[Validé][Guerrier/MDAR][Exo] Nejiuryu Kibagami

Nom du compte joueur forum : Anarkahos
Nom du compte joueur module : Anarkahos
Nom du perso : Nejiuryu Kibagami
Race : Aasimars
Sous race : /
Age : 26
Alignement : Loyal bon
Religion : Tsuyoi-no-kami (en tant qu’ancêtre) et les 8 millions de dieux (en particulier Ama-Tsu-Mara (dieu de la forge), Kura Okami (un des multiples dieux de la pluie). Intéressé également par les préceptes du chemin de l’illumination.
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : guerrier 10 / Mda 15
Arme de prédilection/domaines/école de magie : katana (voie du sabre) (rp parlant un pinceaux de calligraphie est aussi considéré comme une arme, voie de lettres)
Langues : Commun, Kozakurien, Waien (similaire au précédents), Céleste
Familier/Compagnon animal : /
Ennemis jurés : /
Trait de Caractère : Austère, travailleur, réfléchi, raffiné, Opaque, humble, impitoyable et compréhensif selon la décision prise, respect immodéré du code de l’honneur, sensible aux arts, aux lettres, aux talents des combattants, extrêmement soucieux de l’honneur, ne l’ai plus des étiquettes (cf BG). Respectueux des esprits de la nature qu’ils soient violents et mauvais ou calmes et bons. Solitaire, calme.

Description physique : de taille moyenne (1,70), pour 65 (kg) A une peau légèrement bleutée, des cheveux blanc immaculés, des yeux opalin. Il a de nombreuses cicatrise sur tout le corps dont une qui court sur son œil droit horizontalement. Un port noble, toujours droit, des gestes précis et amples, lents ou rapides selon le travail en cours.


Caractéristiques :
FOR : 16
DEX : 13
CON : 14
INT : 13
SAG : 10
CHA : 10


BG :

« Le maître samouraï obéit à son seigneur.
C'est le droit d'un maître samouraï de protester contre un mauvais jugement ou un mauvais ordre de son maître et la mort est l'ultime protestation qu'il peut émettre.
Le maître samouraï est prêt à mourir à tout instant.
L'échec n'existe pas, il n'y a que la victoire ou la mort.
Mourir au service d'un seigneur est le plus grand service que puisse se rendre un samouraï.
Le déshonneur sur son seigneur ou la famille de son seigneur est le déshonneur sur le maître samouraï.
Toutes les dettes d'honneur et toutes les vengeances doivent être acquittées.
Un ennemi ne mérite pas la pitié.
La couardise est déshonorante. »
La code d’honneur du samouraï


Dans le clan Hikari, nous avons la chance depuis plusieurs génération, gloire a nos prestigieux et sages ancêtres, d’être parfois bénit des signes de Tsuyoi-no-kami. Je fus un des ces privilégiés. Touché par sa bonne grâce, mes yeux furent opalin des ma naissance, mon teint couleur du ciel et mes cheveux blanc comme la neige.
C’est ainsi que mes parents, vassaux du Daimyo Gekko Eitoku senseï, me nommèrent Nejiuryu (la spirale du dragon blanc)
Dés mon plus jeune age je fus soumis a un entraînement strict et rigoureux, dont la position de mon père dans le shogunnat ne m’apporta aucun traitement de faveur. Il s’honores de son impartialité et mon éducation est un honneur qu’il me fit aussi dure fut elle.
Je fus séparé de ma famille comme tout les garçon de mon âge pour être placé sous la direction d’un sage maître, le senseï Sho Sinzuki, grand maître calligraphe et esprit fort réputé de son temps. Il fut un précepteur de grand talent, humble et perspicace. La lecture, l’écriture, la poésie, l’histoire et la pratique physique constituèrent mon quotidien pendant 7 années. Je fus ensuite envoyé dans la ville d’Orikawa’shin pour parfaire mon entraînement militaire, comme tout homme de noble condition. Mais cela arrive bien plus tard dans mon histoire.


