[Evolutif][Mage][H]Gaedynn Gelebraes

Citation :

Nom du compte joueur forum :Kroklegros
Nom du compte joueur module :KrokLeGros
Nom du perso :Gaedynn Gelebraes
Race :Humain
Sous race :Sans objet
Age :25 ans
Alignement :Neutre absolu
Religion : Mystra, sans aucune pratique régulière,
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) :Mage (5)
Arme de prédilection/domaines/école de magie :magicien généraliste
Langues :Commun, Aglarodan, Draconien, Elfe, Sylvestre
Familier/Compagnon animal :Kaysen, Pseudo-Dragon
Ennemis jurés (Si rôdeur) : Aucun
Trait de Caractère :
Gaedynn est un jeune homme plein d'entrain et de gentillesse, mais assez lâche, et un peu perdu dans ses études de magies. Il est souvent bien intentionné, mais pas plus fiable que ça. Pas rancunier, ni cruel pour un sous, il est ouvert à toute discution et à toute personne. Il est curieux mais prudent.

Description physique :
Gaedynn est un humain un humain plutôt grand, mais pas particlièrement épais, un peu vouté, avec une allure un poil pantouflarde. Les trais sont taillés à la serpe, les yeux marrons, les cheveux chatains toujours en bataille, il n'est pas vraiment beau ni vraiment laid.

Caractéristiques (Au niveau 25) :
FOR :10
DEX :12
CON :14
INT :16(19)
SAG :14
CHA :10(12)

Gaedynn et sa magie : Gaedynn est un garçon à l'intelligence brillante, qui comprend parfaitement ce qu'on lui explique sur le plan théorique. Mais il atteint de quelque chose qui ressemble à un bégaillement mentale durant l'utilisation formules. Il les retients et les utilises de façon subtilement erroné, menant souvent à des effets indésirables et indésiré si pas catastrophiques.

J'aime pas la fôret, il y a des bêtes....

Gaedynn est le premier et le seul enfant issu d'un couple mal assortis constitué d'une rodeuse humaine et d'un magicien Transmutateur demi elfe vivant au sein d'une petit communauté en bordure du Bois de Yuir. Ne portant aucune trace de son ascendance non humaine, ce fut un petit garçon un peu calme et malingre, bringebalé entre deux influences contraire. Pas vraiment remarquable au premier abord, Gaedynn ne fut jamais l'enfant dont on parlait le plus au sein de la communauté, toujours effacé par les personnalités plus colorés de ses quelques camarades de jeux

Son éducation fut tenaillé d'une part entre une mêre pragmatique et rude, désireuse de lui transmettre ses passions, et un pêre plus prompte à le laisser libre de ses choix.

Gaedynn n'aimait pas vraiment les marches en fôret lorsque sa mêre l'emmenait, dans le froid, le vent, la pluie les bois parfois effrayants dans les ténèbres et les animaux. Il en ramenait beaucoup de boue, de plaies et de bosses et de terreures nocturnes. Il passait l'essentiel de son temps à se plaindre, ou a faire manifestement preuve d'une lacheté indécrotable, poussant sa mêre dans ses ultimes retranchements devant son rejeton douillet, quelle finit par considerer comme lent et inutile.

A coté de ça, passer une soirée au coin du feu à déchiffrer ses premiers mots en commun, en elfe et en Aglarondan, ou bien se livrer à toute sorte de jeu d'esprit avec son pêre tenait du rêve éveillé et Gaedynn ne tarda pas à manifester une nette preference pour son paternel ainsi qu'une fascination toute particulière pour la magie de celui-ci.

Suffisement solicité et interessé, Gaedynn manifesta un esprit vif et aiguisé, dévorant l'ensemble des livres que son pêre lui mettait entre les mains.

"Il ne mord pas ?"

Vers ses douzes ans, à la suite d'une longue ballade de plusieurs jours avec sa mêre qui fut la dernière, Gaedynn fit un rencontre qui devait le suivre pour des années encore. Alors qu'il était encore à la traîne, perdu dans ses pensées concernant sa dernière lecture, il fut brutalement surpris en tombant nez à nez avec un gros lezard volant, dans les teintes rouges et bruns, dont les petites yeux pétillants le fixaient avec intensité.Gaedynn fit la seule chose censée qu'il avait retenu des leçons de sa mêre...
Intrigué par le jeune garçon, l'animal le suivait de loin depuis quelques temps, avant de s'attacher à Gaedynn. Aprés une tentative assez desespérée et déspérante pour pour grimper à un arbre, et sasn arriver dépasser les premiers cinquantes centimètres, quelques morceaux d'écorces entre les doigts Gaedynn finit par faire couragesement façe en se jettant aux pieds de l'animal pour le supplier de le laisser en vie. Il n'eut pour toute réponse qu'un petit rire moqueur qui tambourina dans son esprit, et l'animal fonça droit sur lui pour venir fouiner dans son sac à dos et lui dérober un morceau de viande séché.
C'est ainsi que Kaysen entra dans sa vie.Peu de temps aprés ses premiers pas dans l'Art, ils convairent de se lier.

