[Validé][Guerrier/Maitre arme][H]Tokhiro Fhrat Ley

Nom du compte joueur forum : Max
Nom du compte joueur module : Max Strife
Nom du perso : Tokhiro Fhrat Ley
Race : Humain
Age : 50
Alignement : Neutre Bon
Religion : polythéiste
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Guerrier 10/ Maître d’arme 15
Arme de prédilection/domaines/école de magie : épée à deux mains (Samashimune)
Langues : Commune
Trait de Caractère : Calme et posé, extrêmement attaché à son Shibien.
Description physique : 1m78, de carrure normal, les yeux légèrement bridés et peau mâte.

Caractéristiques :
FOR :14
DEX :13
CON :13
INT :14
SAG :14
CHA : 10

Tokhiro est né dans le petit village de Guisey. Fils d’agriculteur, il était de nature volontaire et perspicace, et en dehors de l’apport de son aide à ses parents, il aspirait à devenir un grand combattant, s’entraînant pendant son temps libre au maniement du sabre, avec de vieux bouts de bois.

Dans le royaume plus au sud, la guerre faisait rage. Un jour, un homme sérieusement blessé arriva dans la ferme Fhrat Ley. Dans leur bonté, la famille hébergea l’inconnu afin de lui apporter les soins nécessaires à son rétablissement. Il s’agissait du Capitaine Jinsiska, dirigeant de la patrouille Nord-Est, Maître d’Arme au sabre long. Les Fhrat Ley ne s’intéressaient pas au camp auquel y appartenait, il avait besoin de soins, alors il devait être soigné selon eux. Tokhiro était fasciné par l’équipement luxueux du soldat : une armure prestigieuse, le casque de capitaine ornée de quelques décorations, puis un long sabre, aussi grand que le jeune garçon... comment était-il possible de manipuler telle arme?

Le capitaine récupéra vite de ses blessures. Sa division était tombée dans une embuscade, et avait été totalement décimée. Il était extrêmement reconnaissant des soins que la famille Fhrat Ley lui avait apportés. Il voyait la fascination du jeune garçon pour les sabres, hors, il proposa, en signe de reconnaissance, d’entraîner Tokhiro au maniement du sabre.

Pendant les premiers entraînements, le capitaine entraînait le jeune garçon au maniement du bâton, lui enseignant l’équilibre et la bonne prise en main. Puis il appris à Tokhiro à tailler ses armes dans du bois, puis l’entraîna au sabre.
-« Lève ta garde ! » « Baisse les coudes ! » « Les épaules, en avant les épaules ! »
L’entraînement était difficile… les journée longues et le sommeil court. Pour autant, Tokhiro s’accrochait, et progressait rapidement dans le maniement de l’épée à deux mains. Jinsiska lui enseignait toujours plus, dès qu’il apprenait un geste, une technique, il enchaînait avec une autre… et cela passionnait le jeune garçon, découvrir de nouvelles techniques, d’esquive, d’attaque, d’enchaînements…

Un jour, le mentor offrit à son élève un sabre, véritable cette fois. C'était un sabre, aussi long que celui de son Maître. Tokhiro n’en revenait pas, une arme, pour lui, à lui… mais cela n’était pas gratuit. L’armée avait retrouvé le Capitaine, et demandait son retour au front, dans un camp tenu par des alliés elfes. Il désirait continuer l’apprentissage de son élève, et lui proposa de venir avec lui. Désireux d’apprendre d’avantage, Tokhiro parti au front avec son Maître.

Le voyage fut long et épuisant, mais le Maître ne laissa pas tomber l’entraînement pour autant. Le maniement de son arme fut extrêmement difficile, car même si le sabre avait était forgé par une main de maître et que l'équilibre était parfaitement à la garde, le poids resté difficile à gérer, ainsi que la taille. Jinsiska apprit au jeune garçon à utilisé ses deux mains a la fois pour diriger son arme, mais aussi pour contreballancer son arme, alternant les positions des mains sur le manche, améliorant considérablement sa maniabilité.
Il lui enseignait une toute nouvelle technique : celle du Ki. Il lui apprit à ressentir cette énergie autour de lui, par l’art de la méditation et la connaissance de soit et de ses limites.
-"Etudie bien la position de ton adversaire, de ses membres, de son corps. Ressent par la suite le Ki qui est en toi, concentre toi sur lui, et ton Ame qu'est ton sabre. Contrôle cette énergie, maîtrise celle-ci ainsi que ton angle de frappe pour optimiser son tranchant. Il n'y a qu'en s'ouvrant au Ki que l'on peut atteindre la perfection."

