[Mort Rp][Entropiste][H] Braldhaar/Ezechiel/Narmor/Rogrûth

Chapitre XXXI: Et le masque retombe....

Je suis dans cette ville, au milieu de ces impies... Et ma puissance est certaine ! Tous ne voient que le masque... Les illusions n'ont pas besoin d'être magique, la réalité elle même en offre un si grand pannelle... Il est même inutile meme de les étudier, tellement la manipulation et les déguisements sont simples. Je me ris sous leur nez, emportant leurs malheurs avec moi.... Petit apprenti que j'ai refusé sèchement, ou alors femme que j'ai emportée... Dorénavant, je suis libre.

Je regarde la marée de ces passants, fuyant dans la vie ce qu'ils ne peuvent reccueillir ailleurs, et se détournant sans même s'en rendre compte, des trésors qui se cachent sous leur pas.

Je suis le Maître du Jeu, et eux mes marionettes... Ils tournent et dansent au gré de ma volonté... Mener le monde est si simple et demande si peu de titre pompeux. Gloire au Soleil Noir, celui qui nous offre la route de la maitrise...

Citation :

Dans la taverne, le Fils de N'Asr discutait avec un impie, un mage du nom de Revers et quis e croyait intéressant, lorsqu'une dame fit mention du nom d' Hamsahn. Elle laissa un message au serveur.

Le Fils de N'Asr, revenant sous une fausse indentité, se présenta comme étant Hamsahn. Il recu le message à la place de l'homme, sans pour aurant révéler son visage.

Citation :

Viven, je suis à Luskan. La dernière fois, tu étais à Leilon. Je suppose que dans la foulée tu as embarqué vers Padhiver. Je t'y rejoins le plus vite possible.

Nawlen.

Il s'agirait de faire surveiller ces personnes... Un mot cacheté part vers le temple, un juge emportant les éléments pour la Volonté Noire. Cependant le temps du voyage est long de Luskan à Ruathym.Le Fils de N'Asr avait eu une longue journée... Très longue journée. Mais il était fier de lui.

Après avoir sournoisement ramassé le mot laissé trainé par la femelle putride à l'auberge. Il se mis en recherche de cette même femme, pour l'approcher. Il savait qu'elle irait à Padhiver, et il se rendit donc à la porte sud. La bas, attendant après le passage de sa future victime, Cyric l'illumina. Un moyen de transport ! Il partit vers le nord, vers les écuries, pour se renseigner au sujet des convois éventuels qui seraient partis de la pour Padhiver.

Aucun convoi. Il jouait de malchance ! Le Fils de N'Asr ne pouvait tolérer celà. Rentrant en ville, énervé par cet échec, il tomba nez à nez... avec sa victime ! L'Unique ne l'avait pas oublié, il voyageait dans ses pas ! Elle était tranquillement en train de discuté avec une brute épaisse pour négocier une escorte vers Padhiver.

Prétextant avoir du travail dans la ville du sud, il se proposa pour les accompagner. Se mettant en route, Nicolas, le petit apprenti de Rogrûth, les rejoignit. Trop collant et trop indiscret, cet enfant était de plus énervant et risquait de mettre en péril la bonne menée de l'affaire. Le mage noir n'était pas au bout de ses pensées machiavéliques...

Sur le chemin, il se renseigna au sujet de la femelle putride. Il apprit rapidement qu'elle était l'apprentie d'un archéologue en artéfact puissant. Ce même archéologue s'appelait Vivien Hamsahn. Elle était partie à Lorgol pour lui rapporter un objet, pour lui prouver sa compétence dans le métier. Mais il semble que cela fut une initiative de la part de la jeune fille, vexée par une remarque de son maître sur sa "nulité".

Au sortir de Luskan, le Fils de N'Asr, sous le nom de Rogrûth, prétexta qu'il était idiot d'aller à Padhiver pour rencontrer Vivien. En effet, le rendez vous entre la Femelle Putride et le Professeur Ignare était dans la cité de Luskan... Et si le Professeur avait déjà quitté Padhiver, le groupe risquait de le croiser en chemin sans le rencontrer. Au court de cette discussion, le chien d'apprentit énerva la grosse brute épaisse qui servait de garde du corps... Suite à cela, le Fils de N'Asr en prit prétexte pour l'éloigner, le renvoyant de son service et ne voulant plus etre le maitre d'un morveux irrespectueux.

Une fois rentré à l'auberge de Luskan, le groupe prit des nouvelle au sujet du message que le Fils de N'Asr avait intercepté. Apprenant que son Maitre semblait donc être à Luskan, la femelle putride décida de l'attendre, et Rogrûth se proposa pour lui tenir compagnie. Lui ayant fait peur quant à al possible mort de son Professeur pendant le voyage (briguands et autres dangers,...), lorsque le mage noir lui proposa un verre, elle répondit immédiatement qu'elle désirait de l'alcool fort.

La saoulant petit à petit, le Fils de N'Asr apprit très vite que l'artéfact en question était convoité par les drows. Cet objet aurait la puissance de faire tomber la nuit, couvrant ainsi cette race inférieure des ténèbres qu'elle chérit tant.

