les neufs enfer débarquent en ville

le train train quotidien a luskan devant l'auberge, les gardes recoltant des amendes faciles, d'autre tabassant des gens dans un coin, tous bombant le torse devant le lieutenant avec une immense faux.( Wink

)

puis une hysterique hurlant a un garde de lui rendre un livre ... et l'enfer de se déchainer alors que le ciel se mit a vomir du sang lumineux par une faille le barrant d'un horizon a l'autre, plongeant les lieux dans une lumiere rougeatre, malsaine et des créature démoniaque de jaillir de cette faille, du garde avec le livre de se changer lui même en immense créature rouge, cornue, avec de grandes ailes sans plumes.
Et des monstruosités tombées du ciel de s'abatre sur le métamorphosé.
Et tout cela, sous les hurlements d'un autre hysterique que beaucoup commencent connaitre pour ses diatribes acerbes et ses recommandations divines.

et aussi soudainement que cela apparut, la vision de cauchemard disparu.

On racontera que de partout depuis la place jusqu'a la porte Est, tous auraient vu la même chose, créant un enorme vent de panique et de hurlements pendant quelques minutes, cela, jusqu'a ce que tous commencent a rire jaune quand le cauchemard prit fin.

quand tout se calma, les hysteriques masculin comme féminin n'était plus là. Il y eut affluence a l'hopital par la suite, de nombreux blessés a cause de la panique, dont le lieutenant a la faux justement. Y'en a même pour dire que ce serait lui le métamorphosé.

Conseiller Cthulhu Nombre de messages : 2924

*Pensées non révélées de Kahir*

D'abord une tieffeline ... deux pour être précis .... Encore ces créatures à semer le chaos dans Luskan, à se croire au dessus des lois, à se croire supérieurs à nous....
Quand Aerlson me raconta brièvement les faits, il fallait agir. Je demandai à un soldat de rédiger un arrêté banissant les tieffelins de la ville et des terres luskaniennes, avec ordre de tuer à vue quiconque tenterait de déroger à cette règle.

Le prêtre Lacazur m'intercepta au Bosquet Est, parlant d'illusions sur la place, d'or à foison et je ne sais quoi d'autre. Je savais au fond de moi que cette journée allait être longue, sorte de prémonition de soldat aguerri.

Sur la place, les badauds habituels, agrémentés des aventuriers plus ou moins permanents. Deux attirèrent mon attention, une ensorceleuse qui avait des démélées avec la Cohorte, et sur l'instant je concevais mal qu'elle veuille faire parler d'elle pour encore avoir à payer une amende. Et une autre femme, tenant un grimoire assez imposant, le serrant comme si sa vie en dépendait. Je me dirigeais vers elle, avisant qu'elle se tenait près de Takar. Les propos de ce dernier se contredisaient, et j'avais l'intime conviction qu'il me cachait des choses. Pas étonnant venant de lui...
Comme elle ne voulait pas obtempérer, j'ordonnais à un garde de l'assommer, afin de regarder tranquillement ce livre.
Rien, rien et rien .... [*n'en dit pas plus pour éviter le méta (in)volontaire*]

Peut être qu'avec ce livre désormais en ma possession, elle me dirait ce que je voulais entendre. Je demandai au garde de la mettre dans la fontaine, ses petites claques n'arrivant pas à la réveiller.
Finissant par remarquer que j'avais son livre, elle se mit à m'invectiver, me sommant de le lui rendre. La seule chose que je pus apprendre fut son nom, si tant est que l'on puisse appeler cela un nom ...

Le ciel se mit à rougir, alors qu'un orage forcément surnaturel se déchaîna là où nous nous trouvions. Avait-elle réussi à déchaîner la fureur du ciel sans même incanter ?? Etais-je en présence d'une élue ?? Impossible, elle avait l'air si arriérée, pouvant à peine construire une phrase....
Je jetais de brefs coups d'oeil vers le ciel, avisant cette fissure scindant la voûte en deux, comme si un dieu en personne arrachait de ses mains le ciel pour montrer aux pauvres mortels que nous sommes l'étendue de sa toute puissance. Une liquide rougeâtre en sortait, une larme de sang divine ?

