[En cours][Ensorceleur][H]Sorin Morkov

Sorin Markov, le Pyromancien

Citation :

Nom du compte joueur forum : Alberick

Nom du compte joueur module : joker04

Nom du perso : Sorin Markov

Race : Humain

Sous race : /

Age : 28 ans

Alignement : Chaotique neutre

Religion : Kossuth, dieu du feu.

Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 25 niveaux d’ensorceleur (peu être 16 lvls d'ensorceleur et 9 d'acolyte de la peau, à voir avec l'arriver du PRC)

Arme de prédilection/domaines/école de magie : Évocation / Invocation

Langues : Commun, Abyssale et Infernal. Cherche à apprendre l'ignée.

Familier/Compagnon animal : Méphite enflammé

Trait de Caractère : Sorin est un être asse étrange, difficile à cerner, il peu être parfois d’une courtoisie tout à fait normale tout comme terriblement irascible et méchant. Son humeur change, parfois du tout au tout, mais il reste le même homme discret dans sa robe rouge sans vraiment parler.

Description physique : De taille moyenne, les cheveux blonds, les yeux vert clair, il passe presque inaperçus, si seulement il ne mettait pas du rouge de la tête aux pieds ...


Caractéristiques (Au niveau 25) :
FOR :10
DEX :10
CON :10
INT :12
SAG :12
CHA :24

Histoire :

Sorin était un orphelin, tout jeune enfant il avait été abandonné sur le pallier d’une caravane gitane qui organisait des numéros de cirque asse original. La mère originel de Sorin devait penser bien faire car ces mêmes gitans étaient asse bien fortunés, mais il fut envoyer à l’orphelinat, changeant ainsi le destin que lui avait offert sa « vrai » mère. Il ne resta pas très longtemps, il fut adopté tout jeune à l’âge d’un an par une riche famille de la région.

Les Markov, c’est ainsi qu’ils se nommaient, était des gens de goût aux manies et aux règles de vie très strict et particulières. C’est dans la Discipline que Sorin vécus ses premiers jours. Quand il fut en âge de faire des demandes, comme des jouets, ou bien une éducation plus poussé, et que ses parents lui refusaient systématiquement, Sorin se mettait très vite en colère et il partait dans sa chambre comme tout les enfants de son âge. Mais quand il partait dans cet état là, il recevait une visite très particulière d’un petit bonhomme tout rouge avec des ailes. Celui-ci s’appelait : Imp et il était un Méphite. Quand Sorin était en colère, ce Méphite venait lui dire d’agir de faire ce qu’il voulais car il était très puissant, et qu’il pouvait tout faire brûler en claquant des doigts.

Longtemps Imp resta aux côtés de Sorin et pendant ces longs moments, le petit Méphite s’expliquait sur son ancienne vie. Il disait qu’il était resté longtemps le familier d’un maitre magicien diabolique qui recherchait la vie éternel. Et malheureusement pour Imp, son ancien maitre l’avait trouvé chez les vampires, et le lien qui les unissaient fut rompus et Imp pris la fuite. Entre deux récit de son histoire, le petit Méphite incitait Sorin à agir, mais il se maitrisa toujours pensant que la punition serait terrible, s’il faisait ce que voulais le Méphite. Mais bien évidement, tout les enfants arrive un jour à l’adolescence, et quand cela fut le cas de Sorin, il tenus de plus en plus tête à ses parents qu’il savait maintenant adoptifs. Sa colère augmentait en lui, de plus en plus, et un jour ou son père adoptif lui demanda un service de trop. Sorin se mis dans un tel état que même le petit Imp était partis cette fois ci. Sorin sentait ses mains devenir brûlante, et quand il les tandis pour regarder de plus près du feu jaillit littéralement de ses mains le projetant par la fenêtre du rez-de-chaussée inconscient alors que ça maison et ses parents étaient là en train de brûler dans la colère incontrôlé de Sorin.

Après cet accident, il fut renvoyé à l’orphelinat, où la vieille dame qui s’était occupé de lui enfant était encore là, mais avec uniquement 3 autres enfants qui était en réalité des nourrissons. Eux, ils ne restèrent pas longtemps … Sorin par contre resta très longtemps, mais jamais vraiment seul. Avec Imp, et sur ça demande, Sorin effectua une sorte de rituel, « pacte », qui l’unit à Imp faisant de lui son familier, et faisant de Sorin son nouveau maitre.