Profitant d'un bagarre de taverne pour éloigner le garde du corps, Rogrûth alla coucher sa victime dans l'une des chambres de l'auberge. Il discuta encore longuement avec elle, lui promettant de l'aider, de lui fournir un objet magique pour la sauver de la colère de son maître... En échange de quoi, il apprit que l'artéfact était gardé dans la cité des Duergars... Dans les marais de Trugar... Il obtint aussi d'elle la promesse qu'elle se rende au port le lendemain... Pour recevoir son cadeau... et partir pour Padhiver... Trop saoul, elle ne se rendit pas compte de la contradiction !!! La chienne.... Ensuite Rogrûth descendit... et se fit remarquer dans la salle de l'auberge avant de sortir.

Le lendement, elle rencontra un homme habillé tout de noir. Peu de temps auparavant, cet homme était rentrer dans une des tavernes mal famée du port, et avait commander à un équipage de pirates cyricistes, de se tenir prèt.
La femme se réveilla et se rendit au port, suivie par cette ombre, habillée tout de noir, ne cherchant pas spécialement à se cacher. L'ombre se tint soudain dans le dos de sa victime... lui proposant de monter à bord. Sans méfiance et avec la tete bourdonnante sous l'effet de l'alcool, elle obéit...

Le navire quitta alors le port, dans la plus grande discrétion, navire de pèche comme les autres... Mais à son bord, une silhouette noire, sombre et inquiétante se profilait derrière le bastingage. Il s'entretint un moment avec le capitaine... et se fut la ruée. Les marins molestèrent la femme, la violèrent, déchirèrent ses habits... Mais toutes ses possessions autres furent mises à l'écart. Aucun n'osa y toucher... Le Fils de N'Asr l'avait ordonné.

Sous sa capuche, dans l'ombre, le masque en chair flétrie fixait l'esclave maltraitée. La machoire de fer du masque, ornée d'un Soleil Noir immonde et batard, brillait sombrement et tracait le destin d'une nouvelle vie. Sombrement, l'esprit machiavélique réfléchissait à sa future entrevue avec Sa Tres Sainte Volonté Noire.

Une fois que les marins eurent finit, il ordonna qu'elle soit gardée en vie. Elle devra être enfermée dans uen des geôles du temple. Chaque jour, un gardien aura droit de lui rendre visite... Mais personne n'aura le droit de la tuer, sous peine de passer à sa place dans les geôles et de devenir sujet d'expérience pour le Fils de N'Asr. A ses simples paroles, les marins s pétrifièrent... Puis s'activèrent pour amarrer le bateau aux quais...

Posant le pied à terre, Braldhaar regarda en direction des montagnes, sachant pertinemment que cette fois encore, il serait récompensé.

Citation :

Noire Couronne,

Je ramène des informations capitales. La prisonnière m'a tout avoué, non pas sous la contrainte, mais en se laissant bercer d'illusion. Notre Maitre Cyric est l'Unique, le Dieu de l'Univers. Sa puissance a encore été démontrée.

Vivien Hamsahn est un archéologue à la recherche d'artéfact magique puissant. Peu importe qui il est pour le moment, ce qui compte, c'est ce qu'il cherche. Il est en ce moment au Val de Bise afin de trouver un artéfact qui permettrait de plonger dans la nuit une zône quelconque. Cet artéfact serait activement désiré par les drows d'Outreterre.

J'ai appris qu'il était situé dans la forteresse duergar des marais de Trugar. Une expédition devrait être montée pour examiner tout ces faits et découvrir cet artéfact. Je me tiens prèt à l'étudier en détail.

Le Fils de N'Asr,
Maitre des Arcanes de l'Unique.

Chapitre XXXII: Seuls...

Le Noir Chambellan n'était pas souvent la. Ses affaires dans le nord le gardait souvent prisonnier de sa présence. Dans le temple, la Noire Volonté avait reparu après ce long temps de prière, puis elle avait disparu à nouveau... Il était seul, le plus haut gradé, au commande du plus grand temple de Cyric de la région. Cette occasion ne pourrait se revoir. Il fallait tenter quelque chose... Mais le temps devait venir calmement, l'ardeur et l'envie de pouvoir ne faisait que se détruire d'elle même si elle n'était pas convenablement nourrie, jour après jour, avec patience et âme.

Citation :

Je suis le dernier de l'Ancien Monde. Même le Chambellan ne peut s'en réclamer... Pourtant, il n'est pas idiot, ni inculte ! La Volonté nous délaisse pour ses prières, soit... Mais cela ne jouera pas à son avantage. Les fidèles murmurent... Les fanatiques s'interrogent... Le ton couve doucement sous la cendre de l'Unique. Je suis le dernier au temple, je dois choisir mon camps ! Mais lequel ? Cyric, tu m'as toujours servi pour acquérir la puissance et la force, encore maintenant, je suis sûr que tu guideras mon choix. Ce choix crucial qui doit s'exercer sans faiblesse et sans faillir.
Il n'est pas encore temps d'agir... La confiance des fidèles est encore trop grande, et peut être est elle encore justifiée. Le future nous amènera un chaos certain, lutte de puissance, ou un calme profond, maudissant les paiens et les Chiens d'Infidèles.

