- Citation :
- Nom du compte joueur forum : cyprien lefebvre
Nom du compte joueur module : cypri
Nom du perso : Laura ster
Race : humaine
Sous race : *******
Age : 20
Alignement : LN
Religion : loviatar
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 25 pretresse
Arme de prédilection/domaines/école de magie : force (mal) car j'ai pas le choix
Langues :commun
Familier/Compagnion animal :NA
Ennemis jurés :NA
Trait de Caractère :
Description physique :
Caractéristiques :
FOR :8
DEX :10
CON :10
INT :14
SAG :17
CHA :16
N.B je désirerai que se ne soit pas volvic qui s'en occupe merci
Je suis Laura Ster, au jour ou j’écris ces ligne j’ignorais que je finirai ainsi, voila mon histoire :
Je suis née dans les quartiers pauvres d’Esmeltaran dans le royaume d’Amn. Mon père que je n’ai pas bien connue, je sais qu’il était forgeron, je me rappel que très jeune a l’âge de 6 ans je fus forcée de l’aider, je transportais les sceaux de charbon lourd a mes mains d’enfant je gardais en activité les haut fourneaux, je polissais les armes durant des heures. A cette époque, manger a ma faim était un rêve que je ne pouvais imaginer réaliser un jour.
Mais a l’âge de huit ans un bouleversement survient dans ma vie, mn père, bien qu’on me le cacha au dépars, fut enrôler dans l’armée pour combattes les deux ogres mage et leur terrible armée d’humanoïdes ma mère me promit toujours son retour prochain, jusqu’au jour ou je la retrouvais en pleure dans la pièce unique que l’on partageait avec 4 ou 5 autres familles car depuis le dépars de mon père nous étions sans ressource; je fouillais dans les poubelles pour améliorer l’ordinaire, quand je demanda a ma mère se qui se passait elle me dit que mon père était mort et m’avoua la vérité que l’on m’avait cacher. A se moments la folle de tristesse je voulais mourir mais je ne comprenais pas la chance que j’avais.
A l’âge de douze ans une prêtresse de la sainte vierge des tourments me trouva dans la rue et décida de me recruter de force ; je me débâtie comme une diablesse mais face a ces minable pouvoir je ne pue rien faire elle m’emmena dans une école prison chapèle souterraine.
Je me souviens que durant les premiers jours je n’entendis que mes pleure entrecouper des crie des supplicier qui résonnais en permanence dans se temple. Au bout d’une semaine seule dans une cellule noire, au confort a la gobelin, ou les seule présence qui m’entourais était les douleur qui venais m’apporter à manger et les prêtresses se délectant de ma douleur. Je fus emmené avec une groupe de jeune fille de mon âge a peu prés a travers les salles de torture ou je vis que l’on autopsiait des gens vivant une grande prêtresse nous tien se discourt.
« jeunes filles vous avez été sélectionner pour faire partie du sain clergé de loviatar d’ici il n’y a que deux moyen de sortir en temps que prêtresse ou en temps que cadavre et croyer moi que si vous ne réussisse pas vous deviendrez les cobaye de vos condisciples » La peur d’être un cobaye me poussa à apprendre et réapprendre chaque cour uns a uns je fut l’une des meilleur, très vite un groupe fini par me suivre en faite, toutes la section me suivais et m’écoutais mais a chaque fois que l’une d’elle tentais de me faire tomber je la punissais sans pitié aucunes, peu a peu je prit une place ou l’on n’osais pas s’attaquer a moi, et je devais même régulièrement trancher les conflit entre deux de mes condisciple. Je soignais sans conter mes sœur qui se blessais car je savais que les mort souffre moins, j’étais la cheftaine, l’infirmière de toutes les filles mais quand ma colère se déclenchais mes coups était des plus douloureux car mais coups était rare c'est aussi a partir de se moments la commença les cours pour devenir prêtresse, on nous apprie les dogme qui était si vrai
Le monde n’est que douleur et tourment, et le mieux que vous puissiez faire est d’encaisser les coups que vous ne pouvez pas éviter et de rendre autant de souffrance que possible à ceux qui vous blessent. En effet en se monde seule les rare privilégier ne souffre pas et on se renforce par les coups que l’on prend, mais ces personne la jamais nous ne devons les oublier,, et nous devons leur faire faire rédemption par la souffrance et le tourment.
La bonté est la meilleure des compagnes qui mérite de souffrir et elle augmente d’ailleurs l’intensité de la douleur. À l’occasion, faites montre de pitié et accordez vos soins pour offrir l’espoir aux gens et accroître davantage le mystère de la miséricorde de Loviatar. Nous devons nous montrer douces et sociable pour que le coup qui tomberas soit le plus douloureux possible. Nous devons aussi empêcher le plus possible les gens de mourir, les vivant souffre pour la saine vierge
Si vous faites preuve d’une cruauté permanente, vous vous mettrez tout le monde à dos. Apprenez à vous montrer séduisant. Offrez douleur et tourment à ceux qui aiment cela, mais également à ceux qui le méritent ou qui en souffriront le plus. Sachons être douce et calme, donnons la douleur a celui qui la réclame et a celui qui pêche et sachons calmer nos instain pour la plus grande gloire de loviatar
Le fouet, le feu et le froid sont les trois douleurs qui ne font jamais défaut aux fidèles. Enseignez les préceptes de Loviatar lorsqu’une punition est assignée. La douleur est le meilleur des tests, mais elle offre une force spirituelle et un véritable plaisir aux justes et aux courageux. Par la douleur nous atteignions un état de stase très particulier le meilleur pour l’esprit et qui nous rapproche au plus prés de notre déesse
Il n’existe nulle Sanction réelle quand le punisseur ne connaît pas la discipline. Où que l’on trouve un fouet, on trouve également Loviatar. Craignez-la mais désirez-la également. Notre discipline interne est aussi importante que notre fois car sans l’une l’autre n’existe pas
J’y appris aussi la médecine, car je sus que celui qui vie souffre, le mort souffre moins et bien évidement j’appris à torturer les gens. Je me détachai très vite des autre par le faite que j’étais une meneuse d’homme on m’apprit donc la gestion d’un culte. Très vite je fut envoyer sur un front ou la situation politique était des plus tendu, le val de bise