Magopolitan // Mois : Mirtul // Hors-série

Exclusivement vendu dans la boutique de Magie, pour les magiciens et ensorceleurs, toutes l'information sur le monde de la connaissance Arcanique ! Dans le Magopolitan Hors série de ce mois, a la page MMMCDXCIV du livret B, il y a cette Article :

Citation :

"Voici une nouvelle fort intéressante, dans les confins de Faerun de nouvelle Académie sont crée, tel que dans la Ville Portuaire de Luskan, ou ce trouvait la fort connu et défunte Tour d'Arcania (ndlr : Souvent cités dans la section relaxation et humour), en lieux et place de cette Tour se dressera l'Académie de l'Art de Luskan, Nous avons pu nous entretenir par Message avec le Maitre de la nouvel Académie : "Raphaël d'Ampharensen".

-MGP : Bonjour Maitre, nous sommes heureux de voir que l'intérêt des Luskannien pour l'Art est de retour !

-Raphaël d'Ampharensen : Ne faites pas d'erreur, ce n'est pas Luskan qui est a la suite de ce Projet. Une initiative personnel pour relancer l'éducation des Mages de la région

[...]
-MGP : Fort bien, Pouvez vous nous en dire plus sur ce "Projet" ?

-RdA : Ce projet a Pour but de relancer l'éducation des mages de la région et d'aussi uniformiser les connaissances pour ainsi mieux tendre vers la recherche des mystères de la Toile pour ainsi pouvoir tiré la quintessence de chaque mage de la région, tout en leur permettant de garder une liberté total sur leur vie

- MGP : Cela ne semble pas réalisable de plus vous disiez que vous souhaitez éduqué les mages et d'uniformiser, tout en leur permettant une totale liberté, cela semble complément contraire, comment pourriez vous gérer cela ?

- RdA : La tout est la finesse de l'éducation par l'expérience, nous donnons une totale liberté a nos mages pour qu'il puisse ensuite revenir et travailler, partager et approfondir leurs découverte

[...]
- MGP : Une autre question, des rumeurs disent que votre famille n'a jamais user de l'Art pour le promouvoir, cela pose cette question : Faites vous cela pour l'Art ou pour vous meme ?

- RdA : Cette question est de trop, nous en avons terminé

Suite a ce petit entretiens nous pouvons voir que Luskan retrouvera une place dans nos pages, qui sait cette Académie pourrait suivre les pas de sa grande sœur, mais il va de soit que nous allons suivre de plus prêt l'ouverture de cette Académie.

Car nous sommes sur que cela sera un magnifique monuments ou l'Art sera de toute évidence traité par les meilleurs égard[...]

Mage Retam

NDLR : Nous coupons ici l'Article du Mage Retam, car la suite nous semble fort peux sincère sur la description du projet d'un Maitre Enchanteur

Voici les extraits d'une explication du Mage Gnome Hedoaen Skorasegydal, à destination des Apprentis en mal de méthode. Nous laissons les lecteurs seuls juges de la qualité de ces travaux, et nous tenons prêt à publier les avis des lecteurs émerveillés ou excédés.

Citation :

De la méthode

La méthode est vitale. La méthode, la forme, conditionne le fond. On a tendance à penser que seul le fond compte et que la forme importe peu ; ce à quoi je répondrais qu'il y a forme et forme. Il y a dans la forme, bien souvent confondue, le côté esthétique et la procédure. L'esthétique a une valeur...esthétique. La procédure est d'une importance capitale : il peut arriver que le fond fusionne avec la procédure.

Une remarque est essentielle : nous sommes tous des êtres finis. Des êtres corporels. Les études ne sont nécessaires qu'aux êtres finis : nous ne connaissons point les causes. Nous sommes tous naturellement dans l'opinion. Qu'est-ce que l'opinion, bien souvent, en matière profane? Accepter comme argent comptant ce qui a été dit auparavant, d'une part, et d'autre part ne faire qu'apprendre un vocabulaire étendu d'où démonstration et preuve sont absents. C'est là de la vaine magie, pour ainsi dire, que de s'évertuer à apprendre des mots vides de sens. Pis, c'est de la part des membres de la caste sensé attacher la plus grande importance qui soit aux mots, avec nos amis troubadours, que vient la plus grande tendance à ne point les interroger. L'ignorance est une figure de la finitude : une figure de l'Esprit, pour ainsi dire.

