- Citation :
- Nom de compte: Ignomnis
Nom: Veripuu Näar
Race: Elfe des Forêts
Age: 269 ans
Alignement: Neutre Mauvais (à tendance chaotique )
Religion: Druide de Talona
Classe: Druide/Guerrier
Trait de Caractère: Apprécie toute forme de souffrance
Description physique: Elfe marqué par les années a méditer dans la profondeur des fôrets, les cheveux noirs, les yeux vert
*A la lisière de l’une des forêts de Faérun, un homme à terre agonisant, le visage recouvert de multiple lésions et certains membres gangréneux ; assis sur un tronc, à l’ombre, auprès de lui un elfe, les cheveux noir, la peau très pale comme si elle n’avait jamais vu les rayons du soleil, un sourire malsain pendu à ses lèvres, des yeux noir décomposant avec détail les différentes phases de souffrance du pauvre bougre. L’elfe recommence alors à parler*
Allons vois tu l’ami, il n’est guère prudent de s’aventurer dans une forêt sans en connaître les dangers, ni les effets de certaines baies ou encore la chair de quelques animaux. Profites donc de la douleur qui t’envahi, considère cela comme le dernier cadeau divin que tu vas recevoir avant de rétablir l’équilibre de la Grande Balance…. La déesse est bonne en ce jour de m’offrir tel spectacle, tu es une véritable source de méditation pour ma prochaine décennie d’admiration de la Maîtresse des maladies !
*l’homme tente en vain de prononcer quelques mots tout en levant difficilement un bras implorant vers Veripuu, pour seule réponse ce dernier lui laisse entrevoir le même sourire sadique*
Que dis tu ? Tu m’admires…. tu sais voilà déjà un siècle que j’ère seul dans la profondeur de mère nature, seulement ici tu peux trouver la paix nécessaire à la réflexion et à l’apprentissage de la maîtrise de la toxicité de certaines plantes ! Le silence de la solitude offre l’ouverture de l’esprit propice à son propre développement…
*La voix de l’elfe devient froide et sèche*
Oui le développement de son propre esprit, pas le terme que vous usez pour définir les sévices que vous infligez à celle qui vous a donner la Vie, celle qui offre l’air que vous respirez, celle qui fait pousser votre nourriture, celle qui a créé ceux que vous mangez ….
*la voix de Veripuu semble s’apaiser pendant que celui ci, les yeux presque brillant, les bras levés vers l’horizon*
Mais dans son insondable générosité la Nature nous offre la puissance qui surpasse la vie elle même : la Grande Egalisatrice ; puisse t elle nous accorder la faveur de ses souffrances avant de nous emporter ! Vois tu mon cher, ce qu’elle t’offre, tu as l’honneur de pouvoir te retirer dignement, la chance unique de quitter le sol de Toril en finissant ta misérable existence de profanateur, que dis je, de violeur de mère Nature de la plus belle des façons….
*réunissant ses dernières forces l’homme, de plus en plus rongé par des maux étranges, cracha au visage de l’elfe le sang et le pu qui s’accumulaient dans sa bouche depuis bientôt vingt minutes ! Ces mêmes vingt minutes pendant lesquels Veripuu maintenait en vie ce bûcheron à l’article de la mort afin qu’il puisse succomber dans les pires conditions de souffrances possible, autant physiques que mentales !*
*L’elfe essuya calmement le cracha de sa peau pâle à l’aide d’une feuille d’un arbuste à proximité, il fronça ses larges sourcils noir et leva majestueusement une main au dessus de corps de l’homme qui fût soudainement pris de spasmes, il hurlait de douleur alors que son ventre gonflait pour, au moment même où Veripuu ferma le poing, éclata laissant apparaître dans les entrailles désormais découvertes quelques centaines voir peut être même millier de vers grouillant entre les chairs et les os*
*Fier de son œuvre, Veripuu Näar gardait au coin des lèvres le même sourire effrayant de satisfaction. Une panthère noire s’approcha de lui, la gueule et les pattes ensanglantées par le dernier combat qu’elle venait de livrer. L’elfe posa une main sur sa tête, la caressant au passage puis se leva lentement du tronc d’arbre fraîchement abattu qui lui avait servi de trône ! Son regard se leva sur la plaine qu’il dominait, le spectacle de tous ses arbres abattu lui sera le cœur mais la présence des corps de leur meurtrier lui apaisait ce sentiment de mal-être qu’il éprouvait en ce moment !*
*Ses yeux se portèrent sur le campement construit par cette colonie de bûcherons, désormais servant tous de pâtures à toute sorte de vers et autres charognards, il lui fût tellement agréable de disperser en eux les maux incurables qu’il tenait de sa déesse, la maîtresse des maladies, la Mère de tous les fléaux ….TALONA !*
*Veripuu prononça quelques mots runiques et prenant pour cible le village de bois. Le sol se mit à trembler et une série d’éclair tombèrent du ciel pourtant dégagé précisément sur les constructions leur causant de nombreux dégâts ajoutés à ceux du tremblement de terre. Bientôt, le campement ne fût plus qu’un amas de cendres, laissant place de nouveau à la Nature de reprendre son droit*
*D’un pas calme et assuré, Veripuu s ‘enfonça de nouveau dans l’ombre et la moiteur des profondeurs de la forêt bien décidé désormais à faire connaître la puissance de la Nature au travers des sévices que sa déesse peut lui permettre d’insuffler en son nom. Un siècle de dévotion dans la méditation lui a apporté la volonté suffisante pour commencer son œuvre de restauration de la Mère Nature !*
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Veripuu naquit il y a 269 années de cela, dans l’une de ces communauté elfique vivant dans de simple et à la fois magnifique hutte perchée dans les plus hauts arbres des profondeurs boisées de Toril.