Se retournant doucement sur son trône, il demanda à un juge d'avancer. Ce juge qu'il avait reçu en cadeau pour espionner ses propres faits et gestes. Mais il en était bien conscient, cela ne pouvait que le servir.

Juge, gagnez les appartements du Gardien de la Vérité et apportez lui ce message. Le Cyrinishad doit être apporté ici au plus tôt.

Et le juge s'enfuit au travers des couloirs, porteur d'un mesage du bonheur éternel.

Chapitre XXXIII: Le retour au sommet...

Citation :

Le temple de Cyric était calme. Très calme... trop calme...

Citation :

Chambellan Noir,

Venez au temple de l'ile. Les choses bougent et le futur du culte prend forme... L'assurance et les rumeurs doivent enfin faire silence...

Le Fils de N'Asr.

Le chambellan était venu en grand secret. Le Fisl de N'Asr l'avait fait installer dans la Salle du Conseil Noir... Puis les tambours avaient commencé à raisonner. Les portes du laboratoire s'étaient ouvertes à la volée et le Fils de N'Asr en était sortit, accompagné d'une armée de morts vivants et des quelques entropistes qui lui étaient les plus fidèles.

Ils marchèrent en procession au travers des couloirs, tuant sur leur passage certains Fidèles. Ils procédaient méthodiquement, attendant le salut du Fils pour frapper... Si le magicien détournait son regard au dernier moment, la victime était épargnée... Et prenait place dans la file des suivants, qui devenait importante...

Le cortège sanglant se dirigea ainsi vers la chappelle principale du temple. Le Magicien Sombre gravit les quelques marches menant à l'autel et s'adressa alors à la foule des fidèles...

Fils et Fille du Mensonge, voici le jour du renouveau, le jour ou la Foi de l'Unique repart de plus belle pour briller sur le monde...
Je suis le Chancelier du Crâne, prosternez vous... Vibrez maintenant au son de ma voix et ne vous opposé pas aux commandements de l'Unique. Ainsi que l'a désiré la Volonté Noire...

En effet, elle est repartie pour l'Amn, en Guerre Sainte, laissant derrière elle la Sainte Parole du Soleil Noir, pour notre accomplissement à tous.

Mais avant de partir, elle nous a envoyé son remplaçant. La Nouvelle Volonté Noire de l'Unique...

Jaillissant des ténèbres, un prêtre en armure d'obsidienne et de pourpre se présenta devant tout le monde... Et clama sa Foi et sa Force. Le temple louait la grandeur du prêtre, accompagné du Grand Arcaniste, pendant que les Fidèles rassemblaient les dernieres personnes de la liste que l'ancien Fils de N'Asr avait dressée...

Descendant des marches, le nouveau Chancelier incanta longuement, dans la langue des abysses... et lâcha le cri des morts. Les corps des prisonniers se convulsèrent et tombèrent comme des mouches, restant inanimés au sol, leurs âmes parties rejoindre les souffrances éternelles auprès de l'Unique.

Toute cette journée fut marqué par le sang. Le Fils de N'Asr avait organisé longuement la chose... Tout les fanatiques de l'ancienne Volonté avait été passés par le fil de l'épée, ou par la noirceur des sorts maudits. Le pouvoir avait été repris en main... La présence d'un commandeur pouvait désormais se faire sentir au sommet du temple. La main de fer était de retour, pour la gloire de l'Unique. Les rumeurs au sujet de la faiblesse du pouvoir avaient cessé. Les doutes au sujet de l'ancienne Volonté Noire étaient dissipés. Plus personne ne doutait d'elle, ni du pouvoir qui menait les vrais croyants vers la victoire...

Le Soleil Noir renait toujours des ténèbres...

Citation :

Enfin... J'attendais ce jour depuis si longtemps. Personne ne montrait le cran nécessaire pour aller de l'avant. Il fallait bien que je me prenne enfin en charge moi même. L'Unique mérite que les forces qui le servent soient fortes et compétentes, qu'elles avancent dans la sagesse et le bon sens qu'Il nous inculque... Un commandement vide est une abherration... des incapables à la tête du temple est une grossière erreur. Maintenant tout rentre dans l'ordre. Nous pouvons enfin avancer de façon coordonnée et logique... vers la force et la victoire !

Gloire à l'Unique et au Prince des Mensonges...

Chapitre XXXIV: Le pouvoir....

Le Chancelier du Crâne était de retour. Les ordres furent rapides et clairs, ceux qui y désobéissaient mourraient. Il avait de nouveau en main les rennes du pouvoir et les manipulait avec dextérité. Il savait quel chemin il devait éviter à l'avenir, son expérience passée le lui ayant enseigné clairement.

Le monde bougeait. Le chaos se multipliait toujours sous son règne. Par le passé, il avait orchestré la débandade de l'Alliance, qui se pensait si unie et si puissante, et l'avait complètement ridiculisée dans sa capture de l'Ile Ecarlate. Les débuts des fissures avaient commencé. Mais il n'avait pas encore atteind le sommet de son art.

