[Disparu][Roublard/Prêtre][H] Shell Ster

Citation :

Nom du compte joueur : Alaskar
Nom du perso : Shell Ster
Race : Humain
Age : *age inconnu, la trentaine*
Alignement : Neutre Mauvais
Religion : Mask
classe(s) : Prêtre 18 | Roublard 2
Arme de prédilection : Epée longue (arme de son dieu)
Domaine : Duperie, Mort
Trait de Caractère : Calme, posé, rarement en colère, une légère ironie dans la voix.
Description physique : Blond, une tresse lui descendant dans le cou, les yeux vert, une carrure banal.
Langue parlé : commun, language des voleurs.

For: 10
Dex: 16
Const: 8
Intel: 10
sag: 22
Char: 8

55 ...

55 personnes qu'il vient de voler. Que des femmes, à se pavaner avec leur collier et bijoux qui leur ont couté les yeux de la tête.
La brise du soir sur le visage, une main sur la rambarde qui le séparait de l'eau juste en dessous. Les voiles rabattues, les convives toujours attablés.
Il attendait là, apres avoir revettu un habit de serveur et avoir put se rapprocher au mieux des personnes présentes. Ca avait été des plus facile, une main pour servir et distraire, l'autre pour dérober avec finesse. Oui des plus facile.
Le cannot se profilai à l'horizon, malheureusement les convives commencèrent à s'agiter. Elles criaient, cri d'une femme ayant perdue sa beauté artificielle. Et ça .. il aimait.
Le cannot était maintenant arrivé en dessous, un saut agile, une pièce offerte au Dieu des Voleurs et le voila retournant vers la côte.

55 ... Son plus beau coup.

De retour à la taverne il était acclamé, ils avaient déjà apprit la nouvelle, on ne sait comment mais ils savaient. Bière, vin, rhum, ils avaient tout sortit. Ils étaient tous autour de lui ... sauf un.
Solitaire, une capuche pour couvrir son visage d'une semi-ombre. Il le regardait, on le devinait. Ainsi il l'approchait, presque intrigué.

Ils parlèrent ensemble toute la nuit. De quoi ? Seul lui le sait. Et comme ça, chaque soir ils discutaient, l'homme plus que lui mais ils discutaient.
Un soir, une certaine confiance relative les habitant, l'homme l'emmena dans un endroit où il n'avait jamais mis les pieds. Cet endroit ? Un temple, plus particulierement un temple deu Seigneur des Ombres. Il était petit, extremement bien caché, aucune statue du dieu n'y était représentée. Contre les murs des coffres étaient entreposés, ils regorgeaient de pièces et de pierres précieuses. Des plaques d'or ornaient les murs ainsi qu'un petit Autel en bois d'ébène sur lequel était entreposé une assiette contenant des tas de pièces.
L'homme le conduisit devant l'Autel, après une petite discussion, il commença une prière. Puis vint s'agenouiller à coté de Shell. Là, le prêtre entonna un début de prière, que Shell répéta.
Ils continuèrent ainsi une bonne partie de la nuit jusqu'au petit matin. A la fin le prêtre lui donna un livre de prières. Chaque soir, quand la nuit sera pleine, que les ombres guèteront,il devra en apprendre une. Et chaque lendemain il devra la reciter au prêtre.

Le voleur manquait à tout le monde, mais un nouvel homme commençait à le remplacer.

Développe plus son apprentissage, Là on a que le début... Ca laisse le lecteur sur sa faim. Il faut aussi faire ressentir au lecteur le dogme de Mask a travers le BG... son implication dans la vie du prètre.
Ps: Je te hais, Je viens de finir le build pour un personnage tellement identique que ça me ferait mal au coeur de le jouer

Il avait trouvé un travail plus passe-partout, percepteur. Quoi de plus grisant que de voler la barbe les pauvres gens qui payent leurs taxes. Chaque après-midi il choisissait un commerce ou une habitation et prélevait la taxe habituelle plus 25 % pour lui. 25 % ? C'est beaucoup n'est-ce pas ? Mais il avait un don pour faire passer ses dires comme du petit lait. L'éloquence est une grande vertu et l'honnêteté est pour les imbéciles, mais une honnêteté apparente est la clef qui ouvre toutes les portes.
Chaque soir il se retrouvait un peu plus riches, et chaque soir, quand la nuit est pleine, que les ombres guètes, il lui fait une offrande. Lui qui lui a ouvert les yeux, son Maître des Voleurs.

Lors de la "présence invisible" il officiait au coté du prêtre qui lui avait montré la voie, récitant ses prières avec ferveurs, récupérant les offrandes. Notre seigneur sait tout, rien ne sert de cacher sa fortune, elle lui sera rendue.