Je devrai mériter la mort je pense, car je sentis la peur me gagner. Que faire contre un Dieu ?!

Je sentis alors ma peau s'arracher, pore par pore, parcelle par parcelle, membre par membre. Mon corps se disloquait, prenait une teinte rouge sombre alors que mes muscles croissaient à une vitesse vertigineuse. Mon dos me faisait atrocement souffrir, deux plaies béantes s'ouvrant de chaque côté de ma colonne, alors qu'en sortaient deux membranes osseuses pour former deux ailes monstrueuses. Mon visage grossit, mes dents devinrent aussi grandes que des dagues affilées, et ma taille dépassait allégrement les batis des portes avoisinantes.

J'adressais une prière à mon Seigneur, lui implorant dans sa toute puissance de m'accorder la chance de le servir encore ici... Devais-je devenir un diable pour avoir l'insigne honneur de faire partie de son bras vengeur ?

Hurleuse piaffait d'impatience d'en découdre, mais ma main refusait de la lever pour frapper tout ennemi à portée d'elle. Flocon quant à elle, ne répondait pas, comme larvé dans un mutisme sombre. Je la regardais d'ailleurs cette main, et ne vis plus aucune trace d'Hurleuse. Et pourtant elle était là, j'en étais sûr, ma main la tenait, je sentais cette énergie propre à elle couler le long de mes veines.

Voyant cette frêle femme continuer à m'insulter, je décidais de la taillader, la lacérer, l'anihiler de ce monde une bonne fois pour toute. Mes griffes passaient à travers, mais j'essayais, encore, encore et encore, hurlant toute ma rage et ma haine dans un cri terrifiant.

Comme réponse à ma prière, je ne saurais dire, mon Seigneur a envoyé ses disciples pour tester ma Foi. Des dizaines de monstres me ressemblant sortirent de la fissure, pour foncer sur moi. Le combat était inégal, et bien que résolu à gagner, je fus ...

Tout est noir, je ne sens plus mon corps, je ne sens plus mon âme, tout est noir.

Quels sont ces murmures ? Est-ce une bribe consciente qui tente de me ramener à la raison. Non, j'ai perdu le combat, je dois mourir et attendre le jugement de mon Seigneur avec humilité.
Tout est noir, tout n'est que néant, mais pourquoi ces borborygmes incessants me parviennent. Ca ne peut être une manifestation de mon maître, la voix est trop faible, trop chétive pour que ce soit la sienne.
"Laissez moi tranquille" murmurai-je sans qu'aucun son ne sortait de ma bouche, mais les paroles continuaient, inlassablement.

Alors que je ferme les yeux pour savourer un peu plus ce néant visuel, je me surprends à poser mes doigts sur mes lèvres. Un goût fruité s'installe dans ma bouche, alors que rien n'y prédestinait.

Et si....

Une Journée à marquer d'une pierre rouge pour Irina ...

Elle avait bien mal commencé, alors que celle de la veille s'était terminée divinement bien.

Elle avait du régler certains problèmes avec Venuva, déjà lasse après tout cela elle rencontre Takar sur la place.

Tout alla très vite ensuite, il passa de longues minutes assis sur un banc avec cette jeune femme au livre qui l'avait fait défaillir à sa vue.

Puis le lieutenant de la garde arriva afin d'interroger celle-ci lui parlant d'illusions, mais de quoi parlait-il? Irina suivit de loin la scène qui dégénéra rapidement.

Un garde assomma la jeune femme, Kahir lui prit son livre, l'observa de longues minutes, perplexe, Irina s'approchant pour lui parler fut tout aussi perplexe après avoir jeté un oeil au livre.

