Padhiver, un jour comme les autres, calme et tranquile, du moins, jusqu'a ce que ses habitants commencent a s'effondrer les uns après les autres, malade, et qu'un nuage de vapeures colorées ne s'élève doucement.
En quelques heures, presque tout le monde se retrouve contaminé, la ville se place en quarantaine, du moins essaye, car les effectifs valides de la garde fondent de minutes en minutes.
des araignées infestent rapidement la ville, sortant des habitants malade eux même. On parle d'eau contaminées, de diarhée
Tout va trop vite. Quelques heures, a peine, et voila padhiver a genoux.
Les rares personnes encore valides se terrent ou elles peuvent, les rues sont envahies d'araignées rouges, translucide.
De la cour du temple d'ilmater, des éclairs de lumiere, puis le nuage de vapeur néfaste disparaît
Peu après, quelques personnes en sortent, gagnant les temples, soignants les malades venant grossir les rangs de la resistance au mal.
plus loin au nord, un groupe de légionnaires avertis par deux femmes apparaissant et disparaissant, sorties du néants, allume les feux d'alerte et la nouvelle se répand.
"Ne pas approcher padhiver sans prêtre pour lutter contre le mal, faites ce que vous pouvez et bon courage !"
Telles furent les paroles d'une femme couverte d'une matiere rouge répugnante des pieds a la tête avant qu'elle ne s'enfonce dans les si dangereux bois de Padhiver, soit disant a la recherche d'un remède.
bien plus tard, en ville, encore des éclairs lumineux, des boulles de feu, des hurlements, des cris, même un rugissement très animal, alors que s'entassent les cadavres d'araignées dans les rues envahit de malades et de corps immobiles.
de l'autre côté, partant du temple d'ilmater en nombre de plus en plus grand, des escouades d'hommes et de femmes, la plupart portant les couleures d'une divinité ratissent la ville, aidant qui peut l'être encore.
Le palais est verrouillé, mais la situation semble sous contrôle a l'intérieur.
Sortant soudain de la tour des capes, une enorme machine mécanique sème la destruction dans les hordes d'araignées, nettoyant consciencieusement tout ce qui bouge alentour avant de reprendre sa garde, immobile, désormais lui aussi couvert d'humeures visqueuses et répugnante.
un peu plus tard, une voix magiquement amplifiée lance des directives aux personnes qui se cacheraient encore, ou assez valide pour se déplacer par elles même, les enjoignant de ne plus rien avaler et de gagner le temple d'ilmater ou un remède serait disponible.
Et toujours, ici ou là, passant de quartiers en quartiers, des éclairs de lumiere, des crépitements, des cris, des explosions magiques.
L'aube de lève sur une padhiver encore a genoux, mais le pire est passé, la situation s'ameliore d'heures en heures.