Il avait fait complètement réaménager le laboratoire du temple. Certes petit par rapport à celui dont il disposait à l'Aranea, il suffisait amplement pour causer la mort et la destruction de ses apprentits irrespectueux. Pendant nombre de jours, il avait travaillé dans les ténèbres, chassant quiconque osait pénétrer dnas son lieu de réclusion. Puis les ténèbres s'étaient ouvertes sur le reste du temple...
Désormais, la magie était glauque et gluante, les énergies puissantes donnant l'impression d'étouffer à chaque mage qui tentait de les utiliser. Les sombres paroles qui avaient été prononcées par le Chancelier du Crâne laissait la peur suinter de tous les murs du laboratoire. Le Mal Incarné avait commencé à envahir ce lieux désormais plus que maudit. Au centre du laboratoire, un pentacle avait été préparer. Les runes étaient appausées, sauf les dernières, celle qu'il était le seul à connaître.

Il savait comment parfaire son oeuvre. Cependant, le monde extérieur ne pouvait être négligé encore... Les choses bougeaient de tous les côtés, le nord s'enflammait pendant que le sud se consumait. Nul ne pouvait ignorer la présence de Cyric dans ses propres rangs.

Etendant la main, le mage regarda la portée de son corps, puis il repensa à la portée de son esprit. Sa volonté avait changé le cours des choses... Elle portait désormais du nord au sud, et de l'est à l'ouest, aussi loin que pouvait porter son esprit...

Citation :

Tous sont sous mon emprise, même si ils ne le savent pas encore. S'opposer à moi est la logique même, mais de part cette même logique, ils me servent sans le savoir. Je suis ce que je veux être et le monde qui m'entoure est tel que je le façonne. Ceux qui me servent me sont utiles, et ceux qui s'opposent le sont encore plus. Par cette même opposition, je prends ma force et ma présence, car je prouve au monde et à ceux qui me suivent l'étendue même de ma puissance. Ainsi le monde ne se manie qu'en y étant opposé sciemment, mais intelligemment. L'Unique sait que dans le conflit, le pouvoir est le plus grand, car il s'exerce sur lui même...

Depuis quelques temps, Rogrûth, l'historien, inconnu ou presque du temple cyriciste, avait l'autorisation de prendre connaissance des archives même de chaque ville. Certes uniquement les évènements officiels et historiques, mais quelle aubaine ! L'analyse des faits passé démontre les cycles et les conflits non réglés. L'Histoire elle même, lue à travers les yeux réfléchis, peut fournir enfin la clé de toutes les guerres... Permettant de les arrêter, mais aussi et surtout, de les renforcer...

Citation :

Dans leur passé, je prendrai mon avenir...

Chapitre XXXV: La Toile se tisse...

Ce vieillard est inutile et aveugle. Je suis son "ami", je lui apporterai la rédemption. En effet, quel triste sort pour une vie menée dans la recherche d'une connaissance inutile. Elle ne l'a de toute façon pas offert de bénéfice.

Ce que j'ai fait, je l'ai fais pour le bien de la connaissance et pour le bien du monde. Je l'ai fait aussi pour l'avenir que nous possédons et l'emprise que nous nous devons d'avoir. L'autre nuit, en rentrant chez lui, mon "ami" est décédé, attaqué devant chez lui et dévalisé par une Ombre. Quel triste sort ! Ce monde est si cruel !

J'ai hérité de sa place de Grand Conservateur de la Bibliothèque de Mirabar. Ce fut facile. Je fut le seul et unique historien à creuser autant les recherches et les archives de la ville, me servant de mes connaissances et de mes appuis pour me débarasser des concurrents. Ils n'étaient pas nombreux et sans importance. Je ne pouvais que les surpasser. Désormais, les hérétiques sont à ma portée. Je retrouve l'étendue de toile que j'ai connu auparavant.

Cette elfe est également intéressante. Un projet de tour à Luskan, une renaissance de l'Ordo Arcanum... Une folie passagère, mais dans laquelle je me dois de me retrouver... L'Histoire se répète toujours, et à mon avantage. Gloire à Cyric, sa puissance est encore démontrée. Il nous offre toujours l'occasion et la force de traverser ses mystères et les illusions de la réalité, pour bâtir le monde après lequel nos coeurs soupirent.

Tuer... je dois encore tuer. C'est peut etre le point le plus fatiguant, mais pas le plus repoussant. La puissance s'obtient du bout des mains, la froide ardeur dans le coeur et les yeux près à entamer le geste suivant. Le corps est une arme non négligeable, mais la vie est une pression plus qu'intéressante. Je sais que je recouvre ce que j'ai perdu, mais je pense rassembler suffisemment d'éléments que pour posséder plus encore. Eowaren et les autres n'ont pas oser aller jusqu'au bout. Moi je vais faire les pas en plus... traverser le brouillard pour renaitre à la Véritable Existence.

Citation :

La réunion avec la Volonté Noire s'était bien passée. Il avait présenté tous ses projets, convenant des ordres à donner et des directives à prendre. Un entropiste vint interrompre le court de ses réflexions, lui apportant la nouvelle qu'une mage importante avait demandé audiance à la Noire Couronne.

Faisant prévenir la Volonté, le Chancelier du Crâne partit directement vers les cellules, écoutant le charabia que la femme avait à raconter.

Elle prétendait se nommer Vella, ancienne apprentie du Quel'Faeruk Rad'Ernt, archimage drow du nord, fondateur de la Tour du Sombre Pouvoir. Elle venait avec un plan qu'elle disait avoir fomenté avec cet archimage pour venir à bout du sud et des forces de Padhiver, ainsi que pour la conquète de toutes les terres de la Cote des Epées...

