[Port Last] Attaque meurtirère de la coalition du sombre...

Macabre découverte...

Le commandant Terenason etait en poste à Luskan depuis plusieurs jours. La fin de service arrivait, et il se prépara pour retourner à Padhiver en vue de prendre quelques jours de repos. Il sella son cheval et partit au galop en direction de l'avant poste allianceux de Port Last...
Après quelques heures de route, il atteignit finallement l'avant Post....mais quelque chose était inhabituel : la porte était ouverte, et aucune sentinelle ne la gardait.
"Hummm...que se passe t'il donc ? Ou sont les sentinelles en faction ?" se dit-il en son fort intérieur.
Il agita la bride puro ordonner à son cheval d'avancer.

Là le paladin decouvrit un horrible spectacle : tous les soldats de l'alliance, aussi bien Veilleurs que Templiers gisaient inanimés : la plupart etait empalés sur des pics et pieux en bois. Le commandant descendit de son cheval. Il tira l'une de ses épée du fourreau, et explora le sinistre avant poste désolé et sans vie, à la recherche d'éventuels indices. Il examina les corps de ses malheureux frères d'armes : Certains morts n'etaient même pas armurés ou casqués. "Hummm....l'attaque à du etre rapide pour orchestrer un tel carnage...L'ennemi devait être certainement supérieur en nombre : quelle tragédie..." souffla t'il à voix basse. Il murmura quelques propos, comme une prière à l'intention des soldats mort au combats : "puissiez vous trouver la paix auprès du Juste et de la Sainte Triade, vaillants militaires de l'alliance..."

N'ayant rien decouvert d'autre, il retourna à son cheval et songea : "Port Last ! le village n'est plus protegé !" . Le Chevalier du Juste enfourcha sa monture et lui ordonna, par le biai de plusieurs coups de talons aux flancs, de s'elancer en dehors du camp : un hénissement se manifesta ; Le cheval refusa d'obéir à son maitre pour une raison inconnue. "Bon, je n'ai pas le temps d'attendre que cheval veuille bien obéir : je vais continuer à pieds" pensa t'il. Le paladin laissa son cheval, le seul être encore vivant dans ce camp militaire délabré, et trotinna en direction du petit bourg côtier...

Sur le chemin, il rencontra la templière dénommée Kali. Il ne s'arrêterent que quelques secondes, puis il reprirent la route. Un cavalier en armure, qui portait l'écu du seigneur des batailles alla au devant d'eux, beuglant ces mots : "Pressons ! les lignes de défense ne tiendront pas longtemps !"
Quelques lieues plus tard, ce fut au tour du sir Aniriandel de monter le bout de son nez. Le paladin et le duride étaient content de se revoir, mais les retrouvailles furent très très courtes : "Vite, nous n'avons pas le temps : nous devons vite nous rendre à Port Last, amis" déclara rapidement l'elfe druide.

Alors que les quatres protagonistes continuaient de suivre le chemin menant au village de Port Last, le temps commença à se gâter : La bise se leva et la neige fit son apparition. "Il ne manquait plus que ca..." songea le commandant Templier.

Ils atteignirent enfin le bourg côtier : les deux gardes de faction étaient à terre, immobiles, et baignant dans leur sang. Le cavalier tempusien en tête, les compagnons pénétrèrent vivement l'enceinte du village...

(to be continued )

Comment cela est-il arrivé ?

La garnison de l'avant poste de Port Llast a été anéantie. Soldats, prêtres, magiciens, archers. Templiers, Veilleurs, Louves. Quarante personnes composaient cette garnison. Tous morts, aucun survivant. Certains furent même empalés sur des pieux après leur mort. Et pas un seul corps ennemi...

Tout ce qu'on sait, c'est que les hommes de l'Alliance ont trouvé hier le village de Port Llast aux mains des troupes de la Coalition. Chose exeptionnelle pour la saison, le village était entièrement recouvert de neige. Surement à cause des géants de glace qui accompagnaient les troupes gobeloïnes. Les combats furent terribles. La troupe de la Coalition fut finalement écrasée, mais à grande peine...

Le lendemain, la Matriarche marcha jusqu'à l'avant poste, accompagné de l'adjudant Hurault, du caporal Hervos et de quelques soldats. Il leur fallu quatre heure pour poser au sol les corps empalés qui commencaient à durcir sous l'effet du froid qui régnait sur la région.
Peu de temps après, des chariots arrivèrent en provenance de Padhiver. Les corps des combattants furent disposés dessus. Lorsque cela fut fait, vivants et morts prirent la route de sud...

Bataille à Port Last...


Spectacle singulier : la neige recouvrait le sol du village de quelques centimètres, et une bise soufflait légèrement. Pas un villageois ne semblait être aux alentours.
Le petit groupe avança...et tous suivèrent le chemin de terre menant au temple non sanctifié du village, celui-là même qui fut consacré à Aurile, il y a quelques années. Des bruits de métaux qui s'entrechoquent, puis des cris se manifestèrent : Des orcs et des Gobelours venaient de tuer quelques soldats de l'alliance. Ces derniers avaient courageusement tenté de résister à l'invasion des créatures sauvages et inhumaines...Un templier était vivant : il s'agissait du caporal DelaGardère : il etait encore debout et valide. Le Tempusien à cheval, suivit par le paladin Terenason, chargea les orcs pour aider le caporal.