Pour se libérer de l'ignorance, pour se libérer de l'opinion, il semble nécessaire de redéfinir les protocoles de la recherche du savoir.

Il faut selon moi s'inspirer des mathématiques pour parvenir à un degré satisfaisant de rigueur. Le monde est formes, lignes, abstractions, au fond. Outre les équations que nous sommes parfois amené à résoudre, il nous faut être capable d'être de la même façon rigoureux quant au discours que nous tenons, nous, magiciens.

Comment mathématiser les discours? Via des définitions. Qu'est-ce qu'une définition? C'est déterminer la signification des mots. Qu'est-ce que la magie profane, ou toute science ou recherche de la vérité, sinon déterminer la signification des mots, des concepts? Il faut tenir un discours cohérent ; pour discourir il nous faut des mots pour nommer les choses. Il faut donc partir des choses. Et donc se mettre d'accord sur la signification de ces choses, sur ce qu'elles sont, sur celles que les mots visent. Il en va de la Vérité.

La Vérité, en quelque sorte, ne serait donc qu'une exacte mise en ordre des bons mots à la bonne place. Il faut donc être capable de se souvenir de la signification de chaque mots, et, conformément à leur signification, les ranger à la place qui est la leur. Sans quoi, on s'englue dans le flou, on se débat vainement, et on finit par sombrer dans les méandres d'une ignorance étouffante.

Quid d'un dictionnaire, c'est-à-dire d'un ouvrage référançant les significations des mots, en somme les définitions? La chose est difficile : c'est déjà une tâche titanesque. En outre, tout écrit rigidifie, fixe : les paroles s'envolent, les écrits restent. Celui qui veut figer une langue écrit un dictionnaire. Les définitions peuvent changer ; la création de nouveaux mots est nécessaire, car de nouvelles découvertes peuvent étendre le champ de nos expériences sensibles, et le nombre de choses auxquels attacher une définition. Les perceptions peuvent changer ; les sens évoluer. Un dictionnaire ne saurait donc être une simple liste limitative des mots. Un dictionnaire ne devrait jamais être un pur ouvrage de référence : il ne saurait y avoir un unique dictionnaire. Chaque auteur, dans l'idéal, devrait avoir le sien ; chaque lecteur devrait avoir ce dictionnaire à portée de main quand il lit l'auteur en question. C'est là ma pensée.

A présent que nous avons mis l'utilité d'un dictionnaire en exergue, et souligné les dérives possibles, il semble possible de pouvoir commencer à entreprendre une telle démarche, au fur et à mesure des travaux, recherches, et découvertes du sens des choses qui peuplent le Multivers : la définition est le départ du discours, et l'aboutissement de la pensée, c'est le trait d'union entre mon cerveau et ma bouche, pour parler de façon imagée.

Rubrique ébauches et projets...
Entre deux autres études sur le lien reliant deux chemins de traverse, et la place de l'odorat dans le système sensoriel des torves, un article d'Aldarante Estresis se démarque :

Citation :

Ebauche sur le feu-follet, résultats d'étude primaire.

Le feu-follet est une créature marécageuse, foncièrement mauvaise et aggressive. Son instinct laisse à penser qu’elle est donc intelligente, et j’ai tendance à croire que le feu-follet renferme généralement un esprit élémentaire. Il pourrait donc s’agir d’une forme cousine de ceux-ci, moins liée exclusivement à leur élément.
Il reste indiscutable que leur propriété électrique prouve son lien au Plan de l’air, dont elle use à des fins létales. Il arrive également qu’un feu-follet non actif se décharge d’un trop plein électrique, provoquant de légers nuages de matière électrifiée et donc fortement instable susceptible de changer d’état brusquement (le plus souvent en état d’équilibre axé Feu provoquant une combustion alentours).
Sa propriété d’invisibilité s’opère lorsqu’il le désire d’après mes observations. Là encore une forme d’intelligence instinctive, c’est quand il désire surprendre ses proies ou échapper à un danger qu’il en fait usage. J’en conclue qu’elle fait partie intrinsèque de son être, et qu’elle est aussi naturelle que le mouvement d’un membre pour nous.

