- Citation :
Nom du compte joueur: farfouille
Nom du perso: Phael Enet
Race: humain
Age: 19 ans
Alignement: chaotique neutre
Religion: beshaba
classe(s):sorcier/ roublard 12/13
Arme de prédilection/domaines/école de magie: lance et arc court, généraliste (peut être divination je ne sais pas :p)
Trait de Caractère: froid et indépendant il agit selon ce qui lui semble juste, pas forcement avec sagesse loin de la, mais avec la logique du desert
Description physique:
taille moyenne 1m70, les cheveux court un peu peu en brosse teinté de bleu , la peau halé , les yeux bleux profonds, une boucle a son oreille droite , une tenue souple principalement en cuir, assez sombre avce des nuances de bleus. Une vieilles cape jaune depuis longtemps plier dans sa besace.
TITRE une enfance à l'ombre d'un pèrePhael Enet était un jeune fils du désert.
Sa famille n'était guerre populaire, peut être à cause de de la couleurs de leurs yeux d'un bleu fascinant ou bien du fait que son père pouvait prévoir les tempêtes un jour à l'avance d'un simple regard.
Le fait est que la magie était craind chez les bédoins, et même si son père était un homme du désert confirmé , ses prédictions le rendait plus que mysterieux.
Un jour une étrange maladie frappa la troupe, Beshaba et ses caprices surement, elle avait l'habitude de s'en prendre aux peuples du desert personne ne savait ce qui l'a poussait a agier ainsi. mais Il en fallut guère plus comme pretexte pour accuser sa famille et les exiler. Son père protesta et il fut exécuté, ma mère
voulant protéger son enfant d'à peine 8 ans préféra courber la tête. Et nous partimes.
Le desert ne fait point de cadeaux et encore moins a une femme et son fils, c'était la punition des bedoins , la punitions de beshaba ? qui sait, mais il devait vivre comme des charognards, pillant les inconscients mort dans le desert ou attendant que la troupe s'en aille pour profiter de l'oasis.
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TITRE l'exil , la vie d'un vagabondIls vécurent 5 ans ainsi , Malgres leur conditions méprisable , jamais ils ne manquèrent d'eau ou ne manquèrent de provision , Beshaba ne leur en voulait donc point.
Phael apprit très vite a se répérer , a reconnaitre les mumures d'un mourant , a frappé le vagabond condamné dans son sommeil , ou le voler dans le cas contraire. Ces actes étaient lourd de conséquences mais le désert était sans pitié et il ne pouvait que lui ressembler.
Plusieur fois l'idée lui est venu de tendre un piege aux bedoins pour venger son père. Mais sa mère l'en empechait , lui faisant promettre de ne pas toucher aux meurtriers de son père. A contre coeur il dut se resigner mais il pria de toute ses forces béchaba pour que le desert les enterrent.
A la cinquième année d'errance ses prières semblèrent avoir été entendu , beshaba et ses mirages eurent raison des bedoins , et sans son père pour les guider la mort fut rapide.
sa mère et lui retrouvèrent leur campement, ils avaient été tués deux jorus auparavant par ce qui semblait être une tempette du desert magistral. Sa mère resta là sans un mot , sans joie ni larme , elle prit ce qu'il y avait à prendre, puis sur le cadavre du Sheik y retira une lance et un arc court puis les tendis à son fils.
"trouve Iotoîn le gardien des dunes et va mon fils , va restorer l'honneur de ton père"
*puis elle partit sans rien ajouter , sa silouhette avalée par les mêtres de sables et les raffales de vent pour à jamais dispraitre".
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TITRE a la recherche de ses originesLe vent souffle , les mois passèrent. Phael Enet ne trouvait pas ce fameux gardien , la lance lui était difficile à manier mais c'était celle de son père il se devait de lui faire honneur.
Plusieur fois il l'examina, des runes aux reflets rubis parcouraient la tige d'os, il les scruta sans bien comprendre jusquà ce que le sommeil l'aggrippe.
