Bonsoir, je viens me plaindre sur quelque chose qui, en plus de m'avoir fait doucement sourire, m'a quelque peu agacé.
Je joue un mage de la Toile d'Ombre, évolutif Maître des Ombres et de classe RP Adepte des Ombres. Habillé de noir, ses vêtements portent un peu de violet, sans aucun symbole religieux
Mon personnage entre dans le Temple de Baine (Lorgol), il fait un tour, puis repart. Sur le chemin, il croise un autre PJ, une prêtresse de Baine, qui le somme de justifier sa présence... (C'est à dire qu'elle n'a en aucun cas mentionner le fait que les gardes aient pu s'attaquer à mon personnage dès son entré, je suis pas censé savoir qu'un peu de violet fait de mon mage quelqu'un à mettre à mort...) Mon mage dit qu'il vient prier, alors elle réclame qu'il se mette nu, là il refuse... La matronne sort son glaive, mon personnage fait un pas sur le côté, vers un pilier pour atteindre les ombres (Le DM présent refuse, considérant qu'il est trop loin...), l'action suivante, celle de la prêtresse est de faire un sort de destruction : mon personnage n'en est que blessé. Alors mon mage peut bondir dans les ombres et disparaître comme le bon MDO qu'il est... (Pouvoir validé par un scribe après un entrainement assez rigoureux).
Mais... L'action est refusé. Pourquoi ? Parce que mon personnage est blessé.
Non pas parce qu'il reçoit une attaque en même temps ou que qu'il est agonisant, mais juste parce qu'il est blessé. Un comble pour un mage entrainé à la concentration et capable de prodiges en matière de discrétion et de déplacement silencieux (sans compter un anneau de bonne qualité qui améliore ces talents).
Forcément, je demande une explication plus concrète et cherche à montrer que refuser l'action parce que le personnage est blessé revient à refuser à un mage de lancer un sort alors qu'il est blessé (sachant qu'il ne faut qu'un jet de concentration quand une subit une attaque au moment de lancer un sort).
Mais voilà qu'on vient me dire que je fais n'importe quoi en entrant dans le temple habillé comme ça ! Alors que l'Archiprêtresse a joué avec moi, a commencé un RP. De ce fait, l'argument perd toute valeur...
Il ne va pas de soi, mais ayant préciser que je trouvais ça anormal, tant RP parlant que par les règles D&D3.5, et que j'allais me plaindre, on m'a dit que c'était " libre à moi de me plaindre d'un DM ". Menace ?
Bref, moi je ne voulais pas annulé le RP, mais apparemment, je n'avais pas mon mot à dire, ce n'était qu'à l'autre joueur de pouvoir l'annuler. Pourquoi ? Parce qu'elle ne m'arrêterait pas ? Et moi ? Si on m'arrêtait, j'aurais pu annulé ce RP ?
J'espère ne plus avoir à faire à ce genre de décisions unilatérales et arbitraires.
Merci.