Le feu-follet après étude se révèle être une lueur irréductible, en lien direct avec le plan de l’Air grâce à un lien surfavorisé (par rapport à d’autres matières du Plan Matériel), ce qui explique son instabilité notoire. Nous appellerons cet être « essence » car réduit à cette forme son intelligence semble se dissoudre tout autant. C’est ce qui m’amène à penser que son esprit n’est pas située quelque part dans le corps du feu-follet, mais bien partout, et proportionnel à sa taille. Bien que cela reste dur à concevoir, l’essence en elle-même n’est pas le centre de l’esprit du feu-follet, mais seulement une partie infime, de sorte que détenir celle-ci revient à posséder ses caractéristiques matérialisées, mais son esprit. C’est également ceci qui me pousse à croire que l’esprit du feu-follet est élémentaire, et donc potentiellement détachable de son enveloppe.

Je pense que l’étude de cette essence m’amènera à comprendre pourquoi beaucoup de sorts n’ont aucun effet sur lui. La théorie de l’esprit élémentaire pourrait expliquer pourquoi, notamment en ne retenant que les sorts de force qui agissent également sur le plan éthéré, donc potentiellement sur les esprits.
A voir dans un second volet.

Section Etude toujours... un nouvel article d'un mage à la chemise ouverte et à la barbichette.

Citation :

Le principe du mot de commande

Plusieurs sortilèges incluent dans leur fonctionnement un mot de commande. Le verrou du mage possède une variante couramment usitée, comprenant le mot de commande comme inhibiteur du sortilège ou activateur. La version davantage complexe du mot de commande se trouve être la clé, mais cet article n’en est pas le sujet.
Le principe est donc évident, il consiste en une condition dont le vecteur est la prononciation du mot de commande. L’intérêt tout autant, il ajoute une variable contrôlable par le lanceur du sort quant à la forme même du sortilège, car notons que l’activation/inhibition n’est pas le seul domaine du mot de commande, bien que le plus répandu.

Beaucoup pensent que le mot de commande est magique. Ne confondons pas mot de pouvoir et mot de commande, la nuance est aussi grande que la distance entre deux oasis d’Anauroch. Le mot de pouvoir est en effet une parole empreinte de magie, prononcée dans un idiome inaccessible au commun des mortels et que seul un Eveillé peut appréhender (et encore, une infime partie seulement), il y a plusieurs idiomes de ce type. Le mot de commande lui, est une sorte de mot de passe, qu’il soit d’espruar ou de loross, de commun ou d’orque.
Lorsque vous prononcez un mot de passe à quelqu’un, est-ce le mot de passe, ou la personne, qui vous ouvre ?

Le mot de commande doit faire réagir une cible.
Le vecteur est le son, sa propagation vers cette cible. La source est l’esprit, celui qui conçoit le mot. La cible le réceptacle magique que nous apposerons au sort brut (dont le système de mot de commande n’est pas instauré).
Nous avons donc d’ores et déjà le cheminement. Commençons donc par le commencement.

Le mot de commande est à même de changer l’état du sortilège. Il est donc nécessaire de visualiser parfaitement ces deux états lors de la phase de la confection de ce mot. La prononciation de ce dernier est la phase finale, elle demande un effort mental assez élevé dans le sens où c’est ce moment qui conditionnera le sort. Une mauvaise visualisation des états entraînera une réalité dans le meilleur des cas correspondant à votre vision baisiée, dans le pire des cas à un effet aléatoire sur votre sort qui ne saura accepter la suite du schéma si un élément ne correspond pas.

La cible est habituellement apposée sur le sortilège, sur la structure permanente apte à l’accueillir, qu’elle soit magique ou non. Dans le cas d’une page secrète, il s’agit d’un support physique, dans le cas d’un verrou du mage, les deux peuvent être abordés.
Le canevas magique est physiquement présent. Il ne s’agit pas d’un simple concept.
Il devra accueillir le son de votre voix en son sein, grâce à une structure qu’il conviendra d’adapter en fonction. Si une structure polycubique est préférée pour un message lumineux, la structure alvéolaire est plus adaptée au son. Les mailles magiques ainsi présentes serviront de récepteur au son propagé depuis votre voix. Le son sera lui-même la concrétisation de votre concept, de votre visualisation.