Un vieil homme ne partant quelques frustres au niveau du bassin le regardait non loin, un sourire aux levres.
La tempête fut brutal , comment avait il pu être inconscient, comment avait il pu ne pas voir les signes , sa mère le lui avait pourtant bien expliqué, sa mère déja si loin ....
mais la peine n'avait pas sa place , la tempete faisait rage et Phael resistait tant bien que mal , se maudissant , il se plaqua au sol se couvrant de tout ce qu'il pouvait mais il le savait , il avait echoué et bientôt .....
Le veillard prit le jeune enfant dans ses faibles bras , il était inconscient mais respirait , et calmement il l"extirpa de la rage des éléments.
Il posa un regard doux et bienveillant puis il incanta dans un murmure , un halo bleuté enveloppa Phael , il était bien l'un des leurs.
A son reveil Phael vit une misérable grotte quelque peu aménagé, de vieux livres par ci par la , quelques meubles , une vieilles table et une marmitte finissait le tout, plus un vieil homme examinait la lance de son père..... Sa colère ne put vaincre les elans de douleur venant de ses flancs , son dos, ses jambes , il remercia les dieux de l'avoir épargné et pris son mal en patience.
le vieillard le regarda , un longue discution allait débuter.
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TITRE un sang magique la fievre ne voulait guère tomber, l'eau des gardiens avait fait son oeuvre forçant le corps a réagir a un lointain passé, mais l'épreuve était pénible.
Les cauchemards et visions que recevaient Phael étaient comme des lames qui ébréchaient sa mémoire.
Sa respiration fut courte, si il passait la nuit il était sauver, sinon.... la magie n'était pas un luxe que l'on pouvait confier a n'importe qui.
Le lendemain alors que l'odeur de nombreuses bougies embaumait la piece, un regard neuf s'ouvrit sur le monde. Phael avait une migraine comme les plus beaux lendemains de cuites sauf que lui n'avait jamais connu l'alcool.
Il tenta de se lever , tituba , se rattrapa a une chaise qui ...s'enflamma.
Etonné , panniqué il essaye d'éteindre cet incendi involontaire.
Il chercha le vieil homme du regard mais il semblait que la chasse l'avait appelé. Un seau d'eau , quelques secondes plutard , la chaise ressemblait a des morceau d'os calcinés couvert d'un reste de peau cramoisi.
Au retour de l'homme, un jeune apeuré avait enfuit ses mains dans la terre et attendait patiemment. Par de longues paroles il tenta de le rassurer, se fut long mais finallement Phael accepta de retirer ses mains pour les poser sur un phémur noirci de runes. Il lui expliqua les raisons de ses flammes, ses reves , un tresor enfouit au fond de lui, mais qui demandait un peu de doigté , un peu de concentration si il ne voulait pas devenir l'esclave de ses emotions.
Lentement a travers des exercices simples , comme la méditation, la peinture ou bien le maniment de la lance, Phael devait apprendre a se maitriser , a maitriser son corps et son esprit pour pouvoir maitriser son don.
Quand les exercices lui permirent un meilleur controle et cela après quelques mois, Iotrôin lui demanda de recommencer a immaginer des flammes autour de ses mains. L'exercice fut penible t laborieux mais après quelques heures et quelques conseils , un nouveau feu jallit des mains de Phael.
Ce simple geste fut répeter quelques jours, ayant compris le mécanisme liant la pensée a ses emotions , Phael avait besoin d'un canaliseur et Iotrïom lui remit une lance. Souvent les mages utilisent les batons , mais ici dans le desert il faut toujours allié le pratique au necessaire et une lance en cas d'un refut de son don restait une meilleur arme.
Ainsi Phael apprit a canaliser sa colère , sa tristesse , ses joies et surtout son desir de vivre et de survivre dans les mouvement qu'il effectuait avec sa lance.
