frère que le festin de ces créatures à l’insatiable appétit pouvait débuter. Il ne put que pleurer en silence, partagé entre la haine, l’horreur et la peur de subir le même sort. L’incompréhension voilait ses yeux, comment cela avait-il pu se produire ? Ce ne pouvait être qu’un cauchemar. Mais quand se réveillerait-il ? Il resta là, prostré, deux jours durant, les pensées les plus sombres tournoyant dans son jeune esprit. A l’aube du troisième, il se traîna, ivre de douleur, jusqu’à sa ferme, et c’est des sanglots dans la voix qu’il fit cette terrible confidence à ses parents : Albertino était tombé dans l’eau et s’était noyé. Un pieu mensonge, le premier mensonge qui sortait de sa bouche, d’ailleurs, il ne désirait pas leur faire ressentir ce qui le tourmentait tant. Il ne pouvait partager un si lourd secret. Il ne le pouvait pas…C’était à lui de venger son frère. Le deuil s’était transformé en colère. La colère en haine. Cette soif de vengeance, inextinguible, le poussa les années suivantes à délaisser les travaux de la terre pour s’engager dans la milice du village le plus proche. Là, il apprit le métier des armes, sa préférence allant, bien entendu, à l’arme conventionnelle par excellence : l’épée longue. Son père, resté seul à la ferme, ses autres frères étant parti vers d’autres horizons, avec sa bénédiction, succomba d’une atroce maladie à cette époque : les cloques se transformaient en plaies purulentes, et son agonie fut longue et douloureuse. Il ne put que serrer les dents, les yeux arides, et attendre. Puis son père quitta ce monde, et il s’en retourna au village voisin : le devoir passait avant le deuil… Partie 2 : Quelques années plus tard, alors qu’il arrivait à sa quatorzième année, une nouvelle étape fut franchi. Il accompagnait sa mère, dont le chagrin ne s’était pas atténué après toutes ces années. La vente de la ferme se passa dans les meilleures conditions, et c’est sans regret que la mère et les deux sœurs partirent en direction de Lunargent, en quête d’une vie meilleure, sous l’œil vigilant d’Agustino. Mais, malheureusement, sur le chemin, ils croisèrent une petite troupe de cavaliers, vêtus de noirs, aux allures n’inspirant guère la confiance. En à peine quelques minutes, une scène d’une violence inouïe s’était déroulée. Les deux sœurs furent violées, leur virginité volée par ces sombres inconnus, puis tuées, leurs pleurs indisposant leurs odieux agresseurs. Agustino avait été mis hors d’état de nuire, et ligoté, horrifié par ce qui se passait sous ses yeux : sa mère, dont le regard exprimait toute l’horreur du monde, ne put résister aux cavaliers, et c’est ainsi qu’elle connut le même sort que ses deux filles, sous le regard médusé, noyé de larmes, de son fils. Agustino se débattait comme un diable, hurlant, enrageant, des pulsions de meurtre tel qu’il n’en avait jamais connu habitant chaque fibre de son être, tout son corps tendu vers un unique objectif : tuer, tuer tout ceux qui faisait subir ça à sa famille. Un des sombres cavaliers, agacé, l’assoma d’un coup sec sur l’arrière du crâne. Il fut chargé sur un cheval, et la petite troupe repartait aussi tranquillement qu’elle était arrivée vers sa destination : le Temple Secret du Feu Noir, un Temple dédié à Cyric perdu dans ces contrées inhospitalières. Partie 3 : L’accueil au Temple de Cyric fut rude : tortures, endoctrinement et exercices. C’est ainsi qu’il commença son apprentissage, c’est ainsi qu’il se mit à vénérer Cyric, à coups de fouet, dans la douleur, dans la haine, dans cette ambiance délètére et malsaine. Les muscles de son corps se dessinèrent au fur et à mesure des années d’exercices, son esprit devint celui d’un fanatique déterminé au fur et à mesure des années d’endoctrinement. Il devint un être impitoyable, sadique même, un adulte à la haute stature et à la force digne d’un combattant. Il allait apporter la Sainte Rédemption aux infidèles, et cette noble quête commencerait à Luskan, à l’Ouest, une cité qui aurait changé au fil des années, pour devenir le havre des hérétiques. Intolérable ! C’est avec pour bagage sa foi inébranlable en l’Unique, son savoir militaire et ses pulsions de meurtres qu’il se dirigea donc vers cette Cité, qui connaîtrait la crainte du Tout ! | |
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Sir_Ced Jurassir Ced
Nombre de messages : 1003 Habitat : *en retraite*
| Sujet: Re: [Evolutif][Validé][Pretre] Agustino Mar 8 Mai - 23:16 | |
| Validé et placé en evolutif. Bon jeu | |
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Volvic Gardien des Mystères
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| Sujet: Re: [Evolutif][Validé][Pretre] Agustino Mer 27 Juin - 1:07 | |
| Je ne l'ai veu jouer que 2 ou 3 fois, et le rp était assez inchoérent.
Je n'ai pas vu le jouer depuis belle lurette.
Je place au cimetière pour le moment. | |
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