Cependant, dès les premiers mots, il s'avéra qu'elle ne parlait que de généralité, des babioles que les plus idiots des Vrais Croyants connaissaient sur le bout des doigts. Elle tentait vainement d'apprendre aux Etres Purs comment devait se controler les mensonges et les illusions, elle les insultait presque en ne faisant que récité les moyens que leur pouvoir leur donnait !

La Volonté arriva sur ces entrefaits, écoutant de plus en plus impatiemment cette femme baraguiné ses offres et ses plans les plus farfelus les uns que les autres. On entendait clairement qu'elle s'imaginait gagner son allégeance, alors qu'en fait, elle s'enfonçait de plus en plus... Elle aurait du savoir où elle était et à qui elle parlait !

La laissant aux bons soins des geoliers, le Chancelier du Crâne sortit avec la Volonté Noire pour discuter de son cas. Il revint peu de temps après, lui démontrant la puissance du clergé par son emplacement illusoire et réel tout à la fois. Il lui démontra que ses idées ne pouvaient rien lui faire gagner en ce lieux ou la conquète du monde n'est qu'une routine habituelle, car l'Unique est tout et le monde n'est rien... Ensuite, il lui exposa pourquoi sa vie serait sauf...

La folie qui l'avait guidé jusqu'en ce lieux maudit, avec des arguments inutiles vallait l'admiration des serviteur de la folie. Le Chancelier lui fit signer un parchemin écrit de sa main:

Moi, Vella, servant du Quel'Faeruk Rad Ernt, appause en bas de ce parchemin ma signature pour attester de mon allégeance au culte du Saint Prince des Mensonge.

Ensuite elle fut marquée du sceau de l'Unique, au fer rouge.

C'est alors qu'elle se redressa, fière, et devant tout les gardes présents, elle invectiva le Chancelier, les Cyricistes et par extension, le Prince des Mensonges lui même. Un tel sacrilège ne pouvait etre effacé, il ne pouvait pas non plus être pardonné. Levant un doigt tel une serre d'aigle, le Chancelier regarda intensément la femelle qui osait défier l'Unique. Son masque de chair humaine flétrie brillait sauvagement dans la lueur des torches vacillantes des prisons du temple...

Alors il prononça les mots terribles de la mort dans une langue ou seule la haine la plus intense peut s'exprimer. L'abyssal glissa le long des cachots, heurtant les oreilles déjà blessée des gardes des geoles...

Le corps de la femme s'effondra...

Son corps fut cruxifier au nord de Luskan. Avec son sang, il fut inscrit:

Trahir et Insulter Cyric dans son temple se payent !!!

Chapitre XXXVI: Une malédiction et un incapable...

Citation :

Une malédiction. J'étais frappé par une malédiction... Causée par deux incapables. Deux paiens qui avaient été envoyés par un mage payen pour voler une pierre magique dans une tombe ancienne. Et évidemment la tombe était gardée. Pendant qeu l'un se faisait téléporter ailleurs, nous reçument, la milice des routes, le frère Emilius et moi même, une malédiction des plus pénible.

Cet incapable de Paulo, le second frère, avait volé la pierre pendant que nosu étions toujours en train d'examiner la salle. Le sol s'est mis à trembler, des nuages de poison ont jailli, puis un crâne gardien a surgit et nous a maudit. Quelle dévaine en cette heure ou je devais rentrer au temple pour manifester ma puissance. Cela serait remis, par la volonté de l'Unique.

J'ai pu ensuite rencontrer le mage. Les gens de la Légion avait mis la main dessus, mais ils ne comptaient pas contre ma force de persuasion. Nous discutâmes longuement. Je le persuadai qu'il devait rechercher une contre malédiction pour moi. Je le convainquis que je possédais la pierre qu'il recherchait, alors que j'ignorais totalement ou se trouvait Paulo et cette pierre.
Le mage partit faire ses recherches pendant que je l'attendais à l'auberge. Je mis Emilius en sécurité, au port plutot que chez Garfaux.

C'est la que je vis alors arriver Paulo. Il comptait surement libérer sa soeur que le mage avait faites prisonnière. Hélas pour lui, j'étais présent. Rapidement, je lui mis la main au collet et l'entrainai hors des murs, lui présentant les faits suivant: je pouvais libérer sa soeur, je pouvais libérer son frère d'une malédiction dont il ignorait tout pour le moment, à la seule et unique condition qu'il me suive et rende cette maudite pierre à son propriétaire.

Dans sa crédulité, il me suivit. Nous l'emmenâmes donc, la milice des routes et moi même vers la tour de garde. Nous y retrouvâmes le crâne gardien, mais un étranger nous surpris. Un justicier de Heaume, le boiteux ! Il fut mis au courant du vol, et voulut tout naturellement couper la main du voleur. Je calmai ses ardeurs, le temps que la malédiction soit levée. Ensuite, alors qu'un demi orc de la milice voulait corriger le voleur "gentillement", je le livrai aux mains du fou de Justice. Le voleur en perdit une des siennes. Je prétextai ensuite auprès de la victime que je pensais que les circonstances aténuantes lui auraient évité toute punition de justice, entre le demi orc qui allait le battre et le rouer de coups et le chevalier. La prise en compte du fait qu'il ait été forcé à cette extrémité pour sauver sa soeur... n'aurait pas pu le sauver au yeux de l'étranger, mais cela, il l'ignorait. Moi je vois clair, je vois la vérité et le seul chemin lumineux sur lequel le monde marche !