Tokhiro s’entraînait jour et nuit avec son sabre, qu’il baptisa Shibien. Avec l’entraînement, il connaissait parfaitement son sabre, son point d’équilibre, le diamètre exacte et la prise en main du mange, la résistance du fils, le poids… tout.
Son premier contact avec la guerre fut brutal. Lors d’une embuscade, Tokhrio dû user de son art pour rester en vie face à un soldat ennemi. Il le trancha d’un coup net. Il n’avait pas une égratignure… les mouvement qu’il avait exercés était rapide, précis, aussi fulgurant qu’un réflexe… il arrivait à manier son sabre aussi bien qu’il bougeait un membre. L’entraînement acharné au combat avec son maître avait créé un lien fusionnel avec son arme. Il ne s’en séparait jamais, s’en occupait comme sa propre chair, tel que le Shibien faisait réellement parti de lui. Son Maître fut appelé dans une autre région du front. Tokhiro se retrouvait donc seul, avec son arme… mais cela lui suffisait. Il avait confiance en son maître, et se sentait près à combattre, à évoluer toujours plus. Ceux-ci appercevant les explois de l'humain, Tokhiro commença à enseigner certaines de ses techniques aux novices, et celà lui plaisait... comme une relève perpétuelle entre élève et maître.
La guerre faisait rage, et Tokhiro dû maintes fois user de sont art, développant a chaque fois un peu plus ses techniques, ses mouvements, repérant ses failles… il ne combattait pas pour vaincre, ni pour tuer, mais pour se remettre en cause, encore et encore, apprendre de lui-même. Il apprenait à maîtriser le Ki, à l’utiliser, se concentrant sur l’énergie et son arme afin de développer la puissance de ses coups, ressentir encore son arme comme son propre corps.
Il ressantait cette impressionnante énergie en lui, apprenait de jour en jour à la contrôler, puis à la partager avec son arme, comme dans un prolongement de lui même, de son corps et de son âme. Cette maîtrise du Ki renforceait cette fusion corps-arme, lui permettant de manier le Shibien, de le ressentir, de découper au meilleurs des capacités qu'il avait au fond de lui. Le ki lui permettait de manier le sabre avec une telle aisance que les ennemis resteraient presques envouté par cette danse avec sa lame, tels les mouvement était fluide, précis, efficace, presque comme le guerrier combattait avec son propre bras.
Ses prouesses à la guerre le firent peu à peu monter en grade, ses exploits se propageant par les rumeurs de ville en ville, ceux du Général Fhrat Ley.

Puis la guerre pris fin, ne restant qu’une poignée de résistant, gérée par la milice des grandes villes… mais Fhrat Ley n’allais pas se résoudre à remplir des formulaires ou régler des conflits de rues… alors il quitta l’armée, et parti à l’aventure… il découvrit de nombreux allier, enseigna son art a son tour, avant de reprendre à nouveau le chemin du perfectionnement.

Voilà, j'ai pofiner un peu plus le Bg. En attente de critique ^^

à part "son retour au front, dans un camp tenu par des alliés elfes" rien ne justifie l'apprentissage de l'elfique. Je doute que durant une bataille ou Humains et elfes sont alliers ( c'est assez rare les guerres de ce type) les elfes prennent le temps d'enseigner aux guerrier leur langue. S'il s'était agit de mages, pourquoi pas, mais pas vraiment de guerriers.

Peux tu développer un peu plus l'effet du ki avec l'arme. On a trop l'impression que d'un coté tu développes le ki et de l'autre le maniement de l'arme. à part le passage ou tu expliques que le ki permet de taper plus fort, il manque de précision sur cette relation là.

à part ça , c'est bon

Bonjour ^^

Alors j'ai supprimé l'apprentissage de la langue elfique, quitte à l'apprendre rp avec le temps et la justifier plus tard dans le Bg.

J'ai également apporté des compléments concernant l'utilisation du Ki, cependant j'ai une question: j'ai apperçu une fois un pj Mda utiliser son arme à distance grace a son Ki (comme de la télépathie) Est-ce possible?
Car même si il y a une réelle symbiose entre le Maitre et son arme, celà relève d'avantage du domaine profane, comme le sort télékinésie, non?

Merci

Alors alors :

Ok pour la langue elfique on verra plus tard.

Concernant le lien ki arme, ça ira pour débuter la classe de Mda en évolutif.
Pour la suite, je te conseille de développer le maniement spécifique de l'arme ( on manie pas un cimetère comme on manie une épée à deux mains ) et de la façon d'activer ton ki.