Avec un comportement de chat, joueur, espiègle, appréçiant particulièrement rappeller à son maître ses erreures ou se gausser de lui lorsqu'il se prend trop au sérieux, il a instille quelques tendances plus spontanée et plus humble chez Gaedynn. Il a l'habitude de fuir vers l'abri le plus proche lorsque celui-ci se prépare à lancer un sort.

Premiers dans la grande méthode

Au cours des années qui suivirent et tout le long de son adolescence, Gaedynn commença à apprendre les rudiments de La Grande Méthode sous les instructions de son pêre. C'est ainsi que celui désignait l'art car aprés tout l'art est une méthode de modification et de manipulation des energies qui constituent la réalité. C'est un outil. Un outil magnifique et très puissant mais uniquement un outil qui peut servir de nombreux objectifs. Pour défendre l'Aglarond, par exemple. Ou bien par étendre son pouvoir personnel, comme le font les mages de Thay..

Aprés l'avoir vertement mis en garde car la voie du magicien n'est pas une voie de désoeuvrement et de facilité, il entama sa formation sur le plan théorique. Gaedynn n'eu aucun problème avec cette première phase.
Pour le pêre de Gaedynn, l'utilisation de la magie est avant tout une oeuvre de volonté et de précision. La maîtrise mentale des concepts et des idées constitue donc une base essentiel. Il faut pouvoir jouer avec, les manipuler mentalements, les tordres, tester à partir d'hypothèses et toujours rester sceptique quand aux simplifications. Savoir différencier ce qui est similaire en apparence en relevant les subtils diférences de chaque chose. Il n'y a pas de place pour les conceptions floues lorsqu'il faut manipuler la toile dans un mouvement quadridimentionnel qu'est le lancement d'un sort...

Car pour pouvoir pratiquer la Grande Méthode, et sans même encore parler de maîtriser il faut pouvoir utiliser La toile. C'est l'intermédiaire par lequel tout effet, et tout objet magique obtient son energie. Les formules visent à en manipuler les fils pour en tirer leur energie ce qui répond à une mathématique et à une géométrie particulière, et fluctuante en fonction des types de sort, de leur Ecoles.

Ces écoles correspondent à une répartition des effets magiques par similitudes de fonctionement et par destination. Gaedynn les considérent cependant comme différent moyen d'utiliser un même outil et non comme de véritables voies à part entières. C'est donc un touche à tout autant pour des raisons théroqies que parce qu'il semble aussi peu doué pour les uns que pour les autres en pratique, que par


Ce n'est pas que tu sois bête mon fils mais....

Gaedynn semblait avoir assimilé correctement les premiers élèments de la Grande Methode, et bien que cela lui ait mangé la plus grand partie de son adolescence, il appréciait assez le respect et la fascination que cela générait chez ses camarades. Il fut cependant durement rappeller à la réalité...

Son pêre commença en effet à lui enseigner quelques formules de bases. Enfin quelques. Obtenir une lumière pâlote grâce à un sort de lumière lui pris plus d'une longue année. Et encore, au lieu de flotter au dessus de lui, elle provenait de sa narine gauche. Il congela un grimoire rare et précieux avec un rayon de givre, s'assoma avec un sort d'hébetement, ruina un tapis rare et cher avec une aspersion d'acide, et eu finalement la mauvaise idée de faire de la télékinésie avec un poignard ce qui lui valut une des plus grande peur de sa vie lorsqu'il eut la maîtrise que l'on sait...

Ces nombreux échecs outre le fait d'affecter profondément sa confiance en lui, de le ridiculiser aux yeux de toute sa communauté finit par en faire une personna non gratta dans les lieux. Bien ennuyé et sans avoir compris les raisons des difficulités manifestes de son rejetton, son pêre l'envoya donc voir celui qui avait était son professeur, un vieux demi elfe vivant aux marches de Relkath.