Je ramenai ensuite Paulo en ville, lui jurant mon aide pour retrouver sa soeur. Je l'amenai à la taverne du port et le laissai seul avec son frère Emilius. Rentrant au temple, je fis mander les juges.

Avant de partir cependant, je pris ma plume et j'écrivis au mage:

Cher Mage,

Vos deux gredins se sont révélés plus intelligents que je ne le pensais. Ils m'ont repris la pierre. Je suis donc incapable de tenir ma part de marché envers vous. Vous êtes donc déliés des recherches à produire pour mon compte. Je suis obligé de prendre ma propre destinée en main.

Rogrûth

Au temple, j'envoyai nos meilleurs assassins éliminer les deux frères.

Chapitre XXXVII: Une faiblesse impardonnable...

Citation :

*âme sensible s'abstenir*

Je méditai dans le temple... Mes pensées étaient divinement menées notre Maitre à Tous, Cyric le Grand, l'Unique... Quand cette vieille femme vint encore me trouver !!!

En effet, l'Entropiste Eltyra s'approchait doucement, clopinant de sa démarche agée et fatiguée sur les dalles grasses du laboratoire miteux.

FRAPPEZ AVANT D ENTRER !!!

La vieille s'arrêta nette, penchant la tête et n'osant relever le regard. Elle semblait surprise de cette apparition devant elle et ne s'attendait surement pas à Le trouver là.

Je ne pensais pas que vous seriez ici sombre chancelier. S'excusa - t - elle.
Alors vous êtes vraiment STUPIDE! Sa voix claqua contre les murs de pierre. La foudroyant du regard, il ajouta:

Au rapport !!!

La vieille se mit à lui parler de son échec pour Lorgol. De sa faiblesse et du voyage qu'elle ne pouvait entamer par peur de mourir sous le climat rude du nord. Quelle faiblesse était prouvée en ce moment ! Celà ne pouvait se tolérer. Elle était déjà agée, exception étrange parmis les cyricistes, mais tolérée au vu de son talent divinatoire. Cependant, elle avait échoué à Lorgol et ses prédictions ne s'étaient pas réalisées. Elle refusait de se racheter, repoussant ainsi sa dernière chance de survie.

Le Chancelier lui tendit un vélin et une plume.

Ecrivez votre confession...

La vieille se mit à écrire. Pendant se temps, le Chancelier se porta dans son dos, profitant du temps pendant lequel sa concentration était attirée par l'écriture.
Lorsqu'elle eût fini, elle se retourna. Le chancelier leva une main, telle une serre d'aigle et la dirigea vers elle. Il lui dit:

Devin, vous savez ce qu'il va se passer, n'est ce pas ?

Oui, je le sais...

Prononçant une courte incantation en abyssal, le Mage Noir invoqua des tentacules de l'enfer. Celles ci se précipitèrent sur la vieille et l'écrasèrent lentement, mais sûrement. Dans des gargouillis immonde, le corps se déchiqueta et la cage thoracique finit par exploser, laissant le sang couler sur les dalles grasses du temple.
Sortant un couteau à pointe rouge et maudite, le Chancelier s'avança jusqu'au cadavre. Il planta la lame dans la gorge et arracha la tête du corps. Il évida ensuite cette dernière, arrachant un oeil et le cerveau. Revenant vers l'autel, il découpa le vélin grossièrement, laissant à tout lecteur pensé que le vélin avait toujours eu cette forme.

Seule les paroles de faiblesse sont importantes, les autres ne sont qu'une illusion. Elle avait quitté la voie de la Vérité et ne peut donc prétendre vouloir tromper Sa Volonté digne et toute puissante. Qui le pourrait d'ailleurs ?

Ricanant sombrement, il enfonça le reste du vélin dans la tête de la vieille. Il jeta dessus un sort de conservation nécromantique et quelques autres sorts particuliers et la fit porter dnas les appartements de Sa Volonté.

Celle ci trouverait un cadeau digne du plus grand intérêt à son retour.

Eltyra a écrit:

Mon corps est faible...

Chapitre XXXVIII : Dans le sud...

Longtemps après les évènements du nord, Braldhaar avait repris le chemin de l'Amn. Passant par l'Anauroch, il avait travaillé pour le culte, ravagé et assassiné... Puis avait trouvé un temple dans lequel mener ses expériences... rapidement, il avait mis à profit son passé pour étendre sa Toile...

Une araignée sombre était née au sein du Soleil Noir... et cette Araignée de Ténèbre ne restait jamais inactive...

Citation :

*Loin en Amn, un homme court vers une porte noir, ornée de crânes et de chair décomposée...*

- Maître,...

- Tu oses me déranger !? Qu'apportes tu donc pour prétendre pouvoir interrompre mon travail !?

- Une missive des ombres du nord...