Il grandit paisiblement au sain de Mère Nature qu’il apprit à respecter et à comprendre comme le veux les principes de vie des elfes des Forêts. A l’âge de 116 ans, les anciens du Cercle, ayant observer l’être paisible, posé, observateur et doué d’une grande sagesse pour son jeune âge, invitèrent Veripuu à venir les rejoindre et à suivre la formation de Druidique apparaissant comme une vocation innée !
Au cours des soixante deux années qui suivirent, Veripuu trouva sa place au sain d’une communauté qu’il ne fréquentait pourtant que très peu. Il y était extrèment connu pour ses travaux et ses recherches sur les formes de poisons et maladies. Son engouement pour sa science était tel qu’on ne le voyait que très rarement arpenter les passerelles de son village natif au même titre qu’il ne se rendait qu’occasionnellement aux cérémonies organisés par le Cercle Druidique !
Quelques rôdeurs, effectuant un ronde nocturne aux frontières de leurs territoires, le surprire auprès d’un dolmen où s’inscrivait des nombreuses glyphes magiques rayonnantes d’un rouge pourpre rappelant la couleur du sang. L’un d’eux, sans doute trop curieux par son manque d’expérience, s’approcha de Veripuu alors agenouillé, dos face à lui, le visage masqué par une grande capuche, dans un geste d’insouciance déposa sa main sur l’épaule du druide, en pleine cérémonie sombre à la gloire de Talona, et le retourna. Au moment précis où le rôdeur inconscient croisa le regard, emplie d’une lueur identique à celle des glyphes, son corps se changea en quelques secondes en pierre commençant par les jambes et laissant ses membres peu à peu s’engourdir pour finir aussi raide que le roc. Le cri du jeune elfe se fit entendre sur plusieurs lieux, terrorisant ses compagnons qui prirent la fuite vers le campement, sauf le frère du pétrifié, qui une épée longue à la main chargea le druide encore à genoux et alors incapable de faire un quelconque mouvement. Veripuu ferma les yeux, tandis qu’il se voyait déjà rencontrer la grande égalisatrice, un miracle se produit. Le rôdeur fut projeté en arrière comme bousculé par une force invisible ; la violence du choc fut si surprenante que ce dernier laissa son épée chuter devant le druide, qui ne comprenant pas tout encore en saisi le manche et frappa droit au cœur son adversaire. La lame de l’épée scintilla, du même rouge encore présent sur le dolmen, lorsqu’elle perfora le torse de l’assaillant.
Veripuu déstabilisé par ce qui venait de ce produire, se ressaisi rapidement et adressa une prière à sa Déesse. Il décida de reprendre le chemin de la cité elfe, à son arrivé, l’histoire s’était déjà répandu, en guise d’accueil à l’entré, un multitude de bras bandaient la corde de leurs arcs en sa direction. Debout au loin, au bout de la grande passerelle qui menait aux premières huttes, l’Ancien lui ordonna de fuir ou de mourir. Veripuu sourit discrètement sous sa capuche et prononça quelques mots de nature runique imperceptibles aux oreilles de ses accusateurs, après lesquels il tourna le dos au lieu qui l’avait vu naître pour s’enfoncer dans la moiteur nocturne de l’épaisse forêt qui s’érigeait devant lui. Son esprit encore quelque peu tourmenté par cette force dont il venait d’user instinctivement méritait qu’il médite sur la chose et ouvre son esprit plus encore qu’il ne l’était afin de pouvoir maîtriser son inconscient psychique !
*** Dans toutes les citées de Toril, une histoire fut contée par quelques bardes itinérants parlant d’un mystérieux village de huttes perchées dans les profondeurs des forêts Féerune où l’on retrouva tous ses habitants décédés. La chanson parlait d’une maladie inconnue ayant exterminez tous les résidants dans d’atroces souffrances…. ***
[hrp: J'avais écris ce BG pour un autre server et j'aimerai reprendre mon perso que j'aimai plutôt bien, bon la différence sur l'autre server c'est qu'il était druide psioniste et ici c'est impossible, donc sur le BG on trouve quelques justification de psioniste mais on ne les retrouvera pas dans mon jeu ne l'étend point sur le VdB!
Si toute fois vous désirez une modif, je la ferai sans souci *même si ça fait chier de retoucher encore une fois a mon BG*
Pour ce qui est de la justification du pouvoir que je possède déjà et de mon lv1, le perso est juste suffisemment parano pour garder sa puissance pour lui le temps d'apprendre à connaitre les habitants des contrées du Val.
Et dernière chose importante pour les connaisseurs du rp druidique, dans le village exterminé, il n'y avait pas d'autres druides *un druide n'en tue JAMAIS un autre*
Voilà j'espère que vous aurez aimé[/hrp]