Un Autel perdu

Au croisement nord, à la lisère de la forêt on peut trouver un autel de fortune. La végétation autour de cet autel semble décimé. Des symboles grossiers, bien qu’érodés, sont visible sur un des rochers : un fouet à neuf lanières, un poing d’où jaillissent des traits et trois éclairs.

De l’énergie négative émane des pierres de l’autel et on trouve du sang séché dessus. Un peu partout, on trouve de la végétation calcinée ou des petits trous dû à un impact au sol.

Alors que le soir s’avançait doucement, après avec quitté la compagnie de Coralys et Ilia, la rôdeuse alla vers la forêt pour y faire son tour de surveillance habituelle.
Songeant à la discussion qu’elle venait d’avoir, ses pas l’amenaient machinalement vers les profondeurs du bois.
La nuit était un peu sombre et se fut une surprise que de tomber nez à nez à une créature d’une morbide invocation. Sa peau frissonnât alors à cette rencontre, trois hommes se tenaient un peu plus loin occupé à quelque occupation sur laquelle ils étaient penchés.
Entendant le nom de Talos plus aucun doute n’était possible…
Elle recula alors doucement tentant de ne faire aucun bruit supplémentaire pour ne pas attirer l’attention sur elle.
L’un des hommes leva la tête vers sa direction mais elle courrait déjà s’enfonçant dans la sombreure des bois.

Il n’y avait personne d’autre à ce moment là, nul autre rôdeur ni elfe pour lui porter aide.
Elle fit un détour, se prépara à d’avantage de discrétion et revint observer les hommes.
Ils étaient affairés autour d’un monticule de cailloux, le même genre de phénomène dont Coralys avait parlé.
Elle guettait le seigneur zombi avec horreur, il semblait veiller à la tranquillité de ses maîtres, agacé par cette présence au plus profond d’elle-même.
Les hommes continuaient leurs complotances et après une prière et incantation, un nuage vient au dessus d’eux et laissa pleuvoir une pluie acide sur leurs cailloux ainsi que sur le sol.

Elle ne pouvait laisser faire mais seule elle serait de maigre force contre ses guerriers, elle voulu chercher alors à les perturber dans leur rituel.
Elle s’installa derrière quelques arbres et caché à la vue des hommes, elle prépara quelques flèches et s’empressa de faire retourner cette créature à un autre plan.
Mais ses derniers alors alertés se mirent aussitôt à sa poursuite.
Geriel courut et les entraîna dans une longue course, mais elle fut rattrapée.
Cherchant à se défendre, son arc décochât quelques flèches encore mais fit peu de protection contre le marteau du prêtre qui l’assumât et rua de coups…

Les jambes lourdes et comme paralysés, son bras l’oppressant de douleur, elle vit le sombre rouge de son sang sur le petit tas de pierres, quelques vagues silhouettes l’entouraient et des grondements bourdonnaient à ses oreilles. Elle ne put en voir d’avantage et ses blessures lui affligeant des douleurs insupportables lui firent reperdre conscience.

Elle ne se souvint de rien d’autre qu’un grand homme lui secouant le bras un sourire aux lèvres qui beuglait « Elle est consciente ! Elle hurle ! »
Installée sur un lit d’hôpital, elle hurla un râle lorsque l’homme lui secouait le bras pour la réanimer.

*le récit déclamé tout haut a un garde, par un Orque qui chantait dans la journée : Je lui é Marave sa Gueule !*

Je me baladais tranquille dans le foret quand j'en sors c'est la que j'ai vu ses 3 prêtres qui criait a leurs dieux et tout et tout Baine, Talos et Loviathar, en maravant la petite nana.
[...]
V’là qu'ils viennent me faire chier, non mais franchement je n’avais pas le temps de faire ca, ils foutaient le bordel sur ma surface de travaille ...
[...]
Et v’là qu'un Gobelin a écailles les a marave, j’attends que l'autre me lâche.
[...]
Bon y en a un qui poursuivait le gob's reviens avec un pigeon, bon l ils me disent de partir, alors je me casse, je les observe de bien loin.
[...]
Et je suis revenu avec cette gériel sur le dos, sinon elle serait morte ! Vous avez vu ! Je suis innocent ! Et puis

*l'orque tombât sur un genou prix d'une sorte de vertige*

Magie de prêtre de merde font chier ! M’ont maudit je suis sur !