Hier, la garde a fait une descente dans le magasin qui cachait l'entrée du temple. On a du avoir recours à notre diplomatie habituel, l'argent. Quelqu’un nous avait dénoncé, et ce ne fut pas dur de savoir qui en soudoyant un garde. Le malheureux se retrouva avec le meurtre de sa famille sur le dos, il se réveilla dans le lit conjugale, sa femme et sa fille de chaque coté, la tête tranchée et empalé sur les montants du lit.

Se soir c'est le grand soir. Il dirigera lui même la "présence invisible" sous l'oeil de son tuteur. Lancé dans ses litanies lancinantes, ses prières obligeantes, il sentait cette puissance infime qui lui parcourait le corps, cet oeil tout la haut qui semblait écouter, juger. La cérémonie il la fit avec appréhension, tout se passa bien, les croyant donnèrent beaucoup cette nuit la. Son tuteur semblait fier, oui fier, ni plus ni moins.
Il fallait que sa arrive la, lors de sa cérémonie, la garde payé par la guilde concurrente fit une descente dans le repère, le grand prêtre me poussa par la porte arrière avec d'autres âmes et referma derrière, occupant les gardes avec des guerriers de l'ombre. Ils n'étaient pas rompus au combat intensif malheureusement, et la garde était trop nombreuse, ils ne laissèrent rien derrière eux et embarquerent tout le monde.
Il était temps de changer de ville, ils avaient gagné cette bataille, mais pas la guerre, ce fut sa promesse, un jour, ils perdront.

Le vent soufflait dans les voiles du navire l'emmenant dans le Nord, pour enfin le débarqué sur le port de Lorgol. Une nouvelle vie commençait, sans amis, sans connaissances, mais avec son Seigneur.


p.s : Niark

Validé.

« Fiente de troll ! »
Ce furent les premiers mots de Shell quand, en entrant dans la forêt de Port Llast, il tomba nez à nez avec une goule.
Après un combat quelque peu acharné, il ouvrit son livret finement doré, relisant ses études antérieures. Puis, prenant une nouvelle page commença à écrire :

Citation :

Etude numéro 52 :
Vampire, Goule, Vampirien.
Port Llast, Foret, Jour 1.

Puis s’en suivit une page, puis deux, puis trois, chaque jour ou il venait une nouvelle page ce rajoutait. Voila bien un mois qu’il avait commencé son étude, et il n’avait qu’à peu près cerné les bestiaux. Ce n’est tout de même pas sans mal qu’il les observait, à croire qu’ils savaient dès que Shell mettait un pied dans la forêt.

Citation :

Port Llast, Crypte, Jour 22.
Voila une étrange espèce, la rumeur est donc vrai ! Il y a trois jours j’ai entaillé un vampire au visage, dans le diagonal, et lui ais étaler les boyaux sur l’herbe.
Aujourd’hui je l’ai encore occis !
->Penser à apporter des pieux ou des trucs du genre (demander à l’apothicaire).

Citation :

Port Llast, Foret, Jour 47.
Voila un mois et demi que je les observe, quelque chose semble avoir changé, ils semblent m’attendre a chaque fois.
Aujourd’hui est un drôle de jour, la forêt est déserte. Je suis devant la crypte toujours personne, aucune âme damnée à l’horizon.
Premier couloirs personne.
Deuxième couloirs ...

Le livret fut retrouvé par un paysan, les pages défilaient au gré du vent, ne sachant pas lire il le ramena à la bibliothèque de Port Llast ou il fut archivé avec les livres bizarres.

Peux tu renseigner tes caractéristiques, tes domaines et tes langues ?

Renseigné !

"Quel idiot ..."

Se sont les mots qu'il prononça lorsqu'il entendit l'apprenti crier à l'étage.
Mais passons, l'histoire commence quelques heures avant lorsque l'apprenti vint le trouver pour une affaire assez banal.

Une famille de croyant en détresse, surement de futur gain sur l'autel. Que risquait-il au final ?

Il se trouvait devant une belle bâtisse, bien conservé comparé à ses consœurs du faubourg. L'apprenti qui frappe, la porte s'entrouvre, drôle d'impression.

Elle se tenait la, devant eux le tin légèrement pale, due à l'anxiété surement. Il s'ensuivit une brève discutions puis voila que l'apprenti prend des initiatives et monte voir le malade. Un cri, une masse qui s'affale sur le plancher au dessus de lui, puis plus rien.

Il s'en suivit une conversation animé de passion ? De haine ? Qui sait...

Le reste je ne m'en rappelle plus ... vague souvenirs ... ma vue se brouille... j'ai mal aux jambes .... Mon cou me brule ... Je ne vois plus rien ... ma vie défile ...