[Validé][Guerrier/MDAR][H]Hashkram Sylderwind

Nom du compte joueur forum : Max
Nom du compte joueur module : Max Strife TRD
Nom du perso : Hashkram Sylderwind
Race : Humaine
Sous race : ascendance de demi orque ? XD
Age : 29
Alignement : CN
Religion : polytéiste (Garagos ou Tempus… je cherche les subtilités entre ces deux divinités)
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 18 guerrier / 7 mda
Arme de prédilection/domaines/école de magie : cimeterre
Langues : commun, chondatan, orque
Familier/Compagnon animal : /
Ennemis jurés : /
Trait de Caractère : Perfectionniste, méprisant les « faibles », défiant les « forts »
Description physique : 1m70, assez costaud, robuste,visage ferme et dur, malgré parfois un petit sourire mesquin

Caractéristiques :
FOR : 16
DEX : 13
CON : 14
INT : 13
SAG : 10
CHA : 10


La voie



Hashkram est une jeune humaine, née dans un petit village situé dans les chaine de montagne de Piquétoile, principaux reliefs du Téthyr. Ce campement ne compte qu’une poignée d’habitants, où humains et demi orques cohabitent depuis plusieurs générations. Les sangs purs sont rare ici. Les orques ont quitté cette partie des monts depuis plusieurs décennies, et la plupart des humains quitte le village pour l’ancienne capitale, Zazesspur, en recherche de civilisations plus propices aux affaires.


Issue de deux parents humains, le fait d’avoir grandit au milieu d’un brassage racial avec les demi orque lui aura apprit d’une certaine façon le sens de l’honneur et surtout du combat. Si d’ordinaire le style de combat orque est brutal et sanguinaire, celui des demi orque et des humains de la région est plus structuré, plus technique et minutieux, basé sur un entraînement intensif, un respect de la force et surtout un désir omniprésent de perfection.
Hashkram, même pour son statu de femme, a désirée être initiée très tôt à cet entraînement. Ainsi, elle appris très tôt à manier la plupart des armes courante de la région, apprenant grâce à l’enseignement de certains vétérans résidant dans ces montagnes.


Un soir dans le mois, la tradition voulait qu’un maître d’arme, combattants spécialisés dans le maniement d’une arme mais néanmoins exceptionnels duellistes, pratique la danse du « chant des lames ».
Lors de cette soirée, le village se rassemblait pour observer le maître répéter des gestes d’une extrême précision, effectuant des techniques aussi stupéfiantes qu’efficaces.
Des combattants spécialisés il y en avait beaucoup, néanmoins, ces maîtres avait une technique, une approche différente du combat… quelque chose que les simples guerriers ne soupçonnaient jusqu'à l’existence de cette énergie, cette force universelle que ces êtres appellent le Ki.


Chaque soir de représentation, Hashkram était émerveillée par l’exposition de cet art spécifique du combat, jusqu’à provoquer des frissons dans le public tellement la perfection du maniement rendait une impression de complicité quasi-réciproque entre le combattant et son arme. Elle décida donc de tenter de suivre cette voie.


Le choix


Après la représentation de Maître Fargass, Demi orque maître d’arme au cimeterre à deux mains, la jeune femme alla vers lui afin de lui demander quelques leçons.
-« Tu souhaites apprendre l’art de la maîtrise du Ki ? »
La jeune femme opina. Le demi orque se mit à rire aux éclats.
-« Tu es consciente qu’il s’agit d’un entraînement intensif et éprouvant ? Il ne s’agit pas d’apprendre seulement a agiter un sabre pour le planter dans l’adversaire en premier. »
-« Je souhaite apprendre… pour devenir forte… pour devenir la plus forte ! »
-« Beaucoup disent cela… et pourquoi t’adresse-tu as un maître d’arme ? »
-« Parce que pour obtenir la force, il faut passer d’abord par la perfection. Et la perfection ne s’acquière pas sans un entraînement spécifique… il n’y a qu’avec vous et en maîtrisant cette art que j’arriverai à un degré de perfection suffisant ! »
Le demi orque regarda profondément dans le regard de la jeune fille… puis il éclata a nouveau d’un rire gras et vaniteux. Il sentait que les paroles naïves de cette humaine étaient sincères et plein de convictions. Il accepta donc de la prendre sous sa lame et de lui enseigner son art.