La jeune femme fut sorti de son inconscience par un bref séjour la tête dans l'eau, à peine eut elle repris ses esprits qu'elle avisa Kahir avec son livre près d'un brasero. Elle l'invectiva violemment, le sommant de le lui rendre. Celui-ci fut jeté dans le brasero, là le ciel devient rouge, l'atmosphère pesante. Irina sentit de la terreur s'emparer d'elle.

Soudainement, kahir se mit à hurler, des cris terribles, se transformant en hurlements à glacer le sang. Irina, impuissante, paralysée par la stupeur et la terreur le vit se transformer en Démon, il se mit à tenter de toucher la jeune femme avec sa Faux .... mais rien n'y fit, celle ci semblait sans matière, juste une image.

Du ciel, s'abattirent une nuée de créatures venant lacérer Kahir, le déchiquetant, incapable de se défendre face au nombre. La jeune femme plongea dans le Brasero pour prendre son livre, ne souffrant ni de la chaleur ni des flammes nourries par le livre.

Irina criait, hurlait, elle vit alors le prêcheur fou s'avancer avec sa lame rougeoyante en direction de la femme, mais il frappait dans le vide avançant toujours plus devant comme s'il suivait on ne sait quoi.

Soudainement tout s'arrêta, tout redevint calme, Irina se précipita vers Kahir, inconscient, couvert de sang qui disparaissait peu à peu.

Les membres de la Cohorte le transportèrent à l'hôpital, une guérisseuse le prit en charge pour constater qu'il ne présentait aucune blessure physique. Elle lui ouvrit les yeux et décréta qu'il était en état de choc, que seul du repos pourrait, peut être, le sortir de son comas.

Le prêcheur fou se présenta expliquant qu'il n'avait pas le pouvoir de le faire revenir, à part peut être de lui parler inlassablement afin de maintenir un lien, certes ténu, mais nécessaire avec la réalité.

Irina passa ses jours et ses nuits au chevet de Kahir, lui parlant de tout et de rien, tantôt du fauteuil en face le lit, tantôt assise près de lui et murmurant à son oreille. Régulièrement elle lui passait un morceau de fraise sur les lèvres, espérant, certes peut être naïvement, qu'il en sentirait le parfum et le gout.

Le reste du temps elle se chamaillait avec les guérisseuses qui la mettaient presque dehors pour qu'elle se nourrisse et prenne quelques repos. Elle faisait toujours très vite ne voulant pas rater le réveil de Kahir si tant est que celui-ci arriva. Mais elle avait espoir, son propre état se dégradant avec un amaigrissement flagrant et une fatigue proche de l'épuisement, elle refusait de lâcher prise.

Il suffisait juste d'attendre, elle en était certaine....

Chèvre ou Lapine Nombre de messages : 360 Age : 35

Morne soirée sur la place... Comme a mon habitude, je regarde le petit crachin tomber a mes pieds, tranquillement installé contre ma porte. Ma porte... faut encore que je fasse gaffe, il parait que la vieille prépare un mauvais coup. "Me renverser la porte dessus", je suis curieux de voir comment elle va s'y prendre. Elle peut pas attendre tranquillement de mourir non? Si ça se trouve va falloir que je l'y aide... un piège électrique sous son paillasson ça suffira peut être bien a la calmer... Ou alors la séquestrer chez elle... On verra bien.

Irina me rejoint. J'ai hâte de voir quelles menaces ou quelles remontrances elle va me faire. Elle attire finalement mon attention sur une jeune femme a l'autre bout de la place assise sous la pluie battante. Eh! Elle me fixe... Bof, raz le bol, je ne suis pas d'humeur a lui faire mon petit numéro.

Mais... Attends voir... Cette robe... C'est la mienne! Enfin, celle que j'ai "obtenue". Impossible... que fait elle la? J'essaye de me remémorer rapidement ce que je pensais être la fin de cette histoire. Morte une première fois, elle était revenue comme un coq en pâte. Et ensuite? Oui... nous l'avions épargnée... Elle avait perdu tout souvenir, tout pouvoir... toute utilité en somme. On l'a laissée moisir du coup, faut pas abuser de notre bienveillance. C'est comme... Chiennerie! trop tard!