Une question cependant : tu évoques le sabre et tu as noté épée à deux mains, quell eest l'arme que tu utilises au final ?
Il faut savoir que sabre et épée sont deux catégories différentes
Epée : deux lames
Sabre : une lame

Le ki n'est pas un truc que l'on extériorise comme ça (justement, c'est le contraire )
Les Mda n'utilisent pas d'armes de jet.
D'ailleurs, dés lors que le Mda pose son arme, elle perd tout cette puissance qui n'éxiste que dans les mains du Mda.
Mda est donc exclusivement lié à une arme de corps à corps.

Le ki n'est pas la force des Jedi, doc pas de télékinésie, pas de super pouvoir, et pas de transformation en super sayen IV.

Il n'ya strictement rien à voir entre le ki du moine et du Mda et la magie profane.
Si tu as vu un Mda sur le Val qui utilise son arme à distance grace à son Ki, dénonce le à la police, c'est qu'il est en possession de stupéfiants.

J'attends cependant une remarque sur ce que j'ai dit pour finaliser ce passage en évolutif.

Alors pour l'arme, il s'agit bien de l'épée à deux main, mais plus précisément d'une arme non répertorié sur nwn, qu'est le samashimune (nom irl), à savoir une épée à deux mains mais simple tranchant (donc, sabre)(beaucoup plus grand que le katana)

Petite parenthèse culturelle ^^ : si le katana est l'équivalent de l'épée longue, le wakisashi de l'épée courte et le tanto de la dague, le samashimune est celui de l'épée à deux mains.
Seulement, malgré l'extrême maniabilité de ces armes orientales, la taille de la lame (entre 1m40 et 1m50) ralenti grandement la vitesse d'enchainement, mais ce défaut est compensé par un tsuka (manche) exédant parfois 30cm (ce qui nous fait une arme d'environ 1m75)
Il faut des technique très particulières pour manier ce type d'arme, c'est pourquoi je l'ai choisie pour un Mda.

Le skin existe sur le Val, donc je me suis permis de lancé cette arme. Dois-je changer?

Yop!

J'ai détaillé un peu plus le maniement de cette arme, je pensai qu'il était indispensable de le citer lors de son apprentissage avec son maître plutôt qu'après, c'est plus cohérant pour un Mda.

ps: j'ai garder le Bg sans les modif au cas ou je devrai adapter mon arme.

Oki, alors pour l'adaptation, ton épée à deux mains est donc, une sorte de sabre géants à deux mains ( qu'une arme soit à une main ou a deux ça n'a pas vraiment n'incidence sur nwn).

Qu'est-ce que tu entends, pas "lancé l'arme" ?

Abus de language

Disons que dans le Val j'ai vu très peu de perso avec des épées à deux mains, les barbares préférants les haches et les guerriers une arme à une main pour y associer un bouclier. (je généralise ^^ heureusement)

Hors, comme je n'ai jamais vu de joueurs utiliser d'épée à deux mains simple tranchant, c'était une façon de dire "je vais me lancer avec cette arme"

Je précise cependant que je n'ai pas choisi cette arme pour ça

Il y a beaucoup plus de Mda à une arme à deux mains ou armes doubles que de Mda à arme + bouclier.
De plus, tu dois être au moins, le sixieme ou septieme Mda à l'épée à deux mains
L'épée à deux mains est très prisée.

Sinon, le reste, c'est bon pour te passer en évolutif.

pense bien à rendre compte de ton entrainement.

(Bg, la suite)