A l’est de la plaine Takao, là où le serpent de lune commence a couler et irriguer les terres du Shogun Du l’est de Kozakura , se trouvent les Monts Eyriuko, les pics de lumières. Désœuvré par des années de combat et de lutte politiques, le samouraï Sho Sinzuki s'y retira pour parfaire sa connaissance et sa pratique des arts. Peu à peu il orienta sa recherche en liant nos deux religions principales, celle des 8 millions de dieux et le chemin lumineux. Retiré à l’age de 35 ans, certain prétendait qu’il était depuis prêt de 200 ans. Nul ne le saura jamais. Quoiqu’il en soit, par respect pour mon grand-père il accepta de me prendre en apprentissage et en logis dans sa modeste masure, haute perchée.
Il ne me parla que très peu pendant ses nombreuses années, me laissant dans le silence comprendre sa pensée, l’assimiler, me l’approprier, l’adapter. Il fut assez sage pour ne pas être un professeur forcené mais un guide qui montre à un enfant une direction possible. La manière dont le temps se prépare à devenir soit orage soit canicule, comment et quand l’arbre a ses feuilles qui tombent. Tout était déjà mots, les répéter ne serait ni honorable pour les kamui ni nécessaire aux oreilles des hommes. Le vieux sage s’en passait bien. Ces rares ordres concerné la façon de préparer tel ou tel mets, d’aller chercher de l’eau dans tel ou tel source. J’appris, je ne m’en rendis que bien plus tard compte la force du silence et du Verbe, comment celui-ci rythme l’harmonie cosmique de Toril.
Le vieux senseï ne me montra que peu de marque d’affection, même sur son lit de mort bien des années plus tard. Mais il comprit toujours a quel point je l’appréciais, je crois cela réciproque. Il me montra la manière de tenir fusain et pinceaux. Le rythme et l’attaque nécessaire de la feuille pour avoir un trait propre et net, une forme intègre du schème. Il me montre sur de vieilles et poussiéreuses cartes comment le monde connu s’étendait grâce au dieux et aux démons. Il m’appris a lire les langues de l’occident, a comprendre l’intention d’un artiste, a chercher le haïku juste jusque dans son 7eme vers et tant d’autre merveilles de l’art.
Il ne me salua pas le jour de mon départ pour Orikawa’shin et ne me remis en pressent q’un symbole qu’il traça pour moi. Un simple ying et yang sur un modeste papier.


Le bushido fut un apprentissage bien plus physique et douloureux. Après tant de liberté et d’ouverture au monde, j’avais énormément de mal a me plier a la doctrine militaire et a celle du samouraï. Malgré tout je faisais de mon mieux, sans pour autant arrivé le moins du monde a avoir une maîtrise correcte du sabre. J’étais en compagnie de beaucoup d’autre jeunes gens de noble famille. A cette époque on parlait déjà de la nouvelle guerre entre deux Shoguns. Nous devions être formés rapidement même si nous étions bien trop jeune pour combattre. Cela n’avait guère de sens mais l’apprentissage et les humiliations selon le code du bushido devenaient monnaie courante.
A cet époque je m’intéressais particulièrement a d’autres armes, le sabre était encore bien trop lourd pour moi et ne m’attirait pas trop. De plus les légendes à propos des Ninjitsu emplissait le quotidien de jeunes garçons que nous étions. Le saï, le shirasaya et le Bô étaient bien plus maniables.
Rapidement on me considéra comme un bon a rien évasif, taciturne, n’ayant aucun esprit de groupe et se foutant de l’honneur et de ses propres ancêtres. La tête dans les nuages qui était bien plus gracieux que n'importe lequel des combattants m’entourant suffisait a me divertir. C’est en eux que je puiserais mon inspiration future et même une partie de ma manière de manier le sabre.

Sho Sinzuki mourut deux années après mon arrivée a l’école de sabre. J’obtiens une dérogation pour partir assister a ses funérailles. Elles eurent lieux dans sa maison abrupte sur un pic. Il n’y avait pas de corps, on murmurait qu’il avait rejoins les 8 millions d’autres dieux.
Il n’y eu aucun pleure, aucune larme car tout ses amis, et les sincères furent nombreux a honorer le grand sage, se souvenait de lui soit comme un amis soit comme un adversaire de grande valeur.
Ce fut le cas du Seigneur Midorikawa. Bien plus jeune pourtant il prétendait qu’il n’avait jamais réussi a battre amicalement en duel le vieil homme. Comme je fus le dernier disciple de Sho Sinzuki, il me questionna naturellement sur mon apprentissage, espérant connaître la technique du sage. Je lui répondais seulement par brides en lui parlant des vertus de la peinture et de la calligraphie, il parti m’ignorant et riant.

