Luskan, situation

Le Bosquet Est a été ravagé par des incendies : il n'a plus de Bosquet que le nom. Les destructions vont des remparts au promontoire, un peu plus au Sud.

Le Bosquet Ouest a connu peu d'incendies ; quelques arbres brûlés, quelques trous dans le sol, une ou deux maisons incendiées, autant de démolies, rien d'insurmontable. Les cheminées ont souffert, certes, mais c'est réparable. L'hôpital a échappé de peu à un désastre, semble-t-il, un colosse ayant repoussé les quelques monstres ayant voulu le visiter de près.

Les abords nords sont un immense charnier, où les corps, tout camp confondus, se mélangent, se superposent, bref, une horreur : gobelins, quelques rares hobgobelins, orques et quelques rares ogres sont entassés avec les gardes de Luskan et les courageux tempusiens qui n'y ont pas réchappé.

Le Port est aux mains de racailles et de truands ; un beau chaos y règne, le dit chaos protège le port d'agressions extérieures -même si ces agressions consistent en des arrivées de gardes-.

Le quartier commercial n'a eu à souffrir d'aucun dégât, excepté quelques pillages.

(Je laisse Dardan décrire s'qui s'est passé sur la place centrale et les quartiers de l'Est :p)

Au Nord, les humanoïdes monstrueux semblent s'organiser, non pas pour attaquer, mais pour défendre.

Des arbres, une quinzaine, ont été promptement abattus. Des pieux ont été taillé ; ils ont été planté dans le sol, au cas où.

Deux immenses tours de siège ont été brûlé durant les combats. Les épaisses volutes de fumées s'élèvent encore des immenses tas de bois carbonisés qu'elles sont devenues.

Les humanoïdes sont divisés par race, chacune s'occupant de ses blessés : les blessés graves ou légers sont gérés par des shamans, ceux qu'il serait trop compliqué de soigner sont achevés.

Le camp orque a été repris par les orques ; le fortin ogre par les ogres. Des gobelins ont repris possession de leur campement. Le gros des troupes hobgobelines n'était pas au Nord ; leur camp est plutôt vers l'Est, sans doute, donc, se sont-ils de préférence orienté par là, afin de reprendre possession de leur camp.

Le Quartier Est, lui a été perdu a deux reprises pendant les combats, et occupé pendant plusieurs heures.

Entre les tirs continus des trébuchets et des balistes incendiaires au début des affrontements, suivis de la mise a sac pendant la bataille, la situation du quartier Est n'est pas belle a voir. Il s'agit certainement du quartier de Luskan le plus touché. Il est devenu quasi inhabitable, du moins sans réparations. Quand au reste... Il est dit qu'il serait plus rapide d'achever de raser pour reconstruire, plutot que tenter de réparer. La population en a fui, et pour la plupart s'est réfugiée aux docks pendant les affrontements, ce qui explique partiellement le chaos, et la recrudescence d'activité criminelle. Toute la compagnie qui avait en charge ce périmètre, a péri.

Le Cimetière, a été totalement profané. Une première fois, lorsque de gigantesques explosions magiques ont été visibles depuis tout point de la ville un tant soit peu surélevé, et une seconde, quand des morts-vivants en sont sortis. Le bruit court que la garde d'élite a totalement péri en tentant de défendre cette zone. La hampe carbonisée de leur étendard, est encore plantée au milieu d'un cratère fumant parmi les tombes.
Le nombre de cadavres, est impossible a compter, entre les morts récents, et les centaines qui étaient déjà enterrés là et que les explosions ont fait rejaillir. La pluie torrentielle tombée a un moment des affrontements aura achevé de rendre infréquentable le quartier, pataugeant dans le sang et la boue, enserrant des corps sans vie.

La place centrale, a connu quelques incendies mineurs, quand a l'auberge de Garfaux, nombreuses sont les vitres qui ont été brisées. Toutefois, hormis le charnier sur la place, comportant gobelins, worgs, gardes et zombis, rien ne semble gravement atteint.
Les derniers hommes qui tenaient ce quartier, ont déserté vers la fin de la bataille, a la vue des morts vivants.