Elle feuillette son livre et voila que ça recommence... Le monde autour de moi ce disloque pour faire apparaitre ce paysage que j'avais oublié. Je ne dois pas me laisser aller, pas ici pas maintenant. Je m'accroche a la porte et au muret, il faut que je me rattache a quelque chose de solide de réel... Mais merde elle veut pas s'arrêter!

Je me lance dans la traversé de la place, voyageant entre deux mondes... Je suis sur la place, je connais bien la place j'y passe mes journée, fais fi de la vision, de toutes façon tu sais que tu risques rien. Au fur et a mesure que j'approche, la vision s'estompe. Bien, on va pouvoir causer.

On l'avait laissée amnésique, il semblerait qu'elle recouvre la mémoire doucement. Elle se souvenait que j'en avait fais parti. Mais ou était donc passé sa prestance? Autrefois parlant par énigmes, sûre d'elle, aguicheuse à souhait... Il n'en reste aujourd'hui qu'une gamine complètement demeurée et renfermée sur elle même. Elle se recroqueville terrorisée a chaque fois qu'une personne tierce a cette histoire s'approche.

Son pouvoir, il semblerait qu'elle en ai perdu... Et cette sotte s'exerce sur les gens autour de nous. Déjà des regard suspicieux se braquent sur nous... C'est pas vrai... comme si j'avais besoin de ça. Et ce livre.. se pourrait il que ce soit celui... Elle veut pas me le laisser et n'a d'yeux que pour lui. Le dernier...

Un plan commence a murir... Oui, voila ça pourrait marcher. Mais aussi discrète qu'une tribu d'orc, elle a déjà amenée à elle, à nous, ce cher Lieutenant. Ça s'annonce forcement mal pour moi. Inutile de chercher l'affrontement, je m'écarte quand il me le demande. Je lui fournis mes conseils, lui propose mon aide, il refuse. Grand bien lui en fasse. Il l'assomme pour prendre son livre... Rien ne se passe. Je suis déçu, et la, ça commence vraiment à sentir mauvais. Enfin.. surtout pour lui si elle vient a se réveiller. Je vais la relever pour la remettre sur son banc... J'écope de mon amende quotidienne. Faudrait que je pense à faire passer ces amendes comme des dons aux œuvres caritatives, ça ferai de moi le plus grand bienfaiteur de la ville. quelle ironie.

Il semblerait que le livre n'aient rien donné, ils décident alors de la réveiller. La mon vieux, c'est le moment d te barrer si tu veux pas que ça te retombe sur le coin de la gueule. Voila une bonne occasion d'aller faire semblant de bosser les comptes.

Peine perdue... quelques minutes après, ça s'agite dans le casino, ça piaille, ça gueule... bon, allons voir.

Je ne peux réprimer un fin sourire de soulagement sortant sur la place baignée dans les ténèbres. Et Kahir qui commence a prendre conscience de son erreur. Jouissif tout simplement. Je le regarde se débattre ne comprenant pas ce qui lui arrive, cela me fais doucement sourire en me souvenant de ma réaction lorsque j'étais sa victime pour la première fois. Quel dommage que tout ceci ne soit qu'illusoire... Mais vu la victime du jour... laissons faire les choses.

Une bien belle soirée oui mais... c'est pas vrai, une emmerde de plus qui vient s'ajouter sur la pile. Bah! Profite Takar profite. Tu t'inquièteras du reste demain.

Elle m'a eu ! Mais elle le paiera : l'Impunité n'existe pas, l'Echec c'est la mort, elle paiera !

J'étais tranquillement en train de me réciter mentalement les versets du Codex lorsque sous mes yeux apparurent des monceaux d'or, des coffres et des sacs débordant de richesses. Je n'y crus pas une seconde : et je vis leur réalité perdre de leur substance. Une superposition, une illusion : on pensait pouvoir me duper en matière D'ILLUSION? Pauvres fous ! Je tournais la tête. Ce pouvait être n'importe qui...ils paieraient tous. Ils me veulent du mal? Je vais tous les dépecer préventivement, ça leur apprendra l'humilité, et à ne pas s'en prendre à moi...