Mon père se suicida après la défaite qu’il subit dans le col de Mazuro. Ces officiers ayant trahis son shogun. Par sa négligence ma famille tombait ainsi en disgrâce. On m’enleva a mes parents, don j’appris bien plus tard que ma mère et mes soeurs avaient, en autre, sombraient totalement jusqu'à mourir de chagrin. L’école de Bushido me fut interdite, les senseï en furent heureux. Je me retrouvais seul et à la rue. On me retira le nom d’Hikari. Mais a cause ma nature celeste, originaire des kamui on me laissa la vie sauve comme male du clan.


Midorikawa me recueillit après deux années d’errances sans foi ni loi, où de petit boulot en petit boulot de mercenariat (qui avait améliorer ma force mais pas ma maîtrise) ou de peinture. je survécu.
Le seigneur m’expliqua, qu’en tant que dernier disciple du vieux sage, devoir m’était donné de montrer fierté a son apprentissage et honneur à sa mémoire. Lui-même, Midorikawa avait vieillit et comprenait désormais comment par la maîtrise des lettres le sabre pouvait s’améliorer. Il me plaça entre les mains de Sanaka Kirabagami, dont je pris le nom bien plus tard.
Il avait lui aussi était disciple du vieil homme et était désormais un samouraï respectable.




Faire un avec son sabre comme avec son pinceau. Sentir dans son fil la même Harmonie que dans celui du pinceau. Trancher l’eau qui coule d’une cascade est le même procédé que de tracer le kanji de la cascade de tranchée. En fait ce n’est pas un procédé c’est un phénomène, une liaison entre vous et le pinceaux, entre vous et le sabre, l’une ou l’autre des voies ne s’harmonisent que dans la représentation que vous vous faites de la manière de trancher la cascade.
Primordiale est la concentration. La méditation est sa préparation intreseque.
Le lien avec votre outil est l’origine de la chose. Plus qu’un liens il est attachement, appendice. L’avoir en soit ne permets de ne plus se soucié de lui lors du combat –fussent combat contre un adversaire physique ou contre soit même dans l’acte créatif- il permet de l’intégrer pour mieux s’en détacher. Alors la précision de vos mouvements s’accentue, votre respiration dévient contrôlable, cyclique. Vous canalisez votre énergie, elle se dilue dans votre corps qui danse comme une geisha de sang, de mort et de larme. Votre esprit devient le marionnettiste de votre corps, vous tracez de sabre et de lettre par de là la réalité la juste vision que vous vous faites du combat. Vous êtes, ainsi armé, la pertinence même dans le faire, dans l’acte. Vif, harmonieux.
Il me fallut nombre de douleurs et d’années pour renouer l’enseignement traditionnel du sabre et les préceptes du vieil homme, Sanaka Kirabagami en fut le canalisateur, le nouvel aiguilleur.


Ayant changé de nom je pus devenir a mon tour samouraï. J’appliquais les codes du bushido radicalement mais je gardais toujours dans mon cœur la liberté enseigné par mon maître et la mort de mon père. Quelle illumination y a-t-il a mourir pour un Shogun dans son palais ?
Je suivis le code Bushidos jusqu’au jour où je m’aperçu de son absurdité. J’avais bien trop suivis une voie du sabre et une voie des lettres librement pour tomber dans une ambivalence bien/mal que prônait insidieusement le shogunat. L’empereur étant lui-même a la merci des seigneurs de guerre, nulle philosophie autre que l’abnégation totale ne survivait aux guerres.

A la bataille de Ryokugan, la 5eme auxquelles je participais, je tuais tout les samouraïs de mon camp. Je refusais d’assassiner les femmes et d’empoisonner les puits. On me dit déshonoré de n’avoir pas écouté les ordres de mon shogun. 20 Samouraïs moururent sous la coupe silencieuse de mon sabre.