C'était une personne agée, arrivant au crépuscule de son existence, un peu engoncé dans ses habitudes. Transmutateur comme le pêre de Gaedynn, il accepta de le prendre comme élève en compagnie d'une jeune et charmante demoiselle demi elfe du nom de Wydda Jacerry.

Gaedynn se trouvait assez isolé au Marches. Il n'aimait pas vraiment les lieux, ni les bois, ni la ville, ni les gens. Il s'enferma quelque peu dans son travail.

Assez peu directif, son professeur laissa ses élèves l'observait au travail. Gaedynn dévora tous les libres à sa disposition. Le laboratoire de son mâitre étant le seul endroit ou il se trouvait assez bien, il finit par se mettre de lui même à apprendre quelques bouts de différents artisanats que son professeur pratiqué, un petit peu de forge, de travail du bois, de couture. Il apprit diverses choses sur la manipulation des métaux précieurs tels que l'acier, le bois de fer, et des matériaux rares, leur propriétés, leur mode de rangement, leur évolution possible.
Cependant, son maître se révéla incapable de trouver l'origine des difficultés pratiques de Gaedynn.Il s'améliora un peu, et quelques sorts finirent par fonctionner correctement. Travaillait au coté d'une autre élève ne fit que les souligner un peu plus. Au bout de cinq longues années, lorsque Wydda quitta son maître pour partir en quête de son propre avenir, Gaedynn plongea dans un profonde déprime lorsqu'il obtient une lumière quasi stroboscopique avec un sort du même nom.

Le monde est vaste...

Ne voulant pas le chasser séchement, mais ne sachant que faire de lui, son professeur finit par l'approcher avec ce discours « Gaedynn, le monde est vaste. Et vous avez trop de talent à exploiter pour que je vous laisse les enterrer ici. Allez le parcourir. Il vous changera, autant que vous le changerez. »

Gaedynn prit donc ainsi congé de son professeur, et quitta le pays, avec comme objectif de traverser la mer intérieure, puis de rejoindre la Sembie. Ensuite il verrait bien. Son bateau n'atteint jamais l'autre rive. Il fut capturé par des esclavagistes, revendu à une vieille Loviath dans la cité de Hlondeth, qui escomptait en faire son gigolo particulier, mais réussir a s'enfuir avant d'en garder autre choses que des longs et douloureux cauchemards.
Il devint brièvement le dieu vivant d'une petit tribut gobeline dans la forêt séparant le Turmish des plaines étincelantes, aprés les avoir très impressioné par sa magie tandis qu'il tentait de les détruire. Emerveillé par la situation, il déchanta très vite lorsqu'ils lui offrirent le coeur (littéralement) d'une des filles du chefs pour son diner, bien cru.
La grâce de ses sandales ne finit de grandir dans son estime, tandis qu'il traversa plusieurs petits villages ou un usage de la magie mêem mineure faillit lui valoir le bucher...

Le périple qui le mena jusqu'a Luskan fut encore long et semé de péripéties cruelles. C'est un jeune homme a bout de tout, de courage, de force, d'argent, et de santé mentale qui arriva à Luskan...

Extrait du journal de Gaedynn

Voilà quelques temps

Enfin bref. Je suis à Luskan. Je ne suis même pas sur de connaitre. C'est une cité, plutôt grande, acceuillante bien que pluvieuse. J'y ai fait un rencontre étrange, à l'entrée de la ville. Une jeune dame bizarre, avec un gros matou et une queue. Une tiefeline... J'ai tenté de lui faire peur avec mon numéro du grand mage tout puissant en despoir de cause, mais elle n'a pas vraiment eu l'air convaincue ou impressionée.

Elle se nomme Anika. Elle est très aimable. Et je ne dis pas ça a cause de son décolleté quoi que puisse en penser Kaysen. Une chance donc elle connait une myriade de choses sur la ville.

Hmm mon pauvre Kaysen d'ailleurs, il n'a pas put rentrer en ville.

Enfin j'ai trouvé une affiche concernant un certaine Arya Lyonar qui cherche un apprentis magicien. Interessant Je lui ai envoyé une missive par l'intermédiaire de l'aubergiste.
A voir donc...