Un débutant écrira le mot de commande sous le canevas magique, afin de provoquer la réaction qui conditionnera le sort, selon le schéma : mot -> son -> canevas -> mot. La boucle est bouclée, le mot de commande sera transférée sur le sort et produira l’effet voulu. Mais vous constaterez aisément qu’un autre mage aura toutes les facilités pour lire ce mot justement, grâce à une simple lecture de la magie.
Ainsi ! L’astuce consiste à suggérer ce mot final par une image qui ne crée le lien que dans l’esprit du lanceur du sort. Cette association d’idée sera personnelle, et rendra la lecture de la magie inutile (à moins que le second mage ne vous connaisse particulièrement bien… mais cela relève du miracle). Image étant un terme générique pour tout ce qui sera capable de créer l’association d’idées, à savoir motif, symbole, dessin.

Section Théorie

Un nouvel article du gnome unijambiste.

Citation :

Des Ondes


Qu'est-ce qu'une onde? Une onde est, avant tout, énergie. C'est une perturbation, un changement subtil, une ligne brisée, le tout étant reversible : je crois que c'est une grande intelligence de la langue humaine (et gnome) que d'utiliser le même terme pour onde et vague : les vagues océanes qui s'écrasent sur les récifs sont des ondes, on ne pouvait trouver meilleure image.

Une onde est variation : variation cyclique, parfois, d'autres non. Variation dans l'intensité, variation dans la fréquence, variation dans sa vitesse.

Je crois que la Toile est Ordre, à l'origine. Un calme plat. La suprême harmonie du Multivers, présente en toute chose, à tel point qu'en son absence on puisse se sentir opprimé. Les études magiques, qui demandent une énorme discipline, ont pour finalité, en réalité, de perturber le calme plat de la Toile afin de provoquer une onde, une perturbation : un peu comme si nous tendions à produire une vague sur une mer d'huile.

Je crois aussi que certains êtres sont en phase avec ces ondes : on les appelle "Ensorceleur". Ils ne sont néanmoins pas en phase sur toutes les fréquences possibles, mais uniquement avec certaines.

De où à où s'étendent ces ondes? Elles traversent tout le Multivers, reliant toutes choses à tout le reste. Chaque pierre est relié au Plan Elémentaire de la Terre, chaque flamme au Plan Elémentaire du Feu, etc, etc. C'est d'ailleurs pour cette raison, je crois, qu'en présence de quantité importante de matière donné reliée à tel plan donnée via des ondes, il y a un phénomène d'harmonisation de toutes ces ondes, qui, fusionnant, deviennent une seule et immense onde qui produit un vortex élémentaire.

La fréquence de l'onde nous permet de différencier l'énergie en cause ; l'énergie lumineuse, sonique, ou autre n'ayant, au fond, pas de réelles différences entre elles vu du point de vue des Ondes Magiques : tout n'y est que question de fréquence. Selon moi, la fréquence est déterminable sur l'axe chaud froid ; l'amplitude sur l'axe humide/sec.

Le problème se posera quant à l'énergie magique pure, l'énergie négative, l'énergie positive, les ombres, et les autres énergies fondamentales.

Mur d'ondes

En somme, la création d'un Mur n'est que provoquer des perturbations dans la Toile, à une fréquence et une amplitude donnée, en modulant chacune selon des modalités prédéfinies, afin d'avoir un résultat donné. Cette perturbation aura la forme du mur en question, parfois. Mais, dans le cas des Murs Planaires, la perturbation s'étendra au-delà : il s'agira d'étendre l'onde jusqu'à un plan donné, puis de capter la reflexion des dites ondes, qui seront porteuses de matière. En effet, les Ondes Magiques, elles, peuvent transporter la matière, outre l'énergie.

Section Travaux

Citation :

Traduction de la stèle dite « Stèle de Quantoul » et commentaire sur Quantoul, maître de Jockteleg

Ouvrage non-daté / Renseignements impossibles par divination.
Langue nétherisse, phase tardive.