Il semblerait que l'ennemi se soit replié, et que la chevalerie de Mirabar restante ait battu en retraite, s'étant retirée des abords de la ville, avec armes et bagages. A l'heure actuelle, on peut voir les hobgobelins restant des affrontements se retirer en forêt. Plus des trois quarts des assaillants venus de ce coté ont péri. Et le siège semble y être levé.

On parle de l'intervention d'ombres dans le conflit. Certaines ont causé la mort de nombreux hommes, d'autres en ont sauvé. D'ou viennent elles ? Que sont elles ?

Au Nord, les engins de siège sont démontés, et disparaissent sous le couvert des arbres ou vers le Camp Orque. La centaines d'humanoïdes qui stationnaient encore sur la route Nord semblent se lasser, et leur nombre diminue d'heure en heure, chaque groupe rejoignant ses terres, où se situent déjà le gros des survivants de la bataille de Luskan.

Les autorités de Luskan font détourner les navires vers des criques externes. petit à petit, le port se vide. Seuls quelques bateaux restent à quai.
Des goellettes de la Cité empêche les navires approchant d'entrer au port.
On parle d'un besoin de place pour les réfections.

Plusieurs habitants refusent de fuir sur l'île du palais de justice. Ils proposent leur aide, soit à la pègre, soit aux tempusiens

(les pjs peuvent en faire partie cela va de soi)

Une petite escouade de Tempusiens, dirigée par le Valeureux Chrin, dit la Balafre, est postée sur la place de Luskan afin d'intégrer ceux qui souhaitent aporter leur aide.

(m'envoyer un MP pour les intéressés)

Des nains, de nombreux nains, plusieurs centaines, un peu partout, prennent position dans un ordre impeccable, en armure complète et leurs murs boucliers, leurs ordonnance mettant en place des armes de siége à divers endroits stratégiques de la cité .

Et commence l'attente .

Telle une armée pétrifiée, ils attendent .

Au niveau de l'auberge de Garfaux, on dresse des tables et des chaises et on allonge une grande carte de la cité.

Mais qu'est ce que tu fous, Celebloxë ?, dit le tavernier...

Ben...

Si nous allons avoir une grosse bataille, il faut bien un point central pour tout coordonner non ? Donc je l'installe. Les chefs de guerre pourront venir s'y rassembler et y trouver toutes les informations nécessaires. Les jeunes de la cité qui ont voulu fuire pourront ainsi faire navette entre les troupes au combat et le QG, afin d'échanger des ordres sur l'évolution du siège...

Chacun a son boulot, mais personne ne s'occupe de monter un système pour que tout le monde dialogue... Donc je m'en charge.

Allez, aide moi à porter la table, s'il te plait...

La Légion au grand complet est entrée à Luskan depuis la veille.

Les sapeurs ont aidé activement à creuser quelques fosses à l'extérieur des remparts, puis sont revenus sur le port. Là, les troupes se sont positionnées pour faire face à un assaut maritime.

Les officiers se sont entretenus longuement avec des ombres du port pour positionner les troupes lourdes du mieux possible. Ordres secs et précis, cohortes et sections prenant position, un mélange de races et de compétences au sein d'un seul corps d'armée pour une efficacité brutale.

Depuis la reconquête de Padhiver, personne n'avait vu autant de légionnaires, leur étendard flottant sur la muraille de l'ouest comme un défi aux forces d'invasion mais aussi comme un avertissement :

"Sur ces remparts, c'est la Légion Ecarlate qui vous attend."

L'armée Tempusienne s'est rassemblée au coeur de la ville.
Un dévot passe dans la ville entière, sonnant une cloche au son grave mais limpide. Les connaisseurs pourront aisément reconnaitre l'appel au Chant de l'Epée et les autres se verront entendre dire que ce Chant est la bénédiction de Tempus pour les combattants dans la future Bataille.