Extraits du journal de Gaedynn
****
Il pleut tout le temps ici. C'est même ce qu'on m'a affirmé. Pourtant j'ai faillit bruler vif. Aprés une invitation inpromptu, j'étais en train de siroter un thé avec ces trois personnes étranges dans l'auberge de Garfaux, Nayel une femme masquée, Venuva une autre tiefeline, mais contrairement à Annika il me semble avoir oui que son ancètre est un Diable. Elle a une opinion assez vexante des hommes. Je ne suis pas sur de vraiment l'apprécier. Mais c'est également une barde et elle a commencé a jouer pour nous inciter a danser.

Porté par la musique, j'ai donc invité la jeune fille totue timide qu'était Mellisande à danser. J'étais bien, malgré les pieds de la jeune dame qui venait écraser rythmiquement les miens. Et puis j'ai eu cette idée stupide de tenter une pyrouette arrière. A coté d'une cheminée. La main du destin m'abandonna et je finis par m'encastrer dedans.
Mais le sort s'acharna encore sur moi lorsque la demoiselle bascula a son tour, venant me coincert sur le foyer, me condamnant à un destin de vulgaire saucisse.

Heuresement, mes mises en garde, très dignes malgré la situation critique finirent par alerter mes compagnons et je put m'extraire du feu. Gardant la tête froide malgré mon arrière train brulé, je fonçais hors de l'auberge pour aller me jeter dans la fontaine sur la place, manquant de m'assomer sur la pierre froide du bassin.

*****

J'ai reçut une réponse d'Arya Lyonar. Elle désire me rencontrer et nous devons fixer un rendez vous. Elle me demande de refléchir à ce que je souhaite comme enseignement.
Hmm alors voyons, quelqu'un qui ne me demande pas de jouer avec des zombies, qui prenne un peu de temps pour m'apprendre des choses et qui comprenne mes difficultés. Ca ca risque de poser souci. Mais je ne me vois pas mentir, ça se verrait de suite...

C'est donc l'esprit préocupé que je suis sortis de la ville pour aller rejoindre mon ami Kaysen. Il était très heureux de me voir, gazouillant, et réclamant une séquence de jeu. C'est alors qu'Annika est arrivé. Elle a joué avec moi Kaysen, aussi surprenant que cela puisse paraitre...

Nous échangeames quelques démonstrations de magie. Enfin, surtout moi. Je l'impressioné en réalisant un superbe effet pyrotechnique, de jolies couleurs roses, bleu, violette jaillissant de partout dans les airs. Pour une boule de feu qui visait un caillou sur la route au sol, ce n'est pas vraiment une réussite, mais bon, on fait ce qu'on peut hein...

Nous avons ensuite discuté de chose et d'autre, j'ai pu visiter les instalations de la légion, une puissante organisation mercenaire de la région dont Annika fait partie.

J'ai également eu l'occasion de voir l'impressionante collection d'objet magique et de souvenirs en vrac de la demoiselle. J'aurais pu passer la nuit à en faire l'inventaire. Des pièces uniques rares et précieuses... C'était tellement interessant qu'il m'a totalement échappé que ce n'était peut être pas la raison de ma présence ici. La réalité me prit de court. Pas désagréablement non, du tout, mais c'était parfaitement inattendu...

*****

J'ai eu aujourd'hui ma première rencontre avec Arya Lyonar. C'est une demi elfe, qui n'a pas vraiment l'air d'une magicienne. On dirait plutot un artisan. D'ailleurs c'est ce qu'elle est, également, d'aprés ce que j'ai pu comprendre. Elle a de très long cheveux roux.

Elle m'a abreuvé de questions, et j'avoue y avoir répondu avec la vivacité d'une courge aprés le passage dans la marmitte... C'était dramatique. Comme si d'un coup, toutes mes idées s'étaient éparpillés dans les airs. Elle m'a demandé de jongler avec des oeufs et des cuillères, tout en discutant. J'ai je crois, réussit.

Elle n'avait pas vraiment l'air emballé, mais elle a accepté de me prendre comme apprentit, même si il faudra d'après elle tout reprendre à la base.
Ce n'est pas plus mal. En tout cas nous voyons tout deux la magie comme un outil, pure et simple. Ce qui me fait me poser une question. Un outil au service de quoi ?
Il faudra que je trouve cette réponce.


Ce qui est aussi assez étrange, c'est que je ne sais pas ce qu'elle attend de moi. Je veux dire, elle ne m'a pas vraiment indiqué ou était son laboratoire. Nous n'avons pas d'endroit pour les leçons... Bref c'est un peu improvisé tout ça. Ce n'est pas un souci en soit, cela dit.