Suite a cela et ma fuite, je me déclarais moi-même Ronin. Je n’ignorais pas que j’étais recherché aussi tout en honorant les ancêtres et les kamui et en attendant ma mort prochaine je me mis sur le chemin de l’illumination. Je travaillais pour rien ou presque a aider l’un puis l’autre ; Je me distanciais peu a peu des bilatéralité, déjà si peu présente pour nous autres orientaux. Le secret de la maîtrise de l’art et du sabre, comme celui de la compréhension même de la vie et de l’universalité réside quelque part par là.
Non pas dans l’opposition simple et béate, mais dans la nature de l’opposition. Car en réalité si on se regroupe sur des différences, doit on s’opposer sur des ressemblances ?
C’est ce que je déduis lorsque je dus tuer pour défendre ma vie mon senseï Sanaka Kirabagami.
Il fut fier que ma maîtrise du sabre dépasse la sienne. Je gardais son nom pour l’honorer, mais je supprimais la syllabe « ra » qui signifie « l’attachement ». Car de seul attachement je ne garderais que mon katana.
Et je partis sur les routes de faërun sur les traces de grands sages et grands guerriers pour parfaire maîtrise et compréhension. Ma terre m’était désormais interdite, les kamui m’avait repris tout ce que j’y possédais en affection comme en matière. L’illumination viendrait ailleurs





"Éviter toutes pensées perverses.
Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
Embrasser tous les arts et non se borner à un seul.
Connaître la voie de chaque métier, et non se borner à celui que l’on exerce soi-même.
Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
Prêter attention au moindre détail.
Ne rien faire d’inutile."
Le traité des 5 élements par Sho Sinzuki

« La seconde, le Chemin de l'Illumination, est lui une religion importée par des prêtres de Shou Lung en 462, et pratiquement identique à celle du Sentier de l'Illumination pratiquée en Shou Lung. Cette religion très bien structurée ébauche des leçons de vie et propage les discours de son grand maître afin de guider les hommes jusqu'à la perfection spirituelle. En Kozakura, elle est divisée en 3 grandes écoles de croyances. »


De la voie qui me conduit a refuser la bivalence. Le chemin de l’illumination. Sa recherche
A la mort de mon père, je fus pris de vive panique. Non par sa perte mais parce que désormais tous nos principes Orientaux basés sur une morale de servitude s’écroulaient. Je me senti absorbé dans un néant un chaos de choses et de sentiments qui me paraissaient sans fin, sans issue, sans sens. Des crises de paniques se multiplièrent. Bien sur je l’ai caché derrière le stoïcisme propre a notre race. Nul ne put découvrir mon trouble intérieur. Les convenances, les rituels, les codes permettaient que trop bien de les camoufler. Je me sentais étouffé, perdu.
Toute ma jeunesse durant je m’étais nourris des forces vives et brutes de la nature. De la beauté du cerisier en fleur, du sourire, d’une femme, de la justesse d’une poème, de la fraîcheur d’une brise. J’attribuais cela a ma nature issu de Kamui, je pensais naïvement que le bien définit les choses belle et le mal les mauvaise. Au plus fort de mon être même dans ses périodes de troubles intenses, je ressentais cette frêle lueur d’espoir, continue, vivace, générationnelle.
Lorsque mon père rejoignis mes ancêtres et plus tard le vieux sage, j’entrevu le caractère plus complexe de la vie. Mon trouble venait précisément d’ici.
Une opposition forte entre ce que le vieil homme m’a enseigné et la culture dans laquelle je baignais.
Je compris que malgré ce que l’on en disait extérieurement la voie du sabre et des lettres tels qu’elle me fut enseigné par mes deux maîtres s’opposait en réalité au codes strictes et rigides du Bushidos.
Oui, je continuez de faire le bien autour de moi, j’essayais de le faire mais comme parmi les 8 millions de dieux il y’a aussi des démons et des esprits maléfiques, je devais me résigner a accepter ma part de dualité, de complexité devrais-je dire. Je ne pouvais réfléchir à ces questions quand outre passant non seulement mon propre Moi, mais également le mode opératoire de pensée dans lequel les miens et moi-même sommes, fruit de temps et temps de génération et de rites. Le voyage répondrait peu être a toute mes question, a toute mes interrogations.
Je ne comprenais pas en quoi, le suicide de mon père, la disgrâce de ma famille, servez les intérêts de l’homme. De l’homme dans son universalité j’entends. Je voyais une sortie a tant d’angoisse certes dans les arts et le sabre. L’esprit et le corps, mais je la voyais en osmose en corrélation. Rien n'était clair plus je me questionnait moins, j'avais de réponse. Pourquoi l’honneur du shogun s’opposait il a celui de mon père ? Pourquoi encore, moi de tempérament habituellement si bon, je fus poussé a commettre, subjectivement, au nom de mon libre arbitre et de ma raison les meurtres lors de la bataille de Ryokugan ? ou se situe finalement la limite ?
Visiblement les traités du vieux maître et le code du samouraï étaient deux visions opposées.
Suite a la bataille et de mon départ, a l’expérience de mon père, a la vision de la nature se détruisant en ouragan elle-même ou a celle du prédateur chassant sa proie, je ne pus donc admettre une autre solution que celle que me proposait mon vieux maître. Le yin et le yang. Tout être pour être complet doit accepter sa part de cruauté comme de bonté, de sauvagerie comme de convenance. Il n’y a visiblement pas de garantie sur l’existence, mais il y’en a une certaine. Pour faire un avec le tout, il faut accepter le tout. Mais encore une fous tant et tant de suppositions nouvelles apparaissaient, elle ébranlaient chacune de mes certitudes avec la vacuité que du sabre lorsqu'il tranche les chairs.
Pourtant je percevais, par haine et regret surement, l’absurdité du Bushidos. Elle se trouvait ainsi ici précisément et en opposition totale avec la nature même de la vie, inintelligente et improuvable philosophiquement.
« L'échec n'existe pas, il n'y a que la victoire ou la mort » : Cela paraissait faux, s’il y’a l’échec alors il ‘y a forcement la victoire. Donc l’échec existe. Et puisqu’il y a la vie alors l’échec peut exister aussi dans la vie. Il s’agissait d’un lieu communs destiné a cacher le déshonneur du Shogun derrière celui de ses hommes, je pris cela pour une lâcheté. Mais pourtant je dois servir mon senseï, mon seigneur et maître pour l'honneur de mes ancêtres, de ma famille, de mon clan, de l'empereur.
Et puis le traité du vieil homme ne dit il pas « ne fais rien d’inutile » ?
Rien n’est plus vain que de mourir pour l’honneur d’un autre.
Est ce inutile de mourir pour les autres ?
Il dit aussi : Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
Mourir au service d'un seigneur est le plus grand service que puisse se rendre un samouraï.
Cela aussi était encore faux, car visiblement c’est vivre pour son seigneur et le servir qui serait le plus grand service. Le Seppuku était un embarras de moins, voila tout. le samouraï en définitive n'est pas un homme. Moi même qui n'en suit pas vraiment un, je m'aperçois de la puissance de ce commandement du bushidos.