-« Il faut que tu comprennes une chose : je peux t’enseigner l’art, mais la perfection c’est toi qui devra la trouver. »
La jeune fille opina.
-« Alors, dans quelle vois choisi-tu de développer l’art ? »
-« Avec une arme, peu m’importe laquelle. »
Le demi orque éclata de rire… encore.
-« Tu peux partir. Je ne peux rien t’enseigner. »
-« Pardon ? Mais qu’ai-je fais ? »
-« Si tu souhaites obtenir la perfection et maîtriser l’art, tu te dois de considérer ta futur arme comme une partie de toi ! On ne traite pas une arme comme on traite un vulgaire bout de bois ! Le choix de ton arme de prédilection doit être mûrement réfléchi. Il doit te correspondre. Sa forme doit correspondre à ton caractère, ses courbes à ton esprit, son équilibre a ta façon de bouger, de te mouvoir. Tu dois te retrouver intégralement dans ton arme. »


Après ces paroles, Hashkram partie à la recherche de ce qui sera son arme de prédilection, son âme sœur.
Elle ne souhaitait pas une arme perforante. Selon elle, ce type d’arme n’est qu’un parasite pour l’ennemi, manié avec froideur, allant directement percer le cuir de l’ennemi. Les armes contondantes lui paraissaient trop brutales. En effet, lorsqu’un coup d’une tel arme est donné, il est généralement stoppé de par la forme lisse ou plate de l’arme. C’est comme si au milieu d’une musique, l’on arrêtait de jouer brutalement sur une note… la danse est coupé sèchement. Avec les armes tranchantes, c’est différent. Les gestes symbolises la musiques, les sifflements du vent sur la lame les chants.
Elle s’entraîna toute une nuit avec les différents types d’armes, comparant les particularités de chacune.
Les haches étaient trop brutes. L’excès de poids pour ses bras ne lui permettait pas de réaliser des enchaînements fluides. Concernant les armes de plus petite envergure, les épées classiques n’avaient pas de courbes suffisamment harmonieuses pour un maniement en courbe, les lames étant droites.
Puis… elle testa un long moment le cimeterre. Ces armes sont particulièrement redoutables : la forme courbée des cimeterre offre une fluidité et une possibilité d’enchaînement quasiment omnipotent. Cependant, elle est plus difficile à manier qu’une lame ordinaire, car la lame s’élargissant vers l’extrémité, le centre de gravité de l’arme s’en voyait fortement éloigné de la main, et donc pouvait présenter un excès de poids pour l’avant bras. Seulement, avec de l’expérience il était possible de compenser cet excès. En effet, le surplus de poids à l’extrémité permettait ainsi d’offrir un net avantage lorsque la lame entrait en conflit avec un obstacle. Le poids donnait un léger avantage de puissance, mais surtout augmentait sa force de pesanteur lors des chocs, force dirigée perpendiculairement au choc, ce qui offrant une capacité de tranchant accrue sur l’arme, permettant d’effectuer un plus large panel d’attaques mortelles.
Ce serait donc le cimeterre.

Apperçu grossier de Fargas

Il y a suffisamment. Je valide

Concernant la différence entre Garagos et Tempus, le premier est avant tout question de pillage, de massacres, de tuerie en tout genre. Garagos est bien plus proche du bandit, d'Attila.
Le second est bien plus représentatif du coté noble de la guerre. Il a une approche plus "conceptuelle de la guerre, plus tactique, plus politique presque. Il représente plutôt Alexandre le Grand.

Les deux sont ennemis de surcroit.