J'ai eu aujourd'hui ma première leçon aupréès de Dame Lyonar. Le simple fait de s'y rendre était une aventure en soit. En effet, Dame Leen, une demi elfe ensorceleuse extrèment curieuse nous a téléporté jusqu'a un endroit inconnu de moi. Dame Lyonar et Leen m'ont affirmé qu'il s'agissait d'un endroit non loin de Padhiver.

J'ai cru périr avant la fin du voyage, sentant mon être tout entier se décomposer puis se recomposer, déjeuner compris. Mon estomac délicat ne supporta guère un si dur traitement, je rendis à la nature ce qu'avait était mon diner dans le fil de l'onde fraîche qui passait par là....

Moi qui m'attendait à étudier au calme d'une pièce plongée dans la pénombre, emplie de grimoire anciens, ou un feu discret aurait diffusé une douce chaleur, et ou j'aurais eu une tasse de thé à la bergamotte et un pot de miel en main, j'était quelque peu déconcerté...

Adossé contre une pierre taillé, l'estomac noué, les dents sérrés, cramponé à ma pointe de charbon et à mon morceau de parchemin, c'est l'esprit envahit par les remarques ironiques de Dame Leen que je tentait de retenir les paroles de mon Professeur me parlant de la Toile.

Citation :

Leçon première : De la toile


La toile est le corps de la déesse Mystra. Elle est le filtre et l'interface par lequel les mortels ont accés à l'énergie magique. C'est au tavers elle que viennent puiser tant les magees, que les lanceursde sorts divins, que les objets magiques.

Son rôle est à la fois de brider la quantité d'énergie utilisable et de raffiner l'energie de façon à ce qu'elle soit stable.

La toile n'a pas toujours existé. Auparavant les mages puisaient directement dans l'énergie magique brute qui coule dans l'univers. Le pouvoir qui était ainsi à leur disposition rendait toute utilsation de la magie cataclysmique, menaçant la stabilité de l'univers.
La toile fut ainsi creé par les dieux pour proteger les mortels et eux mêmes de leur propre irresponsabilité.

Accessoirement, il me revient en mémoire une petite phrase de mon maître "Si il existe un seul connard capable de tirer sur la chaîne de la bonde, en evoyant Toril et tout l'univers à l'égout du même coup, pour voir ce que ça fait, alors celui là est un mage à n'en pas douter...

La toile recouvre tout le plan d'existence. Elle s'étend a de nombreux autres, mais il existe des exceptions. De même, il est sur cep lan des endroits ou elle est détruite. Ces zones sont nommés zone de magie morte. Non pas parcequ'il n'y a plus de magie mais sans la toilen les méthodes de magies que nous connaissont ne sont plus utilisables, donc la magie ne fonctionne plus.
De la même façon, il existe des zones de magies sauvages. La toile y est déchirée et elle filtre mal, les effets magiques y sont donc notablement perturbés et imprévisibles.

Durant toute cette leçon, Dame Leen ne cessa de venir m'enquiquiner à l'aide de sorts pour venir faire son interessante et je me surpris à me demander combien de mesure d'acide il me faudrait pour lui dissoudre convenablement les oreilles... Ou alors peut être qu'un simple coup de cisailles sur sa queue de cheval suffirait à la calmer un peu... Enfin,

Enfin, le cours terminait, Dame Leen prit le temps de me laisser une petite enigme. Elle me lança une gousse d'ail, et me demanda, avec son air de finaude "Que t'ais je lancé ?"
La réponce n'était évidement pas une gousse d'ail. Et pas plus dame Lyonar que moi ne semblyons avoir le début de la réponse. Ce fut donc une énigme à conserver pour plus tard.

A mon grand Damne, mon professeur m'abandonna au main de ma tortionnaire, qui me questionna encore. Et j'avoue que malgré son apparente espiéglerie se cache un esprit assez fin et empli d'esprit de responsabilité. elle me rappella, à raison peut être, que la magie est une chose sérieuse, avec des conséquences potentiellement grave. Elle m'interrogea sur mes raisons de devenir mage et sur ce qui pouvait m'amener à vouloir l'utiliser. Et je n'eu pas grand chose à y répondre.

Finalement qu'est ce qui me pousse en avant ? Hmm Je dois trouver des réponses. Et savoir pourquoi j'utiliserais de ce pouvoir que je possède...

