- Citation :
- Nom du compte joueur forum : Turok
Nom du compte joueur module : Turok14101979
Nom du perso : Katannia Krown
Race : Humaine
Sous race :
Age : 21
Alignement : Neutre
Religion :
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 15 ensorceleur
Arme de prédilection/domaines/école de magie : magie nécromantique
Langues : commun
Familier/Compagnion animal : chauve souris
Ennemis jurés :
Trait de Caractère :
Description physique :
Caractéristiques :
FOR : 8
DEX : 8
CON : 16
INT : 12
SAG : 8
CHA : 18
Le manoir est sombre et silencieux, Les deux aventuriers pénètrent à travers un pan de mur effondré au cœur du bâtiment en ruine. Armé jusqu’aux dents, les deux aventuriers sont des expert, l’une vêtue d’un pourpoint de cuir est une roublarde vétérane, aussi habile à détecter les pièges qu’a fouiller les lieux. L’autre un guerrier en armure d’écaille n’a point son pareil en combat. Tout deux ont été attiré dans ce manoir par une rumeur qui disait que l’ancien propriétaire était riche et avais du fuir précipitamment en abandonnant tout ses biens et que le pillage n’avais rien permis de trouver.
Le premier endroit où il pense à trouver un trésor est bien sur le sous sol, dans les caves froides et humide mais bien entendu, ils n’y trouvent rien. Ils n’ont aucun mal à dénicher le bureau secret dans la chambre du maitre des lieux mais l’incendie déclenché par les pillages l’a déjà révélé et hormis quelques morceaux de parchemins calciné, la encore ils font choux blanc. Puis La roublarde à une inspiration…
«Et si le trésor n’était pas dissimulé dans la maison mais dans la crypte familiale ? Ceci expliquerais l’échec des pillages compte tenue de la crainte superstitieuse des villageois à l’encontre des morts. »Sans perdre un instant, l’homme et la femme se rendent dans la crypte attenante au jardin de la maison. A l’entrée de la crypte, une phrase sibylline y est inscrite : La Hache tournois, Les ailes s’agitent et le poing s’enfonce.
Puis en dessous : Ci-git la famille Haethelbaldine.
Les deux aventuriers pénètrent alors la crypte et s’approche de la tombe richement décoré en lettre d’or.
« Et bien nous ne rentrerons pas bredouille c’est toujours cela de pris. *déclare l’homme* »*Alors qu’ils tentent d’extirpé les lettres, la roublarde constate que la lettre H tourne sur elle-même de gauche à droite.*
« Attend Zweig ! Je crois que j’ai trouvé. Essaye de remué les lettres L et ensuite appuis sur le point du i »Lorsque Zweig s’exécute, un déclic retentit et la tombe entière se décale révélant un escalier s’enfonçant dans les ténèbres. Ravie de leur découverte, les deux pilleurs de tombe se glisse dans ce qui leur semble un couloir interminable orienté jusque sous le manoir et largement au dessous du niveau des caves.
*****
Ils pénètrent alors dans une immense salle poussiéreuse. Une dizaine de lits sont ranger à intervalle régulier, près de chaque lit une table contenant des accessoires rouiller de médecins. Au pied de chaque lit un écriteau moisi donc les textes dévoré par la moisissure. 8 des 10 lits sont occupés par des formes immobiles couvertes d’un drap gris en raison de la poussière.
Alors que la roublarde commence a recherché des coffres et a fouillé dans les armoires, l’homme attiré par sa curiosité, s’approche des forme inerte et découvre le lit numéroté 6… Il recule de surprise et bouscule une table rependant au sol les outils rouillé.
« Valériane viens voir ! vite c’est horrible… moi qui pensais avoir tout vue. »Valériane accours et regarde étonnée l’étrange monstre qui gis sur la table. Une créature composé des cadavres de plusieurs personnes cousue les unes aux autres. Ecœuré Valériane recule…
« Quel genre de monstre a put commettre ce genre d’atrocité ? »Zweig quant à lui commence a retiré tout les tissus de chaque lit, révélant les horreurs toutes aussi difforme que monstrueuse créer à partir de bêtes et d’homme mort. Valériane choisit de se détourné intéressée par un petit coffre au fond de la pièce. Celui-ci, hermétique, contiens surement un trésor encore en bon état. Elle désamorce le piège a fléchette installer sur le couvercle et ouvre avec précaution le couvercle. Alors qu’elle ramasse le livre, visiblement un journal bien conservé, Zweig la hele en ces termes.
