Nom du joueur : Vertu-e
Prénom du perso : Adraraë Nyérë
Race : Elfe des bois (sylvaines)
Age : 142
Alignement : loyal bon
Divinité : Ilmater
Classe: Moine 6/guerière12/mda7
Arme de predilection : Rapière
Trait de caractère : A première vue, Adraraë est une elfe calme et posée, plutôt souriante et dégageant une aura de confiance ; elle montre dans ses yeux un sentiment de sureté, protectrice et aussi charmeuse quand elle le désire. Adrarae a tout de même un caractère et un tempérament qu’elle montre plutôt lorsqu’elle se sent menacée ou qu’elle a de l’énergie à dépenser, alors là, on a plus affaire à une elfe sauvage.
Description Physique : Peau bronzée, quelques légères cicatrices ne l’ont pas epargnée, une plus grosse longeant sa joue et son arcade, les cheveux bruns et lisses terminant leurs courses par de fines boucles ou des tresses, la démarche gracieuse et feminine, le corps fin et souple et des muscles finement dessinés, des yeux pâles et les paupières serrées.
Loin des villes, une jeune elfe est trouvée, abandonnée par un couple de jeunes paysans.
Elle répond au nom d’Adraraë, celui qui est inscrit en elfique, puis en communs sur un bracelé d’or et orné de diamands, mais qui sera vendu quelques temp après.
Ils la chérissent quelques années, mais ils sont emmenés à l'abandonner, n'ayant pas assez de récolte pour la nourrir.
Ils la laissent donc entre les mains de l'ordre des brisés, un ordre de moine dédié à Ilmater.
Là, elle apprend leur culture, leurs modes de vie difficile, elle apprend à venérer Ilmater et à peiner en son nom avec ses frères, à partager le peu de récoltes du monastère et à faire des pèlerinages de plus en plus difficiles au fur à mesure qu'elle grandit.
Une colombe parvint un jour au monastère, elle portait un message acroché à l’une de ses pâtes, et destiné a Adraraë.
Les moines apportèrent le message à la jeune elfe, il était ecrit qu'elle était attendu par son frère jumeau "Darnérabë" dans la haute forêt.
Mais les moines ne lui donnerent pas l'autorisation de partir.
Elle avait encore à appendre, et pourtant, en une jeunesse d'elfe, elle avait beaucoup appris de ses nombreux maitres.
Mais puisqu'elle ne put le rejoindre, c'est son frère qui la trouva, il était decidé à la ramener chez elle, parmi les elfes.
Quelques temps plus tard, il était là, la suppliant de ne pas le laisser repartir seul, disant avoir besoin de sa jumelle et elle décida à la surprise de ses frères moines, et malgré leur reticence de le suivre et ils la laisserent libre de son destin.
Elle partit alors sur les traces de son peuple avec son frère.
Lui, il lui parla de son père et de sa mère.
Son peuple avait subit un raid d’une tribue orque et beaucoups étaient morts, leur père s'était fait lui aussi tué à coup de hache, lui racontait-il.
Leur mère avait fuit, acompagnée par d'autres elfes, emportant ses deux enfants dans ses bras, "toi et moi" disait-il à sa sœur, la regardant droit dans les yeux .
Plus tard, elle avait décidé d'abandonner ses deux enfants par mesure de précaution.
Elle les confia à un sage druide qui avait decidé de leurs destins et c'est ainsi que les deux enfants furent séparés, Adrarae chez les hommes, dans une famille vivant de récoltes et Darnérabë receuillit par des rodeurs.
Ce raid était la cause d'un emplacemement de leur camp qui semble t'il était trop près de leurs ennemis et la plupart des rescapés n'avaient qu'une envie, se venger.
Son frère demanda alors l'aide de sa jumelle, car il savait qu'avec elle, il serait plus fort.
Il lui apprit alors à manier la rapière, trouvant le kama plutot grotesque pour une elfe.
Il s'etait specialisé dans cette arme avec les rodeurs et tennait à faire enseigner son art à sa soeur qu'il aimait bientot plus que tout.
Ils se trouvèrent des points communs et leur amour de frère et soeur grandissait au fur et à mesure qu'ils se battaient ensemble.
Il était presque naturel que la jeune elfe s'imprègne des lecons de son frère assez facilement.
Tout comme le Kama, la rapière était fluide et vive, elle était précise et son frère lui aprennait à frapper là où il fallait.
Les techniques telles qu’elle en avait apprises chez les moines, de rapidités et de force.