*Le mage, habillé de robe noir et pourpre, un masque en peau de chair flétrie, une machoire de faire à la place de la bouche, prit le parchemin et le lut rapidement... Puis vint le silence... Ce silence pesant et emplit de la sombre odeur de la mort... La laboratoire était plongé dnas une lumière rougeâtre, des corps lacérés pendant du plafond, laissant échapper des filets de sang sur le sol... Au sol, une femme était attachée vivante, et geignait, se tordant dans un bain rouge et noir...*

- Et c'est avec cette nouvelle que tu pensais pouvoir me déranger, insecte... Tu n'as donc pas encore compris que je le savais, qu'il était donc inutile de me le faire parvenir ?

- Mais... mais... Comment vous ... ?

- Tu doutes ? *le ton était tellement calme... si calme... calme comme la mort...*

- Non... Nnnnnn.... Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaargh...

- Débarassez moi de ce corps... L'Aube est en route... Et j'ai encore beaucoup à faire...

AHAHAHAHAHHAHAHAHAHAHAHAHAHA

Chapitre XL : Un retour...

Je dois de nouveau me rendre dans le nord... Ce nord dans lequel de sombres crétins ont fait tomber la digne réputation du culte. Les misérables...

Si je n'étais pas tombé en disgrâce auprès du Grand Prêtre d'Amn, j'eus pu refuser. Mais je ne pouvais pas... Sâletés d'apprentis. Ils ont juste été capables de rapporté les faits, plutôt que de se contenter de se taire, pour survivre.

Tant pis pour eux. D'ici mon départ, ils auront tous bu la soupe que je leur ai réservée. Mes secrets partiront avec moi, et RIEN ne pourra y changer. Je suis le seul maître de l'entropie... Je suis le seul a avoir survécu... et je survivrai encore et TOUJOURS !!!

*le mage partit d'une crise d'hystérie peu commune*

Faisons nos baggages maintenant... Il est temps de se rendre là où le Prince des Mensonges le désire... Puisqu'ici, aucune voie n'est permise...

*Plus tard, sur le parcours entre Eauprofonde et Luskan:*

Citation :

Une ferme au sud...

Dans les profondeurs de la nuit, en dehors de la cité de Luskan, la ferme sud, au delà de la rivière, avait prit feu. L'incendie ne se vit de ville que trop tard cependant. Mais des évènements étranges s'étaient également manifestés.

Des ombres était sortit un mage. Lentement, la silhouette du vieil homme s'était approchée de la masure. Il avait frappé à la porte, et les deux paysans avaient malheureusement ouvert à l'inconnu. Son masque était blanc ouvragé, ses vêtements portaient les traces d'un long voyage à pied, mais son allure laissait à penser qu'il connaissait les manières des nobles.

Merci pour votre hospitalité, mes bons amis...

Une fois que les habitants de la maisonnée s'étaient assemblés dans la salle commune pour la veillée, ils prièrent le voyageur de leur conter une histoire des lieux lointains. Alors le magicien prit la parole:

Il y a longtemps, dans ces sombres terres, un homme vivait dans la ville de Luskan. Tout le monde le connaissait sous le nom d'Ezechiel. Il était l'un des plus grand mage de la région, fondant en compagnie de maître Myriolyst, la tour de l'Ordo Arcanum.

Les pères de vos pères gardent toujours ce souvenir bien vivace au fond de leurs âmes. Cet homme, Ezechiel, devint le premier gardien de la magie de Luskan. Mais on dit qu'il était fou.

Un jour, sur un coup de folie et de déraisonnement, il leva une puissance noire et maléfique au centre de la place de Luskan. Ses paroles hurlèrent la mort, et les habitants de la ville tombèrent par centaines, fauchées dans leur élan par la puissance mortelle du sortilège. La garde mit peu de temps à réagir... peu de temps... Mais elle ne sut jamais que cet homme avait été ramené à la vie.

Le magicien retira alors son masque, laissant appercevoir un visage que personne ne reconnu. Les marques des cicatrices de ses brûlures acides effaçaient ses traits à la perfection...

Le mages sembla sourire à la vue des visages qui ignoraient totalement son identité.

Votre mort... est à votre côté, misérables humains !!!

En quelques mots, un cri d'outre-tombe jaillit dans la fermette. Les habitants tombèrent tous, fauchés par le souffle mortel.

Ensuite, ressortant de la maison, le mage lança quelques autres sorts de flèches enflammées... et la masure prit feu. L'un des sorts cependant n'eut manifestement pas l'effet escompté. En pleine nuit, un rayon de soleil s'abatit sur la ferme... Heureusement, les observateurs étaient trop loin que pour voir la silhouette voûtée, déjà presque rentrée parmi les ombres du bois...

Dans les ruines de la ferme, un bout de parchemin n'avait manifestement pas pris feu... Dessus, quelques mots pouvaient se lire...

Humains, le Chancelier du Crâne vous adresse son bonjour...

Une silhouette entra alors en ville, masquée de blanc. Elle se dirigea rapidement vers le port, entrant dans l'ancienne taverne qui l'avait jadis accueillie.

Les voleurs de la ville.