Peu a peu je me détourner de ce code. Je le trouvais archaïque et je me rapprocher petit a petit des préceptes de mon maître, pourtant si rare en parole.
La voie me semblait non pas passer par une impondérable sagesse en toute chose. Mais par l’observation, l’action et ensuite l’analyse des conclusions. Il ‘n y a pas de sagesse acquise elle se conquiert par l’expérience disait le vieil homme. Par exemple on ne peut pas dire stupidement que « Dieu habite dans un coeur honnête » sans savoir du quel des Kamui l’on parle ou encore : « Lorsque l'eau monte, le bateau fait de même. » sans avoir vu la marée, ou un bateau. Car :
Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
Embrasser tous les arts et non se borner à un seul.
Connaître la voie de chaque métier, et non se borner à celui que l’on exerce soi-même.
Cela me semblait les « commandements principaux. De cela découlerais mon intuition. Certainement avec la pratique, l’age, le voyage, l’observation.

Le vieux sage avait compris cela bien avant moi et il m’avait mis sur cette voie spirituelle. Il avait compté sans les autres hommes et il était parti bien trop tôt.
Désormais il me fallait moi le comprendre, le saisir. Être sur que de ce que j'avais fait, de ce que je ferais. Et ainsi comprendre ma propre nature.
Mon voyage commença ainsi, avec l'insouciance de celui qui recherche, de celui qui ne sait pas, de celui doit voir et apprendre.

[HRP] a venir un descriptif du voyage.