A la mort de la vieille dame, Sorin était devenus quasi muet, il ne parlait que pour prononcer des mots simples comme les marques de politesses. En grandissant, le petit Imp était resté là et appris à Sorin à parler l'infernal, un dialecte très étrange qui faisaient peur aux paysans, et les gens de sa région connaissaient maintenant tous le petit Sorin Morkov enfant orphelin, qui a tué ses parents lors d’un accident et qui parle aux démons. Et tous l’appelaient Sorin le Pyromancien Maudit. Très vite il fut rejeté, à la limite de la lapidation publique, (bien qu’il fasse très peur à la populace) et il fut bannis de la ville par le gouverneur qui voyait ses revenus fortement baisser à cause d’absences de plus en plus forte par la même de Sorin. Il voyagea donc avec des caravanes commerçantes, clandestinement dans les marchandises. On ne trouvait rien de très intéressant, dans ces convois, mais cela suffit à Sorin pour survire pendant des années.

De là il pensait, il se voyait voyager mentalement dans son passer et se projeté dans son avenir pour n’y voir qu’un mur de feu … Puis il chercha à comprendre, pendant quelques mois de voyage clandestin, après de multiple voyage en prison également, il semblait pouvoir contrôler ce feu intérieur qui animait son cœur. Bien entendu d’autre accidents ures lieux mais sans réel gravite heureusement. Sorin apprenais lentement à se contrôler lui et ses pouvoirs. Il n’apprenait rien, c’était là, quelque part en lui enfouis en lui. Et grâce à l’aide d’Imp il apprenait à contrôler le feu, par un autre dialecte, que l’ancien maitre d’Imp utilisait très souvent : L’abyssal, il pouvait réaliser des invocations très spéciale. Imp n’avait retenus que quelques phrases mises en désordres, mais avec des années de tentatives et d’apprentissages de ce dialecte noir au travers des maigres livres avec lesquels voyageait Sorin.

Certain livre parlait de mage légendaire parvenant à invoquer des créatures venus d’un autre plan. Cela avait intéressé Sorin, mais sans grand plus, jusqu'à ce qu’il se rende compte que dans bien des situations une invocation aurait put résoudre des problèmes qu’il était incapable de résoudre seul. Notamment la fois où il s’était retrouvé seul contre 5 adversaires, sans l’option de la fuite autant dire que Sorin aurait été mort. Il prit la voix de l’invocation afin de débloquer des situations que le feu ne résolvait pas forcément de façon « correcte ». Comme se débarrasser d’un obstacle est très facile pour ouvrir le chemin, il est moins apprécier pour tuer le porteur d’un objet convoiter, notamment s’il s’agissait de vêtement qui peuvent prendre très vite feu.

Imp se révéla une fois encore d’une aide très précieuse pour emprunter quelques parchemins de magie décrivant les gestes appropriés et les mots très importants. Un passage qui se trouvé sur plusieurs parchemin disait cela : «Le plus souvent, l'invocation est accompagnée de gestes et de paroles ritualisés. Les mots ont une grande force : c'est le verbe qui donne sa puissance à l'intention. L'invocation est un ordre, un commandement. C'est par cela que le mage invocateur tire sa force et son pouvoir. » Et bizarrement Sorin mis cette phrase en application en quasi tout temps. Il apprenait les gestes par cœur et utilisa des formulations très précise pour invoquer, cela lui demanda beaucoup de temps. Mais finalement en un peu plus de six mois il parvenait à invoquer des extérieurs comme Imp, mais pour des durées courtes et parfois les invocations ne semblaient pas être très contentes. Plus d’une fois Sorin manqua la mort ou la scarification, mais il recommençait impassible à s’entrainer pour que plus jamais il ne brûle quelqu’un ou quelque chose sans le vouloir.

Sa solitude finit par le ronger, et lui faire perdre le sens de ses vraies convictions et envies. C’est à la présence divine qu’il s’en remit, notamment au seul véritable dieu qui puisse écouter ses prières : Kossuth le dieu du feu. Il l’interrogea longtemps sur sa condition, sur ces dons, sur ça vie sans réel réponses. Sur des questions existentielles il n’eut pas de réponses non plus, mais il se sentait sombrer dans la solitude et son ardente colère revenir en son cœur. Grâce à Imp, Sorin qui était un enfant dont la vie aurait pût être plus paisible, fut des nuits de vagabondage, d’exil et de torture d’esprit, et il se mit à en vouloir aux mauvaises personnes puis finalement à tout le monde. Ainsi, aujourd’hui Sorin sort de l’ombre clandestine pour arrêter son voyage à Luskan, dans un port, pour détruire le feu par le feu !

Quelques petites choses :

- Alors en lisant le bg ont sent le perso davantage chaotique que loyal quand on le voit tenir tête à ses parents adoptifs ect De plus il garde cette mentalité même à 32 ans... tu devrait revoir son age à la baisse

- Il explique que le diablotin lui apprend l'infernal et l'abyssal or les diablotins ne parle pas l'abyssal.