« Hey Valériane ! Viens voir le lit numéro 7, franchement cela vaut le coup d’œil. »Valeriane s’approche et découvre la plus magnifique créature féminine jamais vue. Mais elle s’aperçoit que l’expérience n’a pas été achevée et que le corps étendue est coupé au niveau du tronc. Lisant à haute voix le journal elle recherche le passage sur l’expérience numéro 7.
« Jour 0. Aujourd’hui je revois mes expériences à la baisse. Je ne vais pas créer une créature plus forte, plus agile ou plus efficace qu’un humain mais je compte me créer une assistante. Bien sur je choisit une beauté qui ne le voudrais pas…qu’elle dommage que pour la tué j’ai été obligé de la faire écrasé par une charrette… néanmoins la moitié supérieur de son torse reste viable. Je compte insufflé une sphère d’énergie magique pure comme source d’alimentation au niveau du cœur après quoi il ne me restera plus qu’à attendre que l’énergie se répande dans le corps et active la porte d’énergie négative nécessaire au fonctionnement de mon automate…*plusieurs page son manquante puis* … 25eme jours de l’expérimentation. J’ai tout tenté ma création reste inanimé j’ignore ce qu’il faut pour activé les fonctions vitales de ma création et comme celle-ci est imparfaite je vais l’abandonné et passé a mon expérience suivante. Je n’admets pas les Echec je devrais songer à détruire mes expériences précédente mais je crains d’attiré l’attention si je me mets a brulé ces étranges cadavres. »Alors que Valériane lit l’ouvrage, tout deux se penche pour étudier l’expérience, d’une si grande beauté quoique légèrement cadavérique. On ignore l’impulsion qui poussa le male à venir caresser la peau d’albâtre de la magnifique femme, peut-être est ce la simple attirance masculine pour la beauté féminine, ou encore un charisme existant chez cette femme étendue la mais non vivante. Toujours est il que la réaction du corps fut aussi rapide que surprenante…
*****
Les yeux de la créature s’ouvrir et ses mains saisir les deux gorges des deux victimes de sont seul contact, les deux aventuriers furent paralysé. Malgré toute leur volonté ou toute leur énergie le contact avec les mains de la créature fut semblable à celui d’un contact de ghoule. La créature souleva ensuite Valériane et l’étendit sur le lit a coté d’elle-même. Saisissant une vieille scie de chirurgien rouillé, elle entreprend de sectionner le corps de la femme consciente mais incapable de lutter, au niveau du nombril. Alors que les os craquent, que le sang gicle en tout sens, Valériane est là à hurler un masque de souffrance indicible sur le visage tandis que son compagnon toujours autant paralysé a les yeux exorbités de terreur devant ce spectacle des plus révulsant. Valériane perd connaissance et meurt alors que la créature ne s’en occupe pas plus. Elle pousse le tronc supérieur de Valériane hors du lit et viens apposer la partie inferieur contre son propre nombril. Elle saisit ensuite aiguille rouillé et fil de nylon qui n’a pas pourris pour recoudre les deux partie de son corps l’une à l’autre. Ensuite la magie contenue dans le haut de son corps se répand dans le bas et sous les yeux terrorisé du guerrier, les deux partie finissent par se jumelé et il ne reste qu’une cicatrice au niveau du nombril alors que le teint de peau deviens le même. L’opération a pris du temps et pendant tout ce temps, le guerrier a vue sa raison vacillé et sombré dans la folie. Il ferme les yeux pour attendre la mort.
Des heures plus tard, il les rouvre surpris d’être encore en vie. La créature à quitter le repère mais Valériane est bel et bien morte dans d’atroce souffrance. S’approchant du corps de sa compagne d’aventure, il ramasse le corps et l’enveloppe dans un linceul poussiéreux, puis intrigué par le livre baignant dans le sang il l’ouvre et lit les dernières lignes écrite que l’expérience numéro 7, ligne que valériane n’a pas eut le temps de lire.