Tous ceux désireux de recevoir la bénédiction de Tempus durant le Chant de l'Epée seront accueillis sur la place.

[Validé DM]

La ville des voile a gagné la bataille !!!


La ville se réorganise rapidement au vu des évènements, moult charpentier architecte , nain ou humain se mette a pied d'œuvre des le lendemain et le surlendemain de la bataille.

La garde plus fier que jamais d'avoir défendu sa ville et remporter la victoire, tiens a garantir une sécurité absolu dans la majeur partie des quartiers de la ville. Il n'est pas rare de voir les conseillers de luskan discuté avec les ouvriers, les industries se remettent également en marche, on parle d'une reconstruction de la ville pour certain point, il est dit également que les nains seront fortement occupés.


Le port de luskan est pour le moment quasi inutilisable.

Tous les ponts au alentour de la ville ont été détruit.

Le quartier Est est dans un sale état, la place centrale a ete a peu prés épargner. Le quartier du port en lui même tiens debout mais le port lui ne ressemble plus qu'a des monceaux de bois flottant sur les ondes, mise a part un embarcadère.
Une partie de la foret sud a bruler (je crois que c'etait le sud).


Les gardes recoivent la consigne suivante : elle est instaurer et lisible sur les panneaux.
Tous les nordistes ou affilier comme telle, seront fouiller, et tout objet ou parcelle d'écaille ou autre morceau tirer du dragon leur sera retirer. En cas de refus d'obtempérer, ils s'exposeront a de très forte amende, ou de la prison.

*Placardé partout en ville*

Citation :

LUSKANNIENS ! LUSKANNIENNES !

Pourquoi voulez-vous que nous dissimulions l'émotion qui nous étreint tous, hommes et femmes, qui sommes ici, chez nous, dans Luskan debout pour se libérer et qui a su le faire de ses mains.

Non ! nous ne dissimulerons pas cette émotion profonde et sacrée. Il y a là des minutes qui dépassent nos pauvres vies.

Luskan ! Luskan outragée ! Luskan brisée ! Luskan martyrisée ! mais Luskan libérée ! libérée par elle-même, libérée par son peuple avec le concours des ses alliés, avec l'appui et le concours de sa population tout entière, de Luskan qui se bat, de la seule Luskan, de la vraie Luskan, de la Luskan éternelle.

Eh bien ! puisque l'ennemi qui assiègeait Luskan a plié devant l'assaut de nos mains, Luskan reste à Luskan, chez elle. Elle y reste sanglante, mais bien résolue. Elle y reste, éclairée par l'immense leçon, mais plus certaine que jamais, de ses devoirs et de ses droits.

Je dis d'abord de ses devoirs, et je les résumerai tous en disant que, pour le moment, il s'agit de devoirs de guerre. Nous devons maintenant reconstruire notre territoire comme il se doit, en Luskanniens et Luskanniennes libres ! Ce devoir de guerre, tous les hommes et toutes les femmes qui sont ici et tous ceux qui nous entendent savent qu'il exige l'unité citadine. Nous autres, qui aurons vécu les plus grandes heures de notre Histoire, nous n'avons pas à vouloir autre chose que de nous montrer, jusqu'à la fin, dignes de Luskan. Dignes de participer à son renouveau, dignes de se montrer forts face aux sacrifices qui vont venir, car tout est à réorganiser, mais dignes aussi de recevoir la fierté de voir en son voisin et sa voisine un ami, un camarade, un frère d'arme avec qui reconstruire l'avenir de la Cité des Voiles est possible !

Vive Luskan !

R

*C'est la dernière mention au Conseiller au cheveux rouge. Il semble avoir disparu dans la nuit suivant la bataille. Pour une fois qu'il en sortait indemne...*

[HRP] Libre adaptation d'un célèbre discours de libération, si les admon estiment qu'il y a plagiat, qu'ils le retirent [/HRP]

*Les architectes, après inspection des dégats de la cité, rendent compte aux conseils et hauts capitaines que les dégats sont au final souvent assez superficiels, le port excepté*

Les Prêtres de Tempus sont mobilisés aux soins des blessés et aux enterrements des soldats.
Quant aux guerriers, certains ont pour ordre d'aider à déblayer, surtout le port.