Dans la taverne du port, le Chancelier du Crâne retrouva l'ambiance familière du monde des voleurs. Il était arcaniste, mais sa fréquentation des clergés Cyricistes l'avait habitué à cette odeur permanente de mort et de danger. Il attendait donc, dans l'ombre de la salle, telle une araignée veillant sur sa toile.

Une femme se présenta à lui comme faisant partie de l'organisation qui détenait cette taverne. La manipulant aussi aisément qu'une plume, il se vit permettre de rencontrer le Masque...

Le Masque était l'un des grands patrons de l'organisation. Le Chancelier ne pouvait traiter avec un sous fifre, quoiqu'il se passe. Mais il ne pouvait pour autant pas se permettre de révéler son identité. Le Masque avait besoin d'une arcaniste, de toute urgence. Le Chancelier avait besoin d'un laboratoire. L'entente fut rapidement conclue... Sous clause de révéler leurs visages respectifs.

Ainsi, le mage, entrant à peine dans l'organisation, se vit être à peu près le seul à connaître le vrai visage du Masque, alors que les plus anciens l'ignorait eux-mêmes. Il avait ainsi scellé son emprise, ainsi que le danger autour de sa vie. Il le savait, mais il jouait avec aussi naturellement qu'il avait vécu toute sa vie dans la manipulation et le mensonge.

Il détenait également un pouvoir sur le Masque. Il savait ainsi qu'il avait un levier, une possibilité, une force... en plus que ses propres serviteurs !

Il dut cependant faire ses preuves. L'assassinat d'un petit juge de Luskan était sur la liste des opérations à mener. Il aida une jeune recrue qui semblait peu douée à mener à bien cette mission. Peu lui importait qui était ce juge, ou si cette recrue serait acceptée ou tuée. Ce qui comptait, c'était d'affermir sa position. Ce fut une victoire.

Dans le laboratoire auquel le Masque lui avait donné accès, il pouvait à présent convoquer ses serviteurs. Des fiélons mineurs, forts peu puissants, s'y manifestèrent alors couramment. Les contrats passés en Amn vallaient toujours sur cette terre du nord. Ses recherches avançèrent donc assez rapidement, aidé par ses agents.

Son principal allié n'avait pas encore été convoqué... Bien que plus puissant que les autres, il n'était pas non plus d'un grand intérêt en soi. Mais il avait son charme, et une apparance des plus amusante pour les mortels de cette ville. La peur et la violence pourrait ainsi laisser le sang couler, et le Meurtre s'exalter pour la gloire de Cyric !

Même les plus puissants tombent...

Quelle folie. Certes, Cyric est grand et fort, Cyric protège ses serviteurs... mais uniquement ceux qui lui sont vraiment utiles... Les autres doivent être forts, seuls.

Convoquer le plus puissant de ses alliés lui demandait des protections supplémentaires. Mais il avait oublié. Il avait oublié qu'il était le plus puissant, plus puissant que lui-même, ce qui signifie prévoir beaucoup plus de protection et être le plus malin... mais la folie fait oublier... Car la folie ne débute que quand elle se termine... Après tout, les commencements et les fins ne sont jamais que des chemins de traverses, ceux que l'on emprunte pour fuir la vie réelle et la vérité du temps. Mais qu'est ce que cette vérité ? Sinon rien qu'un ramassis de bêtises et d'idioties inventées pour rassurer les mortels au sujet de la cohérence de leurs existences.

Bref... La vérité n'est que subjective... Absolument semblable à un voile de brouillard, que l'on peut regarder de mille façons différentes... La Vérité, elle n'est que l'idée de celui qui l'écrit, rien de plus...

Et pourtant, il est vrai que désormais, il est mort et bien mort.

Le Mage, jadis Grand Chancelier du Crâne de l'Eglise de Cyric, avait oublié sa propre dangerosité... Etudier l'entropie, c'est bien, mais savoir qu'on est improbable est mieux encore. Il avait oublié qu'il ne pouvait prévoir ce qui se passerait chaque fois qu'il lancerait un sort... et là... Il l'avait vraiment oublié.

Il a tenté d'invoquer son plus puissant allié. Un balor déchu des Abysses. Certes, moins beaucoup moins puissant qu'un vrai balor... mais tout de même, cela reste un démon... Dans les abysses qui plus est... Alors pourquoi ? Pourquoi n'est pas une question à poser. Après tout, elle ne fait que tenter de refléter une réalité... Et ceux qui se disent "normaux" ne peuvent pas comprendre les réponses des "fous". Tout est une question de point de vue et de logique. Alors, la question "Pourquoi l'a-t-il fait ?" ne porte aucune réponse... Car elle ne serait pas comprise !

Mais il est sûr qu'il l'ait fait... Cependant, ce qu'il n'avait pas prévu... C'est que son sort serait perturbé... Aïe, hiatus !

Au final, c'est lui qui est allé rejoindre le démon et non l'inverse... C'est idiot, mais se donner rendez-vous dans les Abysses est en général mortel ! Est-il mort ? C'est tout du moins ce que l'on peut croire... Personne ne reviendra jamais pour le confirmer ou l'infirmer, mais le bon sens des gens du coin vous dira qu'il n'en reviendra certainement jamais. Enfin, de toute façon, il ne manquera à personne...

A moins que...

[Disparition RP de Braldhaar... avec quasi certitude de mort RP dans les Abysses]