« 26eme jours. J’ai eut une idée, j’ai tenté de rendre la vie en insufflant de l’énergie négative au sein de ma création mais peut être que l’énergie magique qui se trouve dans la sphère étant déjà chargé en énergie magique a-t-elle besoin d’énergie vitale tout simplement…Malheureusement ma propre transformation ne me permet pas de fournir ce dont elle aurait besoin… J’ai également constaté que ma création scintillait de magie, l’orbe que j’ai insérer à la place de son cœur semble avoir remplis sa fonction et a répandue son énergie dans le corps...Je vais revenir après avoir trouvé quelqu’un pour que le contact chaud de la vie sur le corps de ma créature, la réveil car c’est sans doute ce qui lui manque…. »Au loin, la créature déambule a travers les bois sans se soucié de sa nudité. Qu’est-elle ? Ses souvenirs sont confus. Elle se souvient des ténèbres et de la sensation du contact de la toile sur son corps. La dernière fois qu’elle a sentie la chaleur des bougies remontent à si loin qu’elle ne saurait dire quand. Le froid l’incommode mais la chaleur qui pulse de son cœur réchauffe ses membres… elle titube peu habitué à se mouvoir les jambes lui semblent étrangère. Elle comprend parfaitement ce qui s’est passé dans le laboratoire, comment le contact chaleureux de l’homme sur son bras à réactivé l’énergie magique qui l’imprègne. Elle ne l’a pas tué pour cette seule raison. Elle sent la vie, le sang de la femme, contenue dans les jambes remonté dans tout son corps et la modifié de l’intérieur. Peu à peu son corps d’un blanc laiteux se réchauffe et deviens aidé par la magie un corps bien vivant quoi que légèrement pale. Le hasard de ses pérégrinations, nue dans la forêt, la conduit aux abords d’une bourgade non loin du manoir de son créateur. Le soleil lentement jaillit de l’horizon à mesure qu’elle approche de la ville, intriguée. Les yeux embués de larme la nouvelle humaine assiste à son premier levé de soleil. Une paysanne sort alors de sa demeure pour se rendre dans son champ quand elle aperçoit la magnifique femme nue, crotté et transis de froid a l’entrée du village.
« Boudiou d’Boudiou, Crénon qu’vous est il arrivé ma p’tite dame ? Vous avez été attaqué ? ch’dirais ben qu’c’est triste mais dans la région c’est chose courante… v’nez rester donc pas nue ici v’nez vous réchauffer et vous reposé chez moi. »La nouvelle humaine suit docilement la fermière comprenant fort bien le langage mais ne parvenant pas encore a l’articulé. La fermière va faire réchauffé la soupe et apporte une couverture qu’elle place autour du corps de la créature. Puis elle fait chauffé de l’eau et trempe une serviette dedans avant de nettoyé la boue sur le corps de la nouvelle humaine.
« Crénon d’crénon ! Si c’pas malheureux d’voir une belle fille comme vous traité ainsi. Moi j’m’appelle Katannia Krown et n’est crainte ici tu es en sureté. On va aller voir la maréchaussée ensemble pour que tu t’plaignes mais j’pense ben qu’ca va servir a rien »La fermière apporte de vieille frusque un peu trop large pour la jeune femme, et l’aide à se vêtir. Les deux femmes vont ensuite au poste de la maréchaussée. Mais arrivée au centre du village ils sont accueillit par une foule et un homme en armure qui désigne la nouvelle Humaine :
« C’est elle ! C’est elle le monstre qui a tué ma compagne ! »Armée de fourche, de bèche, et d’arme de fortune, tout les villageois s’élancent à la poursuite de la nouvelle humaine qui a compris que son seule salut était dans la fuite. L’énergie de l’orbe s’active pour permettre à la nouvelle humaine d’incanté un sort mineur lui permettant d’effrayer ses poursuivants. Un sort de terreur issue de la seule magie qu’elle connaît naturellement : la magie de nécromancie. Une fois ses poursuivants distancés, une direction en valant une autre, La nouvelle humaine s’en va apprenant à maitriser l’énergie magique en elle sur le chemin qui la conduit au val de bise. Elle choisit de prendre le nom de la fermière en arrivant au val de bise.