[HRP][HRP] En ce qui concerne la méditation et la sagesse, je voulais apporter les précisions suivantes, pour bien essayer d’expliquer comment je conçois le personnage.
En tentant de me replacer dans un contexte asiatique je vois que :
- la méditation est une pratique pour le bien être du corps et de l’esprit, indépendamment d’une pratique religieuse, qu’elles soit l’une ou l’autre.
- On ne peut pas assimiler les Dieux ou plutôt les religions Asiatiques (celles-ci aussi) plus a des philosophie de recherches (comme le bouddhisme ou le taoïsme) qu’a des religions de base grecque (comme les dieux de faerun par exemple).
- La façon de penser étant si radicalement différente que la correspondance de la sagesse n’est du coup pas la même. En réalité les concepts de méditation, de voie, de chemin, de multiples dieux sont des concepts culturels et non des preuves de sagesse supérieure.
- De fait (et c’est le but ultime du personnage) j’essaie de remettre humblement en cause, par le biais de la différence culturelle et de conception du monde tout simplement, le caractère dual de l’occident de Toril. Illmater et loviatar seraient parmi les 8 millions de dieux ce qui se complètent mais aussi s’affrontent dans le cadre d’une nécessaire harmonie supérieure, universelle.
- J’en ai déduit mon alignement comme cela. Neutre pour cette raison, c'est-à-dire tendance au bien de par sa nature et compréhension du male de par sa philosophie. Et chaotique pour représenter le fait que ce soit un Ronin, un homme qui ne veut plus suivre le code mais cherche seul sa propre voie. Après avoir discuter avec Volvic (via msn c’est plus simple et rapide) j’ai convenu de mon erreur d’avoir un personnage qui trop tôt aurait changer de manière de penser, en voulant faire un libre penseur neutre je tue le rp de mon perso dans l’œuf. Est-ce que je peux changer l’alignement en Loyal bon ? Il serait loyal a son code et bon par nature. Mais chercherait toujours a comprendre le mal. Il aurait l’intuition que sans le mal pas de bien tout simplement. Ce personnage reste dans la recherche. Merci de ton conseil a ce propos.
- De par son jeune age je n’ai pas voulu augmenter sa sagesse (et a cause des bonus d’Aasimar que je n’ai pas encore). Je voudrais plutôt faire un jeune homme en recherche, sure de rien. Encore reproducteur de ses maîtres. C'est aussi pour cela qu'il n'a pas suivis une voie divine. Le Chemin de l'illumination n'a pas de prêtre, puisque l'on peut prier n'importe quel dieux en parallèle, mais des Guru (au sens traditionnel du terme), des guides

Merci en tout cas pour tout tes conseils.
Je galère un peu pour trouver le style d’Aasimar, pour avoir un truc cohérent avec les dieux asiatiques. Je pense que planétar conviendrai le mieux a ma description physique. Et serait relativement logique avec la géographie (ou un solar)

des nouvelles Boss ?

Oui, a la suite ou comme complément sur ce point précis.
Y'a pas de mal ^^, tant mieux que ta live box soit de nouveau sur rail.

Le parent extraplanaire de mon clan est un Solar, issu du plan des dieux Tsuyoi-no-kami (le seigneur de guerre (LB)) et de Kura Okami (sa compagne, celle qui pleure la pluie (LB)).
Physiquement, le personnage a peu de traits orientaux : ni la couleur de peau, ni les yeux bridés. Il a un teint argenté, les yeux topazes et illuminés, des cheveux d'un blanc aux reflets légérement argentés.
En orient cela est considéré comme une bénédiction que d'avoir une souche céleste dans son clan et sa famille. Rapidement en traversant la terre de la horde, en longeant Thay, mon personnage a su caché sa nature pour ne pas s'attirer d'ennui. Bien conscient que dans d'autre cultures le racismes et les enjeux divins sont bien différents.
Il a vu pourtant qu'en Impultur ou en Mulhorande son ascendance lui apportait au contraire de nombreux avantages. Tant sur le prestige que sur des choses plus terre à terre comme le gîte, le couvert ou simplement le respect.
Issu d'un céleste bon, ou peut être directement d'un dieux comme le disent certain de son anciens clans, Nejiuryu mettra un soit tout particulier a caché ses attributs d'aasimar avant d'être sure de sa sécurité et de son interlocuteur.
Crainte, respect, distance et en de rares occasions dévotion (comme bon présage comme il a put le voir dans des contrées reculés traversés) forcent surtout la solitude.


PS : j'ai edit en rouge mon alignement

Genila a des problèmes de connexion en ce moment, donc je te passe le mot que ton BG est validé par ses soins .

Bon jeu.

Arrêt.

Si possible et si quotas accessible c'est possible de le ressortir ?

Il reste 2 places, donc c'est bon.

Milles excuses, mais après mure réflexion, je vais l'arrêter. Je le joue pas assez et je prend une place d'exo.