Mon professeur s'étant absenté quelques temps pour passer à Leilon, je me suis retrouvé durant plusieurs jours livrer à moi même... Enfin pas tout à fait. J'avais pour compagnie un tas de parchemin acquis avec les quelques deniers que mon emploi de scribouillard m'avait permis de gagner.

Je les dévorais un à un, tentant de comprendre les formules arcaniques qu'ils contenaient, les équations et les indications. Occupation chronophage car c'était souvent l'oeuvre d'un arcaniste différents à chàque fois, et si de quelques styles pouvaient se ressembler çà et là, il me fallut comprendre par quel mécanique ils comptaient arriver à l'effet sus dit. La plus part des effets ont cependant une méthode classique pour être obtenus.

note rajouté : Même si il existe des moyens d'obtenir le même effet par d'autres mécanismes de manipulation de la magie, voir la version du sort de lumière developpé par Leen, qui est un sort de transmutation, car il altère la faculté de l'objet à refléchir la lumière plutôt que de

j'arrivais cependant à en recopier la majorité sur mon grimoire, sans totue fois pouvoir mettre le doigt sur la nature exacte de ce qui rendait un parchemin fonctionel. Mon prochain cours sur les schémas mentaux devait pourtant me donner la réponse.

Je pris soins de graver dans mon esprit plusieurs nouveaux sortilèges, retenant le mouvement sur les Lignes, les Cadres, les Axes et les Cycles que j'avais déduis parfois du charabia des parchemins. Lorsque j'eu finis je pouvais, juste en fermant les yeux, mon esprit et mon corps prêt à se tendre dans un même élan pour suivre la formule.

Quelques temps aprés je retrouvais Annika, la douce tiefeline qui m'attendait parmis les malfrats du Port Nord. Malgré mes baisers, la demoiselle eu l'audace de me rire au nez lorsque je lui parlais de ma toute puissance magique.

A raison sans doute, car nous sortimes de la ville pour régler promptement ce différents. Tendant ma pensée vers mes formules qui flottait à la périphérie de ma conscience, j'eu le déplaisir de voir successivement mes Projectiles magiques frapper avec violence les flocons qui l'entouraient, de voir mon incantation d'Abjuration venir la proteger et enfin je finis par m'électrocuter dans l'eau des douves, mon corps s'agitant par spasmes incontrolé.

Vivant, mais au sol, l'égo meutrit, et voyant une Annika penchée vers moi asses concernée, je décidait d'interrompre la session d'entrainement. Nous discutâmes de chose et d'autre, de ses soucis comme des miens, et fîmes un tour.
Et puis cela me frappa comme une évidence : Lorsqu'elle est là, j'en viens a trouver mes difficultés secondaires et a accepter l'idée que je peux vivre avec ça. C'est interessant. Comme si il n'y avait pas QUE ça dans mon existence. Il y a elle aussi.

J'ai eu mon second cour avec mon professeur, Dame Lyonar. Sans salle de cour ni plannification de nos rencontres, c'est finalement en attendant sagement à l'auberge de Garfaux Jr que je l'ai rencontré a nouveau. Nous avons pris place dans l'une des alcoves de l'auberge.

Mon professeur déploya un immense parchemin recouvert d'équations et de d'explications complexes, rédigé entièrement en langue draconnique et me présenta ceci comme "un schéma mental".

J'inspectais la chose avec suspicion, surtout devant la longeur du sus dit schéma. Quelque chose me disait que j'en reconnaissais des morceaux épars, de ci de là mais impossible de determiner exactement de quoi il s'agissait exactement.

Les schémas mentaux, comme me l'expliqua mon professeur sont en réalité ce que l'on nomme communément les formules magiques. Si ce n'est qu'il y a une erreure très commune dans l'esprit des gens, qui imagine que la magie, ou l'important se trouve dans la formule.

C'est partielement faux, pour être tout à fait honnête. La formule décrit ce que seule une volonté préparé et apaisé peut integrer. Pour cela un magicien doit ête réposé et dispo pour procéder a cette préparation, pour pouvoir graver les formules, qu'elles dansent à la périphérie de sa conscience, prête à être utiliser. Pour se faire il puise dans sa reserve d'energie tant physique que spirituel.

Le procédé est donc usant, et ne peut être réaliser a nouveau sans un intervalle de repos ou de médiation.

La longeur du schéma présentait par mon professeur s'expliqua par ailleurs par l'absence de simplification, qui sont utilisé aujourd'hui. Les composantes verbales, gestuel et matériel des sorts permettent de simplifier les équations en donnant par leur biais des instructions de ciblages,sur la nature de l'effets, et de précision des concepts manipulés.Leur application au schéma démontré permettrait, selon mon professeur, de le réduire à la taille habituel d'une formule classique.