Il arriva finalement aux portes de la citée des voiles, Luskan. Il s’y installa un moment, l’endroit étant tout indiqué pour la continuation de son apprentissage : une forêt paisible pour y méditer et répéter les gestes au sabre, une arène pour y affronter des adversaires et expérimenter ses techniques, puis une auberge fort sympathique pour s’y reposer.
La première semaine, il parti dans les bois répéter ses attaques, et méditer avec le Shibien. Les rencontres ne manquèrent pas. Il passa devant le cimetière de la ville, et entendit des bruits de combats. Alerté il entra dans la crypte, et vit un jeune nain se défendant contre une horde de spectre hantant ces lieux. Tokhiro se lança donc dans le combat. Ces revenants n’avaient pas de point faible, aucune technique de précision ne lui était utile. C’était le moment de mettre à l’épreuve ses talents et sa maîtrise du Ki. Il se concentra un instant sur le Shibien, puis se mit dans un état de symbiose totale avec le sabre : il canalisa toute son énergie sur un coup verticale. Le spectre fut détruit sur le coup ! D’autre spectre arrivèrent à la charge, mais dans leur complicité au combat, le nain et le maître d’arme se mirent en position stratégique de défense, l’un couvrant les arrières de l’autre.
« Shibien, montrons leur… » Thokiro se lança alors sur les spectre, maniant le sabre avec une telle agilité que le maître et le sabre semblaient danser, une danse mortuaire emportant les spectres assaillant dans l’au-delà, semblant formé le duo parfait, l’un rendant hommage à l’autre en combinant leur capacité et leur forces respectives. Cette sensation… Tokhiro la ressentait à chaque combat avec son Shibien…. Une sensation de bien être, une sensation de vie, de quiétude parfaite, tant dans son corps, que dans son esprit, qu’avec son sabre.
« Shcling » Tokhiro rengaina son sabre respectueusement, comme un immense remerciement à celui-ci pour lui avoir prêté sa puissance. Le nain, nommé Bognus Hengarks, le remercia également pour son aide, et lui proposa d’aller boire une bière à l’auberge de la cité des voiles, afin de se remettre de ces aventures.

Tokhiro revint à la crypte afin de s’y exercer. Ce jour là, il fit moins heureuse connaissance. Deux individus en armure blanche, remarquablement bien équipés, se dressent devant lui. Il distingua le symbole de Loviathar sur leur cuirasse, et en kimono, au fin fond de cette crypte, il savait que faire face au combat reviendrai a sa propre mort. Ses batailles lui avait permis de connaître beaucoup de choses, sur le culte de Loviathar, les régions du nord et les emplacement de leur cités. Il tenta donc de les esquiver par la parole, jouant sur ses mots. Mais cela ne suffit pas, et les Loviath l’emmenèrent a la prison du Rock du Tyran. Sur le chemin, il tenta plusieurs fois de s’évader, mais les Loviath plus nombreux. Une fois en prison, un garde ainsi qu’un homme disciple de Baine arrivèrent pour le questionner… sous peine de torture. Tokhiro n’avait rien a cacher, étant corps et âme dévoué au Shibien. Ses tortionnaires remarquèrent assez vite le lien puissant qu’il existait entre le Maître et son sabre. Attisé par sa curiosité, le soldat Bainite détacha le captif, et lui donna son sabre. Il lui demanda d’attaquer, mais Tokhiro s’y refusait, se refusant à combattre pour le plaisir de ses geôliers et sachant pertinemment qu’en cas de victoire, la garde le tuerait. Le soldat insista. Tokhiro pris alors le Shibien, qui se mit a luire intensément entre ses mains. Une aura douce entourait le maître et son sabre, puis d’un coup franc, il coupa en deux la table de torture sur laquelle il était reposé. Le soldat était impressionné, mais pas assez pour renoncer au combat. Il lui promis de ne pas le tuer, et qu’il s’agissait d’un simple entraînement. Sous ces conditions, Tokhiro accepta.
Il s’approcha de son adversaire. Celui-ci ne bougeait pas d’un cil, épée en main. Tokhiro tourna autour de lui, puis voulu tester ses capacité a ressentir le danger. Il resta a bonne distance, puis une fois derrière, il posa délicatement son index sur le dos du soldat. Celui-ci se retourna violemment puis renversa Tokhiro d’un coup d’épée. Le maître sourit, comprenant qu’il ne laisserait personne entrer dans son périmètre, mais également qu’il ne ressentait aucunement l’agressivité des attaques. Le combat commença. Tokhiro se lança dans un enchaînement d’attaques sur le soldat. Celui-ci les para toute, mais les attaques Ki de Tokhiro endommageait gravement la lame du Bainite. Celui-ci comprit que s’il continuait ainsi, il serait désarmé. Il lança alors un puissant sort d’énergie négative sur le Maître d’arme, le mettant a genoux. Le Soldat l’envoya en geôle, avec son arme. Il reconnaissait le potentiel de Tokhiro, et le laissa tranquille jusqu’à la vente aux esclaves de belle Prairie. Le maître avait pris conscience qu’il devait augmenter la rapidité de ses coup, ainsi qu’augmenter sa réserve de Ki afin d’augmenter la puissance et le maniement du Shibien. Tokhiro fut vendu a une petite gens, nommée Chani, qui l’utilisa comme monture jusqu’à la cité de Lorgol. Là, elle lui proposa un marché : Tokhiro pouvait partir, mais il restait son esclave, et s’il venait a revenir dans le nord, il devait faire honneur à sa maîtresse. Tokhiro accepta, reconnaissant la bonté de Chani. Il reparti dans le sud, reprendre son entraînement, mais reviendrai un jour, pour se mesurer à ce soldat Bainite, avec qui il avait la même passion du combat.