"Laisses la grâce elfique te guider Adrarae" lui répetait-il.
Il lui disait que la rapière était comme la flèche d’un arc, qu’il fallait viser au bon endroit, que tirer fort sur la corde pour envoyer une flèche dans le ciel ne servait a rien.
"Surtout, apprends à te maitriser, soit disciplinée, ne laisses pas la colère t’envahir, bats toi avec grâce, mais pas comme une brute car nous ne sommes pas des orques" Il n’avait cesse de lui répéter ces conseils, pertinemment car il savait qu’elle avait dejà aquis la sagesse des moines.
Et avec le temps, ils la maniaient presque aussi bien l'un que l'autre.
Ils étaient des guerriers, soudés l’un et l’autre, complémentaires, faisant qu’un et dont le destin, pensaient-ils, serait tracé en une route comune, près à affronter toutes les épreuves.
Justement, l'heure de la vengeance était arrivée.
Ils étaient decidés tous deux, à rendre visite aux orques.
Mais la bataille ne dura que très peu de temps.
Son frère avait décidé de faire une diversion et se mit discrètement à rejoindre quelques gobelinoides éparpillés dans les sous- bois, gardant leurs terres forestieres.
Adraraë le regardait partir, elle ne le voyait bientôt plus, mais elle entendit des bruits et son regard se fut dès lors anxieux.
Elle coura voir ce qui pouvait bien se passer, mais à sa grande surprise, derrière les longs buissons, elle vit une disaine d’orques.
Elle ne voyait pas son frère.
En approchant tout doucement, elle devina qu'il était à terre et que ces brutes le frappaient.
Elle se mis alors à trembler, ne sachant que faire, puis se decida à sortir du buisson, prête à foncer sur chacun d’entre eux ; puis elle entendit la voix de son frère hurler un "non" autoritaire.
Les orques portèrent tous leurs regards ver elle, et elle ce mit à fuir sur ce conseil..
Elle se fit poursuivre par ces barbares un long moment puis un la ratrappa et lui donna un coup dans les côtes.
Désemparée, elle cria et ne controlait plus la situation, il lui manquait son frère, alors l’orque la tabassa, lui montrant fièrement sa force..
Elle sortit sa rapière de son fourreau et lui planta comme un éclair dans le ventre, et l’orque moura sur elle.
Extenuée et incapable de bouger après cette ruée de coups, entendant d'autres orques la chercher, elle se laissa tomber et s'endormit dans les hautes herbes..
A son réveil, elle ne vit que la dépouille de son ennemi et elle pensa à son frère tout de suite :
"L’éclair ! le coup de l’eclair !" pensait-elle "Darnérabë !" Elle voulait lui raconter son exploit mais un vide nacquit au fond d'elle, elle savait qu'il n'était plus, elle fonda en larmes.....
Qu'est- ce qui avait bien put arriver ? pensait'elle ; puis à son grand étonnement, comme un signe du destin, c'est sur l’orque qu'elle vennait de tuer qu'elle trouva la lame de Darnérabë.
Elle eut de la peine, en pensant qu'il avait faillit là où elle avait triomphé...
Repartant ver le sud, elle decidai de retrouver les moines afin de méditer sur tout ce qui lui était arrivé.
Elle se dit qu’elle avait fait une bêtise en accompagnant son frère dans cette guerre qui fut finalement sans intérêt, puis pleura devant la statue d’Ilmater, lui demandant un pardon qu’elle jugait nécessaire.
Les moines la réconfortèrent dans son malheur, mais elle ne resta pas longtemps parmi eux, n'y trouvant plus sa place.
Partant là ou le vent la mennait, munie de deux rapières qui bientôt ne deviendraient qu'une seule, elle ne pensait plus à la vengeance, elle savait où ca l'avait mennée.
Elle décida de poursuivre un vieux rêve de son frère, ne faire qu'un avec la rapière.
Elle se souvint de ce jour où il lui montra fièrement sa lame, où il ricana, la voyant sortir une arme de moine.
"Qu'est ce que c'est?" disait il en riant
"Un kama, une arme légere et fluide, mais pourquoi tu ris?"
"j'ai jamais vu une personne se battre avec une arme aussi ridicule Adraraë !"
"La simplicité a parfois du bon" lui répondit-elle avec un sourire sage.
C'est là qu'il lui tendit une lame magnifique, une lame davantage digne d'une elfe, cette lame qu'elle avait toujours dans l’un de ses fourreaux et qui avait traversé les âges.