Certaines passes lui furent indiquées , d'antiques geste qui permettant de mieux canaliser son flux et ses forces, d'autres furent inventées sous des émotions spontannées avec des resultats pas toujours à la hauteur des attentes.
Après quelques années d'un dure entrainement, il était pret a passer le premier test , un groupe de krishnarks (les chats du desert avec une tête un peu squeletiques eux ils vivent dans le desert !!!!!!!!!! mais je connais pas l'orthographe :p ) à affronter.
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TITRE un combattant est né Phael sourait il n'avait plus sourit depuis combien de temps déja ? 8 , 9 ans ?
Il fixa les krishnarks se repaitre d'une charogne, eux ne le voyait pas , il savait jouer avec les dunes, puis se fut le signal , prenant appuie sur ses avants bras il repoussa la couche de sable et d'un geste accrobatique se replaça sur ses deux jambes, murmurant d'antiques paroles, la lance de son père brilla puis lorsque la dernière syllabe retentie, la lance se figea derrière l'épaule d'un chacal lui transperçant le coeur.
La meute surprise commença a s'élancer sur le géneur voulant agrémenter leur repas.
phael pris une poignée de sable dans chacune de ses mains puis en quelques acrobacies entre coupées de claquement de dents ,il se retrouver au pied de sa lance, lachant sur les betes le sable les forçant a reculer pour ne pas être aveuglés.
la saisissant, un autre murmure antique , ses gestes plus lent traçait des symboles sur le sable ceux ci empechèrent les chacals de percer sa garde.
la vie quitta un autre de ses opposants, cela suffit a faire fuir les charognards.
Puis Phael recupéra la dépouille des deux chacals, Iotöin serait content son enseignement avait porter ses fruits.
Mais ses techniques loin d'êtres parfaites devaient encore demander beaucoup d'études, sur le chemin du retour , il se rappela les paroles du vieux maitre lors de leur première rencontre, le choix qui lui avait proposé, et les longues séances d"études des livres, de rituels et d'entrainement. Pourquoi ce choix ? la réponse était limpide , le viel homme avait prononcé ses mots, il connaissait son père, il l'avait formé et envoyé dans leur village, la curiosité l'avait emporté sur la méfiance.
Il voulait tout savoir de son père, et il y avait autre chose , depuis la disparition de sa mère , ce vieil homme était devenu une sorte de famille.
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TITRE les gardiens du desert Encore une année passa où Iotoîn expliqua l'art de la magilance, l'art des tatouages magiques et des vieilles ecritures , des arts subtiles ou les gardiens du desert peuple descendant des dragons utilisaient leur sang pour en tirer la meilleur partie. Il lui expliqua que son père avait décider d'aider les bedoins par son savoir , lui aussi gardien, tout en sachant leur peur de la magie.
il avait connu sa femme parmis eux, et il n'a jamais regretté son geste.
Les discutions sur les motivations de son père nourissaient leur journée elles étaient entrecoupées par des entrainements rituels où chaques mots chaques positions, chaquse sentiments exprimaient les forces de la nature , les forces de leur peuple , les forces de son sang.
Quand Phael fut enfin pret à porter l'héritage de ses ancêtres, Iotoîn lui reprit sa lance , et lui remit une vieille lance usagé surement volée à un étranger inconscient.
Il lui dit de le retrouver par maux et par vent et si après cette quête il en était digne il recevra le bien de son père.
Ainsi un long voyage commença , qui ména Phael non loin d'une crypte pres de luskan.
A coté des ruines , il retrouva le corps de Iotroïn exangue, la lance se désagregea aux contacts de ses doigts, un corbeau le regarda fixement puis se posa sur son épaule.
Une chose était sur quelqu'un avait mis fin a sa quête initiaque pour en commencer une plus sombre, son sang bouillait, il jura de venger les siens, le corbeau croissa et ils s'enfoncerent dans la sombre forêt.