« Quantoul, mage parmi les mages, archimage de Jockteleg, éleveur de montagnes dans la tradition Ekilan. Une cité des cieux splendide, aux toits d’or et aux fenêtre d’orichalque, aux poignées de mithril et aux panneaux d’acajou, elle était divisée en deux axes [Nord-Sud / Est-Ouest]. Chaque partie ainsi formée créait une quartier, tous régis par les autorités arcaniques. [Un passage a été brisé] Le troisième était celui de l’Académie, d’où le fléau s’est répandu, le quatrième celui des artisans indignes de la maîtrise de la magie, mais sans qui nous ne mangerions pas. Les quatre parties égales étaient peuplées différemment, densément pour les ouvriers, aéré pour les magiciens.
Lorsqu’il parle de Fléau (note : Il étant utilisé pour désigner le narrateur dans les textes nétherisses), il s’agit de l’événement qui bouleversa à jamais la cité de Jockteleg, tant son ampleur fut grande. La vague magique dégagée par l’instabilité du mythallar de Quantoul décima 3256 habitants, et transforma le reste en géants des plaines d’Enkoi, par un phénomène transmutatoire inconnu de l’archimage lui-même. Celle-ci détruisit les esprits et leurs liens d’âme de la très grande majorité, rendit fou le reste, sauf Quantoul, puissant parmi les mages, qui arrête de sa main les ravages des temps et des Arts assaillants, qui protégea son intégrité psychique. »


Ce texte est à mettre en relation avec la légende de Qaldoum selon moi, mythe des régions de l’Anauroch Est, qui par une déformation somme toute naturelle avec le cours des temps, est certainement le même. Cette légende mentionne un ancêtre de certains clans, à vrai dire chaque clan le prend comme ancêtre, magiciens des cieux, qui serait aussi grand que les monts rocailleux. On peut aisément en déduire qu’il s’agit d’une analogie à sa taille géante, suite à ce fléau mentionné dans le texte.
Il est dit aussi qu’il résista aux déluges et aux torrents de feu, grâce à sa taille divine. J’interprète cela comme sa survie aux cataclysmes de la chute de Néthéril… cela pourrait être une image qui reste gravée dans l’esprit des membres du clan, et cette hypothèse me semble très vraisemblable.


Aldarante Estresis.

Section découverte :

Citation :

Le Fléau des Cieux
Par le Mage Angus Gyver

Lors de mes nombreuse recherche philologique sur les régions du nord, au delà de l'épine dorsal du monde, je fis la découverte de récits parlant de sacrifice de chat. Moi même je fus tout aussi surpris que vous, mais cela ne fit que crée un souhait de compréhension d'une nouvelle facette des mondes et et rituel anciens, cet peuplades non encore définit, découpait les chats, et d'après ce que l'on trouva, leur donnait la puissance, couplé a cela, cette peuplades avait reçu le don du dieux de la guerre, ce don fut identifié comme étant de l'eau.

Oui cette histoire devenait plus que jamais intrigante, car il va de soit, quelque soit l'époque, quelque soit, les peuplades, l'eau était un symbole de paix, de repos, jamais de guerre de combat et de puissance ...
Voila pourquoi, je mis en pause mes recherches philologique en mettant aussi de coté les recherches de " Yggdrasil ".

Après nombreux de mois passés a ses recherches je me rapprochais de ce secret enfoui, car malheureusement, cette peuplade enfouit tout sur cel pour que plus jamais "les fléaux des cieux" ne puissent resservir en cette terre. un parchemin parlant du massacre d'une population voisine de celle ci, tous transpercé par des lances de glaces, je compris que c'était l'œuvre de ses "fléaux des cieux". Bien sur, il se trouvait d'autre secrets, toujours plus contradictoire a notre pensé moderne sur d'autre arme et vision du monde de cette peuplade, mais je me mis quête de comprendre ce secret là.

Par le plus grand des sourires de Tymora, je découvrit une très ancienne au se trouvait des fresque sur cette époque, et sur ce que je cherchais, la puissance du dieu de la guerre, un fléau des cieux, d'après ce que je pouvais comprendre il était le premier. et après compréhension, traduction et interprétation de toutes ses informations je suis capable de vous expliquez de façon plus concrète.

- Vous vous deviez, d'avoir 3 chat pour la création de ce que je nomme le "Lanceur", oui car les chats sont enfaite le matériaux premiers de ce "fléau des cieux". Vous vous devez d'ouvrir le chat et lui prendre ses boyaux, pour ensuite les mettre de coté, ceux ci devront masserer dans de la résine de pin pendant 33 jours, pendant ce temps vous vous devez de créer une statue en forme de Y de plus de 15 pieds de haut

- Ensuite, vous vous devez de créer, avec le sacrifice d'autre chats, des ballon d'eau a partir de nouveau boyau. ses ballon d'eau seront les "projectiles" du "Lanceur". Bien je suis certain que vous avez pu déduire le reste de la création de cette "Arme".