Le Prêtre Kendt aide aux soins et on le voit souvent discuter ça et là.

La Légion, quant à elle, sécurise les abords de Luskan, repoussant de plus en plus loin les anciennes troupes du maître qui se sont débandées.

Les troupes cantonnées dans Luskan sont réduite au minimum nécessaire, le reste revenant vers le camp à l'Est.

Tous les gardes qui pourront fouiller les hommes du nord ne trouveront pas la moindre parcelle d'écailles de dragon, des charettes pleines ayant quittées la ville par la porte nord, et sous bonne escorte, une charette partant même avec la tête du dragon dissimulé sous un drap

Le sommaire campement des soldats des terres du nord situé dans le quartier nord est toujours composé d'une bonne quarantaine d'homme, près à partir

(pour info, c'est la forêt du Nord Est qui a cramé, et pas qu'un peu)

Avant de voir partir les troupes nordistes vers... plus au nord. Le Légat s'adressa à eux ainsi qu'aux apprentis.

"Hommes du Nord,

Une fois encore nous avons prouvé notre valeur, notre courage et notre détermination. La bataille qui vient d'être remportée restera à jamais dans les mémoires, ce dragon-diable millénaire ne nous aura pas détruit !

L'efficacité dont nous avons fait preuve, notamment à l'extérieur des murs est des plus remarquable. Hélas, 20 de nos héros sont tombés lors de la bataille. Ils moururent en brave, sans reculer face au danger, je leur rend hommage.

Quant à nous, il est temps de rentrer en nos contrées, après avoir goûté à un repos bien mérité. Une fois rentré, d'autres travaux nous attendent."

Solufein Do'Ilishan a écrit:

Tous les gardes qui pourront fouiller les hommes du nord ne trouveront pas la moindre parcelle d'écailles de dragon, des charettes pleines ayant quittées la ville par la porte nord, et sous bonne escorte, une charette partant même avec la tête du dragon dissimulé sous un drap

Le sommaire campement des soldats des terres du nord situé dans le quartier nord est toujours composé d'une bonne quarantaine d'homme, près à partir

(pour info, c'est la forêt du Nord Est qui a cramé, et pas qu'un peu)

(j'avais pas lu ça)
(action invalidée pour cause de pont mort et d'un jour obligatoire de conva)

Lorsque le Dramon tomba, c'est un grand cri de joie, armes levées, qui envahissaient les rangs de Padhiver.

Citation :

C'était un combat de Titan. Beaucoup ont été surpris par la taille du Dramon mais nul crainte ne les envahissait. La menace était bien là, à plusieurs mètres au dessus de leur tête et il fallait l'éliminer, au nom de leurs dieux, pour Padhiver, pour tous les frères d'armes déjà tombé à cause de lui, pour toutes ces familles meurtries par cette guerre de cupidité.

Le plan ne s'est pas déroulé comme il était prévu. Il régnait un grand silence dans le cimetière tandis que nous attendions le bon moment pour intervenir. Je pouvais entendre les fracas des armes et les railleries des cors ennemis au loin, entourant la Cité. Les arcanistes n'ont pas pu nous amener le Dramon au cimetière et les balistes avec filet mis à notre disposition par la Légion s'est avéré efficace mais nous l'avons mal utilisé. Malgré tout, le Dramon a pu être amené au sol du coté du quartier Est. Le Neuf Wellan nous a alors donné l'ordre de nous déplacer. Lorsque nous sommes arrivé, les arcanistes menaient toujours leur lutte contre le Grand Vert qui se trouvait au contre-bas.

