Un bel après midi à Luskan, une femme au grelot tintant au vent, se reposait sur un banc, le visage couvert d'un chapeau tout en fredonnant un air de sa composition. Elle fut réveillée par un tintement de métal touchant le sol. Elle releva son chapeau et vit nombre de pièces d’armure sur les pavés. Elle se releva, intriguée par cette drôle de disposition, et s’en alla observer les morceau laisser au sol. Elle fut prise entre le désir de les prendre et de signaler au garde ce genre de déchet sur la voie.Un groupe de deux aventuriers prirent soin de les prendre et sûrement les vendre à la forge au vu du renseignement qu’ils demandèrent a cette femme de pourpre vêtue.
Revenant vers son banc de repos, une odeur de tissu et de cuir brûlé venant de derrière elle se fit ressentir. Elle se retourna a cette odeur inhabituelle, un homme correspondant à la description d’Alexandre Lamejuste était devant elle. Il était intégralement nu avec une torche à la main. L’odeur ne venant pas de lui, elle comprit aussitôt au regard stupide de l’homme que l’odeur de brûler venait d’elle. L’homme ayant perdu la raison cria sans cesse « Gloire à moi même ! Gloire ! » La femme prit de panique se tapota sur les vêtement et se roula au sol afin de tenter d’étouffer les flammes. Pendant ce temps, un homme tenta de maîtriser le fou, cet homme correspondait à la description de Naga’zull. Cet homme riposta de ses poings nus. Il se calma et Naga’zull s’en partit envers l’humaine paniquée par les flammes un grelot tintant, heureusement pour elle que l’herbe était humide. Alexandre Lamejuste repris de sa crise de folie, sortie une dague qui devait être au sol et se dirigea vers l’humaine inconsciente de ce qui allait se préparer. Naga’zull réussit juste a temps a assommer le dément mais sa lame eu le temps de le lui entailler la joue.
Naga’zull emmena le corps au temple de Tempus, ou il sera sûrement enfermé le temps de recevoir les soins mentaux nécessaire.
Les gardes tentèrent de lui proposer soin et de faire déposition. Celle-ci a la stupéfaction des gardes refusa et demanda simplement que cet homme sorte au plus vite et qui le lui soit confié, elle saurait s’arranger a sa manière, la garde refusa. L’humaine entonna un petit chant qui eu pour effet de la soigner quelque peu et d’apaiser les brûlures lui lacérant le dos. Elle posa un doigt sur la balafre de la joue et en lécha le sang d’une langue gourmande. Un murmure sortit de sa bouche : « Ca mon mignon tu me le paieras d’une façon ou d’une autre ». Elle repartit contant a quelque passant son aventure avant de finalement partir à la recherche d’une nouvelle tenue et de se soigner.