Et qu'a présent les question et les remarques a ce sujet vous pousse a croire que ce n'est qu'un jouet pour enfant a taille d'adulte, après de nombreux essais, je me faisait une idée non loin de celle que vous vous faites. Mais voila, j'usais de l'Art (certains penseront que c'est du gaspillages d'user d'Art pour cela) pour augmenter la vitesse e propulsion du lancer, et le résultat fut surprenant, la cible était transpercé par des lances de glaces.

Oui, encore et encore, je compris le procéder, si les "projectiles" sont envoyé a une hauteur de 40 toises, la vitesse qui en découle pour qu'ils arrivent a cette hauteur, font que le ballon d'eau subit d'énorme force, et celui s'en retrouve finalement détruit, c'est alors qu'avec la vitesse et le froid régnant au delà de l'épine dorsale du monde que l'eau pris la forme de lance de glaces pour finir planté au sol.

Oui voila ce qu'est le Premier Fléau des Cieux.

Section théorie :

Citation :

De l’art de l’Art ou Marche vers le Progrès , par Adamska le magicien.

Atteindre la perfection n’est point une sinécure en soi, c’est tout un parcours, tout un chemin, parfois long, parfois court, mais il est bien des chemins par lesquels l’on peut atteindre une perfection , oui une perfection mais non pas LA perfection, car celle-ci demeure hors d’atteinte, tant que l’on reste enfermé dans les carcans de la normalité. L’Art du Beau est un art très compliqué en soit, il nécessite de longues années de pratique pour être exercé et il n’est pas donné a tous de le comprendre voir de le pratiquer, car plus qu’un cerveau , et des mains habiles, il faut également posséder l’esprit de l’art, l’esprit de création. Il est bien évident que dans une telle optique de perfection, certains clameront déjà haut et fort le manque de concret de la théorie, un manque de pratique, une absence de vulgarisation rendant l’art de l’Art impraticable ou hors d’atteinte du citoyen moyen. Et bien que ceux-là se réjouissent, car la théorie demeure applicable aux forts comme aux faibles, il faut savoir faire le pas. Qui n’a jamais rêver, d’un seul coup de baguette magique, de devenir meilleur ? plus fort, plus intelligent, plus beau, plus raffiné ? Et si tout cela était possible ? Et si l’art de l’Art en était la solution ?

La perpétuelle recherche n’admet point le scepticisme chronique des cuistres, pour avancer il faut oser, mais avant toute chose il faut croire, car la Foi est une puissance en elle même et il convient a tout a chacun selon ses convictions propres de l’investir. La perfection c’est la révolution artistique, le perpétuel renouvellement des idées, le génie ponctuel, la cascades des songes, la rivières des concepts. Il faut le concevoir jour après jour car c’est-ce qui nous fait avancer, la marche du progrès. La Toile est chose merveilleuse, source même de la magie dans notre monde, elle accomplis monts et merveilles, peu encore savent qu’elle est également capable d’améliorer le quotidien de tous les jours pour les forts comme les humbles, et ce a moindre coût. Pourquoi ne point envisager une utilisation massive des énergies naturelles a grande échelle ? Pourquoi se fatiguer a débiter du bois alors qu’une créature artificielle le pourrait pour vous ?

Tout ce qui devient, devient, par quelque chose et à partir de quelque chose, quelque chose.

Une créature artificielle qu’est-ce donc ?

Ni plus ni moins, qu’un automate, servile, infatigable, travaillant de jour comme de nuit, à l’accomplissement de tâches diverses et variées selon les besoins du créateur ou de ceux qu’elle sert plus généralement parlant. Elle se compose d’un corps premier, composé la plupart du temps d’une matière première inerte, à laquelle l’on associe des matériaux nobles, façonnés par des mains habiles, et une pratique experte. A ce corps premier (de boue, de pierre, de métal…) des éléments secondaires plus rares et plus chers mais parfois bel et bien indispensables (huiles rares, métaux nobles, pierres précieuses…) une habileté toute particulièrement est requise pour la manipulation des composantes secondaires, car si n’importe quel béotien est capable de faire un bonhomme de boue, peu sont capables de manipuler sans risque de l‘acide sulfurique !