Bah ! Quelques menaces suffiront...Je les distribue avec générosité : car la générosité distingue les âmes nobles. Après quoi je tourne les talons, me dirigeant vers l'Aubépine. Là, je croise le Lieutenant et le Caporal, en train de s'amuser -encore- avec les tieffelins. Aaah...Le plan a donc fonctionné à merveille ; je les avais prévenu. Une idée germe dans mon esprit. Sans doute est-ce le Seigneur qui m'indique la voie : je me plie à Sa Volonté. J'interpelle le Lieutenant, qui arrive quelques instants plus tard. Je lui explique sommairement l'illusion, il décide d'aller voir par lui-même. Je ne m'inquiète que peu : si le livre est maudit, c'est la Garde qui en souffrira ; si l'arrestation tourne mal, le conflit devrait satisfaire mon Seigneur ; et quoiqu'il en soit cela ajoutera un supplément de tension -QUE JE TE DEDIE SEIGNEUR !-. Comme prévu, il se tourne vers le livre ; comme prévu, elle refuse (elle m'apparaît comme une simple d'esprit...peut-être n'est-ce qu'un outil du livre?) : la violence apparaît.

Au réveil de la femelle, le Lieutenant s'apprête à brûler le livre. J'observe : le mollusque à chapeau s'est réfugié au Casino, le reste va à distance...bah ! Je ne risque rien, le Seigneur me donne le POUVOIR. Il le jette au feu : comme prévu, tout devient fou. Bien, faisons mine de croire à l'illusion...Mais que?! Je vois plus clair que tous les autres réunis, car mon esprit voyage au-delà des vastes sphères de la pensée et parce que ma Foi me préserve des croyances erronnées -je connais LA Vérité après tout- et pourtant je sens que quelque chose ne va pas...Puis je crois commencer à comprendre. Bon bon bon, hurlons un coup pour la forme, c'est le bon moment pour parler de Châtiment Divin. Voilà, c'est fait. J'observe, je tente vaguement de les réveiller. Impossible. Bien : elle veut se brûler, soit. Bon, pendant que le Lieutenant s'amuse avec ses démons, je vais courir après le livre...Ah ! Elle fait celle qui ne bouge pas...mais que nenni : je ne me laisserais pas abuser par ce piètre subterfuge (quoique je dois le reconnaître, ce subterfuge puisse tromper les esprits faibles). Je cours dans la réalité après la personne réelle.

Je ris doucement, marchant avec détermination. Elle ne peut m'échapper. Elle est en mon pouvoir. Les nuages nous suivent, mais je n'ai pas peur ; oui, c'est elle, elle qui a semé la peur et la terreur à Luskan, qui a peur de moi. Mon pouvoir ne connaît décidément aucune limite. Je lève mon arme ; elle fuit. J'arrive sur le pont, riant : j'invoque Son Pouvoir, je lui bloque le passage...et pendant ce temps là, elle fuit.

ELLE FUIT ! Elle n'a pas pu m'avoir. C'est impossible. L'Echec c'est la mort. Mais je n'ai pas échoué. Elle ne m'a pas eu. J'avais tout prévu. C'était précisément ce que je voulais ; je n'ai donc pas échoué. Sa fuite sert Tes Desseins, Seigneur ! JE L'AURAIS !

Je retournais en ville voir le fameux Lieutenant. Dans le coma. Il doit être piégé de l'autre trame. Bah ! Qui va traiter ma candidature à présent?...Il finira bien par se réveiller. Je délègue le monologue à une Non-Croyante : j'ai mieux à faire. Bien, programme de la soirée : prier et hurler. Puis je prendrais de la drogue afin de recevoir Tes Visions -les seules qui vaillent-.

TU ES GRAND SEIGNEUR !

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