Aprés cette leçon mon professeur me laissa, me demandant de venir avec l'esprit frais et dispo, sans avoir retenu aucun schéma pour le prochain cour, qui serait dédié à la pratique. Elle me demanda également de rechercher un apprentis suplémentaire pour faire des duels de magie avec moi...

J'avoue que la perspective de me faire rosser par un apprentit plus jeune et sans aucun doute plus doué ne m'enchantait guère. Je le lui dis. Elle me promit qu'elle travaillerait à trouver la cause de mes difficultés, et que j'en saurais la cause qu'il soit possible d'arranger les choses ou pas. Sur ces déclarations, nous nous séparâmes.


Note en bas de page J'avoue que ce cours, aussi bien expliqué soit il, soulève bien plus de question sur la nature de la préparation des schémas mentaux et leur supports qu'il n'en résoud. Sur quoi reposent-ils dans l'esprit du magicien ? Quel est l'essence exact de cette energie utilisée ? Ne peut on la raffiner, et éventuelement en produite ou en obtenir par le biais d'un sort d'évocation ? Ou bien la voler par le biais d'un sort de nécromancie ? Ou la récuperer comme le font certains sorts d'Abjurations ?. Que dire d'ailleurs des ensorceleurs et sur leur fonctionement exact à cet égard ? Des analyses plus poussés sur le sujet seront nécessaires. Pas tout de suite mais c'est a glisser dans la liste de sujet à creuser

Réponse à une énigme

J'ai enfin eu la réponse a cette satanée énigme que Dame Leen m'avait posé. La Dame, espièglee comme a son habitude, pris un malin plaisir à faire tourner plusieurs individus qu'elle considérait comme inteligent, prenant soin par ces réponses cryptiques de faire bouillir les méninges de ma douce Annika et d'Evelynn, la prêtresse de Séluné de la légion, ainsi que les miennes.

La réponse en réalité tenait plus dans le problème posé que dans l'objet donné au moment de la question. L'objet en question est ce que l'on veut bien en voir, une infinité de choses en fait. Cela dit, non seulement si la réponse est ce que l'on veut bien y voir alors la première réponse et toute ses suivantes doivent être considérées comme vraies, mais en plus un tel flou artistique est dangereux lorsque l'on doit manipuler des energies magiques.

Ainsi la conclusion que je tire d'une telle question est que si il faut toujours garder l'esprit ouvert à la possibilité de sa propre limitation, cela ne doit surtout pas empêcher la pensée de cet esprit d'être clair et précise lorsqu'il manipule des concepts magiques et des formules...

Je ne put cependant que noter encore une fois la sagacité certaine de Dame Yleenia. Je me demandait cependant si il ne me semblait pas poindre ici et là un esprit de contradiction quelques peu pointilleux chez elle...

Non pas que je n'apprécie pas ses encouragements, ou que ses conseils ne soient pas bon. D'ailleurs il serait important de mettre en application les entrainements de concentrations qu'elle m'a indiqué avant de me quitter : Recopier tous les alphabets que je connaisse, dans le désordre, au milieu du lieu le plus bruyant possible.


[Note HRP : Gaedynn va doucement progresser jusqu'au niveau 12 dans la classe de Magicien, jusqu'à ce que son BG soit validé, point à partir duquel j'aimerais le faire évoluer, toujours proressivement vers le niveau 25]

Hello.
Merci
J'ai encore un petit peu à écrire en plus. Je le finirais demain, (vendredi 4 decembre.)

Extraits du journal de Gaedynn

Je ne sais pas ce qui a encore mal tourné. La formule est bonne, claire, les équations sont précises. Je suis à peu prés sur de les avoir correctement utilisait.

Pourtant la boule de feu a exploser à un mêtre de moi aprés avoir jaillit des energies invoqués. Heuresement j'étais a coté du fleuve, et j'ai pu m'y jeter pour éviter de bruler vif.

C'est la goutte qui fait déborder le vase je crois. Je n'ai pas vu mon professeur depuis des semaines, je suis fatigué de ne pas arriver à trouver la cause de tous ses effets aléatoires.

Le mieux est sans doute que je laisse la magie de coté, de façon définitive. De passer à autre chose. Ce n'est pas toute ma vie aprés tout, même si je ne sais pas trop ce que je ferais J'en ai parlé avec Annika. Elle n'était pas trop déçue, ou bien elle l'a cachée.