Troisième étape, de loin la plus importante, à savoir, l’animation de l’inerte, le don de mobilité, la grande activation. Cette étape cruciale nécessite une absolue concentration et une expérience certaine quand a la manipulation des énergies. C’est aussi l’instant le plus jouissif du magicien, car un peu comme une jeune femme donnerait la vie pour la première fois en sentant ses entrailles s’écarter a chaque poussées le magicien lui, ressent chaque vibrations, chaque perturbations qu’engendre la modification, le prélèvement, de la Toile dans la créature qu’il a façonner de ses propres mains. Chaque magicien expert qui se respecte garde jalousement ses secrets de fabrication, ses sortilèges d’activation , jusqu’à la moindre petite incantation, fut-elle décorative, mais tous peuvent en contempler le résultat, l’aboutissement, la naissance.

Quel intérêt dans la vie de tous les jours pour le paysan moyen ?

Concevez, le remplacement des haches par quelques artificiels qui couperaient le bois a votre place, quelques artificiels qui partiraient au Front à la place de vos progénitures, quelques artificiels, qui moudraient votre grain, tireraient vos charrettes, et contribueraient jour après jour a vous faciliter l’existence.

Et si tout cela n’était point qu’utopie ?

C’est dans la recherche que réside le progrès, dans tous les domaine, l’art de l’Art c’est le progrès, la marche du progrès c’est l’avenir, il faut avoir confiance dans les temps futurs.

Section Théorie et Travaux :

Citation :

Le système d’équation fondamental profane, selon Adamska le Multicolore.

De la Toile.

Dans la vie d’un arcaniste profane, l’on se demande tôt ou tard, comment interpréter la Toile. Consciemment ou inconsciemment, chacun puise en elle, par ses actes et sa volonté, tout ce qui est magique, que cela soit bardique, profane, ou divin, voir d’autres cas plus amusant tel que les ensorceleurs, qui par une manière qui nous échappe, parvient à puiser directement dans la Toile ce que grossièrement certains nommeront « l’énergie » là où j’indiquerais « la substance » magique, nécessaire à l’effet désiré. Il n’est point question ici de tergiverser des heures sur la Toile dans une étude inintelligible mais d’extraire la quintessence de ce raisonnement, pour se faire il est nécessaire de comprendre la Toile comme un système d’équations qui évolue, tout est transmutation, chaque chose trouve son fondement en une autre.
Cela signifie que si l’on considère que la Toile structure chaque choses de ce monde, qu’elle est présente partout, et qu’il suffit de se pencher sur l’étude, ou sur soi-même pour comprendre celle-ci et apprendre à la manipulée, il faut en saisir la nature exacte. La Toile de Mystra sera ici comprise comme un système d’équations, au sein duquel, à ce qu’à chaque chose « magique » que nous comprendrons comme parcourue, d’une façon ou d’une autre par la substance de la Toile en elle-même correspond une équation spécifique, l’arcaniste profane apprend à calculer, altérer, et traduire ces équations, ces différents aspects de la Toile de Mystra. Nombreux sont les arcanistes à avoir crée leurs propres sorts à partir de leur compréhension de la Toile, apprises, ou innée comme tel est le cas chez les ensorceleurs, (mais nous ne nous intéresseront ici qu’a ceux qui apprennent), il est tout à fait possible d’altérer la substance profane extraite de la Toile afin d’en tirer toute la quintessence, ce qu’on réaliser ces magiciens dont les noms ont marqués de leur empreinte, les grimoires des plus érudits. L’équation ainsi extraite de la Toile par l’arcaniste (comprise comme la substance même de la Toile, extraite par les actes et la volonté du profane, correspondant à un savoir-faire), est quant à elle, sujette à altération pour obtenir l’effet souhaité, à plus grande échelle, cette équation modifiée serait tout à fait capable d’en modifier une autre, et il peut arriver que parfois la structure même de la Toile en soit affectée en bien où en mal, allant jusqu’à abîmer ou perturber la Toile pour certains sortilèges, certaines équations. Ce système d’équation dit fondamental, car premier et susceptible d’être modifier se traduit en une seule phrase comme ceci :

"Tout ce qui devient (ici en l’occurrence les choses traversées par la Toile), devient (la transmutation des choses par la modification des équations via l‘extraction de la substance magique), par quelque chose (à savoir le mage profane), et à partir de quelque chose (le système d’équation fondamental premier qu’est la Toile), quelque chose (une nouvelle chose engendrée par l’effet de la substance, l’équation, sur la chose première)."

Mais de quelles choses en vérité ?

De la nature des choses altérée par la Toile.