Le Neuf Wellan m'a alors ordonné de prendre un groupe et de faire le grand tour par la gauche, du coté du Nord, j'aurais suggéré la même chose. Notre stratégie consistait toujours à l'encercler pour l'attaquer de tout coté tout en limitant l'exposition à son souffle ravageur. Nous avons couru pour finalement nous rendre compte que le Dramon se dirigeait vers le centre de la place Est, vers nous.

Mon intention était claire, il fallait l'empêcher de fuir pour qu'au moins d'autres puissent l'éradiquer dans le cas où nous n'y arriverions pas. J'ai donc ordonné la charge en prenant l'une de ses ailes comme cible, me disant que cela l'empêcherait de s'envoler définitivement. Il était tout proche, il était impressionnant et si puissant, je pouvais le sentir, je crois que n'importe qui aurait pu. La stratégie s'est avéré efficace, les armes bénies des paladins et l'arme anti-démon qui m'a été prêté par l'elfe Celebloxe étaient efficace, nous avons ainsi pu déchiqueter l'une de ses ailes.

La réaction du Dramon n'a pas tardé. Il s'est mis à tenter de nous écraser, j'ai alors ordonner le déploiement autour de lui et de viser ses pattes, je voulais alors lui limiter les déplacements au sol. Malgré tout, j'ai pu voir 5 de nos hommes se faire écraser par les pattes gigantesques et j'ai moi même encaissé un coup au bouclier si puissant qu'il m'a blessé au bras gauche, m'obligeant lâcher ma protection. C'est ensuite que les ténèbres nous ont entouré.

On ne voyait plus rien mais nous étions pour l'instant les seuls face au Dramon, nous ne devions lui laisser aucun répis, il fallait tenir jusqu'à l'arrivée des autres. j'ai hurlé pour qu'on dissipe ces ombres et j'ai crié pour qu'on se batte jusqu'au bout ! Nous nous battions à l'aveuglette, cela me rappelait ces durs entrainements passés au combat avec un bandeau sur les yeux, aussi je me concentrais sur mes autres sens pour faire mouche. Je percevais également le sifflement de flèches, certaines s'arrêtant nettes, d'autres passant proche de nous. Je me suis dit que les elfes aussi voulaient l'abattre coute que coute, je me suis alors rendu compte que le seul danger n'était plus le Dramon. Je continuais cependant à le taillader.

Les dissipations ont fait disparaitre les ténèbres. J'ai alors pu constater que le groupe du Neuf Wellan était là, ainsi qu'un dragon rouge et plusieurs golems. La relève était là. Il était temps pour nous de faire place, j'ai alors ordonner un rempli défensif tandis que le groupe du Neuf Wellan chargeait par l'autre coté. Nous avons ramassé le plus possible de blessés au sol pour les éloigner du combat. Nous nous sommes mis à l'écart auprès de quelques uns de nos prêtres afin de recevoir des soins.

De cette façon, nous aurions pu repartir à l'assaut du Grand Vert si la situation tournait mal, ce qui n'a pas été le cas.

Ainsi, mon rôle était accompli.

A peine avions nous eu le temps de souffler que de nouveaux ordres étaient donné. Les paladins s'occupaient de leurs frères d'armes, les prêtres apportaient leur aide à ceux qui en avaient besoin, soutenant l'effort apporté par Luskan, à l'exception des Nordistes. Cette exception fut ordonné seulement à partir du moment où les dirigeants Nordistes ont commencé à toucher le Dramon mort pour en récupérer des morceaux, autrement dit... très rapidement après la mort de la créature.

Padhiver est présente.
Ses forces ont pu démontrer qu'elle pouvait être encore efficace, qu'elle n'était pas abattue. La Foi des paladins et des prêtres est toujours aussi forte, son symptôme en est la détermination dont ils font preuve mais en plus, à présent, elle est mue par le courage de bonnes volontés qui sont venu leur prêter mains fortes dans leur lutte où les maitre-mots sont Justice, Devoir, Générosité ou encore Protection.
Padhiver est présente.