Il faudra que je le dise à mon professeur. Et à Kaysen



J'ai essayé d'en parler à Kaysen. Mais il m'a fait le coup le plus pendable depuis longtemps.

Il m'a écouter, puis il s'en enfuit. Il m'a fait courir aprés lui avant de revenir avec Krank aux fesses, le grand barbare blond si cher a Mellisande. Celui ci avait le marteau haut levé, tentant de détruire l'arbre ou s'était perché Kaysen.

Peu de temps aprés, Annika arriva avec Mellisande un peu pâle. J'apprendre par leur bouche que Kaysen a attaqué Arkav, la panthère d'Annika. Lorsqu'Annika l'a assomé pour le calmer, elle l'a donné a Mellisande, qui s'est faite piqué lorsque qu'il s'est reveillé, l'empoisonnant, ce qui à mis Krank en grande colère.

Je me suis retrouvé désarmé face à ce grand barbare et la situation fut quelque peu tendue. Mais nous en restâmes là.
Annika m'a alors suggeré que c'était sa façon de réagir à la nouvelle. Il avait peur que je l'abandonne lui en abandonnant la magie. Et a bien y reflechir je me rends compte que je ne l'écoute plus vraiment. Je suis bien souvent en ville à tentait de travailler ou bien à parler avec Annika. Il ne doit pas vraiment comprendre ce qui se passe.

Bref il est jaloux et il a peur. Et moi aussi. La première chose que j'ai faite façe à Krank est de reflechir au moyen de me défendre que j'avais. Et à part la magie, je n'avais rien. C'est en tout cas la première chose à laquelle j'ai penser...

Peut être que j'ai pris une décision précipitée. Peut être qu'en perseverant je pourrais réussir à me débarasser de cet effet aléatoire. Ou peut être que je ne prend pas le problème de la bonne manière.

Peut être que je puis exprimer mon talent differement....

[Note HRP : BG fini]

Extraits du Journal de Gaedynn

J'ai aujourd'hui commencer mon projet de création d'une baguette par mes propres moyens, avec pour modéle celle que mon professeur m'a confié il y a quelques temps.

La préparation des élément matériels est à la fois plus complexe et plus simple que prévu. Plus complexe parce qu'il me faut traiter correctement les matériaux à utiliser, les stockers et les selectionner.

Plus simple car c'est leur choix est une question de bon sens dés lors que l'on comprend leur rôle dans les équations de la formule. Ils servent a identifier l'effet voulut que ce soit par représentation direct ou métaphorique.
Peut être est ce simplement ce que l'on accorde comme capacité aux éléments matériels qui font la réponse à l'équation que leur capacité ou vertues réelles...
Reste que le processus de fixation de l'énergie magique peut être grandement simplifié par la présence de tel ou tel matériaux, comme le mithril, certaines gemmes correctement taillés et des essences rares. J'enrage de n'avoir plus de contact avec Dame Lyonar qui pourrait sans doute m'en apprendre bien plus sur le sujet.

Mais enfin passons, c'est le processus de fixation sus dit qui me semble le plus fascinant. Il est necessaire de donner une partie de son essence profonde à la baguette, pour pouvoir la lier à la toile et aux énergies utilisées. C'est assez similaires à la création de parchemin comme processus, et comme ressentit.

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Leen m'a conseillé de travailler ma concentration encore une fois, par un dérivé de méditation.
Je dois être en mesure faire abstraction du monde autour de moi tout en concentrant mon attention sur un point, un objet, une formule bien particulière pour pouvoir l'utiliser correctement, en faisant abstraction de toutes les émotions du moment.

J'ai testé celà l'autre jour en pleine place centrale, au milieu de la cohue, imaginant mon encrier sur la table dans ma chambre d'auberge, essayant de ne me préocuper plus que de lui. Sa forme, sa contenance, sa maière, la transparence de son verre marqué par quelques dépots de l'encre, le bouchon en liège. J'imaginais pouvoir le faire tourner dans un sens, dans l'autre, le retourner, le déboucher.

J'avoue que la foule autour de moi à quelques peu pestées, tandis que faisait de mon mieux pour garder mon encrier en tête et laisser les gens passer autour de moi. Mais au bout d'un petit moment, j'arrivais enfin à me déplacer dans la foule sans perdre de vue mon encrier, gardant toujours à l'esprit son image précise, ses contours nets.