Maître Fhrat Ley allait souvent se repentir et méditer dans la forêt nord de Luskan. Il allait près de la côte, dans une zone verdoyante, près d’une cascade ou la quiétude régnait en maître au milieu des animaux. Il passait des heures à méditer, le Shibien à ses coté, et ressentait le Ki qui était en lui, et en son sabre lors des combats. Méditer ainsi lui permettait d’augmenter peu à peu son potentiel de Ki, lui donnant accès à des attaques toujours plus impressionnantes. « Un Maître d’arme ne fini jamais d’apprendre, telle est son évolution dans la voie qu’il a choisi. » Telles étaient les paroles de son Maître, le Capitaine Jinjiska.
Un jour, alors qu’il se concentrait, un groupe de perturbateurs firent leur apparition.
Un groupe de quatre hommes lézards apparurent, encerclant le Maître d’arme, hachettes et lance en main. Tokhiro se releva, prit son sabre en main, près à dégainer. Les monstres se jetèrent sur lui sans aucune sommation. Tokhiro dégaina alors le Shibien… cette sensation revenait encore, cette quiétude totale, cette relation fusionnelle avec son arme… le Ki rassemblé en son arme, le Maître effectua une attaque stupéfiante, donnant un gigantesque coup de sabre en rotation, traversant et dépeçant trois des quatre hommes lézard d’un trait ! Le survivant, tétanisé devant la rapidité et l’efficacité du coup du Maître, recula d’un pas avant de prendre la fuite. Mais Tokhiro ne rengaina pas. En effet, dans l’ombre, une inconnu l’observait.
« Quelle remarquable force… je ne pensai pas qu’un vieux papi comme vous pourriez être encore assez souple pour ce genre d’acrobaties »
Le maître se retourna, et vit une femme, habillée en tenue légère, recouverte d’une peau de tigre, armée d’une double lame, assise sur un rocher en hauteur.
« Ce n’est pas la force qui m’a permis cela, mais la technique, et le Shibien »
L’inconnue haussa les épaules, puis regarda avec un léger sourire un chef homme lézard qui approchait. Il était armé d’une grande hache et équipée d’une armure complète. Après un rugissement de rage, le chef se jeta sur Tokhiro. Celui-ci sera le Shibien qui se mit à luire en écho : il ressentait tout de son sabre comme de son propre corps : il sentait le vent, l’air se frotter contre la lame, les forces de gravité l’attirer vers le sol en chaque point… puis d’un coup, dans l’esprit de Tokhiro, le temps s’arrêta, analysant la position, le mouvement de son adversaire, centimètre par centimètre, puis positionna sa lame afin de frapper avec une inclinaison parfaite… puis en un éclair, le coup parti ! Avant même que chef pu finir d’armer son coup, le sabre de Tokhiro coupa la tête du lézard en deux, comme s’il n’avait aucun casque. Des étincelles s’éparpillèrent au découpage littéral du casque de fer.

L’inconnue sourit un instant, puis descendit du son perchoir.
« Très beau coup. Mais ce n’est pas très respectueux de ton sabre. Il ne doit plus couper grand-chose après une attaque pareille. » lança-t-elle arme en main.
Le Maître se retourna puis répliqua :
« Voulez vous le tester ? »
L’inconnu ne baissa pas la garde, esquissant un léger sourire.
« Je n’aurait jamais fait une attaque qui porterai atteinte au Shibien. Et puis, ce sabre à un passé hors du commun. Une simple attaque comme celle-ci ne le déséquilibrera aucunement. »

Tokhiro rengaina, jugeant la guerrière suffisamment sage pour ne pas engager le combat.
« Vous êtes avec ces créatures ? »
L’inconnue sourit, puis nia.
« En fait, cela dépend de mes besoin. Mais vous me plaisez, on s’reverra un jour »
Elle fit un signe de main rapide puis sauta de rocher en rocher, se perdant dans le décors de la forêt.

Etant donné les nouvelles règles concernant l'évolutif et sachant que tu as suffisemment renseigné cette partie je te place en validé (sauf si tu veux rester en évolutif)

*signé le scribe le plus sympa de la terre, kumême*

*bisoute sur les cornes*

*reparti dans sa contrée de Kara-Tur*

Serait-il possible de la classer? ^^ (arrêt définitif du perso)

Je le classe au cimetière