En théorie, la Toile structure notre monde dans son intégralité, puisqu’à l’origine de toute magie, tout s’effondrerait si celle-ci disparait et nul ne vivrait, toutefois ce n’est pas tout à fait vrai, une chose demeure bien vrai toutefois, c’est la grande diversité des choses susceptibles d’êtres modifiées via la substance extraite de la Toile. Ce sujets ayant été abordés en un précédent article il ne suffira donc d’ici, que d’un approfondissement des théories premières, cinq éléments sont susceptibles d’être modifiés par la Toile le vivant, l’inerte, le temps, l’esprit (cf. article précédent) mais également l’espace. Pour l’espace nous prendrons un exemple à la portée du plus grand nombre d’arcanistes profanes, à savoir : le sortilège de manipulation à distance.
On rappellera qu’il s’agit d’un tour de magie centré sur la concentration du lanceur de sort, consistant à déplacer un objet non magique, d’un poids maximum de 2,5 Kg, non tenu ou retenu, sur une courte distance par la seule force de la pensée, il s’agit bien évidement d’un sortilège de transmutation. Pourquoi choisir un tel exemple quant à l’illustration de la théorie première ? Car l’exemple illustre à merveille l’idée que chaque équation extraite et façonné du système d’équation fondamental, puisse influer sur la matière de toute façon que cela soit, temporelle, vivante, inerte, spirituelle, ou même l’espace comme le démontre notre petit exemple, pour cela le magicien apprend à puiser, façonner, et créer les équations de son invention (substance nouvelle correspondant dans le parler courant, à la conception d’un nouveau sort). Cette pratique correspondant par la même à la recherche.

De la recherche.

En théorie et en pratique la substance (équation) extraite du système d’équations fondamental (la Toile) sert à la découverte de nouvelles substance, on parlera ici de l’alchimie de la Toile, tout se fond et se confond, l’équation associée à une autre, en donne une nouvelle, dans une telle optique, l’échec n’existe point, car lorsqu’il n’y a rien en définitif c’est que le résultat est bel est bien négatif d’un certain point de vue. De toute les façons, si le tronc commun demeure le même pour tous, on classifie la magie selon la substance concernée, en huit écoles différentes, que sont l’abjuration, l’illusion, la nécromancie, l’évocation, l’invocation, l’enchantement, la divination et la transmutation. La façon de conceptualiser le tronc commun varie, c’est à partir de l’origine de la source de magie qu’est la Toile, si nous la comprenons comme un système fondamental d’équations, nous parlerons d’équation première, que l’on peut plus facilement déduire toute les équations qui en ont découlées et façonner une équation (substance magique) plus puissante, il ne s’agit point d’effectuer un calcul d’extrapolations statistiques sur le futur d‘après des événements (au sens arcanique du terme) passés, mais bien au contraire, de percer les équations du passé pour aboutir à celles du futur. Certains parleront d’une recherche à reculons, d’autre d’une recherche trop poussée vers l’élément premier, néanmoins il ne tient qu’a celui qui en possède la volonté et l’enseignement suffisant de se pencher sur la question afin de façonner à son tour la substance, l’équation, le sortilège, le magie du jour prochain.

La théorie au sein de la pratique.

Certains niais vous diront qu’ils puisent directement dans la Toile sans aucune autre forme d’explication ni raisonnement approfondis, le magicien lui, saura expliquer la façon dont il puise la quintessence de la Toile, la substance nécessaire, l’équation désirée à partir du système d’équation fondamental. Ici il s’agira d’exécuter les composantes gestuelles et verbales nécessaire, les deux traduisant la concentration et la connaissance du magicien en la matière, devront être parfaitement réalisées selon les sorts mémorisé par l’esprit, les équations traduisant la substance façonnée extraite de la Toile selon un processus bien spécifique.
Certains se perdront dans des explications d’une barbarie intellectuelle à en couper le souffle, d’autres encore vous expliqueront comment ils puisent l’énergie dans tel ou tel plan pour créer sur le notre tel ou tel effet, en réalité, l’aspect du tronc commun est ici négligé, il convient donc, sans dévoiler ses arcanes propres, d’en indiquer que si chacun possède sa façon propre de calculer et d’extraire la substance même du système d’équation, qu’au final ce n’est point le système d’équation qui change mais l‘effet, qui varie suivant les spécialités de chacun, on entendra en conclusion, que la théorie possède une dimension universelle comme individuelle.