- explique aussi d'où vient le diablotin

-Ecole de prédilection pas assez décrite pour l'invocation, l'évocation ca va même si ce n'est pas marqué sur une pencarte mais peut être devellopé davantage son lien avec le feu pour que ce soi plus évident.

-perception de la toile inexistante dans le texte

-On comprend pourquoi il prie kossuth mais tu n'en fait mention nul part.

Alors, alors :

-Effectivement, l'alignement est une erreur de ma part, j'ai rectifié en Rouge par : Chotique neutre.

-Les langues sont redécrites.

-Les origines du diablotin sont faites.

-J'ai essayer de rajouter quelques petits passages pour développer plus le côté évocation, mais je ne suis pas certain d'avoir fait exactement ce que tu pense.
-Et j'ai fait mention de Kossuth de façon plus détaillé

Toutes les modifications sont apportés en rouge dans le BG de base.

Ce que tu dois faire c'est donner la perception de la toile de ton personnage, ce que ca lui fait ce qu'il ressent quand il lance ces sorts, pourquoi l'évocation, pourquoi l'invocation?

Citation :

Les évocateurs sont en général des mages graves et déterminés, ascètes par nature. Ils aiment les milieux spartiates, dénués de distractions, leur permettant ainsi de saisir le monde dans son état le plus brut. Ils sont souvent fermes, directs et têtus.
Les évocateurs bons voient le mal comme une force de déséquilibre qu'il faut annihiler et les mauvais tendent à faire montre de la puissance brutale du monde autour d'eux.
Les évocateurs sont les mages de bataille les plus appréciés en temps que tels et rares sont les puissantes armées qui n'en possèdent pas quelques uns.

L'école de prédilection evocation à une école opposé, malheureusement c'est celle que tu à choisit essaie de l'expliqué, trouve une relation entre les deux écoles, cela t'aidera pour déffinir la perception de la toile de ton personnage.

Voilà, j'ai effectué la dernière modification en rouge, j'ai retiré les anciennes modification en rouge, en espérant que cela soit ce qui convient, sinon je ne suis pas sur d'avoir compris ce que tu me demande.

EDIT: Je viens tout juste de me rendre compte d'une erreur assé mineur enfin je l'espère, le diablotin est en faite un méphyte Enflammé j'ai aussi rectifier, désolé + un petit up ET un nouveau up ! (pour les 10 jours)

Hello,

Je vais prendre le relais de Twrch.

Tout d'abord concernant le familier et les langues de ton personnage : puisque désormais il s'agit d'un méphite, il est davantage logique que ton personnage ait appris l'ignée avec lui (pour se lier à lui notamment), plutôt que l'abyssal et l'infernal, que ce dernier ne doit pas connaître. Au mieux, il lui en aura enseigné des bribes.
Il est d'ailleurs à noter qu'avec 12 en intelligence, ton personnage ne peut pas apprendre autant de langues. Il va falloir choisir, il ne pourra en apprendre qu'une (et des bribes d'une autre au mieux).

Concernant ce que Trwch te demandait maintenant :

En fait, il faudrait montrer en quoi ton personnage est un ensorceleur. Cela signifie qu'il a une perception de la Toile qui lui est propre et qui se fait par la sensibilité, non par l'intelligence.

Citation :

Imp se révéla une fois encore d’une aide très précieuse pour emprunter quelques parchemins de magie décrivant les gestes appropriés et les mots très importants. Un passage qui se trouvé sur plusieurs parchemin disait cela : «Le plus souvent, l'invocation est accompagnée de gestes et de paroles ritualisés. Les mots ont une grande force : c'est le verbe qui donne sa puissance à l'intention. L'invocation est un ordre, un commandement. C'est par cela que le mage invocateur tire sa force et son pouvoir. » Et bizarrement Sorin mis cette phrase en application en quasi tout temps. Il apprenait les gestes par cœur et utilisa des formulations très précise pour invoquer, cela lui demanda beaucoup de temps. Mais finalement en un peu plus de six mois il parvenait à invoquer des extérieurs comme Imp, mais pour des durées courtes et parfois les invocations ne semblaient pas être très contentes. Plus d’une fois Sorin manqua la mort ou la scarification, mais il recommençait impassible à s’entrainer pour que plus jamais il ne brûle quelqu’un ou quelque chose sans le vouloir.

Tout ce passage tient presque davantage du mage que de l'ensorceleur, davantage impulsif et intuitif dans sa magie.
Par ailleurs, l'évolution du personnage repose quoiqu'il en soit beaucoup sur son familier. Même si en tant que familier, il jouit d'une intelligence supérieure à la normale (des méphites), il demeure une créature avec une intelligence "normale".
Ce qui manque à ton personnage, c'est une réelle autonomie propre à l'ensorceleur.

Si ce n'est pas clair encore, n'hésite pas à te manifester !