Aniriandel elfe de paix, s'avança et commença son discours pour apaiser les orcs : "frères orcs cessez ce massacre, la nature n'est pas votre ennemie..."
Une onomatopée se fit entendre :"Ahhhuuuuuuhhhhrrrrr???!!!" . Rien a faire : les pouvoirs du druide, conférés par la nature elle-même n'avaient eu aucune effet sur le ramassis de peaux-vertes. Les orcs ne comprenaient pas, ou ne voulaient pas comprendre : ils charègerent le petit groupe. L'assaut fut repoussé, sans trop grande difficulté.

Une deuxieme vague d'envahisseur arriva : cette fois-ci des gobelours accompagnaient les orcs : ils etaient sept.
Le druide répéta l'operation précedente : il tenta d'apprivoiser les créatures inhumaines grâce à ses pouvoirs naturels. L'effet fut nul comme la premiere fois...Les brutes chargerent, deux etaient sur le commandant Terenason. Ce dernier réussit a trouver une faille dans la défense de son ennemi en face de lui, et le blessa, mais un autre derrière lui, le frappa à la nuque avec le plat de son épée mal concue. Le druide voyant cela, voulu s'interposer entre l'orc et son ami. L'echec fut total : Le paladin s'ecroula, assommé.

Il se releva quelques minutes après et aida ses compagnons, tant bien que mal, à finir les derniers agresseurs encore debout. Aerandir d'illmater avait réussit à entrer au village et s'etait joint au petit groupe de défenseurs. Hervos et kali étaient tout deux à terre, victimes de l'épuisement et de la sauvagerie des assaillants. Le Patriarche des veilleurs et le Commandant templier, n'etait plus très en forme, mais ils reussirent neanmoins à se concentrer pour évoquer les puissances conjuguées de Tyr et Illmater en vue de soigner les blessures de leurs deux compagnons à terre. De l'énergie bleutée émanait des gantelets de fer des deux chefs allianceux. Kali et hérvos étaient saufs, et leurs blessures se refermèrent à vue d'oeil. Toujours un peu sonné, le paladin de tyr, s'eloigna du groupe, pour s'appuyer contre une barriere de bois. Il lui fallait absolument récupérer.

Il n'en eut pas le temps : des orcs, des gobelours et des géants s'approchèrent : une troisieme vague d'une dizaine d'humanoides hostiles faisaient face aux alliés du bien. Le froid commencait à devenir plus mordent, et la bise semblait plus cinglante...
A l'approche des ennemis, les derniers defenseurs de Port Last se rassemblèrent. Aniriandel, druide pacifique et diplomate, essaya une derniere fois d'entamer le dialogue avec les orcs de la coaltion du sombre espoir, sans succes. Un des géant, le plus grand et le plus laid, ricanna. Il etait tout bleu, habillé d'une peau de bête, coiffé d'un casque à corne de mauvaise qualité et brandissait un lourd gourdin. D'un geste, il frappa le groupe et les défenseurs volèrent à divers endroits. La troisieme attaque venait de commencer...

Les lames s'entrechoquerent, le sang coula à flots...que dire de plus ? la mélée était terrible. Kali tenta d'evoquer la foi et balanca des flammèches et autres projectiles, a l'intention des géants bleutés. L'effet escompté se produisit mais les géants n'etaient que partiellement blessés. Orgueilleux, ils tenaient encore debout et raillaient le petit groupe qui leur faisait obstacle à la main mise sur Port Last.
L'agile Aniriandel se battait lui aussi, aidé de sa bâton de bois vert, et de sa Foi envers la nature.

Le Commandant Templier remarqua un géant-chaman, ou lanceur de sorts, qui posait beaucoup de problemes aux résistants, il se prepara et le chargea en hurlant.
Malheureusement, le géant-chaman, ne fut pas désequilibré par la charge, comme l'avait souhaité le paladin. Le colosse ne fut qu'a peine ebranlé, et il saisit l'opportunité que lui offrait le vertueux qui baissa legèrement sa garde, pour le transpercer. Le paladin fut empalé par la vulgaire épée du géant, et fut envoyé valdingué a une dizaine de mètre. Le commandant Templier, s'abbatit lourdement sur le sol et...ne bougea plus.
Les défenseurs humains faiblissaient sensiblement : peu d'entre eux etaient encore debout, et tentaient une maigre resistance face aux maudits de la coalition du sombre espoir, jusqu'a ce que...

(To be Continued, oui encore )

Que c'est stupide de ma part quelle erreur. Coralys s'en voulait de cette histoire.

Craignant que l'enfant qu'elle allait mettre au monde serait d'origine démoniaque et que des seides du mal viendrait le chercher, elle avait ordonné à ses troupes de choc, les Morsures, de revenir au camp pour protéger l'accouchement. Valérie avait aussi envoyé une escouade de Templiers.
Seulement voilà, l'accouchement ne donna rien, rien qu'un placenta. Pas d'enfant, pas d'attaque.
Elle avait envoyé aussitot que possible les Morsures à Port Last et elle même en pris le chemin dans une calèche. Elle voulait montrer qu'elle était là.

Arrivé à Port Last elle fût attaqué par un géant. Celui ci n'arriva jamais jusqu'a elle, criblé de flèches par les 5 Morsures qui constituaient la garde rapproché de Cora. Une fois à terre, le géant fût égorgé par une des Louves.

Le convois arriva alors pour voir le carnage. Angèle monta dans la calèche et le corps de Certas y fût déposé.
Ils se replièrent alors vers Padhivers.

Que s'est il passé ? Pourquoi cette attaque fût elle si dévastatrice ? Qu'elles seront les conséquences de mon accouchement ?

Autant de questions qui empechèrent Cora de fermer l'oeil cette nuit...



//HRP// Merci à l'équipe, c'était génial (et merci à Lise et Mel pour m'avoir briefé sur le rp accouchement parce que j'étais largué )